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Evaluación de la discrepancia cefalométrica según Steiner, Tweed e Interlandi en pacientes con relación esquelética Clase ITenorio Estrada, Janet Kely January 2011 (has links)
Durante el diagnóstico y planificación de un tratamiento ortodóncico, un dato muy importante es la determinación de la ubicación del incisivo inferior. Existen análisis cefalométricos que nos ayudan a esto, por medio de la discrepancia cefalométrica.
El objetivo de este estudio fue comparar las discrepancias cefalométricas de Steiner, Tweed e Interlandi en pacientes con relación esquelética Clase I (según proyección USP), para lo cual se estudiaron los cefalogramas laterales de 100 pacientes.
Cada película cefalométrica fue trazada y las diferencias entre las medidas de las discrepancias cefalométricas de los grupos fueron comparados en pares usando el Test de Wilcoxon, y para comparar los tres grupos se utilizó el Test de Friedman.
Se encontró un valor promedio para Steiner de -4,084mm y para Interlandi de - 4,325mm, presentando ambas mayor variabilidad que Tweed con un promedio de -2,702mm.
Los valores de las discrepancias cefalométricas propuestas por Steiner, Tweed e Interlandi, presentaron diferencias estadísticamente significativas. Los resultados de este estudio sugieren que Tweed propone un menor movimiento retrusivo del incisivo inferior en la planificación, discrepando con la mayoría de los estudios reportados anteriormente.
Palabras clave: cefalometría - discrepancia cefalométrica - relación esquelética - línea I. / The aim of this study was to compare cephalometric discrepancies of Steiner,
Tweed and Interlandi in patients with Class I skeletal relationship (as projection
USP), for which we studied the lateral cephalograms of 100 patients.
Each lateral headfilm was traced and the differences between the
cephalometric measurements of the discrepancies of the groups were
compared in pairs using the Wilcoxon test, and to compare the three groups
used the Friedman test.
We found an average value for Steiner of -4.084 mm and for Interlandi of -4.325
mm, presenting both greater variability that Tweed with an average of -2.702
mm.
Values proposed by Steiner, Tweed and Interlandi cephalometric discrepancies,
were statistically significant.
The results of this study suggested that Tweed proposed lower moved retrusive
for the inferior incisor in the planning, disagreeing with the majority of previously
reported studies.
Key words: cephalometric - cephalometric discrepancia - skeletal relationship -
line I.
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La reconnaissance des expressions faciales des émotions: profil de développement et utilisation des catégories émotionnelles au cours de l’enfanceMaassara, Reem January 2016 (has links)
Le but de cette thèse était d’étudier le développement de la catégorisation des expressions faciales émotionnelles chez les enfants francophones à l’aide de deux tâches de jugement: l’étiquetage verbal (étude 1) et le jugement à choix forcés (étude 2). Le modèle théorique ayant guidé les études était celui proposé par Widen et Russell (2003, 2010). Les résultats de la première étude ont montré une très forte correspondance entre la séquence d’utilisation des catégories émotionnelles et celle prédite par le modèle de Widen et Russell. De plus, les résultats ont généralement appuyé les prédictions du modèle en ce qui concerne les profils de développement se rapportant à l’exactitude des jugements et à la fréquence d’utilisation et l’extension des catégories émotionnelles. Enfin, la première étude a permis de recueillir des informations sur le lexique émotionnel des enfants francophones, ce qu’aucune étude antérieure n’avait fait à notre connaissance. La deuxième étude visait à vérifier si le modèle de Widen et Russell décrivait bien l’utilisation des catégories émotionnelles dans la tâche de jugement à choix forcés. Les résultats ont montré que la performance des participants était supérieure au hasard dès 3 ans et, que conformément aux prédictions, elle augmentait pour chacune des six expressions entre 3 et 8 ans. Comme le prévoyait le modèle, le nombre de catégories émotionnelles utilisées par les enfants a augmenté en fonction de l’âge. L’utilisation des catégories de joie, tristesse et colère a diminué en fonction de l’âge alors que l’utilisation des catégories de peur, surprise et tristesse a augmenté. Cependant, les prédictions du modèle en rapport avec l’extension des catégories émotionnelles n’ont été que partiellement appuyées, puisque l’extension des catégories avait tendance à diminuer entre 3 et 8 ans seulement dans le cas de la joie et de la colère. Enfin, les résultats de la deuxième étude n’ont pas appuyé la séquence d’utilisation des catégories émotionnelles prédite par le modèle.
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Que nous révèle le visage? : Inférence de l’évaluation cognitive sur la base de l’expression faciale émotionnelleMontembeault, Patricia January 2017 (has links)
Bien que de nombreuses études aient examiné le décodage des expressions faciales émotionnelles, un débat subsiste toujours concernant la nature de l’information véhiculée par le visage. Parmi les approches théoriques qui se démarquent actuellement, figure le modèle des processus composants (MPC) élaboré par Scherer (1984, 1992, 2001). Ce chercheur soutient que les expressions faciales transmettent de l’information allant au-delà d’une simple catégorie émotionnelle et que les décodeurs seraient en mesure d’interpréter celles-ci en termes d’évaluations cognitives. D’après ce qui a été observé dans l’étude de Scherer et Grandjean (2008), les inférences basées sur les évaluations cognitives mèneraient à une reconnaissance se comparant en exactitude à celle obtenue avec les catégories émotionnelles. Néanmoins, il existe encore peu de données empiriques offrant un appui à ces conclusions.
Cette thèse a donc comme objectif d’examiner les propositions théoriques de Scherer relativement au décodage du comportement expressif facial. Pour ce faire, nous proposons une série de trois études menées à l’aide d’une tâche de jugement et utilisant des photographies d’expressions faciales. Dans la première étude, nous avons répliqué une partie de celle de Scherer et Grandjean en y apportant certaines améliorations méthodologiques. Les pourcentages d’exactitude élevés obtenus valident ceux de l’étude originale et confirment la capacité des décodeurs à inférer les évaluations cognitives à partir du visage. Certaines divergences, en ce qui a trait à la justesse du jugement en fonction du type d’émotion, ont toutefois été observées. Lors de la seconde étude, nous avons repris la même tâche en créant deux conditions distinctes permettant d’évaluer l’impact du niveau d’abstraction des évaluations proposées sur la performance. Les résultats indiquent que les participants sont en mesure d’inférer l’évaluation cognitive avec un taux de réussite élevé, et ce, peu importe le niveau d’abstraction, offrant ainsi un appui additionnel au MPC. En outre, cette étude nous a également permis d’observer des
patrons de reconnaissance similaires à ceux de l’étude 1 relativement aux types d’émotions présentées. Dans le cadre de la troisième et dernière étude, nous avons poussé plus loin la validation des prédictions du MPC en examinant spécifiquement si le décodeur est en mesure de reconnaitre les évaluations cognitives communiquées par diverses unités d’action faciales individuelles, et si certaines d’entre elles semblent posséder une valeur signalétique plus puissante ou distincte. Une tâche de jugement dans laquelle les participants ont évalué, sur une échelle d’intensité, l’adéquation entre l’unité d’action observée dans l’image et les cinq énoncés représentant les critères d’évaluation majeurs du MPC, a finalement été utilisée pour tester cet objectif. Nous avons ainsi pu constater l’aptitude du décodeur à identifier de l’information relevant de la composante cognitive sur la base de certains mouvements faciaux pris isolément, attestant de la valeur signalétique intrinsèque des unités d’action dans le processus d’interprétation des visages telle que postulée au sein du modèle de Scherer.
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Epidemiología y clasificación de las fracturas máxilo-faciales. Hospital Nacional Dos de Mayo (Junio 1999-Febrero 2002)Avello Canisto, Francisco January 2002 (has links)
Las fracturas máxilo-faciales son frecuentes como consecuencia de traumatismos severos, siendo la determinación de este tipo de fractura, por edad, sexo y agente causal importante para su manejo. Se dividen en tercio superior, medio e inferior (o mandibular); pudiendo presentarse además en forma combinada o panfaciales.
Para la realización del estudio se revisaron Historias Clínicas de los pacientes portadores de fracturas del macizo óseo-facial, desde junio 1999 hasta febrero 2002. Se empleó una ficha de recolección de datos necesarios para la investigación.
Se realizó un estudio de prevalencia, tipo observacional descriptivo. Se tomó como variable independiente a las fracturas máxilo-faciales y como variables dependientes la edad, el sexo y agente causal.
Se revisaron 158 historias clínicas, ocupando así el primer lugar de frecuencia en la especialidad. El 85% corresponde al sexo masculino y el 67% estuvo entre 20 - 40 años de edad. El 36% fue causado por accidentes de tránsito y 19% debido a agresiones por robo. El tercio medio facial es el mayormente afectado.
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Prevalencia de fracturas maxilofaciales del tercio medio en pacientes atendidos en el Hospital Nacional Arzobispo Loayza, durante el periodo 2005-2009Vílchez Cruz, Daysi Karina January 2011 (has links)
El objetivo fue determinar la prevalencia de fracturas maxilofaciales del tercio medio y como se comportan las fracturas maxilofaciales del tercio medio según grupo etario, género, localización de la fractura, factor etiológico, tipo de tratamiento, lugar de procedencia y fracturas maxilofaciales del tercio medio asociada a otros tercios, para lo cual se elaboro una ficha de recolección de datos necesarios para la investigación, el análisis de realizo con el paquete estadístico SPSS.
Se realizo un estudio tipo descriptivo , transversal y retrospectivo , cuyo propósito fue determinar la prevalencia de fracturas maxilofaciales del tercio medio en pacientes que acudieron al Hospital Nacional Arzobispo Loayza a los servicios de cirugía maxilofacial y al servicio de cabeza y cuello; para lo cual se revisaron las historias clínicas de 314 pacientes portadores de algún tipo de fractura maxilofacial, registrados desde enero 2005 hasta diciembre 2009, luego se procedió a seleccionar los pacientes cuya fractura se localizo en el tercio medio facial.
Los resultados de 314 historias clínicas revisadas, el 84.4% fue el genero masculino. El grupo etario más afectado fueron pacientes de 21 a 40 años con un 47,1%. Según la región anatómica afectada por tercios, el tercio medio fue el más comprometido con 58,6%.
Dentro de la región anatómica mas afectada, el tercio medio facial con 184 historias clínicas, el 84,8% fueron varones, el grupo etario mas afectado fueron pacientes de 21 a 40 años con un 48,4%.Segun la localización de la fractura, el complejo orbito-maxilo-cigomático-malar fue el mas afectado con 40,2%. Los accidentes de transito fueron la etiología mas común con 38,6%. La Reducción Cruenta - Osteosíntesis con miniplacas y tornillos de titanio fue la alternativa de tratamiento mas empleada con 93,5%. Según el lugar de procedencia, la mayoría de pacientes proceden del cercado de Lima con un 29,3%. Y según las fracturas del tercio medio asociadas a otros tercios, la mayoría no se asocio a ningún tercio, fueron la mayor parte fracturas del tercio medio solamente con un 61,4%.
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Prevalencia de fracturas mandibulares en pacientes atendidos en el Hospital Nacional Arzobispo Loayza, durante el periódo enero 2006 - mayo 2010Martínez Miguel, Karol Erika January 2011 (has links)
En este estudio se presenta la prevalencia de las fracturas mandibulares en un hospital nacional de Lima metropolitana de enero del 2006 a mayo del 2010, en relación al género, grupo etario, factor etiológico, región anatómica afectada y 11 tipo de tratamiento realizado para aportar información estadística real en el ámbito regional que pueda ayudar a la toma de medidas de prevención adecuadas de acuerdo a los factores etiológicos.
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Habiletés sociales et langagières des personnes porteuses du syndrome de Williams : comparaisons intersyndromique / Social and language skills in individuals with Williams Syndrome : cross-syndrome comparisonsTouchet, Claire 01 December 2017 (has links)
Cette recherche a pour objectif d'étudier le développement des capacités en langage, en théorie de l'esprit et en reconnaissance des émotions dans le syndrome de Williams (SW). Ce syndrome est un trouble génétique rare. Le SW se caractérise par un profil sociocognitif particulier associé à une déficience intellectuelle légère à modérée (Bellugi, Marks, Bihrle, & Sabo, 1988 ; Mervis & Bertrand, 1999). Le profil hypersocial caractéristique des personnes avec SW, en particulier leur attrait pour les visages et leur volonté d'interagir avec autrui, pourrait impacter la mise en place de leurs habiletés sociales et langagières. Ces différentes capacités ont été évaluées via 4 expériences chez un même groupe de 16 participants avec SW. Leurs performances ont été comparées à celles de 16 participants avec syndrome de Down, de 16 enfants typiques de même âge verbal et de 16 enfants typiques de même niveau de raisonnement non-verbal. À partir d'une approche d'appariement et de trajectoires développementales, l'analyse des résultats met en avant des compétences non préservées pour le groupe SW. Le lien entre langage et théorie de l'esprit dans le SW semble similaire à celui existant dans le développement typique. Toutefois, les comparaisons intersyndromiques révèlent des spécificités au niveau du profil sociocognitif du SW, notamment la production excessive d'évaluations sociales et leur bonne capacité à attribuer des émotions. Le comportement hypersociable et la facilité d'interaction des personnes avec SW semblent contribuer à surestimer leurs compétences sociocognitives et globales / This research aims to study the development of language, theory of mind and emotion recognition in Williams syndrome (WS). This syndrome is a rare neurodevelopmental disorder of genetic origins. The WS is characterized by a specific sociocognitive profile including mild to moderate intellectual disability (Bellugi, Marks, Bihrle, & Sabo, 1988 ; Mervis & Bertrand, 1999). The distinctive hypersocial phenotype of people with SW, in particular their attractiveness to the faces and their willingness to interact with others, may affect the development of their social and language skills. These different abilities were evaluated by 4 experiments with the same group of 16 participants with SW. Their performance was compared with that of 16 participants with Down syndrome, that of 16 typical children who were matched for verbal age and that of 16 typical children who were matched for non-verbal reasoning. Using a matching approach and developmental trajectories, the analysis of the results point out impaired skills for the WS group. The link between language and theory of mind in the SW seems similar to that existing in typical development. However, cross-syndrome comparisons reveal specificities in the socio-cognitive profile of WS, especially the excessive production of social engagement devices and their good ability to attribute emotions. The hypersocial behavior and ease of interaction of people with WS seem to contribute to overestimating their sociocognitive and global skills
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Dimensiones transversales esqueléticas y del arco maxilar en pacientes con secuela de fisura labio alveolo palatina unilateralAliaga del Castillo, Arón January 2010 (has links)
El propósito de este estudio fue evaluar las dimensiones transversales esqueléticas (ancho maxilar y ancho facial) y del arco maxilar (ancho intercanino y ancho intermolar) en pacientes con secuela de Fisura Labio Alveolo Palatina Unilateral (FLAPU). El estudio fue descriptivo, comparativo, retrospectivo y transversal. La población estuvo conformada por niños peruanos de 6 a 15 años atendidos en la Unidad de Pacientes Fisurados del Servicio de Ortodoncia y Ortopedia Maxilar del DIDAO, perteneciente al Instituto Especializado en Salud del Niño entre Enero del 2000 y Octubre del 2009. La muestra estuvo constituida por 94 modelos de estudio (47, pertenecientes al grupo con secuela de FLAPU, 47 pertenecientes al grupo control de no fisurados, NF,) y 94 radiografías posteroanteriores (47 pertenecientes al grupo con secuela de FLAPU , 47 pertenecientes al grupo control de no fisurados, NF). Para la evaluación de modelos de estudio, se tomaron fotografías digitales y se procesaron en CorelDraw X4 para hallar el centroide en las 4 piezas dentarias siguiendo las consideraciones utilizadas por Moyers; las distancias se obtuvieron mediante escala en Microsoft Excel 2007 medidas en el maxilar superior para el ancho intercanino de centroide a centroide de caninos deciduos o permanentes contralaterales y para el ancho intermolar de centroide a centroide de primeras molares permanentes contralaterales. Para la evaluación de las radiografías posteroanteriores se realizó el trazado cefalométrico, siguiendo los criterios establecidos por Ricketts, mediante método manual, las distancias fueron medidas con un calibrador digital para obtener datos más exactos. El análisis estadístico usado fue la prueba t de student con un nivel de significancia del 0.05. Los datos obtenidos mostraron que no existen diferencias estadísticamente significativas (p>0.05) entre las dimensiones transversales esqueléticas – ancho maxilar y ancho facial – de pacientes con secuela de FLAPU y pacientes no fisurados (NF) de 6 a 15 años de edad. Estas dimensiones esqueléticas aumentan según aumenta la edad. No existe diferencia estadísticamente significativa con respecto al género en el grupo con secuela de FLAPU; Sin embargo en el grupo de no fisurados (NF) el ancho facial es mayor en el género masculino y menor en el género femenino (p menor 0.05). / The purpose of this study was to evaluate transverse skeletal dimensions (maxillary width and facial width) and transverse arch maxillary dimensions (intercanine width and intermolar width) in patients with sequel of Unilateral Cleft Lip Alveolus and Palate (UCLAP). The population consisted of Peruvian children aged 6 to 15 belonging at Cleft Patients Unit of Orthodontics Service of the Institute specialized on Children’s Health, Lima - Perú, during January 2000 to October 2009. The sample consisted of 94 study models (47 belonging to the group with UCLAP sequel and 47 belonging to noncleft patients, NC, control group) and 94 posteroanterior radiographs (47 belonging to the group with UCLAP sequel and 47 belonging to NC group). For the assessment of study models, digital photographs were taken and processed in CorelDraw X4 to find the centroid in the 4 teeth following the considerations used by Moyers, the distances were obtained by scale using Microsoft Excel 2007 measures in the maxilla for the intercanine width centroid to centroid of deciduous or permanent contralateral canines and for the intermolar width centroid to centroid of first permanent contralateral molars. For the evaluation of posteroanterior radiographs cephalometric tracing was performed following Ricketts criteria, using manual method, the distances were measured with digital calipers to obtain more accurate data. Student t test was used for statiscal analysis with a significance level of 0.05. The data showed no statistically significant differences (p>0.05) between the transverse skeletal dimensions (maxillary width and facial width) of patients with UCLAP sequel and those of non-cleft patients (NC) of 6 to 15 years old. These skeletal dimensions increase with increasing age. No statistically significant differences regarding gender was found in the UCLAP group. However, in the non-celft group (NC) facial width is greater in males and lower in the female gender (p less than 0.05).
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Dimensiones transversales esqueléticas y del arco maxilar en pacientes con secuela de fisura labio alveolo palatina unilateralAliaga del Castillo, Arón January 2010 (has links)
El propósito de este estudio fue evaluar las dimensiones transversales esqueléticas (ancho maxilar y ancho facial) y del arco maxilar (ancho intercanino y ancho intermolar) en pacientes con secuela de Fisura Labio Alveolo Palatina Unilateral (FLAPU). El estudio fue descriptivo, comparativo, retrospectivo y transversal. La población estuvo conformada por niños peruanos de 6 a 15 años atendidos en la Unidad de Pacientes Fisurados del Servicio de Ortodoncia y Ortopedia Maxilar del DIDAO, perteneciente al Instituto Especializado en Salud del Niño entre Enero del 2000 y Octubre del 2009. La muestra estuvo constituida por 94 modelos de estudio (47, pertenecientes al grupo con secuela de FLAPU, 47 pertenecientes al grupo control de no fisurados, NF,) y 94 radiografías posteroanteriores (47 pertenecientes al grupo con secuela de FLAPU , 47 pertenecientes al grupo control de no fisurados, NF). Para la evaluación de modelos de estudio, se tomaron fotografías digitales y se procesaron en CorelDraw X4 para hallar el centroide en las 4 piezas dentarias siguiendo las consideraciones utilizadas por Moyers; las distancias se obtuvieron mediante escala en Microsoft Excel 2007 medidas en el maxilar superior para el ancho intercanino de centroide a centroide de caninos deciduos o permanentes contralaterales y para el ancho intermolar de centroide a centroide de primeras molares permanentes contralaterales. Para la evaluación de las radiografías posteroanteriores se realizó el trazado cefalométrico, siguiendo los criterios establecidos por Ricketts, mediante método manual, las distancias fueron medidas con un calibrador digital para obtener datos más exactos. El análisis estadístico usado fue la prueba t de student con un nivel de significancia del 0.05. Los datos obtenidos mostraron que no existen diferencias estadísticamente significativas (p>0.05) entre las dimensiones transversales esqueléticas – ancho maxilar y ancho facial – de pacientes con secuela de FLAPU y pacientes no fisurados (NF) de 6 a 15 años de edad. Estas dimensiones esqueléticas aumentan según aumenta la edad. No existe diferencia estadísticamente significativa con respecto al género en el grupo con secuela de FLAPU; Sin embargo en el grupo de no fisurados (NF) el ancho facial es mayor en el género masculino y menor en el género femenino (p menor 0.05). / The purpose of this study was to evaluate transverse skeletal dimensions (maxillary width and facial width) and transverse arch maxillary dimensions (intercanine width and intermolar width) in patients with sequel of Unilateral Cleft Lip Alveolus and Palate (UCLAP). The population consisted of Peruvian children aged 6 to 15 belonging at Cleft Patients Unit of Orthodontics Service of the Institute specialized on Children’s Health, Lima - Perú, during January 2000 to October 2009. The sample consisted of 94 study models (47 belonging to the group with UCLAP sequel and 47 belonging to noncleft patients, NC, control group) and 94 posteroanterior radiographs (47 belonging to the group with UCLAP sequel and 47 belonging to NC group). For the assessment of study models, digital photographs were taken and processed in CorelDraw X4 to find the centroid in the 4 teeth following the considerations used by Moyers, the distances were obtained by scale using Microsoft Excel 2007 measures in the maxilla for the intercanine width centroid to centroid of deciduous or permanent contralateral canines and for the intermolar width centroid to centroid of first permanent contralateral molars. For the evaluation of posteroanterior radiographs cephalometric tracing was performed following Ricketts criteria, using manual method, the distances were measured with digital calipers to obtain more accurate data. Student t test was used for statiscal analysis with a significance level of 0.05. The data showed no statistically significant differences (p>0.05) between the transverse skeletal dimensions (maxillary width and facial width) of patients with UCLAP sequel and those of non-cleft patients (NC) of 6 to 15 years old. These skeletal dimensions increase with increasing age. No statistically significant differences regarding gender was found in the UCLAP group. However, in the non-celft group (NC) facial width is greater in males and lower in the female gender (p less than 0.05).
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Tendances à l’action communiquées par les expressions faciales des émotionsFaltacas, Anne-Marie January 2018 (has links)
Bien que le type d’informations communiquées par l’activité motrice du visage ait fait l’objet d’études empiriques, à ce jour peu d’études se sont intéressées à la théorie de Frijda (1986, 2016). Ce dernier soutient que l’expression faciale transmet des renseignements quant au type de comportement que l’émetteur est sur le point de faire et il avance que le récepteur est en mesure d’interpréter les expressions faciales en termes de tendances à l’action. Le principal objectif de cette thèse consistait à examiner la capacité de l’être humain à identifier les tendances à l’action à partir des expressions faciales émotionnelles. Cet objectif a été atteint à l’aide de quatre études. La première étude a utilisé une méthode de jugement à choix forcé afin d’examiner la capacité du récepteur à reconnaître les tendances à l’action. Les résultats de cette étude ont permis de montrer que l’exactitude des jugements était supérieure au hasard et que les participants percevaient plus d’une seule tendance à l’action dans le cas des expressions de surprise et de dégoût. La seconde étude a examiné l’aptitude du récepteur à identifier les tendances à l’action en faisant usage d’une tâche d’étiquetage verbal. Les participants avaient pour consigne de décrire dans leurs propres termes ce que se préparait à faire la personne qui affichait une expression faciale donnée. Les résultats ont montré que les participants avaient tendance à percevoir la tendance à l’action prédite par la théorie de Frijda plus souvent que les autres tendances à l’action. Toutefois, les niveaux de reconnaissance étaient généralement faibles. La troisième étude avait pour objectif d’examiner la reconnaissance des tendances à l’action lorsque l’émotion ressentie par l’encodeur était précisée. Contrairement à notre prédiction, le fait d’indiquer la catégorie de l’émotion exprimée par le visage n’a pas eu pour effet d’améliorer l’exactitude de la reconnaissance des tendances à l’action. Dans la quatrième étude, nous avons vérifié si la présentation d’unités d’action faciale permettait au décodeur de reconnaître les tendances à l’action. La tâche de jugement était similaire à celle de la première étude, mais le matériel facial présenté aux participants était différent. Nous avons sélectionné des unités d’action qui entrent dans la composition des expressions faciales des émotions fondamentales et qui sont spécifiques à chacune d’elles. Les résultats de cette étude ont montré que les participants parvenaient, dans la majorité des cas, à reconnaître les tendances à l’action à partir d’une seule unité d’action.
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