• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 299
  • 80
  • 50
  • 23
  • 12
  • 10
  • 9
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 5
  • 5
  • Tagged with
  • 540
  • 436
  • 430
  • 428
  • 69
  • 68
  • 68
  • 60
  • 45
  • 43
  • 26
  • 25
  • 24
  • 22
  • 21
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
431

Nutzung des Internets in den Geisteswissenschaften und der Kulturvermittlung Konzeption eines Fach- und Kulturportals der Goethezeit : Das Goethezeitportal /

Krunić, Danica. January 2004 (has links) (PDF)
Proefschrift Ludwig-Maximilians-Universität München.
432

Poetik und Publikation : Goethes Veröffentlichungen in Musenalmanachen und literarischen Taschenbüchern : mit einer Bibliographie der Erst- und autorisierten Folgedrucke literarischer Texte Goethes im Almanach (1773-1832) /

Bunzel, Wolfgang, January 1997 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät für Sprach- und Literaturwissenschaft II--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 1992. / Bibliogr. p. 287-312. Index.
433

Eu mesma matei meu filho: do filicídio materno como poética trágica em Eurípides, Goethe e García Lorca / "J'ai moi-même tué mon fils": du filicide maternel comme poétique tragique chez Euripides, Goethe et García Lorca

Claudio de Souza Castro Filho 29 February 2012 (has links)
Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico / La présente thèse cherche à étudier les poétiques du tragique dans les uvres d'Euripide (Grèce, v. 484 406 av. J.-C.), de Johann Wolfgang von Goethe (Allemagne, 1749 1832) et de Federico García Lorca (Espagne, 1898 1936) et soutient que, chez les trois auteurs, de telles conceptions esthétiques s'établissent surtout sur la représentation poétique du filicide maternel. L'antinomie tragique engendrée, métaphoriquement, dans le meurtre de l'enfant par les mains de celle qui lui a donné la vie est le thème de Médée (431 av. J.-C.), de la Tragédie de Marguerite (1790) et de Yerma (1934), des uvres fondamentales pour comprendre la vision tragique des trois poètes respectivement étudiés. Le conflit entre le sacré et la raison, en montrant l'affirmation tragique du corps et du féminin, est présent dans les trois uvres. Le parallélisme entre les dimensions politique et esthétique est, par conséquent, patent dans les trois drames, alors que chaque auteur, avec leurs propres contexte et signature, élabore une idée esthétique entièrement singulière autour du tragique. Le dialogue entre littérature et philosophie, ou entre intuition et concept, traverse, dans cette thèse, la lecture du tragique dans la métaphore du filicide. Sous une telle perspective, la Médée d'Euripide s'impose dans le centre du débat entre socratiques et sophistes, et aborde des thèmes, comme l'empire des passions sur la raison, qui ont aussi séduit des auteurs comme Platon, Aristote et Nietzsche. La Gretchentragödie, de Goethe, se présente, de sa part, comme une uvre poétique où convergent les discussions esthétiques les plus chaleureuses de la pensée allemande moderne, comme les questions du "sublime" (Kant, Schiller) et de la "volonté" (Schopenhauer). Yerma, de García Lorca, sera aussi une uvre de convergence philosophique, en exprimant la "nueva manera espiritualista" qui marque la dernière phase de la production lorquienne. La perspective tragique de Nietzsche, dans l'affirmation du corps comme "grande raison", ainsi que le dialogue de Lorca avec la pensée de Miguel de Unamuno sur "El sentimiento tragico de la vida", caractérisent une espèce de tragédie à l'envers, qui nie le sacré et affirme le tragique comme synthèse libertaire du "je", du corps et du féminin / A presente tese investiga as poéticas do trágico nas obras teatrais de Eurípides (Grécia, c. 484 406 a.C.), Johann Wolfgang von Goethe (Alemanha, 1749 1832) e Federico García Lorca (Espanha, 1898 1936) e defende que, nos três autores, as concepções estéticas do trágico se constituem principalmente sobre a representação poética do filicídio materno. A antinomia trágica engendrada, metaforicamente, no assassinato da criança pelas mãos daquela que lhe deu a vida é tema de Medeia (431 a.C.), Tragédia de Margarida (1790) e Yerma (1934), obras fundamentais para compreender a visada trágica dos três poetas aqui, em respectivo, estudados. O conflito com o sagrado e com a razão, ao apontar para a afirmação trágica do corpo e do feminino, frequenta as três obras. O paralelismo entre as dimensões política e estética é, por conseguinte, patente nos três dramas, ao mesmo tempo em que cada um dos autores, com contexto e assinatura próprios, configura uma ideia estética acerca do trágico inteiramente singular. O diálogo entre literatura e filosofia, ou entre intuição e conceito, atravessa, nesta tese, a leitura do trágico na metáfora do filicídio. Sob tal perspectiva, a Medeia de Eurípides impõe-se no centro do debate entre socráticos e sofistas, e aborda temas, como o domínio das paixões sobre a razão, que também aliciaram autores como Platão, Aristóteles e Nietzsche. A Gretchentragödie, de Goethe, apresenta-se, por sua vez, como obra poética aonde convergem as mais calorosas discussões estéticas do moderno pensamento alemão, como as questões do sublime (Kant, Schiller) e da vontade (Schopenhauer). Yerma, de García Lorca, será também uma obra de convergência filosófica, expressando a nueva manera espiritualista que marca a última fase da produção lorquiana: a perspectiva trágica de Nietzsche, na afirmação do corpo como grande razão, assim como o diálogo de Lorca com o pensamento de Miguel de Unamuno sobre El sentimiento trágico de la vida, caracteriza uma espécie de tragédia às avessas, que nega o sagrado e afirma o trágico como síntese libertária do eu, do corpo e do feminino
434

JOHANN WOLFGANG VON GOETHES UND RUDOLF STEINERS FARBENLEHRE IM VERGLEICH / The color theory of Johann Wolfgang von Goethe and Rudolf Steiner in compare

TRAUBOVÁ, Monika January 2017 (has links)
The present master thesis compares die theories of colors created by Johann Wolfgang von Goethe and Rudolf Steiner, who both created their individual theory as a reaction regarding another one published approximately a century prior to them. The thesis presents their theories and compares them on the basis of a certain set of categories. Their circumstances of origin, contemporaneous usage, interdisciplinarity and creation of the chromatic circle as an explanatory tool are defined and discussed. Furthermore a description of noticeable differences and similarities is added and the author points out the possible influences of the chromatic theories towards other poetical, philosophical or paedagogical works of the respetive creator.
435

Johann Wolfgang Goethe, Faust / Johan Wolfgang Goethe, Faust

MIHALÍKOVÁ, Petra January 2016 (has links)
This thesis is under the name of Johan Wolfgang Goethe, Faust and has a theoretical and practical form, whereas is divided into three parts. The theoretical part deals mainly about Faust analysis, Johann Wolfgang Goethe´s work, further author´s life and personality are summarized in general level. The practical part is dedicated to the book design and illustrations for this work. The third didactic part creates on the basis of findings from the theoretical and practical part base for lesson of art education in the framework of the educational expertise.
436

Eu mesma matei meu filho: do filicídio materno como poética trágica em Eurípides, Goethe e García Lorca / "J'ai moi-même tué mon fils": du filicide maternel comme poétique tragique chez Euripides, Goethe et García Lorca

Claudio de Souza Castro Filho 29 February 2012 (has links)
Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico / La présente thèse cherche à étudier les poétiques du tragique dans les uvres d'Euripide (Grèce, v. 484 406 av. J.-C.), de Johann Wolfgang von Goethe (Allemagne, 1749 1832) et de Federico García Lorca (Espagne, 1898 1936) et soutient que, chez les trois auteurs, de telles conceptions esthétiques s'établissent surtout sur la représentation poétique du filicide maternel. L'antinomie tragique engendrée, métaphoriquement, dans le meurtre de l'enfant par les mains de celle qui lui a donné la vie est le thème de Médée (431 av. J.-C.), de la Tragédie de Marguerite (1790) et de Yerma (1934), des uvres fondamentales pour comprendre la vision tragique des trois poètes respectivement étudiés. Le conflit entre le sacré et la raison, en montrant l'affirmation tragique du corps et du féminin, est présent dans les trois uvres. Le parallélisme entre les dimensions politique et esthétique est, par conséquent, patent dans les trois drames, alors que chaque auteur, avec leurs propres contexte et signature, élabore une idée esthétique entièrement singulière autour du tragique. Le dialogue entre littérature et philosophie, ou entre intuition et concept, traverse, dans cette thèse, la lecture du tragique dans la métaphore du filicide. Sous une telle perspective, la Médée d'Euripide s'impose dans le centre du débat entre socratiques et sophistes, et aborde des thèmes, comme l'empire des passions sur la raison, qui ont aussi séduit des auteurs comme Platon, Aristote et Nietzsche. La Gretchentragödie, de Goethe, se présente, de sa part, comme une uvre poétique où convergent les discussions esthétiques les plus chaleureuses de la pensée allemande moderne, comme les questions du "sublime" (Kant, Schiller) et de la "volonté" (Schopenhauer). Yerma, de García Lorca, sera aussi une uvre de convergence philosophique, en exprimant la "nueva manera espiritualista" qui marque la dernière phase de la production lorquienne. La perspective tragique de Nietzsche, dans l'affirmation du corps comme "grande raison", ainsi que le dialogue de Lorca avec la pensée de Miguel de Unamuno sur "El sentimiento tragico de la vida", caractérisent une espèce de tragédie à l'envers, qui nie le sacré et affirme le tragique comme synthèse libertaire du "je", du corps et du féminin / A presente tese investiga as poéticas do trágico nas obras teatrais de Eurípides (Grécia, c. 484 406 a.C.), Johann Wolfgang von Goethe (Alemanha, 1749 1832) e Federico García Lorca (Espanha, 1898 1936) e defende que, nos três autores, as concepções estéticas do trágico se constituem principalmente sobre a representação poética do filicídio materno. A antinomia trágica engendrada, metaforicamente, no assassinato da criança pelas mãos daquela que lhe deu a vida é tema de Medeia (431 a.C.), Tragédia de Margarida (1790) e Yerma (1934), obras fundamentais para compreender a visada trágica dos três poetas aqui, em respectivo, estudados. O conflito com o sagrado e com a razão, ao apontar para a afirmação trágica do corpo e do feminino, frequenta as três obras. O paralelismo entre as dimensões política e estética é, por conseguinte, patente nos três dramas, ao mesmo tempo em que cada um dos autores, com contexto e assinatura próprios, configura uma ideia estética acerca do trágico inteiramente singular. O diálogo entre literatura e filosofia, ou entre intuição e conceito, atravessa, nesta tese, a leitura do trágico na metáfora do filicídio. Sob tal perspectiva, a Medeia de Eurípides impõe-se no centro do debate entre socráticos e sofistas, e aborda temas, como o domínio das paixões sobre a razão, que também aliciaram autores como Platão, Aristóteles e Nietzsche. A Gretchentragödie, de Goethe, apresenta-se, por sua vez, como obra poética aonde convergem as mais calorosas discussões estéticas do moderno pensamento alemão, como as questões do sublime (Kant, Schiller) e da vontade (Schopenhauer). Yerma, de García Lorca, será também uma obra de convergência filosófica, expressando a nueva manera espiritualista que marca a última fase da produção lorquiana: a perspectiva trágica de Nietzsche, na afirmação do corpo como grande razão, assim como o diálogo de Lorca com o pensamento de Miguel de Unamuno sobre El sentimiento trágico de la vida, caracteriza uma espécie de tragédia às avessas, que nega o sagrado e afirma o trágico como síntese libertária do eu, do corpo e do feminino
437

O símbolo e a alegoria nos textos teóricos de Goethe [de 1772 a 1798]

Rosa, Elis Piera [UNESP] 16 May 2012 (has links) (PDF)
Made available in DSpace on 2014-06-11T19:26:51Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2012-05-16Bitstream added on 2014-06-13T20:34:56Z : No. of bitstreams: 1 rosa_ep_me_arafcl.pdf: 934093 bytes, checksum: e8923f38d0c273124682f279188c39f2 (MD5) / Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / A presente dissertação delineará as noções que baseiam a oposição goethiana entre símbolo e alegoria (a partir dos textos do autor que dissertaram sobre arte, dos anos de 1772 a 1798), visando torná-la produtiva para a análise literária de passagens de As afinidades eletivas e Os sofrimentos do jovem Werther. Nosso trabalho traz um histórico sobre o signo em Goethe, observando a relação que este estabeleceu com a natureza e a Antiguidade, bem como o correspondente esforço em superar a dependência destas mesmas influências até atingir uma forma de expressão e pensamento próprias. O símbolo, como emergência de uma reflexão sobre linguagem não mais como meio, jaz também na teoria de Goethe. Sob a sugestão de Todorov em “A crise romântica”, relacionaremos o par símbolo-alegoria às ideias linguísticas de motivação e arbitrariedade (respectivamente): tal intento insere Goethe na tradição de discussão sobre a possibilidade de origem motivada para a linguagem iniciada pelo Crátilo de Platão, e continuada por autores de linguística e teoria literária, principalmente no que concerne às bases da fundamentação de uma linguagem poética. Arbitrariedade e motivação, ainda que inexistentes na Goethezeit, apresentam-se como conceitos que clareiam a distinção entre símbolo e alegoria. Uma origem motivada ou arbitrária para a linguagem encontrou destaque desde a declaração saussuriana de que todo signo é arbitrário – princípio fundador de sua ciência. Em seus textos teóricos, Goethe se detém numa defesa do signo linguístico como essencialmente motivado, noção esta que passa por nuances ao longo de sua carreira e se articula com o conceito de arbitrariedade em linguagem, culminando numa ideia de signo que englobe ambas as características contraditórias: o simbólico se torna mistério, que é velado e se... / This dissertation intend to outline the underlying concepts of the Goethean opposition symbol-allegory (using his texts whose main theme concern to art, written between 1772 and 1798), in order to make them productive for literary analysis on passages from Elective Affinities and The Sorrows of Young Werther. Our work provides a background about the idea of sign in Goethe: we note the relationship his art established with nature and antiquity, as well as his effort to overcome the dependence of these two influences, aiming to achieve an autonom form of expression and thinking. The emergence of language as a being able to self-expression (and no more as a mean serving institutions) is a atributtion of the symbol also present in Goethe's theory. Following the suggestion of Todorov in Romantic crisis, we will link the pair symbol-allegory to the linguistic ideas of motivation and arbitrariness (respectively): Goethe inserts such intent in the philosophic line which discuss the possibility of a motivated origin to the language – started with “Cratylus's” Plato, and continued by authors of literary and linguistic theory, especially the ones who concern to the basis fundamenting poetic language. Arbitrariness and motivation, even nonexistent in Goethezeit, can be presented as concepts that clarify distinctions between symbol and allegory. A motivated or arbitrary origin for the language has found prominence since the Saussurean declaration that, as a whole, the sign is arbitrary – the founding principle of his science. In his theoretical writings, Goethe holds up a defense of the linguistic sign as essentially motivated – a concept that goes through nuances throughout his career and is linked to the concept of arbitrariness in language, culminating in the construction of conventionality in the sign. It embraces... (Complete abstract click electronic access below)
438

Beyond knowledge to understanding: a Goethean perspective on design education as living process

Suskin, Karen Leigh January 2016 (has links)
Thesis (MTech (Design))--Cape Peninsula University of Technology, 2016. / This study explores appropriate responses to some of the challenges inherent to life today, and how a holistic design education can bring about a new reality. The approach to design learning advocated here acknowledges the present reality of fragmentation and reductionism as the fundamental and pervasive mode of understanding our world and ourselves, and seeks to develop instead a design approach grounded in inclusion, context and connectedness. Under the primary concept of profound engagement with self, culture and environment, I developed a complementary design education model exploring the role of designer as mediator between culture and nature. This model proposes future design knowing situated in environmental, social and self-awareness so as to offer a vital interface between ecology, public and the personal. Three themes emerged during the research that helped me to approach and engage with complexity during particular experiences of teaching and learning. These themes are: Wild, representing quality; Conversation, representing experience; and Transformation, representing consciousness. With these themes in mind I entered into the untamed territory of my research seeking the dynamic connections and interrelationships of living processes in education. The Ensembles or modules constituting this model evolved from the work of Rudolf Steiner’s concepts of higher perception: Imagination, Inspiration and Intuition, made clear through following Johann Wolfgang von Goethe’s phenomenological method. Goethe’s phenomenological method – “delicate empiricism” – is essentially a participatory, perceptive practice with which to harness qualitative ways of knowing. The methodology supports students to cross the divide between abstraction and holistic relational modes of knowing that are context-sensitive. The research study reconsiders the current worldview and determines ways in which to develop relational awareness through deliberate learning experiences. These ways imply re-focusing existing awareness with personal qualities and active participation. The Ensembles open up new ways of perceiving emergent process rooted in integrated, flexible and evolutionary processes. Students’ learning experiences are traced as they develop their capacity for interconnected decision making modelled on living processes. This in turn helps develop the model further, so that in the future designers may embrace ways of thinking and doing design that are more flexible, mobile, delicate and sustainable. The radical humanist perspective and qualitative methods used in the study advance the pedagogical approach embedded in human engagement and interaction, and encompass logic, intellect, creativity, imagination and philosophical reflection. Thus the critical shift, from perceiving the world as abstract and as “something out there” to a deeper inner knowing and understanding, is embedded in the education model as an opus of Ensembles reflecting a pedagogy of lived experience, grounded in embodied creative practice.
439

Em torno do olhar: a formação do método morfológico de Goethe / Around the seeing: the formation of Goethes morphological method

Pedro Fernandes Galé 18 December 2009 (has links)
Nosso estudo busca apresentar as etapas da formação do método morfológico de Goethe: do nascimento de sua empreitada em relação às ciências naturais, ainda ligado ao signo de Espinosa, até a tentativa de formação de um método que se pretendesse objetivo. Dada a sua intenção de estudar as formas e as formações do mundo orgânico o poeta se viu confrontado com as etapas de desenvolvimento do olhar, para depois lançar-se numa investigação acerca do espírito, devido à distância existente entre nós e os fenômenos. Da viagem à Itália, onde Goethe aprendeu a respeitar as formas da natureza de uma maneira despojada da ligação afetiva da subjetividade, até seus últimos anos, Goethe nunca abandonou a intenção de abordar os seres vivos, mas o processo de formação do método morfológico se formulou como um organismo que gera sempre novas formas de se buscar conhecer a natureza como algo que, como ele mesmo descreveu, ela é vida e desenvolvimento desde um centro desconhecido até uma desconhecível periferia. Neste caminho intentou uma abordagem simbólica da natureza e de suas formas: como a natureza não é algo que possamos evocar como um mundo secreto que se apresente imediatamente nas nossas representações, temos de encontrar o caminho de abordagem dos entes particulares ligados ao universal e como ponto de contração do caminho morfológico.Este não é um método acabado; trata-se, antes, de um método que se encontra em perpétuo fazer. / This study aims to present the steps of Goethes Morphological method, from its birth in relation to the natural sciences, still linked with the sign of Spinoza, to the trial of forming an objective method. As his intention was to study the forms and the formation in the organic world, the poet has found himself in confrontation with the stages of the development from seeing, and afterwards in an investigation of the spirit in terms of the distance that exists between us and the phenomenon. From the Italian journey, when Goethe learned to respect the forms in its nature without linking them with the subjectivity, to his last years of life, Goethe never gave up the intention of an approach to the natural beings. But this process was formulated as an organism, searching new forms to try to know the nature as something as he described, that acts it is life and development from an unknown center to an unknowledgeable boundary. In this way he tried to figure out an attempt to a symbolic knowledge of the world of nature and its forms, as nature is not a thing that we can evoke as an open secret, or as a thing that presents itself directly in our forms of representing. We need to find a way that attempts to these particularities and this is the concentrating point of the goethean´s morphological way. As can be seen, it is not a made method, instead, it is a method in perpetual making.
440

A montanha magica como Bildungsroman

Fontanella, Marco Antonio Rassolin 24 August 2000 (has links)
Orientador: Jeanne-Marie Gagnebin de Bons / Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem / Made available in DSpace on 2018-07-26T19:53:16Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Fontanella_MarcoAntonioRassolin_M.pdf: 26891013 bytes, checksum: cacaa68b8a452eedd83017e52aed2e89 (MD5) Previous issue date: 2000 / Resumo: A presente dissertação de mestrado dedica-se a verificar como o romance de Thomas Mann A montanha mágica poderia filiar-se ao gênero literário do Bildungsroman. Sua introdução é um breve comentário sobre o estabelecimento do gênero literário do Bildungsroman enquanto tal, seguido de um excurso, igualmente breve, aos temas que ocupavam Thomas Mann aquando da redação deste seu romance, mediante a identificação de temas centrais das Betrachtungen eines Unpolitischen (Considerações de um apolítico). Feito isto, parte-se ao trabalho propriamente dito de pôr A montanha mágica ao lado do romance de Goethe Anos de aprendizado de Wilhelm Meister, paradigma do gênero em causa, para investigar o proveito em lê-Io como Bildungsroman. A própria questão sobre o que seria efetivamente um Bildungsroman desperta polêmica até os dias atuais. Discutir A montanha mágica na qualidade de Bildungsromanimplica,pois - sempretacitamente-, em voltar à pergunta sobre o que teria feito dos Anos de aprendizado de Wilhelm Meister o primeiro romance de uma série que constituiu tradição dentro da literatura de língua alemã. Mas esta pergunta não é apresentada como tal no corpo do texto, pois o que se pretendeu foi cingir-se a aproximar ambos os romances e esclarecer como este expediente é eficaz para compreendê-Ios. Seja como for, espera-se que mesmo a investigação do gênero tomada em si mesma sempre possa aproveitar-se das diversas incursões que se têm feito ao longo do tempo àquelas obras a ele imputadas / Zusammenfassung: In der vorliegenden Arbeit wird der Frage nachgegangen, inwieweit Thomas Manns Roman Der Zauberberg der literarischen Gattung des Bildungsromans zugeordnet werden kann. Die Einleitung der Arbeit besteht aus einem Kurzkommentar über die Entstehung der literarischen Gattung des Bildungsromans; dem folgt, indem die zentralen Themen aus Betrachtungen eines Unpolitischen bestimmt werden, ein Exkurs über die Themen, die Thomas Mann zur Zeit der Niederschrift des Romans beschãftigten. Im Hauptteil der Arbeit wird Der Zauberberg dem Roman von Goethe Wilhelm Meisters Lehrjahre - dem Paradigma der Gattung - zur Seite gestellt, und es wird untersucht, ob Thomas Manns Buch in produktiver Weise aIs Bildungsroman gelesen werden kann. Die Frage, was eigentlich ein Bildungsroman sei, ist auch in heutiger Zeit noch umstritten. Eine Betrachtung Des Zauberbergs aIs Bildungsroman impliziert aIso immer auch - wenngleich unausgesprochen - eine Rückbetrachtung der Gründe, die Wilhelm Meisters Lehrjahre zum ersten Roman einer Gattung werden lieBen, die sich dann - aus heutiger Sicht - aIs Tradition in der deutschsprachigen Literatur etabliert hat. Dieser Fragestellung wird jedoch im HauptteiI der Arbeit nicht nachgegangen, da dieser sich darauf beschrãnkt, beide Romane gegenüberzustellen, um dadurch aufzuklãren, ob dieser Weg geeignet ist, sie zu verstehen. Es wird jedoch gehofft, dass eine Untersuchung der Gattung aIs solche aus den verschiedenen Annãherungen, die im Lauf der Zeit an ihr unterstellte Werke gemacht wurden, Nutzen ziehen kann / Mestrado / Teoria Literaria / Mestre em Letras

Page generated in 0.0805 seconds