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Évaluation d'un programme de prévention des habitudes de jeu /Ferland, Francine. January 2002 (has links)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2002. / Bibliogr.: f. 47-53. Publié aussi en version électronique.
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Conceptions erronnées des jeux de hasard selon le niveau de connaissances en statistiques /Benhsain, Karim. January 2002 (has links)
Thèse (M.Ps.)--Université Laval, 2002. / Bibliogr.: p. 44-46. Publié aussi en version électronique.
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Chance and determinism in Avicenna and Averroes /Belo, Catarina, January 2007 (has links)
Texte remanié de: Doct. th.--Oxford, 2004. / Bibliogr. p. 233-239.
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Dramaturgie des Zufalls : Tyche und Handeln in der Komödie Menanders /Vogt-Spira, Gregor. January 1992 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultäten--Freiburg i. Br.--Universität, 1986. / Bibliogr. p. 193-201. Index.
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La superstition et les habitudes de jeu au bingo /Paradis, Geneviève. January 2003 (has links)
Thèse (M. Ps.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. xii-xvi. Publié aussi en version électronique.
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Prévention du jeu pathologique chez les adolescents : correction de la notion de hasardRoy, Caroline 19 February 2022 (has links)
Les perceptions erronées qu'entretient le joueur envers la notion de hasard constituait un facteur crucial dans le développement et le maintien des habitudes de jeu. L'individu tente de maîtriser le hasard en créant des liens erronés entre des événements indépendants. La présente étude évalue l'efficacité de trois méthodes de prévention pour corriger les perceptions erronées des adolescents. Les élèves (N=520) sont répartis aléatoirement dans l'une des trois conditions expérimentales suivantes : un professeur administre le programme « Moi, je passe », créé par le Groupe Jeunesse ; un spécialiste du jeu administre le programme « Moi, je passe » ; un spécialiste du jeu administre un programme créé par des spécialistes du jeu. Les résultats indiquent une efficacité significative des trois méthodes pour corriger les perceptions erronées des adolescents. Toutefois, la méthode créée par des spécialistes obtient une efficacité supérieure auprès des élèves à risque de développer un problème de jeu. L'implication pratique de ces résultats fait l'objet d'une discussion.
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Perception et position des gains dans les jeux de hasard et d'argentFerland, Francine 03 December 2021 (has links)
Les perceptions erronées envers les jeux de hasard et d'argent sont des facteurs déterminants dans le développement et le maintien des habitudes de jeu (Ladouceur & Walker, 1996). L'illusion de contrôle est le reflet des perceptions erronées en situation de jeu: elle amène le joueur à croire qu'il peut contrôler l'issue du jeu. Les deux études présentées ici ont pour but de vérifier l'impact des gains sur les perceptions et le comportement des joueurs. La première étude a pour objectif principal d'identifier le nombre spécifique de gains consécutifs amenant une motivation optimale et un degré d'illusion de contrôle élevé chez le joueur. Pour cette étude quatorze personnes participent à une séance de roulette comportant 30 gains consécutifs. Les résultats indiquent que six gains consécutifs sont nécessaires pour créer une motivation et une illusion de contrôle optimales. La seconde étude reprend ces six gains consécutifs et les place en début (groupe 1) ou en fin de séance (groupe 2). Les comportements et les perceptions des joueurs sont comparés entre les deux groupes. Les résultats indiquent que des gains placés en début de séance de jeu suscitent une plus grande illusion de contrôle chez les joueurs. De plus, la motivation à jouer est directement reliée à la présence de gains. Notons que des gains placés en début de séance de jeu amènent une forte propension à poursuivre l'activité. Les implications théoriques et les applications cliniques de ces résultats sont discutées en relation avec la psychologie des jeux de hasard et d'argent.
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Messages correcteurs ciblés et pauses : des outils efficaces à l'atteinte du jeu responsable?Cloutier, Martin 07 May 2021 (has links)
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Influence de la motivation monétaire sur la production du hasard par l'humainPaquet, Claude 23 February 2022 (has links)
Cette étude prédit et vérifie l'hypothèse principale voulant que les sujets énonceront plus de verbalisations erronées que de verbalisations correctes dans une tâche de production de suites aléatoires. L'hypothèse secondaire voulant que les sujets verbaliseront d'autant plus de conceptions erronées que l'enjeu monétaire sera important n'est pas confirmée. À titre exploratoire, la possibilité d'analyser les suites produites en regard des alternances et segments produits est examinée. Au moyen d'un ordinateur, les sujets (N=45) produisent une suite de 100 pile-face en utilisant la méthode de la pensée à voix haute. Un montant de$5.00 est offert aux sujets du groupe 1, les sujets du groupe 2 reçoivent de$10.00 à$20.00 selon le degré d'aléatoirité de la suite. L'enjeu monétaire du groupe 3 est une somme de$125.00 décernée à la personne ayant produite la suite de P-F la plus au hasard. La discussion soulève les aspects pratiques et théoriques de ces résultats.
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L'instabilité sociale et la prise de risques dans le jeu de hasard, les droites parallèles d'un labyrinthe comportemental.Glorieux, Gérard G-L-L 17 November 2010 (has links)
L’image du plaisir ou de l’évasion que révèle jeu et les prises de risques, laissent rarement la place à une vision immédiate et simple de la réalité. Le danger de l’assuétude, et l’attrait des prises de risques, guettent le joueur dans l’élan et la ferveur de jeux anodins qui procurent le plus grand plaisir, mais ces dangers sont difficilement perceptibles et quantifiables. Tant que ce plaisir est contrôlable, et reste le libre choix de celui qui s’y adonne, le jeu n’est pas une attitude marginale, pas plus qu’un quelqu’autre divertissement ; ce n’est que la pratique excessive de son activité, c’est-à-dire son comportement, qui peut devenir marginale
Nous croyons que les prises de risques dans les activités ludiques ne sont pas plus déviantes, répréhensibles ou particulières que celles d’un simple quotidien mais qu’elles sont simplement situées dans un environnement différent. Au terme de notre travail théorique, nous pouvons dire qu’en ce qui concerne la prise de risques, que l’expérience favorise l’acuité d’évaluation du gradient risque. D’autre part, certains individus sont plus prédisposés à prendre d’initiative des risques, alors que d’autres restent soit timorés ou y sont mêmes averses. Cette recherche de sensations stimulantes que certains aiment trouver d’une part, et la réserve des autres ne constituent pas une dichotomie en classes significatives qui permettraient de dresser un profil type du preneur, et non preneur, de risques. Chacun réagit en fonction de son anamnèse particulière, de son état émotionnel du moment, et de ses limitations cognitives d’analyse de la situation. ...
Par ailleurs, l’illusion de contrôle de la situation accentue la prise de risques. Une idée générale veut que chacun croit faire de meilleurs choix dans ses risques préférentiels, que le voisin. Cette position est erronée, les choix personnels de tout un chacun n’étant pas meilleurs que ceux du prochain mais ils correspondent mieux à celui qui les a posés. La prise de risques est un changement de mode opératoire de nos comportements obligataires. En l’exerçant, nous tentons de surpasser ce que nous croyons être les limites de l’instant ; dépassement de soi illusoire qui fait immédiatement découvrir de nouvelles frontières restrictives de notre potens...
Par ailleurs, tout comme nous avons énoncé qu’il y avait deux formes de jeux de hasard (égocentré et altruiste), il y a deux approches à considérer dans la prise de risques. Les prises de risques, tant sociale que ludique, qui relèvent des prises de risques en tant que jeu d’affirmation et de recherche des limites personnelles, et celles spécifiques aux jeux de hasard qui outre le justificatif précédent, considèrent de plus, le but de la prise de risques ludiques comme le véhicule d’un chemin substitutif aux revenus du labeur. Il y a aussi deux formes d’instabilité : l’instabilité sociale qui confine les individus dans une situation d’état communautaire non associatif et précaire, et l’instabilité émotionnelle qui réduit le ressenti personnel au sentiment d’injustice. Quelle que soit la cause de l’état d’instabilité, qu’elle soit imputable aux manquements de l’individu, ou le résultat du hasard, cet état ressemble souvent à un labyrinthe du désespoir dont l’accès à la sortie impose une énergie et des opportunités qui sont rarement à portée des candidats à un renouveau. Repartir exige de parcourir successivement deux chemins : celui du retour à l’état initial d’équilibre puis celui du nouveau départ vers des objectifs futurs.
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