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Herbicide resistance in wild oats, Avena spp.Mansooji, Ali Mohammad. January 1993 (has links) (PDF)
Bibliography: leaves 203-220.
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Mechanisms of herbicide resistance in wild oats (Avena spp.)Maneechote, Chanya. January 1995 (has links) (PDF)
Bibliography : leaves 159-184. This study found at least three mechanisms of resistance to the acetyl coenzyme A carboxylase (ACCase)-inhibiting herbicides. A modified target -site was responsible for moderate and high resistance to herbicides at the whole plant level. Enhanced herbicide metabolism and reduced translocation of herbicide to the target site was observed in one resistant biotype each.
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Integrated strategies for wild oat (Avena spp.) management in southern Australian farming systemsNietschke, Brett Steven. January 1997 (has links) (PDF)
Bibliography: leaves 128-146. Study was undertaken to determine the occurence and species incidence of wild oats in a major cropping region of southern Australia. Population dynamic studies were undertaken at two sites to define the seed bank decline and emergence pattern of several wild oat populations over a three year period. Management studies were conducted to determine appropriate strategies for the control of wild oats in southern Australian farming systems.
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Retention of wheat alleles in imidazolinone-resistant wheat x jointed goatgrass recurrent backcross generationsKroiss, Lori Jennifer 20 August 2001 (has links)
Graduation date: 2002
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Resistance to atrazine and diuron in California bromeWorkineh, Mengistu Lemma 22 August 1994 (has links)
Graduation date: 1995
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Rhizobacteria associated with glyphosate-resistant soybean (Glycine Max)Kim, Su-Jung. January 2006 (has links)
Thesis (Ph.D.)--University of Missouri-Columbia, 2006. / The entire dissertation/thesis text is included in the research.pdf file; the official abstract appears in the short.pdf file (which also appears in the research.pdf); a non-technical general description, or public abstract, appears in the public.pdf file. Title from title screen of research.pdf file viewed on (February 27, 2007) Vita. Includes bibliographical references.
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Procarbazone-sodium effect on rotational crops and its dissipationAl-Sayagh, Khalid Faraj 14 December 1998 (has links)
Graduation date: 1999
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Rattail fescue (Vulpia myuros) control in Italian ryegrass (Lolium multiflorum) grown for seedReyes, Carlos C. 23 January 1991 (has links)
Italian ryegrass growth and production from
positionally selective applications and sublethal rates of a
nonselective herbicide were compared to growth and
production when treated with diuron applied preemergence as
a broadcast treatment and safened by activated carbon
applied over the crop row. In the positionally selective
treatments, herbicide spray was directed to leave an
untreated zone over the crop row at planting. Growth
analysis indicated no detectable differences when Italian
ryegrass safened by directed spray was compared to Italian
ryegrass safened by activated carbon. The major difference
between systems was greater weed control in the crop row for
carbon-safened treatments.
The non-safened application superimposed sublethal
diuron rates over Italian ryegrass and rattail fescue grown
in varying densities and proportiors. Growth analysis of
monoculture stands indicated differences due to planted
density, species, and herbicide, whereas growth analysis of
plants grown as space-planted individuals indicated
difference due to species only. Diuron at the rates applied
did not affect seed yield or above ground dry weight.
Soil samples were taken in crop rows where diuron was
applied as directed spray or broadcast spray safened by
carbon. Samples were assayed and soil profile
concentrations mapped. To assist future investigators'
understanding of the role rainfall plays in herbicide
movement from directed applications, elementary rainfall
depth and occurrence models were examined. The Markov and
mixed-exponential models adequately described rainfall
occurrence and depth patterns for Corvallis, Oregon. / Graduation date: 1992
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Effets de contaminants agricoles sur la différenciation cellulaire et le métabolisme de l'acide rétinoïque des cellules embryonnaires P19Solari, Mathieu January 2008 (has links) (PDF)
Depuis de nombreuses années, on observe un fort déclin des populations d'amphibiens à travers le monde et une augmentation marquée du taux de malformation des membres. Plusieurs causes sont suggérées pour expliquer l'émergence de ces effets sur le développement. Parmi celles-ci, la présence de fertilisants et de pesticides dans les cours d'eau semble être un facteur majeur impliqué dans ce phénomène étant donné que la peau des amphibiens est très perméable et parce que la plupart des malformations ont été répertoriées dans les marais avoisinant les zones d'agriculture intensive. Il est connu qu'un excès ou une carence en vitamine A (rétinol) durant le développement d'un organisme peut provoquer de graves effets sur le développement, voire même provoquer la mort au stade embryonnaire. Les rétinoïdes sont des molécules qui dérivent de la vitamine A, et l'acide rétinoïque (RA) est un des dérivés biologiquement actif. C'est un morphogène très puissant et ses effets sont assurés par la liaison et l'activation de récepteurs nucléaires spécifiques. Plusieurs pesticides sont connus pour affecter le développement et certains sont également connus pour interférer dans le métabolisme et les voies de signalisation de RA. L'objectif du présent projet était d'évaluer le potentiel tératogène de quelques contaminants d'origine agricole en mesurant leur capacité à affecter la différenciation cellulaire médiée par RA et le catabolisme de RA. Les cellules P19 de carcinome embryonnaire de souris ont été sélectionnées comme modèle d'étude. Ces cellules sont indifférenciées et peuvent se différencier en présence de différents inducteurs, dont RA. Un protocole de neurodifférenciation en agrégats et un second en monocouche ont été utilisés et le taux de différenciation cellulaire a été évalué par cytométrie de flux (FACS) à l'aide du marqueur de non-différenciation SSEA1 et du marqueur neuronal βIII-tubuline. La disparition de RA et sa métabolisation en dérivés polaires ont été mesurés par une méthode HPLC et un bioessai de métabolisation de courte durée permettant de tester de fortes concentrations de contaminants a été mis au point. L'atrazine, les nitrates et les nitrites ont été sélectionnés comme première série de contaminants étant donné que leur toxicité développementale n'est pas complètement documentée et parce qu'ils sont parmi les contaminants les plus abondants dans les cours d'eau avoisinant les zones agricoles. Le carbaryl et l'endosulfane ont été choisis pour une deuxième série d'analyses en considérant leurs effets déjà connus, le premier étant neurotoxique et le second étant tératogène et connu pour interférer dans le système des rétinoïdes. Les résultats ont montré qu'une augmentation de la concentration de RA diminuait SSEA 1 et augmentait βIII-tubuline de façon dose-dépendante. II a également été démontré que les cellules P19 métabolisent le RA, que ce métabolisme pouvait être inhibé partiellement par le clotrimazole (inhibiteur du cytochrome P450) et qu'il pouvait être suractivé suite à un prétraitement des cellules avec RA ou son analogue, le TTNPB. Les 3 premiers contaminants testés sur la différenciation neuronale en agrégats ont été utilisés à des concentrations de 100 à 10000 fois plus élevées que les normes canadiennes pour la protection de la vie aquatique. Les résultats n'ont pas permis de mesurer d'effets à des concentrations qui n'affectent pas la prolifération et/ou la viabilité cellulaire. Des concentrations de nitrites variant de 0 à 670 mg/L préviennent fortement la diminution de l'expression de SSEA1 et diminuent le nombre de cellules positives pour βlII-tubuline. Le carbaryl et l'endosulfane testés à 25 µM n'induisent pas la différenciation cellulaire de cellules cultivées en agrégats. Avec des cellules cultivées en monocouches, ces deux pesticides ont beaucoup affecté la prolifération et/ou la viabilité cellulaire et ont diminué le taux de cellules positives pour βIII-tubuline. Aucun des contaminants n'a affecté le métabolisme. Les résultats suggèrent que la cytotoxicité est probablement un facteur impliqué dans certains effets développementaux et que le système enzymatique impliqué dans la métabolisation de RA ne semble pas être une cible pour ces pesticides aux concentrations utilisées. Les effets de ces contaminants sur la liaison de RA à ses récepteurs, sur le métabolisme microsomal et/ou sur l'expression de diverses cibles cellulaires pourraient éventuellement être étudiés pour préciser les effets de type
« rétinoïdiens ». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Acide rétinoïque, Cellules P19, Contaminants agricoles, Différenciation cellulaire, FACS, HPLC.
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Les herbicides et leur mélange : comment affectent-ils la photosynthèse de microcystis aeruginosa?Durand, Liane January 2009 (has links) (PDF)
L'agriculture intensive utilise de grandes quantités d'herbicides afin de contrer la prolifération des mauvaises herbes. On retrouve ces divers herbicides dans l'environnement, que ce soit dans les sols ou dans les cours d'eau. Chacun de ces herbicides peut avoir un effet délétère sur les organismes aquatiques. Certains de ceux-ci, tel l'atrazine, ont été l'objet de nombreuses études sur leurs effets sur les organismes vivants. On sait, par ailleurs, que ces herbicides peuvent dérégler l'équilibre du biote aquatique. Il faut toutefois se rappeler que plusieurs types d'herbicides sont utilisés simultanément et à de nombreuses reprises au cours d'une saison créant ainsi un mélange potentiellement très toxique pour les différents organismes non-cibles. Ces herbicides peuvent interagir de nombreuses façons entre eux, que ce soit de manière synergique, antagoniste, additive. Les cyanobactéries sont appelées couramment algues bleu-vert et se retrouvent dans les milieux eutrophes riches en phosphates et en nitrates. L'agriculture, de par son utilisation massive d'engrais, permet la création de milieux particulièrement propices à l'éclosion de floraisons de cyanobactéries qui forment ces tapis verdâtres et gluants sur les cours d'eau, les rendant nauséabonds et impropres à la baignade. De plus, certaines souches produisent, de surcroît, des toxines qui peuvent être délétères pour Ies organismes
vivants. Ces toxines peuvent parfois se retrouver en quantité suffisante dans l'eau potable et affecter la santé
humaine. Peu d'études ont été faites sur les effets de xénobiotiques, tels que des herbicides, sur la
photosynthèse et la physiologie des cyanobactéries. Comment ces herbicides et leurs mélanges
affectent-il la cyanobactérie qu'on retrouve partout dans le monde, Microcystis aeruginosa? Nous avons utilisé deux souches de Microcystis aeruginosa, l'une produisant la toxine
hépatotoxique appelée microcystine (UTCC 299), l'autre ne la produisant pas (UTCC 632). Lors de cette étude, nous avons testé les effets individuels de divers herbicides commerciaux
(atrazine, métolachlore), d'un additif (safener ou phytoprotecteur) appelé Benoxacor et de divers mélanges de ces substances. Nous avons étudié les effets de ces substances sur la photosynthèse grâce au PAM et au PEA, appareils utilisant la fluorescence comme outil de mesure afin de déterminer comment est utilisée l'énergie lumineuse servant à la photosynthèse et comment elle est dissipée à travers diverses voies de dissipations énergétiques. Nous avons aussi utilisé la cytométrie en flux afin de déterminer les effets de ces xénobiotiques sur la grosseur et la granulosité des cellules en plus de mettre en évidence la formation d'espèces réactives oxygénées. Nous avons aussi extraits les pigments chlorophylliens afin de vérifier les effets des produits utilisés sur ceux-ci. Ce qu'il ressort de cette étude est le fait que l'atrazine est un facteur majeur de la toxicité dans les mélanges tandis que le métolachlore n'a pas d'effets significatifs. De plus, le phytoprotecteur Benoxacor présente aussi une forte toxicité et rehausse les effets délétères
lorsque ajouté dans un mélange. Il y a production d'espèces réactives oxygénées en présence d'atrazine. Les cellules voient leur physiologie changée et la chlorophylle a cellulaire de UTCC 299 est fortement affectée par la présence des herbicides. L'atrazine et le Benoxacor interagissent ensemble et leur mélange augmente la toxicité générale du mélange. Les antennes et les pigments chlorophylliens sont les éléments les plus affectés et altérés par les substances
testées. La physiologie de UTCC 299 est nettement plus affectée par l'atrazine et le Benoxacor que UTCC 632. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Herbicides, Interaction, PEA, PAM, Cyanobactéries, Chlorophylle, Phytoprotecteur, Safener,
Espèces réactives oxygénées.
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