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French Canadian historians' images of the Indian in the "heroic period" of New France, 1534-1663.Smith, Donald B. 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Champlain et les historiens francophones du Québec : les figures du père et le mythe de la fondationAvignon, Mathieu d' 11 April 2018 (has links)
Lorsqu'on pense à la fondation de Québec et de la Nouvelle-France, un nom vient immédiatement à l'esprit : Champlain. À travers l'ensemble de ses récits de voyages (et dans les épîtres les introduisant) et plus particulièrement dans la Première Partie de son édition de 1632, qui comporte une réédition partielle des textes de ses éditions antérieures de 1603, de 1613 et de 1619, Champlain rapporte les faits qu'il juge marquants et construit du même coup une représentation de son propre personnage et un récit de la fondation. En éditant en 1632 une synthèse des récits de ses publications précédentes, il retranche les noms de ses anciens collaborateurs et amis, en particulier ceux de François Gravé et de Pierre Dugua, deux autres "fondateurs" de Québec et de la Nouvelle-France, il passe du "nous" au "je" et s'attribue le rôle du fondateur, incarnant l'archétype du colonisateur français et catholique en Nouvelle-France. Champlain est pleinement conscient que, au moment même de leur parution, ses récits de voyages sont des écrits "fondateurs" : au même titre que les cartes qu'ils contiennent, ils confirment la "découverte/conquête" du territoire et la fondation d'une colonie française sur les rives du fleuve Saint-Laurent. Écrits fondateurs aussi d'une histoire et d'une historiographie nouvelles : avec les écrits de ses contemporains (Lescarbot, Sagard, les Jésuites), les récits de Champlain figurent parmi les premiers textes de notre historiographie, vers lesquels les historiens ont dû et doivent encore de nos jours se tourner pour comprendre les origines et la fondation de la Nouvelle-France, du Canada français, du Québec et de la nation québécoise, du Canada, de l'Amérique française. Cette thèse étudie le travail d'écriture et de réécriture de Champlain, l'utilisation de ses récits par les historiens, les différentes figures du "père", de même que les récits alternatifs de la fondation ou des origines du Québec. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Le cheminement historiographique de Guy Fregault, 1936-1955Duchesneau, Alain 25 April 2018 (has links)
Quoiqu'on ait consacré à Fregault un bon nombre d'études, tout n'a pas été dit, bien au contraire. La plupart des auteurs le peignent sous les traits d'un historien fortement influencé par ses deux maitres successifs: Lionel Groulx puis Maurice Seguin, et pour cette raison plus ou moins novateur. Certes, Fregault avait une pensée perméable; le nier serait absurde. Néanmoins, il est tout aussi saugrenu de ne vouloir faire de son oeuvre qu'un sous-produit, ou au mieux une version des travaux de Groulx et Seguin. Dès son premier ouvrage, qui est aussi sa thèse de doctorat, une nouvelle interprétation se dessine en filigrane. Dans ses volumes subséquents, cette interprétation gagne en rigueur et en clarté; elle atteint un niveau de maturité appréciable. Tant et si bien qu'en 1955, année ou la maison Fides publie sa Guerre de la Conquête, Fregault peut prétendre au renouvellement de l'histoire du Canada d'avant 1760. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Épistémologie, histoire et historiens : considérations conceptuelles, méthodologiques et empiriques autour du discours que les historiens tiennent sur leur savoirNoël, Patrick M. 20 April 2018 (has links)
Devant les récentes – et moins récentes – réflexions sur les liens entre épistémologie – entendue dans son acception restreinte de philosophie des sciences – et histoire qui se penchent à la fois sur l’histoire de l’épistémologie, l’épistémologie de l’histoire et sur la place de l’histoire en épistémologie, soit l’épistémologie historique, cette thèse propose une interrogation sur la place de l’épistémologie en histoire, soit l’épistémo-logie historienne, à savoir au discours (logos) que les historiens tiennent sur leur savoir (épistémè). À la fois ignorée par les adeptes de l’épistémologie historique et les philosophes s’intéressant à l’épistémologie de l’histoire, l’épistémo-logie historienne constitue le véritable angle mort de la réflexion sur la relation entre épistémologie et histoire. Deux objectifs interreliés structurent cette thèse : enrichir la compréhension dialectique entre épistémologie et histoire – l’objectif général – en mettant en lumière le rapport discursif que les historiens entretiennent avec leur savoir, l’épistémologie historienne – l’objectif particulier. Nous ne tentons pas d’élucider nous-mêmes la nature de l’histoire comme savoir disciplinaire, mais d’examiner, à l’enseigne d’une méta-épistémologie de l’histoire, l’élucidation qu’en ont faite, tour à tour, les philosophes, mais surtout les historiens à travers le discours qu’ils tiennent sur leur savoir – leur épistémologie. Notre propos s’articule en trois parties visant à mieux circonscrire les objectifs général et particulier susmentionnés. Elles proposent des esquisses conceptuelles, méthodologiques et empiriques à travers lesquelles, d’une part, nous nous penchons sur la dialectique entre épistémologie et histoire et ce que nous considérons comme son angle mort, l’épistémologie historienne (I) et, d’autre part, nous définissons une méthodologie (II) pour cerner, à travers une étude documentée ancrée dans l’espace québécois, les ressources réflexives des historiens (III). Cette étude du savoir-dire historien vient mettre en cause la représentation traditionnelle et caricaturale de l’historien comme indécrottable empiriste et, de ce fait, la conviction, fortement répandue, que l’historien ne se forme et ne s’affirme que dans l’exécution de son savoir-faire. Nous concluons cette thèse en soulignant l’importance de l’épistémologie historienne dans la socialisation disciplinaire et la place de choix que devrait occupée son étude dans la formation historienne qui ne saurait se réduire à un apprentissage sur le tas. / In conjunction with the recent – and not so recent – reflections on the relation between epistemology – understood here in its restricted meaning of philosophy of sciences – and history that focus on the history of epistemology, the epistemology of history, and the place of history in epistemology or historical epistemology, this thesis proposes to examine the place of epistemology in history or historian epistemology, namely the discourse (logos) that historians hold on their knowledge (episteme). Both ignored by proponents of historical epistemology and by philosophers interested in the epistemology of history, historian epistemology is the blind spot of the reflection on the relation between epistemology and history. Two interrelated objectives structure this thesis: enrich the dialectical understanding between epistemology and history – the general objective – by highlighting the discursive relation that historians have with their knowledge, historian epistemology – the particular objective. We do not attempt ourselves to elucidate the nature of history as disciplinary knowledge, but to examine, under the rubric of a meta-epistemology of history, the elucidation of it made alternately by philosophers, but also and mainly by historians through the discourse they hold on their knowledge – their epistemology. Our argument is divided into three parts in order to better define the general and particular objectives above-mentioned. They offer conceptual, methodological and empirical sketches through which, on the one hand, we examine the dialectic between epistemology and history and what we see as its blind spot, the historian epistemology (I) and, on the other hand, we define a methodology (II) to identify, through a documented study anchored in the Quebec disciplinary field of history, the reflexive resources of historians (III). The study of these resources calls into question the traditional caricatured representation of the historian as a hopeless empiricist and, therefore, the highly prevalent conviction that the historian is formed and asserts himself only by the execution of his know-how. We conclude this thesis by highlighting the importance of historian epistemology in disciplinary socialization and the key place its study should have in the historian training that should not be reduced to a learning-on-the-job process.
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L'union vue par quelques historiens canadiens-françaisSimard, Jean-Vianney 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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