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Pétrographie et géochimie des roches métamorphiques et magmatiques de la région de Deh-Bid. Bawanat : Chaîne de Sanandaj-Sirjan. Iran

Alric, Gilles, Virlogeux, Denis 06 June 1977 (has links) (PDF)
La géologie de la région de Deh - Bid- Bawanat est caractérisée par une organisation générale en bandes d'orientation N 120- 130 ( direction princpale du Zagros) . La caractéristique principale des bandes méridionales est une tectonique complexe où des systèmes de failles ( normales ou inverses ) et des décrochements découpent la région en véritables lanières. On distingue du Nord au Sud ; _ Le chaînon permotriasique du Kuh-e-Hambast et son prolongement au SE de Heneshk. Les formations marines du Permien et du Trias en constituent la presque totalité à l'exception d'affleurements réduits du socle paléozoïque ( dévono- carbonifère ) et de lambeaux du Jurassique moyen à supérieur et du Crétacé. Ces faciès permotriasiques correspondent à la zone de la couverture de la plate-forme paléozoïque ( bassin de l'Iran central). Cette région est exondée à partir du Réthien et jusqu'à la transgression aptienne. Ce massif disparaît à la faveur d'accidents masqués par le quaternaire et est relayé au SE par les formations secondaires et tertiaires du Kuh-e-Khatun qui appartiennent à la zone des écailles. _ La " zone des écailles " : les chainons du Kuh-e-Yale-Khari. les complexes métamorphiques, le Kuh -e-Khatun etc. Cette bande correspond à la chaîne de Sanandaj-Sirjan avec ici une largeur réduite . C'est une suite d'écailles parallèles en majorité monoclinales : Au NW de minces écailles de formations du Jurassique moyen à supérieur et Tertiaire ,dont le Kuh-e-Yale-Khari est un exemple, voient leur direction N 120-130 disparaltre dans la zone du complexe de Hassanabad. Cette écaille de géométrie plus complexe ( EW en son milieu ) est flanquée de formations du Jurassique moyen à supérieur ( en contact tectonique ) dont les axes de plis tendent vers une direction EW. Au centre de la région affleurent essentjellement des écailles monoclinales, le complexe métamorphique de Heneshk-Gushti est une large bande de terrains liasiques; les formations disparaissent au sud sous la couverture quaternaire de la plaine de Deh- Bid Au SE, la zone des écailles montre la succession suivante du NE au SW : - une large écaille monoclinale de terrains essentiellement liasiques ( Kuh-e-Khatun). - une succession de lanières de formations allant du Jurassique moyen au Crétacé (Band-e-Dalllal) - des terrains métamorphiques constituant une écaille affieurant ponctuellement dans la vallée de Bawanat et se terminant au SE par le complexe du Kuh-e-Sefid qui forme un anticlinal. - en contact tectonique avec les métamorpites un chaînon à valeur de méga-anticlinal, essentiellement crétacé, limité au Sud par le décrochement du Zagros . - dans cette zone des écailles, le Lias est transgressif sur les métamorphites à l' exception de la partie septentrionale où il est lacunaire, la transgression débutant au Jurassique supérieur . On peut constater que, du fait de leur disposition en écailles, les trois complexes métamorphiques étudiés sont structuralement indépendants . Cependant cette disposition structurale respecte la polarité stratigraphlque. L' accident du Zagros. Au Nord de la région, le Kuh-e-Bull est un massif de terrains tertiaires, à valeur synclinale et constitue la " Crushed Zone ", zone de broyage intense associée à l' accident du Zagros. Celle-ci disparait sous le remblaiement quaternaire de la plaine de Deh-Bid . Dans la région de Bawanat l' accident décrochant du Zagros sépare le chainon crétacé des formations tertiaires du bassin du Zagros. Ce décrochement n'est relayé que 20 km au SSE par le chevauchement du Zagros ( région de Neyriz ).
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Etude géologique des environs du Monétier-les-Bains (H-A) (Zones subbriançonnaise et briançonnaise) - Alpes françaises

Barfety, Jean 06 June 1965 (has links) (PDF)
Cette étude aborde la stratigraphie, la tectonique des zones du Briançonnais et du subbriançonnais autour du Monétier.
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Etude géologique de la région de Kalmard (W. Tabas) (Iran central) : stratigraphie et tectonique

Aghanabati, Seyed Ali 02 July 1975 (has links) (PDF)
L'histoire géologique de la région de Kalmard est celle d'une plateforme découpée en une mosaïque de blocs, dont les mouvements verticaux commandent la sédimentation, la subsidence, les faciès etc... Les terrains les plus anciens appartiennent à un Précambrien tardif, fait de dépôts schisto-gréseux à grain fin. Ces terrains se répartissent en deux zones d'affleurements : l'une métamorphique à l'Ouest, l'autre non, à l'Est. Le métamorphisme et les plissements qui les affectent datent vraisemblablement, de l'orogenèse assyntique (baÏkalienne). Celle-ci s'est également accompagnée ou a été suivie par une intrusion magmatique responsable d'une auréole métamorphique locale. Un des résultats essentiels de cette orogénèse a été le découpage du socle en une série de compartiments séparés par des failles profondes, et qui ont joué en horst et graben pendant le Paléozoïque. D'une façon générale, on peut dire que la région de Kalmard a été plutôt une zone haute vis à vis de la région de Shirgesht, toute proche, beaucoup plus subsidente. Cette zone haute montre un horst de Kalmard, dans la future zone centrale et un horst de Naini, plus élevé, dans la future zone occidentale. La région étudiée constitue un trés bel exemple d'une plate forme jouxtant un domaine orogénique. Elle montre comment un socle réagit au plissements lointains par une tectonique en mosaïque ou en lanières et comment les oscillations de tous les compartiments se reflètent dans la succession des couches et leurs variations de faciès ou d'épaisseur. Ainsi sur le plan de la tectonique, la région étudiée dans ce mémoire apparait aussi comme un exemple typique d'une plateforme encadrée de régions , orogéniques . Les contractions s'y traduisent, bien sûr, par des plissements mais surtout par des déplacements horizontaux de blocs le long de décrochements. Ces déplacements entraînent la formation de plis orthogonaux aux déplacements,ou obliques s'il y à couple. Plus surprenante est l'absence de volcanisme.
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Stratigraphie sismique et modélisation stratigraphique : application à l'évolution tectonique oligo-miocène du Bassin du Fleuve Rouge (Vietnam)

Le, T.V. 06 July 1998 (has links) (PDF)
La zone d'étude se situe sur la bordure N-E du Bassin du Fleuve Rouge. Ce bassin se forme pendant l'Éocène-Oligocène et le Miocène inférieur en contexte transtensif sénestre, suite au déplacement sénestre sur le système de failles du Fleuve Rouge. Le bassin est ensuite inversé durant le Miocène supérieur en régime de transpression, suite au changement des contraintes sur le système de failles du Fleuve Rouge. Ces changements de cinématique sur le système des failles du Fleuve Rouge sont induits par la collision Inde-Asie. Les données sismiques ont été utilisées afin d'individualiser des séquences sismiques (limitées par des onlap, toplap, downlap et formant des clinoformes) corrélables à l'échelle de l'ensemble du bassin. Les faciès sismiques sont calés sur les données de trois puits de forage. Ces séquences permettent de définir trois grands cycles rétrogradant, aggradant et progradant qui correspondent respectivement à l'extension dans le bassin, à la fin de l'extension et à l'inversion du bassin. Une modélisation numérique stratigraphique déterministe fondée sur des lois de transport de type diffusif a ensuite été réalisée avec le logiciel Dionisos (IFP) à partir des données sismiques interprétées en terme de stratigraphie séquentielle. Dans le cas du Bassin du Fleuve Rouge, la modélisation stratigraphique se base sur une simulation simplifiée du processus de dépôt. Les données d'entrée du modèle sont la subsidence, l'eustatisme (sous forme d'épaisseurs décompactées et de paléobathymétrie calculées par SUBTEC), les apports sédimentaires et les coefficients de diffusion pour les grands types d'environnement de dépôt. La modélisation stratigraphique en trois dimensions permet d'ajuster les flux de sédiment afin de retrouver la géométrie des corps sédimentaires. Cette double approche apporte une nouvelle méthode d'investigation de la dynamique du remplissage des bassins sédimentaires en relation avec la tectonique. De plus, elle permet de quantifier la variation spatiale et temporelle des apports sédimentaires et de connaître l'importance de ces flux dans l'architecture des dépôts .
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Le thermopaléomagnétisme : méthodologie et applications (tectonique, thermique et géochronologique) à la zone dauphinoise interne (Alpes occidentales, France)

Crouzet, Christian 20 December 1996 (has links) (PDF)
La vitesse d'exhumation (entre 10 et 100°ClMa) de certaines roches métamorphiques permet d'enregistrer une succession d'inversions du champ magnétique terrestre en nombre suffisant pour qu'une tentative de corrélation avec l'échelle magnétostratigraphique ait des chances d'aboutir. Un tel enregistrement est nommé enregistrement thermopaléomagnétique. Les principes du thermopaléomagnétisme reposent sur la loi d'additivité des aimantations thermorémanantes partielles (ATRp) qui n'est valable que si le porteur magnétique de l'aimantation est monodomaine. Les expériences réalisées en laboratoire (ATRp artificielles) sur le matériel étudié montrent clairement la qualité monodomaine du porteur de l'aimantation. La région étudiée est la zone dauphinoise à l'Est des massifs cristallins externes et notamment la région de Bourg d'Oisans. Cette région est caractérisée par la présence de pyrrhotite ayant acquis son aimantation après la déformation principale et durant le refroidissement post-métamorphique. La linéarité des diagrammes de Zijderveld permet de raisonner uniquement en terme d'intensité de l'aimantation et légitimise la construction des courbes de désaimantation thermique, J = f (1). Ces courbes montrent des fluctuations de l'intensité qui se corrèlent parfaitement d'un site à l'autre et sont interprétées comme l'enregistrement de chrones successifs lors du refroidissement post-métamorphique. Pour les thermochrones les plus longs, les comparaisons ARN/ATR permettent de calculer des valeurs de paléointensité du champ magnétique terrestre (CMT). Celles-ci sont particulièrement faibles (environs 10 mT) et correspondent à une période de fréquents renversements du CMT au" Miocène inférieur. L'interprétation des courbes de désaimantation thermiques des échantillons étudiés a permis d'établir une séquence de 21 inversions du champ magnétique terrestre, de la corréler avec l'échelle magnétostratigraphique afin d'obtenir une succession de couples T°/âges. Cette corrélation permet d'obtenir quasiment en continu, et en tout cas avec des précisions sur les âges et sur les températures bien meilleures que les méthodes géochronologiques classiques, l'histoire du refroidissement d'une portion de la zone dauphinoise. La courbe de refroidissement ainsi obtenue s'étend de 24,12 Ma/300°C à 20,13 Ma/180'C et permet d'établir la succession des événements ayant affecté la région de Bourg d'Oisans. . Il est aussi possible d'obtenir une succession, dans le temps, d'images représentant la répartition spatiale des paléotempératures et des taux de refroidissement à des instants connus. Pour la première fois, il est possible de mettre en évidence des hétérogénéités thermiques qui sont mises en relations avec des circulations de fluides. Celles-ci semblent perdurer pendant tout le refroidissement. L'outil thermopaléomagnétisme mis au point dans cette étude permet aussi moyennant un échantillonnage convenable, de calculer des paléogradients thermiques. L' interprétation des résultats de ce travail et des données existantes, bien que cherchant à rester simple, montre que l'histoire tectonique et thermique de cette région est extrêmement complexe. L'épisode d'épaississement contemporain de la déformation principale plicative synschisteuse se situe vers 26,5 Ma. Selon l'hypothèse envisagée pour expliquer l'excès de chaleur, la région de Bourg d'Oisans est enfouie à une profondeur de 8.6 km (hypothèse des fluides) ou à 12,5 km (hypothèse tectonique). Dans les deux cas cela nécessite la présence des zones internes bien plus à l'Ouest qu'elles ne le sont actuellemment. Une dénudation d'origine tectonique est proposée juste avant 24,12 Ma, pour expliquer nos observations. A la suite de cette dénudation, il se produit un refroidissement rapide, lié à la fois à la résorption de l'anomalie thermique précédemment créée et à l'érosion accrue du fait de la mise en place par sous-charriage d'une écaille crustale. Cette influence tectonique est suggérée par la similitude entre les fluctuations du refroidissement et celles de la subsidence du bassin molassique. Par la suite, le refroidissement devient plus faible. Pendant ce temps le secteur de Bourg d'Oisans ne subit aucune déformation significative. L'analyse des données directionnelles montre des écarts notables par rapport à la direction du paléochamp pour l'Europe stable. Ces écarts sont interprétés pour partie comme résultant d'un petit chevauchement " out of sequence" du socle des Grandes - Rousses postérieur au franchissement de l'isotherme 150°C, daté plus récent que 9 - 13 Ma. Les modalités de l'ensemble des déformations affectant la zone dauphinoise interne après 9 - 13 Ma restent toutefois encore mal comprises.
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Déformation récente et actuelle des Alpes occidentales. Mise en évidence, caractérisation et quantification par analyse géomorphologique et comparaison de nivellements

Darmendrail, Xavier 21 June 1994 (has links) (PDF)
La convergence des plaques africaine et eurasienne, à la vitesse de 1 cm/an, fait des Alpes une chaîne de collision active. Nous cherchons à caractériser et quantifier les déformations superficielles traduisant cette activité dans les Alpes occidentales françaises, au Sud de Chambéry, du Pliocène à l' Actuel. Deux approches complémentaires sont mises en oeuvre: la géomorphologie pour l'analyse de la déformation finie et la comparaison de nivellements réalisés à 80 ans d'intervalle pour l'étude de la déformation instantanée. Nous avons analysé l'éventuelle signification tectonique de la morphologie des versants de vallées. La morphologie en facettes triangulaires, caractéristique d'une surface de faille normale, est observée le long de la bordure est du Grésivaudan, de la vallée du bas Gelon et de la Combe de Savoie. Les failles ainsi caractérisées présentent un rejet vertical de 100 à150 m, déduit de l'analyse des profils en long des torrents, attribué aux derniers 65 000 ans. Le début de l'activité de cette tectonique transversale à la chaîne n'est pas daté. Nous proposons aussi un contrôle par la tectonique extensive longitudinale de la basse vallée de la Maurienne (arguments morphostructuraux et thermochronologiques). Une extension de 3-4 km responsable de mouvements verticaux de 2000 m entre -7 Ma et l'Actuel est calculée dans Belledonne. La poursuite de ces mouvements après -65 000 ans est suggérée au niveau des Collines bordières par le basculement de dépôts quaternaires et l'inversion de la pente de la vallée du bas Gelon (40 à 100 m). Les captures successives de rivières au Sud de la confluence Arc-Isère (Arc, Bréda et Bens) sont interprétées en terme de tectonique. L'analyse des profils en long des torrents et la reconstitution d'un paléo-réseau hydrographique au Würm précoce permettent de proposer des vitesses de mouvements verticaux de 1,5 à 1,8 mm/an pour les derniers 65 000 ans. Une analyse analogue de la capture de la Romanche par le Drac, révèle des mouvements verticaux de l'ordre de 3,8 mm/an pour la même période de temps. L'ensemble de ces études suggère la superposition de deux tectoniques. longitudinale et transversale. La première s'enracine dans le socle, tandis que la seconde, est interprétée comme du glissement gravitaire affectant la couverture. La comparaison des nivellements révèle des mouvements verticaux à l'échelle du siècle. Nous proposons une origine tectonique pour expliquer certains d'entre eux. Les principaux mouvements verticaux de grande longueur d'onde mis en évidence sont par rapport à l'avant-pays, la surrection des massifs subalpins du Vercors (1 mm/an) et de la Chartreuse (1,5 mm/an) et celle du massif cristallin de Belledonne (1 à 1.5 mm/an). Ces mouvements peuvent traduire la continuité de la surrection plio*quaternaire de Belledonne. éventuellement associée à l'activité de son chevauchement crustal. Le bloc Devoluy - SE de Belledonne, partie la moins sismique des Alpes occidentales présente un affaissement de 0.8 à 1.9 mm/an par rapport à l'avant-pays (i.e. 2.5 mm/an par rapport au Vercors). Des mouvements localisés (> 0,7 mm/an) sont également mis en évidence dans cette région, les compartiments au Sud étant systématiquement affaissés par rapport à ceux au Nord. Le mouvement localisé le plus important se situe sur l'accident de l'Eau d'Olle (2,5 mm/an), ce qui en fait l'accident le plus actif connu dans les Alpes. Les mouvements tectoniques ainsi caractérisés s'expriment par une extension à composantes longitudinale (qui affecte le socle) et transversale (plus superficielle). L'extension longitudinale se maintient depuis le Miocène supérieur. En revanche, compte tenu des marqueurs utilisés, on n'enregistre la tectonique transversale que depuis l'interglaciaire Riss-Wünn (65 000 ans). Nous interprétons l'extension comme une conséquence de la surrection générale de la région étudiée. Plusieurs phénomènes semblent contribuer à celle surrection: - le chevauchement crustal de Belledonne depuis le Miocène; - un bombement régional d'origine mantellique depuis le Miocène su périeur: - le rebond post-glaciaire, dont la contribution actuelle à la surrection régionale semble cependant faible. En revanche, la déstabilisation gravitaire qui résulte du délestage glaciaire semble un phénomène majeur dans la déformation actuelle.
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Contribution à l'étude pétrogénétique des schistes cristallins du massif des Aiguilles Rouges (Haute-Savoie) - Alpes françaises

Bellière, Jacques 02 February 1958 (has links) (PDF)
Ce travail aborde : - l'origine des schistes cristallins des Aiguilles rouges - le métamorphisme contemporain de la déformation. Il n'a pas été accompagné d'apports extérieurs au massif bien que les gneiss des Aiguilles Rouges soient semblables aux migmatites formées à l'intervention d'apports extérieurs , - Les processus métamorphiques - la déformation - les phases tectoniques
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Etude sismotectonique du Péloponnèse et réponse sismique d'une vallée sédimentaire en Grèce du Nord

Pedotti, Guy 21 June 1988 (has links) (PDF)
Partie 1 : Etude sismotectonique du Péloponnèse. Durant l'été 1986 nous avons installé un réseau sismologique de 46 stations couvrant l'ensemble du Péloponèse. Sur plus de 1000 séismes, 750 sont localisés à 10 km près et 480 le sont à 5 km près, 100 solutions focales ont été déterminées. La sismicité enregistrée est essentiellement crustale (95%). La croûte inférieure apparait comme une zone sismique à l'ouest et devient sismique à l'est. Les mécanismes au foyer indiquent un champ de contrainte compressiif orienté E-W dans la bordure occidentale. Immédiatement à l'est de cette zone, le régime devient extensif, d'orientation N-S au nord puis NW-SE à E-W dans !e sud et le sud-.ouest du Péloponnèse. La, sismicité intermédiaire définit la géométrie de ia subduction de la plaque Afrique sous le Péloponnèse. Le plongement est orienté NE-SW scion un pendage de 10°, à 200 km des fosses ce pendage s'accentue brusquement (45 ° ). Les mécanismes au foyer montrent une tectonique extensive orientée NE-SW, avec un pendage identique à celui de la plaque plongeante. 2* partie: Réponse sismique d'une vallée sédimentaire. Durant deux semaines , en mai 1985, cinq stations sismologiques ont été installées à travers une vallée située à 50 km de Thessalonique ( Grèce) . Les stations étaient placées sur les sédiments et sur les bords rocheux de la vallée. A partir de séismes locaux et régionaux, nous avons calculé les rapports des spectres de Fourier obtenus aux différents sites. Pour les sites sédimentaires, les rapports montrent des .amplifications maximales de 8, pour un site rocheux elles atteignent 6. Les amplifications observées sont maximales lors de séismes locaux.Nous interprétons ces effets en fonction du contexte géologique local.
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Enregistrement sédimentaire des déformations intraplaques : l'exemple de l'inversion structurale d'un bassin de la mer du Nord

Huyghe, Pascale 21 April 1992 (has links) (PDF)
Les phénomènes qui régissent l'évolution d'un bassin sédimentaire et modifient sa géométrie laissent une empreinte dans l'organisation des dépôts. Aux phénomènes qui accroissent à long terme le volume du bassin (étirement initial, rééquilibrage thermique de la lithosphère, compensation isostasique du poids des sédiments qui se déposent) se superposent des fluctuations plus rapides de l'espace disponible. L'évolution d'un bassin peut donc être décryptée en étudiant les corps sédimentaires, et plus particulièrement: 1) la géométrie des discontinuités qui les limitent (failles et discordances), 2) les faciès qui les constituent, 3) leur âge, 4) les variations de leurs propriétés physiques (radioactivité, porosité ... ). L'utilisation des méthodes de décompaction, des diagrammes de mouvements différentiels, de substitution des structures plissées/faillées (coupes équilibrées) permet de quantifier les mouvements qui affectent le substratum du bassin. L'application de ces méthodes au Broad Fourteens Basin (Sud de la Mer du Nord), à partir d'une base de données constituée par 3000 km de sismique réflexion et une cinquantaine de puits (consultée grâce à Elf-Petroland) a mis en évidence une histoire polyphasée complexe, affectant une couverture décollée de son socle. Cette histoire est composée principalement : 1) d'une extension jurassique, puis 2) d'une extension crétacé inférieur avec une subsidence dans le bassin d'environ 1000 m et une importante surrection initiale des marges, 3) d'une compression avec une composante décrochante sénestre au Crétacé supérieur le long des failles de bordure orientées N160° ; elle a induit une érosion du centre du bassin de plus de 3000 m, et un raccourcissement horizontai de l'ordre de 10 %, 4) d'une extension néogène plus limitée. Une analyse détaillée a permis de mettre en évidence seize unités sédimentaires retraçant les mouvements tectoniques et les fluctuations relatives du niveau de la mer au Crétacé dans le bassin. Des corrélations temporelles entre le Broad Fourteens Basin, d'autres bassins intraplaques et la cinématique des plaques aux pourtours de l'Europe de l'Ouest semblent envisageables. La réorganisation des plaques mondiales paraît être à l'origine de variations horizontales des contraintes intraplaques, qui induisent à la fois des réactivations d'accidents préexistants de la croûte fragile et des mouvements verticaux (flambage) de la lithosphère.
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1° sujet : Etude géologique de la région de Saint Laurent du Pont et de la Grande Sûre - Massif de la Chartreuse 2° sujet : le quaternaire des plaines de Biévre-Valloire

Bravard, Christian 10 January 1968 (has links) (PDF)
Description tectonique , stratigraphique et géomorphologique de cette zone : faille de Voreppe, bassin de St Laurent du Pont, Grande Sûre et vallée du Guiers Mort en Chartreuse . Géomorphologie quaternaire

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