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Contribution à l'étude de la composition chimique de l'écorce de Larix laricina /

Morin, Pierre, January 2007 (has links)
Thèse (M.Ress. Renouv.) -- Université du Québec à Chicoutimi, 2007. / La p. de t. porte en outre: Mémoire présenté à l'Université du Québec à Chicoutimi comme exigence partielle de la maîtrise en ressources renouvelables. CaQQUQ Bibliogr.: f. 52-57. Document électronique également accessible en format PDF. CaQQUQ
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Étude de quelques propriétés physico-mécaniques du bois de mélèze laricin planté au Québec

O'Tuela, Masanga Bwentwen 05 April 2024 (has links)
No description available.
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Phylogéographie du mélèze laricin (Larix laricina [Du roi] K. Koch) en Amérique du Nord

Warren, Emile 23 April 2018 (has links)
La structure des populations du mélèze laricin (Larix laricina [Du roi] K. Koch) a été étudiée à l’aide de polymorphismes de l’ADN mitochondrial et chloroplastique. Deux populations, situées en Alaska et au Labrador, étaient génétiquement distinctes des autres, suggérant l'existence de refuges glaciaires nordiques à ces endroits. La répartition spatiale des haplotypes a révélé un clivage génétique entre deux groupes de populations occupant l’est et l’ouest de l'aire de répartition. Ce patron témoignerait de la présence de deux lignées glaciaires génétiquement distinctes provenant d’autant de refuges localisés au sud de l'inlandsis Laurentidien. L’analyse des données polliniques a permis de corroborer la présence de refuges glaciaires au sud-ouest des Grands Lacs et à l’ouest des Appalaches, en plus des possibles refuges en Alaska et au Labrador. La haute différenciation génétique propre aux populations de l’ouest pourrait être la conséquence d’une forte compétition interspécifique lors de la recolonisation postglaciaire de cette région. / Geographical population structure of the North American larch, Larix laricina [Du roi] K. Koch was studied using mitochondrial and chloroplast DNA polymorphisms. Some populations from Alaska and Labrador were genetically differentiated from neighboring populations, suggesting that these two regions served as glacial refugia. The spatial distribution of haplotypes revealed a cleavage between eastern and western populations, which are probably representative of two distinct glacial lineages that expanded from the south of the ice sheet following the last glacial maximum. Mapped pollen records helped inferring the putative location of glacial refugia south-west of the Great Lakes, west of the Appalachians, as well as in Alaska and Labrador. High population differentiation among western populations likely indicates that interspecific competition was strong during the postglacial colonization of the region.
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Dynamique de la limite altitudinale des arbres à l'est du Québec subarctique : analyse écologique de deux espèces conifériennes (Picea mariana et Larix laricina)

Tremblay, Geneviève 18 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2012-2013. / La limite des arbres est contrôlée par le climat rigoureux y prévalant, par différentes contraintes écologiques et par les caractéristiques des espèces qui la composent. Cette dynamique est liée à la régénération des espèces arborescentes, de la germination des graines à la survie et à la croissance des plantules. Notre objectif était de caractériser la dynamique de la limite altitudinale des arbres à Kangiqsualujjuaq et d'identifier les facteurs contrôlant la régénération des espèces arborescentes. La cartographie des individus le long de gradients altitudinaux et des analyses dendrochronologiques ont révélé un important recrutement de Larix laricina et une accélération récente de sa croissance verticale et radiale. Nos expérimentations suggèrent que l'effet allélopathique d'espèces arbustives, inhibant la germination et la faible disponibilité des lits de germination adéquats entravent la régénération de Picea manana. Le recrutement accru du mélèze au-delà de la limite des arbres pourrait mener à une remontée de celle-ci à Kangiqsualujjuaq.
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Le phénomène de boisement des tourbières : l'exemple de la tourbière de la base de plein air de Sainte-Foy, Québec

Caron, Catherine 10 February 2024 (has links)
Plusieurs tourbières ombrotrophes des régions tempérées sont présentement caractérisées par un processus de densification rapide de leur couverture forestière. Au Québec, ce phénomène implique diverses espèces, autant conifériennes qu'à feuillage décidu. La présente étude visait à documenter le boisement de la tourbière de la base de plein air de Sainte-Foy, située au sein d'un paysage semi-urbain de la ville de Québec, qui montre un important déploiement du mélèze laricin et de l'érable rouge. Les principaux objectifs étaient de caractériser la dynamique contemporaine du couvert forestier à l'aide d'analyses dendrométriques, dendrochronologiques et de photographies aériennes, et de reconstituer l'évolution à long terme (plusieurs millénaires) des espèces arborescentes via la conjugaison de l'identification botanique de pièces de bois préservées dans la tourbe et de l'analyse macrofossile. L'hypothèse qui a été testée est que la flore de la tourbière a toujours comporté des espèces arborescentes conifériennes mais de façon éparse. La constitution d'une couvert forestier dense et mixte serait un phénomène récent, associé à des perturbations anthropiques. Le couvert végétal s'est modifié rapidement depuis 1970, d'abord par la formation d'un mélèzin. Le mélèze étant présentement incapable de se régénérer, il est progressivement supplanté par l'érable rouge. Cette dynamique récente fait suite à plusieurs millénaires durant lesquels la tourbière a toujours présenté une physionomie arbustive et où les arbres étaient présents de façon éparse. La densification du couvert forestier fut causée par les activités humaines en périphérie de la tourbière (agriculture, construction d'une gare de triage) qui ont eu pour effet de réduire sa superficie et de l'assécher. L'érable rouge domine maintenant la régénération au sol et devrait, à plus ou moins long terme, devenir l'espèce dominante pour former une érablière rouge sur tourbe.
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Expansion du couvert forestier sur une tourbière ombrotrophe isolée dans une matrice agricole : une approche multidisciplinaire

Baby-Bouchard, Emmanuelle 13 December 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 26 avril 2023) / Le processus de boisement des tourbières est un phénomène en accélération depuis au moins les années 1950 dans les basses-terres du Saint-Laurent au Québec, et l'érable rouge (Acer rubrum) est l'un des arbres qui contribue le plus à ce phénomène. Cette étude vise à décrire et expliquer la progression de la couverture forestière d'une vaste tourbière ombrotrophe isolée au sein d'une matrice agricole dont les bordures sont caractérisées par la présence de peuplements mixtes composés de mélèze laricin (Larix laricina) et d'érable rouge. Les objectifs sont de (1) déterminer les patrons spatio-temporels de la colonisation forestière et (2) d'identifier les facteurs responsables de l'établissement et de la croissance des arbres en ayant recours à la fois à des analyses dendrochronologiques, de photographies aériennes et paléoécologiques. Bien que le mélèze soit présent localement depuis au moins quelques siècles, l'érable rouge s'est installé seulement au début du XXe siècle. Son expansion s'est accélérée dans les décennies 1930-1940, puis à nouveau dans les années 1980. Le rythme de progression du couvert forestier a varié d'un endroit à l'autre de la tourbière (0-23 m/an), mais il fut plus rapide dans les années 1960. Contrairement à ce qui était attendu, il ne semble n'y avoir aucun lien significatif entre les multiples variables analysées (épaisseur de la matière organique, altitude de la surface, indice d'humidité topographique, utilisation du sol en périphérie, drainage et climat) et la progression du couvert forestier. Les résultats exposent la complexité des relations qui existent entre la croissance des arbres sur tourbe et leur environnement. En combinant des méthodes permettant de couvrir plusieurs échelles temporelles et spatiales, il est possible d'obtenir un portrait plus précis de la dynamique végétale. Il est suggéré que le cadre méthodologique établi dans la présente étude soit adopté lors des recherches futures sur le boisement des tourbières. / A rapid tree encroachment phenomenon has been taking place on St-Lawrence Lowlands (SLL), southern Quebec peatlands since the 1950s, and red maple (Acer rubrum) is one of the most prolific tree species. Therefore, the purpose of this study is to describe and explain the progression of forest cover in a large, isolated ombrotrophic peatland within an agricultural matrix whose edges are characterized by the presence of mixed stands of tamarack (Larix laricina) and red maple. Our objectives were (1) to describe the spatio-temporal colonization patterns of the forest cover and (2) to identify factors that might explain tree establishment and growth using a combination of paleoecological, dendrochronological and aerial photograph analyses. Although tamarack has been present locally for at least a few centuries, red maple began to establish in the early XXᵗʰ century. Its expansion accelerated in the 1930s-1940s and again in the 1980s. The colonization rate of the forest cover varied across the peatland (0-23 m/yr) but was most rapid in the 1960s. Contrary to expectations, there appeared to be no significant relationship between the multiple analyzed variables (organic matter thickness, surface elevation, topographic moisture index, land use, drainage, and climate) and forest cover progression. Our results highlight the complexity of the relationships between tree growth on peat and their environment. By combining methods that cover several temporal (contemporary and a few centuries) and spatial (local and peatland) scales, it is then possible to obtain a precise picture of the vegetation dynamics that animate the peatland. We therefore suggest that the methodological framework established in the present study should be adopted by future studies of tree encroachment.

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