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Vliv vápnění na půdní (Lumbricidae) a epigeickou (Carabidae) faunu

Matějka, Kamil January 2013 (has links)
No description available.
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Etude des niches alimentaires des lombriciens dans un contexte urbain.

Diemby, Marie Virginie 31 August 2005 (has links)
<p>Dans ce travail, les préférences alimentaires pour les espèces végétales consommées par les lombriciens peuplant certains îlots des pelouses de l’avenue Roosevelt ont été étudiées. L’analyse des contenus digestifs et des fèces des vers a montré que les plantes identifiées dans les pelouses ne sont pas toutes consommées.<br> Mesurée par l’indice d’Ivlev, la sélectivité des items végétaux est variable en fonction de l’espèce de ver, de la classe d’âge et de la saison. Lorsque les dicotylédones sont en plein développement au printemps et en été, les choix des vers sont surtout manifestés pour les monocotylédones. En automne et en hiver, les monocotylédones prédominent et, les dicotylédones se retrouvant dans la litière, font l’objet de préférences marquées qui induisent des rejets relatifs de monocotylédones. Bien que Lolium perenne soit la plante la plus consommée, Bellis perennis est la dicotylédone la plus appréciée, Trifolium repens et Poa trivialis étant les plantes généralement rejetées.<br> L’indice d’Ivlev n’ayant permis de connaître que les rangs de préférences des différentes espèces végétales, les analyses ont été complétées par des tests du χ² qui ont montré que la consommation des plantes par les vers ne se fait pas au hasard. <p>Les épigés Satchellius mammalis et Lumbricus rubellus sont les espèces qui présentent le taux le plus élevé de matière organique figurée (respectivement 27 % et 26 % [19 % chez les jeunes Lumbricus spp]) dans leurs contenus digestifs. Chez les anéciques Aporrectodea longa et Lumbricus terrestris, ces taux sont très faibles (respectivement 6 % [2 fois plus chez les jeunes vers] et 11 %). Les endogés (Aporrectodea caliginosa, A. icterica et A. rosea) présentent des taux variant respectivement de 21 % [9 % chez les jeunes vers] à 8 % et 11 %. <p>L’axe de la taille des particules consommées n’a pas permis une ségrégation des niches (d’après notre étude, la taille des vers n’affecte pas celle des particules ingérées), mais l’axe de la nature des particules consommées est plus discriminant. Dans la niche tridimensionnelle (taille et nature des particules ingérées, notre étude, et les cycles annuels d’activité [Tiho, 2001]), le seul recouvrement fort qui se maintienne est celui de la niche de L. rubellus sur celle de L. terrestris. Un recouvrement marginal (α = 0,66) est observé, celui de la niche de A. longa sur celle de L. terrestris. Ceci révèle une compétition interspécifique entre ces trois espèces ayant des régimes alimentaires très proches. <p> <p>In this study, preferences for plants consumed by earthworms inhabiting certain islets of the Roosevelt avenue lawns have been studied. Examination of gut contents and faeces showed that not all of the plants identified in the lawns are consumed.<br> Measured by the Ivlev’s electivity index, the selectivity of plants is variable according to the earthworm species, its size class and the season. When the dicotyledons are developing in spring and in summer, the choices of the earthworms are particularly observed for the monocotyledons. In autumn and winter, the monocotyledons are developing and the dicotyledons in the litter are highly chosen, leading the relative reject of the monocotyledons.<br> Although Lolium perenne is the most consumed plant, Bellis perennis is the most appreciated dicotyledon, Trifolium repens and Poa trivialis being generally rejected.<br> As the Ivlev’s index of preference has only permit to know the rank of preference of the different plants, the analysis was completed by the χ² tests which demonstrated that the consumption of plants by earthworms is not done randomly. <p>The epigées Satchellius mammalis and Lumbricus rubellus are the species which present the highest rate of organic matter (respectively 27 % and 26 % [19 % for the immatures Lumbricus spp] in their gut contents.<br> For the anéciques Aporrectodea longa and Lumbricus terrestris, these rates are very low (respectively 6 % [twice more for the immatures worms] and 11 %).<br> The endogées (Aporrectodea caliginosa, Aporrectodea icterica and Aporrectodea rosea) present rates varying respectively from 21 % [9 % for the young worms] to 8 % and 11 %. <p>The axis of the particles size ingested did not permit the niches segregation (in our study, the earthworms size does not affect the size of the particles ingested), but the axis of the nature of the particles ingested is more discriminant. In the three-dimensional niche (size and nature of particles ingested [our study] and the annuals cycles of activity [Tiho, 2001]), the young worms not being considered, only one high overlap is maintained, that of L. rubellus niche on that of L. terrestris. A marginal overlap (α = 0.66) is observed, that of A. longa niche on that of L. terrestris. Having a similar trophic resource (consumption of litter), an interspecific competition must exist between these three species for the access to the food.
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Rôle des activités lombriciennes sur la redistribution des éléments traces métalliques issus de boue de station d'épuration dans un sol agricole

ABLAIN, Frédérique 18 December 2002 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche traite de l'impact des activités lombriciennes sur (1) la qualité des eaux de percolation et notamment leur charge en éléments traces métalliques (Cu, Cd, Pb et Zn) et (2) de la redistribution de ces éléments au sein des microsites particuliers du sol (turricules et parois de galeries). Le rôle des lombriciens sur la dynamique des éléments traces métalliques est étudié au laboratoire sur deux espèces Lumbricus terrestris et Nicodrilus giardi en présence ou en l'absence de pollution métallique constituée par un apport de boue de station d'épuration. Les flux d'éléments traces métalliques via les eaux de percolation augmentent en présence de lombriciens. Cette augmentation est due à un processus physique induis par la présence de galeries lombriciennes qui vont favoriser l'écoulement des eaux. Les galeries sont des microsites particuliers ou se déroulent des processus physico-chimiques susceptibles de changer la spéciation des ETM et ainsi de favoriser leur entraînement via les eaux de percolation. Cependant au cours de notre expérimentation aucun processus physico-chimique n'a pu être mis en évidence concernant la qualité des eaux de percolation. La redistribution des ETM au sein des microsites est étudiée au moyen de deux techniques complémentaires : les extractions chimiques et le fractionnement granulo-densimétrique. Ces deux techniques mettent en exergue une redistribution des ETM au sein des microsites, impliquant un changement de spéciation vers des espèces plus labiles. Deux types de redistributions sont identifiés : • Une redistribution liée au comportement alimentaire du ver qui va sélectionner des particules de sol plus ou moins contaminées et ainsi déterminer la concentration et la distribution des ETM au sein des turricules et galeries. • Une redistribution « physico-chimique » liée aux propriétés particulières des microsites (variation de pH, taux d'argile, ...). La redistribution physico-chimique est dans le cadre de nos expérimentations le plus souvent masquée par la redistribution dite « alimentaire ». Ce travail de recherche traite de l'impact des activités lombriciennes sur (1) la qualité des eaux de percolation et notamment leur charge en éléments traces métalliques (Cu, Cd, Pb et Zn) et (2) de la redistribution de ces éléments au sein des microsites particuliers du sol (turricules et parois de galeries). Le rôle des lombriciens sur la dynamique des éléments traces métalliques est étudié au laboratoire sur deux espèces Lumbricus terrestris et Nicodrilus giardi en présence ou en l'absence de pollution métallique constitué par un apport de boue de station d'épuration. Les flux d'éléments traces métalliques via les eaux de percolation augmentent en présence de lombriciens. Cette augmentation est due à un processus physique induis par la présence de galeries lombriciennes qui va favoriser l'écoulement des eaux. Les galeries sont des microsites particuliers ou se déroulent des processus physico-chimiques susceptibles de changer la spéciation des ETM et ainsi de favoriser leur entraînement via les eaux de percolation. Cependant au cours de notre expérimentation aucun processus physico-chimique n'a pu être mis en évidence concernant la qualité des eaux de percolation. La redistribution des ETM au sein des microsites est étudiée au moyen de deux techniques complémentaires : les extractions chimiques et le fractionnement granulo-densimétrique. Ces deux techniques mettent en exergue une redistribution des ETM au sein des microsites, impliquant un changement de spéciation vers des espèces plus labile. Deux types de redistribution sont identifiés : • Une redistribution liée au comportement alimentaire du ver qui va sélectionner des particules de sol plus ou moins contaminées et ainsi déterminer la concentration et la distribution des ETM au sein des turricules et galeries. • Une redistribution « physico-chimique » lié aux propriétés particulières des microsites (variation de pH, taux d'argile, ...).
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Invasive Earthworm (Oligochaeta: Lumbricidae) Populations in varying Vegetation Types on a Landscape- and Local-scale

Choi, Amy 21 November 2012 (has links)
There have been no landscape-scale studies on earthworm populations in Canada comparing vegetation types; previous studies on edge habitats have been conducted in agricultural systems. I examined the spatial variations of earthworm populations by measuring abundance based on regional municipality, vegetation type, and edge habitat. Earthworms were sampled throughout the season across a gradient of vegetation types including meadow, forest edge, and interior at a local-scale; and at the landscape level with vegetation types including meadow, deciduous forest, pine plantation and mixed forest. Regional effects were more significant than vegetation type likely due to a gradient of soil characteristics in southern Ontario; edges had intermediate earthworm abundance and a higher proportion of epigeic species. My research provides insight into the patterns of earthworm populations in southern Ontario and the possible effects of edge creation through landscape fragmentation. Field sampling of earthworm parasitoid cluster-flies (Calliphoridae: Pollenia) using synomones was also discussed.
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Invasive Earthworm (Oligochaeta: Lumbricidae) Populations in varying Vegetation Types on a Landscape- and Local-scale

Choi, Amy 21 November 2012 (has links)
There have been no landscape-scale studies on earthworm populations in Canada comparing vegetation types; previous studies on edge habitats have been conducted in agricultural systems. I examined the spatial variations of earthworm populations by measuring abundance based on regional municipality, vegetation type, and edge habitat. Earthworms were sampled throughout the season across a gradient of vegetation types including meadow, forest edge, and interior at a local-scale; and at the landscape level with vegetation types including meadow, deciduous forest, pine plantation and mixed forest. Regional effects were more significant than vegetation type likely due to a gradient of soil characteristics in southern Ontario; edges had intermediate earthworm abundance and a higher proportion of epigeic species. My research provides insight into the patterns of earthworm populations in southern Ontario and the possible effects of edge creation through landscape fragmentation. Field sampling of earthworm parasitoid cluster-flies (Calliphoridae: Pollenia) using synomones was also discussed.
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Etudes des niches alimentaires des lombriciens dans un contexte urbain

Diemby, Marie Virginie 31 August 2005 (has links)
\ / Doctorat en sciences, Spécialisation biologie animale / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Stratégies individuelles d'hivernage chez la bécasse des bois (Scolopax rusticola) : compromis énergétiques pour la sélection de l'habitat

Duriez, Olivier 30 September 2003 (has links) (PDF)
La bécasse des bois (Scolopax rusticola L.) est une espèce d'oiseau migrateur au statut de conservation incertain, dont l'écologie et le comportement sont largement méconnus en hivernage. La bécasse, connue pour être sensible au gel, est menacée par la perte de ses habitats et une forte pression de chasse en hiver, période de vulnérabilité accrue du fait de la concentration des populations. Cette étude a pour but de mieux comprendre les stratégies comportementales d'hivernage, en combinant des approches d'éco-physiologie et d'écologie comportementale, afin de proposer des mesures de gestion et de conservation adéquates. Selon leurs besoins énergétiques, les oiseaux doivent résoudre un compromis entre s'alimenter efficacement et éviter la prédation. Ce compromis peut avoir des répercutions sur la sélection de l'habitat. Une étude des dépenses énergétiques en laboratoire (métabolisme de base et thermorégulation) et sur le terrain a montré que la bécasse était bien isolée thermiquement et avait une dépense énergétique relativement faible. La bécasse fréquente deux types d'habitat (remises) en hiver : des milieux boisés en journée (bois et haies) et des milieux agricoles la nuit. La sélection et l'utilisation de l'habitat, la survie et le budget-temps ont été étudiés sur une centaine de bécasses équipées de radio-émetteurs, pendant trois hivers en Bretagne. La sélection de l'habitat diurne s'effectue selon la richesse en vers de terre (proie favorite) et en couvert arbustif (pour la protection). La nuit, les prairies pâturées sont préférées aux cultures pour leur richesse en vers de terre. La mortalité naturelle par prédation a lieu principalement de nuit en prairie et les taux de survie suggèrent une mortalité additive due à la chasse. Le compromis entre alimentation et risque de prédation amène les individus à choisir entre différentes stratégies comportementales d'utilisation de l'espace et de gestion du budget-temps. Certains individus ne fréquentent qu'une seule remise alors que d'autres en utilisent plusieurs, de manière successive ou alternative. Le choix de la stratégie semble dépendre de l'efficacité des individus à rechercher leur nourriture et à échapper à la prédation. La fréquentation des prairies la nuit, variable selon les individus, constitue une autre réponse au compromis entre alimentation et prédation. En fonction de leurs besoins énergétiques (résultant de la température de l'air) et de leur efficacité de recherche alimentaire, les individus peuvent décider de rester en forêt la nuit pour minimiser le risque de prédation, en augmentant leur effort d'alimentation diurne. Ces résultats sont discutés en termes de perspectives scientifiques et de conservation. Des aménagements d'habitats sont proposés pour une gestion durable des populations de bécasses.
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INFLUENCE OF EARTHWORMS ON PLANT AND SOIL INVERTEBRATE COMMUNITIES OF THE CLEVELAND METROPARKS

Schermaier, Anton Francis 14 May 2013 (has links)
No description available.

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