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Luchas antineoliberales en America Latina e inmunizacion politica en Chile/Luttes anti néo-libérale en Amérique Latine et immunisation politique au Chili

Urrutia Fernandez, Miguel 06 July 2006 (has links)
El objeto de la tesis es el análisis de los límites y de las transgresiones de las luchas antineoliberales en América Latina y específicamente en Chile. Trabajamos sobre dos ejes cuyo punto en común es el modo de vida de la gente: el primer eje es el de la biopolítica según Foucault y el segundo, aquel de la micropolítica según Guattari y Deleuze. Esto implica voluntades subjetivas y conscientes, pero también una amplia combinación de elementos heterogéneos de la naturaleza, de la economía, de la tecnología,de la espiritualidad y de la cultura. El sujeto no preexiste a esta heterogeneidad de elementos, sino que es una parte integrante. El sujeto aparece cada vez que se combinan estos elementos heterogéneos de una nueva forma, esto porque decidir no es elegir entre altenativas dadas en la realidad, sino que introducir una fuga sin resultados conocidos. La decisión se relaciona con los deseos colectivos, como resultado de un inconciente colectivo que produce una realidad conectando -haciendo máquina- la mayor cantidad de elementos posibles. Entonces el sujeto es responsable de decidir sin garantías, pero considerándolo como la unidad mínima real. Se trata del AGENCIAMIENTO como lo denominan Guattari y Deleuze. / L'objet de la thèse c'est l'analyse des limites et des transgressions des luttes anti- néo libérales en Amérique latine et plus spécifiquement au Chili. Nous travaillons sur deux axes, ici, il est important de relever que ces deux axes ont un point commun : Ils sont tous relatifs au mode de vie des gens. • Le premier axe est celui de la biopolitique (selon Michel Foucault) • Le deuxiéme c'est celui de la micropolitique (selon Félix Guattari et Gilles Deleuze) Le premier axe a une particularité ; la bio-politique c'est la trame de notre travail. Par sa part la micropolitique, selon Felix Guattari et Gilles Deleuze, consiste en des pratiques via lesquelles les gens parviennent à vivre « à leur manière ». Ce qui implique non seulement des volontés subjectives et conscientes, mais aussi une combinaison beaucoup plus ample d'éléments hétérogènes de la nature, de la technologie, de l'économie, de la spiritualité et de la culture. Le sujet ne préexiste pas à cette hétérogénéité d'éléments, il en est une partie intégrante. Le sujet apparaît chaque fois qu'on décide de combiner ces éléments hétérogènes d'une nouvelle façon; vu que décider n'est pas choisir entre des alternatives déjà données dans la réalité mais bien d'y introduire une coupure intempestive, sans résultats pré connus. La décision équivaut ici aux désirs collectifs, les comprenant, non comme des fantasmes projetés par l'inconscient des masses, mais bien comme le résultat d'un inconscient collectif qui produit une réalité en connectant – faisant machine –la plus grande hétérogénéité d'éléments possible, comme le font les schizophrènes. Les fantasmes collectifs existent sans doute, mais ils ne sont pas l'expression du désir, mais bien une forme de réprimer les connexions qui réalisent le désir comme une machine collective de production. Donc, le sujet est responsable de décider sans garantie, mais le considérer pour cela comme l'unité minimale du réel, c'est l'abstraire de la réalité plus vaste qui le compose. L'unité minimale de l'analyse réelle est constituée par les combinaisons d'éléments hétérogènes. C'est l'agencement, comme l'appellent Félix Guattari et Gilles Deleuze.
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La compagnie de Fractus V (Eastman / Sidi Larbi Cherkaoui) comme foyer de régénération pour les interprètes : récit écologique et micropolitique d'un travail de terrain mené au fil de la création et de la tournée d’une création chorégraphique (2015-2018) / The Fractus V’s company (Eastman / Sidi Larbi Cherkaoui)as a regenerative habitat for the performers : an ecological and micropolitical approach of fieldwork moving with and between the rehearsals and touring processes of choreography (2015-2018)

Givors, Martin 21 May 2019 (has links)
Cette recherche s’élabore depuis un travail de terrain mené avec les artistes du spectacle Fractus V (Cie Eastman / choré. Sidi Larbi Cherkaoui) entre juin 2015 et mai 2018. Au fil du récit de cette traversée, de Barcelone à Anvers puis sur les routes d’Europe, une réflexion s’articule progressivement autour de l’interrogation suivante : dans quelle mesure le processus de création et la tournée du spectacle constituent-ils des expériences régénératrices pour les interprètes qui s’y engagent ? Rite de passage à bien des titres, Fractus V repose sur un désir de renouvellement et d’entre’fertilisation (« cross-fertilization ») partagé par neuf interprètes de cultures chorégraphiques et musicales différentes : les danseurs Sidi Larbi Cherkaoui, Dimitri Jourde, Johnny Lloyd, Fabian Thomé Duten et Patrick ‘Twoface’ Williams Seebacher ; les musiciens Soumik Datta, Kaspy N’Dia, Woojae Park et Shogo Yoshii. Leur modus operandi consiste d’abord en deux gestes : les interprètes s’apprennent les uns les autres des danses et s’essaient ensemble à des écritures collectives. Non sans difficultés, la compagnie naissante esquisse peu à peu les contours d’une micropolitique de création embrassant la nécessité de la fabrique d’un commun tout autant que l’inévitable processus de différenciation des interprètes entre eux. Comment les corps parviennent-ils à diffracter les apprentissages ? À faire « à leur manière » sans faire séparément ? À former une compagnie, voire un chœur polyphonique, plutôt qu’un assemblage d’altérités ? C’est à l’étude des pistes de réponse travaillées par les artistes, ainsi qu’à leurs évolutions dans le temps, que se dédie cette thèse. À cette fin, elle élabore une approche ethnographique, écologique et micropolitique des trajectoires et transformations des interprètes en mobilisant les anthropologies des lignes et des modes de Tim Ingold et de François Laplantine, les micropolitiques affectives de Brian Massumi et de Frédéric Lordon, la philosophie ontogénétique de Gilbert Simondon, ainsi que les études poïétiques en danse contemporaine. C’est aux côtés de cette assemblée d’artistes et de penseurs que se formule, au gré de récits et de réflexions théoriques, une pensée de la régénération comme principe d’une micropolitique écologique de l’être en devenir à l’œuvre au sein d’un processus de création chorégraphique collaboratif. / This research developed from fieldwork conducted with the performers of the choreographic worked entitled “Fractus V” by the Eastman/Sidi Larbi company between June 2015 and May 2018. The narrative that unfolds from this fieldwork between Barcelona and Antwerp and thereafter along many roads of Europe revolves around the following questions: To what extent does the choreographic process and the tour of the performance constitute regenerative experiences for the performers involved? How are rites of passage understood? “Fractus V” is motivated by a choreographer’s desire for a renewal and cross-fertilizations shared by nine performers of different choreographic and musical cultures. The dancers include Sidi Larbi, Dimitri Jourde, Johnny Lloyd, Fabian Thomé Duten and Patrick ' Twoface ' Williams Seebacher; and musicians Soumik Datta, Kaspy N’Dia, Woojae Park and Shogo Yoshii. Their modus operandi is twofold: the performers learn each others’ dances and then try together to devise collectively. Not without difficulties, the nascent company gradually sketches out the contours of a creative policy embracing the necessity of “commoning” and differentiation. The thesis asks how do you create a polyphonic company respecting one’s idiosyncratic way of moving while not merely creating an assemblage of difference amongst each other? This thesis includes interviews conducted with the performers, as they evolve over the duration of rehearsals and touring. To this end, it develops an ethnographic, ecological and micropolitical approach analyzing the trajectories and transformations of the performers with Tim Ingold’s and François Laplantine’s anthropological approaches, the philosophy of affect of Brian Massumi and Frédéric Lordon, the ontogenetic philosophy of Gilbert Simondon, as well as the poetic studies in contemporary dance. The combination of the “Fractus V” fieldwork and the theoretical discourse mentioned above both contribute to the notion that the regenerative underpins the performer’s ecological approach of becoming through and with collaborative choreographic devising.
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Mapamundi : Plurivers poïétique : (Mapa Teatro 1984-2014) / Mapamundi : Poïétic plurivers : (Mapa Teatro 1984-2014)

Abderhalden Cortés, Rolf 08 December 2014 (has links)
Mapamundi (du latin mappa mundi, « carte du monde », représentation de toute la superficie de la planète.)La Mapamundi, que je présente dans le cadre de cette thèse doctorale, est un essai de configuration poétique de l’étendue du « plurivers » artistique de Mapa Teatro pendant ses trente ans d’existence (1984-2014). Elle est imprimée sur papier et en même temps sur ma peau, inscrite dans la mémoire du corps. Trace physique d’une histoire, marque géographique d’un affect : à la fois pensée du corps et corps d’une pensée.Les cartes qui représentent la superficie de la Terre utilisent une « projection », une manière de traduire la superficie réelle tridimensionnelle d’un géoïde en un dessin bidimensionnel. Une Mapamundi « projetée » en une forme sensible, réflexive, pluriaxiale, qui se distinguerait d’un type d’analyse taxonomique purement « extérieur », mais aussi de tout catalogue intimiste, exclusivement « intérieur », et même de toute archive supposée intégrale, tel est le défi que je tenterai à présent dans la forme Atlas, « projection » conceptuelle et affective, théorique et poétique, de la Mapamundi de Mapa Teatro.L’Atlas est une forme visuelle du savoir, une forme savante du voir (Didi-Huberman).Une cartographie autant chronographique que chronogénétique, parce qu’elle trace un devenir, parce qu’elle ouvre des possibles. La carte (un espace, un dispositif), le témoin (un point de vue, une subjectivité) et le triptyque (un temps, un événement) constituent les trois axes de projection et d’analyse réflexive choisis pour la configuration de cet Atlas : carte (chapitre I), témoin (chapitre II) et triptyque (chapitre III) réunissent et problématisent un ensemble de figures qui traversent la cartographie poïétique de Mapa Teatro depuis sa création jusqu’à ce jour. Une forme de pensée-montage. / Mapamundi (from latin mappa mundi, « world’s map» a representation (a map) of the entire surface of the planet). The Mapamundi, that I here present, under the frame of this doctoral research, is an attempt to draw a poetical configuration of Mapa Teatro’s artistic «plurivers», built up during its thirty years of existence (1984-2014). It is printed on paper, and at the same time on my skin, engraved in my body’s memory. Physical trace of a history, geographical affectionate token: both the thinking of a body and a body of thought. Maps that represent the surface of the earth make use of a « projection », as a way of translating the real three-dimensional surface of a geoids into a two-dimensional basin. This is a «projected» Mapamundi in a sensible, reflective, pluriaxial form, that distinguishes itself not only from a taxonomic analysis, but also from any type of intimate catalogue, exclusively interior, or of any kind of a presumably overall archive. This is the challenge that I have risked in this Atlas form, a conceptual and affective « projection », both theoretical and poetic, of Mapa Teatro’s Mapamundi. An Atlas is a visual form of knowledge, a savant form of seeing (Didi-Huberman).A cartography in as much as it is both chronographic and chronogenetic, because it draws a becoming, because it opens to the possibles. The map (a space, a device), the witness ( a point of view, a subjectivity ) and the triptych ( a time, an event ) have been the three axis of projection and of reflective analysis chosen to shape this Atlas. Map (Chapter I), Witness (Chapter II) and Tryptique (Chapter III) gather and problematize a group of figures that traverse Mapa Teatro’s since its creation to our days. A form of montage-thought.

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