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Nouvelles données minéralogiques, géochimiques et géochronologiques sur le gisement polymétallique de Tighza (Maroc-Central). : Contribution à la métallogénie des gisements de métaux de base filoniens en contexte post-collisionnel / New mineralogical, geochemical and geochronological data from the Tighza-Jbel Aouam polymetallic deposit (Central Morocco). : Contribution to the metallogeny of vein-type base metal deposits in post-collision context.Tarrieu, Leïla 12 September 2014 (has links)
Au Maroc, de nombreux filons à Pb-Zn-Ag sont encaissés dans des séries paléozoïques recoupées par des granitoïdes tardi-varisques. L'association spatiale de ces filons avec ces intrusions magmatiques a souvent été interprétée comme la preuve d'un lien génétique entre la mise en place des granitoïdes et l'hydrothermalisme minéralisateur. Toutefois, des observations récentes permettraient d'envisager que ces minéralisations puissent être post-hercyniennes, remettant en cause les modèles génétiques, et donc les stratégies d'exploration de ces métaux. Le district polymétallique de Tighza-Jbel Aouam (Maroc central) où des minéralisations à Pb-Zn-Ag sont concentrées autour de petits stocks granitiques est un site privilégié pour étudier les relations spatio-temporelles entre les granitoïdes et les minéralisations associées. Les objectifs de la thèse ont donc été : (i) d'approfondir la minéralogie des minéralisations, (ii) d'utiliser les méthodes géochronologiques les plus pertinentes pour dater les minéralisations, (iii) d'étudier les transferts magmas-fluides-métaux depuis les zones profondes (manteau, croûte inf.) vers les zones les plus superficielles de la lithosphère, à l'aide de traceurs géochimiques. Les stocks et dykes granitiques de Tighza ont été analysés et datés par U/Pb sur zircons. Ces roches appartiennent à une lignée calco-alcaline potassique et les datations mettent en évidence trois évènements magmatiques et hydrothermaux associés: (i) entre 320 et 300 Ma, mise en place de quelques dykes et des stocks granitiques ; (ii) entre 300 et 280 Ma, mise en place d'un pluton, actuellement non affleurant, accompagné par un hydrothermalisme responsable de la formation d'une auréole de métamorphisme hydrothermal, et du développement de minéralisations à W-Au ; (iii) entre 280 et 240 Ma, mise en place d'un réseau important de dykes NE-SW, accompagné par un hydrothermalisme minéralisateur en Pb-Zn-Ag caractérisé par une altération à chlorite-muscovite-calcite des métasédiments encaissants. L'étude détaillée des paragenèses des filons à Pb-Zn-Ag a permis d'établir le caractère pulsatoire de la précipitation des minéralisations. Quatre paragenèses successives ont été identifiées : (P1) stérile à sidérite ± quartz ; (P2) à calcite ± ankérite + sphalérite + galène ± sidérite ± quartz ± calcédoine ; (P3) à sidérite + sphalérite + galène ± quartz ; (P4) stérile à quartz + calcite + pyrite. Ces assemblages minéralogiques synchrones s'accompagnent de minéraux accessoires à éléments des terres rares (monazite, xénotime, synchisite), responsables des hautes teneurs en REE des carbonates de gangue (≃ 700 ppm). Des monazites d'un filon à Pb-Zn-Ag ont pu être datées par Th/Pb à 255 ± 15. L'étude des sources des métaux (isotopes Pb) indique que le plomb des minéralisations Pb-Zn-Ag provient du lessivage de la croûte supérieure. L'étude des sources des fluides minéralisateurs en Pb-Zn-Ag indique une origine crustale (isotopes He, Ar), avec un fort effet tampon par les schistes encaissants les minéralisations (isotopes C, O). Les fluides minéralisateurs en W-Au, sont eux issus d'un mélange entre une source météorique et une source mantellique (isotopes He, Ar), et ont donc une origine distincte du système à Pb-Zn-Ag. Le gisement polymétallique de Tighza-Jbel Aouam est donc caractérisé par le télescopage de plusieurs épisodes magmatiques et hydrothermaux guidés par un accident d'échelle lithosphérique et conduisant à la formation : (i) de minéralisations W-Au mésothermales pouvant être assimilées à un type porphyre, suivies pas (ii) des minéralisations à Pb-Zn-Ag épithermales. Ces épisodes magmatiques et métallogéniques s'étalent sur une durée de près de 80 Ma à la fin de l'orogenèse varisque, et caractérisent parfaitement le contexte post-collisionnel de cet orogène, notamment les effets associés au réequilibrage thermique de la croûte pendant la période permo-triasique et le prérifting Atlantique. / In Morocco, many Pb-Zn-Ag vein-type deposits are hosted in paleozoic series crosscut by variscan granitoids. The spatial association of these veins with the magmatic intrusions has often been interpreted as evidence of a genetic link between the granitoids emplacement and the mineralizing hydrothermal event. However, recent data allow to consider a late-variscan emplacement of these mineralizations. Genetical models must thus be reviewed, as well as the exploration of these base metals strategy. The polymetallic district of Tighza-Jbel Aouam (Central Morocco), were Pb-Zn-Ag vein-type deposits are located around small granitic stocks, has been selected to study the spatial and temporal relationships between granitoids and associated mineralizations. The aims of this work have been: (i) to go further into the mineralizations mineralogy, (ii) to use appropriate geochronological methods to date the mineralizations, (iii) to study the magma-fluids-metals transfers from the deeper areas (mantle, deep crust) to the upper lithosphere, using geochemical tracers. Granitic stocks and dykes of Tighza have been analyzed and dated using U/Pb method on zircons. These rocks belong to a high-K calc-alkaline association and datations show three magmatic and associated hydrothermal events: 320 to 300 Ma, stocks with few dykes emplacement; 300 to 280 Ma, pluton emplacement with associated hydrothermal event and responsible for a hydrothermal metamorphic halo, mineralizing the W-Au ore; (iii) 280 to 240 Ma, NE-SW dykes network emplacement, associated with a Pb-Zn-Ag mineralizing hydrothermal event, characterized by a chlorite-muscovite-calcite alteration of the hosting metasediments. The detailed study of Pb-Zn-Ag veins paragenesis showed the pulsated character of the mineralization precipitations. Four successive paragenesis have been identified: (P1) siderite ± quartz; (P2) calcite ± ankerite + sphalerite + galena ± siderite ± quartz ± chalcedony; (P3) siderite + sphalerite + galena ± quartz ; (P4) quartz + calcite + pyrite. These synchrone paragenese are associated with REE-minerals (monazite, xenotime, synchisite) responsible for the high amount of REE in the gangue carbonates (≃ 700 ppm). Some monazites from a Pb-Zn-Ag vein have been dated at 255 ± 15 Ma using the Th/Pb method. The metals source study (lead isotopes) shows that the Pb of Pb-Zn-Ag mineralizations come from the upper crust leaching. The fluid sources study of Pb-Zn-Ag veins indicates a crustal origin (He, Ar isotopes) strongly buffered by the hosting shales (C, O isotopes). W-Au mineralizing fluids are stemming from a mixing of meteoric and mantellic fluids (He, Ar isotopes). W-Au and Pb-Zn-Ag are thus distinguished mineralizations. The polymetallic district of Tighza-Jbel Aouam is thus characterized by the superposition of several magmatic and hydrothermal events controlled by lithospheric scale leap, leading to the formation of: (i) mesothermal W-Au deposit which can be considered as a porphyry-type mineralization; (ii) epithermal Pb-Zn-Ag mineralization. These magmatic and metallogenic events last over 80 Ma after the end of the varican orogenesis, and characterize the post-collisional context of this orogen, in particular the effects of the thermal balance of the crust during the permo-triassic period and the Atlantic pre-rifting.
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Mineralizações low-e intermediate sulfidation de ouro e de metais de base em domos de riolito paleoproterozóicos na porção sul da provincia mineral do Tapajós / not availableTokashiki, Cláudia do Couto 26 June 2015 (has links)
Essa tese teve como objetivo o estudo das mineralizações de ouro e metais base do Projeto Coringa, localizado na porção sudoeste da Província Mineral do Tapajós, no Cráton Amazônico. A mineralização é composta por diversos veios e zonas de vênulas hospedadas em zonas de falhas em vulcânicas e vulcanoclásticas félsicas cálcio-alcalinas de ca. 1,97 Ga, anteriomente consideradas como pertencentes ao Grupo Uatumã. O estudo permitiu a caracterização de unidades vulcânicas riolíticas, incluindo grandes volumes de rochas vulcanoclásticas e epiclásticas, bem como corpos de andesitos, dacitos e riodacitos, de granitos granofíricos e de pórfiros de composições e idades diversas. Como embasamento das rochas supracrustais foram identificados granitos e granodioritos plutônicos de idade de ca 2,0 Ga. As rochas vulcânicas constituem predominantemente domos de riolito com raros derrames associados e, subordinadamente, diques. Geoquimicamente foram caracterizados como formados em ambiente de margem continental ativa por magmas originados predominantemente na crosta inferior, com possíveis contaminações crustais. Dois conjuntos de riolitos foram identificados, nomeados como Riolito I e Riolito II. O primeiro, de idade de cristalização variando entre 1975 e 1967 Ma (U?Pb SHRIMP em zircão), se caracteriza por sua cor escura, predominantemente negra. Esses compõem predominante os domos. O Riolito II, de idade de ca. 1966 Ma (U-Pb SHRIMP em zircão), é rico em lithophysae e tem cores marrom-avermelhadas e ocorrem predominantemente como diques. As rochas vulcanoclásticas são predominantemente brechas e aglomerados vulcânicos, lapilli-tufos e tufos líticos e de cristais. Subordinadamente foram verificados corpos de welded-tuffs reológicamente deformados formados por fluxos de ignimbritos. Nas vulcanoclásticas predominam fragmentos de riolitos, com ocorrência de um dos tipos de riolito em alguns depósitos ou de ambos em outros, mas também estão presentes fragmentos de rochas hidrotermalizadas e, mais raramente, de rochas andesíticas, dacíticas e riodacíticas. Os cristais e fragmentos de cristais são predominantemente de feldspato potássico e de quartzo, comumente com relíquias de hábito bipiramidado e com fraturas conchoidais resultantes de atividades explosivas. A matriz foi muitas vezes vítrea, conforme atestado pelas texturas esferulíticas cristalizadas. Uma idade U-Pb SHRIMP em zircão obtido para essas rochas resultou em ca. 1966 Ma. As rochas vulcânicas e vulcanoclásticas estudadas foram anteriormente cartografadas como pertencentes ao Grupo Iriri, mas as idades indicam que esse evento vulcânico antecedeu esse magmatismo em pelo menos 90 Ma. Três tipos dos pórfiros foram idenficados, com composições variando de riolítica a riodacítica, com granulação grossa a fina e com matriz muito fina a afanítica. Esses se associam a estruturas circulares menores em planta, com fraturas radiadas, sugerindo comporem pequenos stocks. Suas idades de cristalização variam entre 1959 e 1980 Ma (U-Pb SHRIMP em zircão), indicando, dentro dos erros, formação contemporânea ao mesmo evento que gerou as rochas vulcânicas. Entretanto, as variações composicionais e geoquímicas sugerem fontes de magmas distintas. Em alguns corpos observam-se xenólitos de vulcânicas e de granito granofírico fino, assim como fragmentos de pórfiros nas rochas vulcanoclásticas, indicando ter havido diversos estágios de intrusão de pórfiros na região. Também ocorrem diversos corpos de granitos intrusivos nas sequências vulcânicas, mas outros corpos parecem ser anteriores ao vulcanismo. Suas idades variam entre 1959 e 1980 Ma (U-Pb SHRIMP em zircão). O principal corpo formado por granito é granofírico com abundantes cavidades miarolíticas, indicando ambiente crustal de colocação rasa. Um corpo de granodiorito de granulação grossa, de idade semelhante (ca. 1955 Ma, U-Pb SHRIMP em zircão), com características típicas de ambiente de cristalização mais profundo, foi também identificado na área. Essas rochas constam nos mapas geológicos como pertencentes às suítes Parauari e Maloquinha, mas as idades são mais antigas que as das rochas da Suite Intrusiva Parauari, e suas características geoquímicas cálcio-alcalinas e as idades não permitem correlações com as rochas da Suíte Intrusiva Maloquinha. O embasamento das unidades vulcânicas na região consta nos mapas geológicos como sendo formado por rochas da Suite Intrusiva Parauari e, mais a sudoeste, aflorariam rochas da Suíte Intrusiva Creporizão, formada basicamente por tonalitos e granodioritos. No entanto, no embasamento das rochas vulcânicas foram identificados granitos finos cinzas a levemente rosados, com idades variando de ca. 2123 Ma a ca. 2023 Ma (U-Pb SHRIMP em zircão), também mais antigas que as unidades previamente consideradas, além de granodioritos. Os pórfiros, as rochas vulcânicas e vulcanoclásticas, e em menor grau os granitos, foram hidrotermalizados em extensos sistemas hidrotermais, tendo sido reconhecidas zonas com metassomatismo potássico e alterações propilítica, sericítica (por vezes com adulária) e argílicas, além de carbonatização com calcita manganesífera e silicificação, todas em intensidades muito variadas. Nas zonas mineralizadas e nas suas proximidades, a alteração hidrotermal é, tipicamente, representada por forte alteração sericítica, com carbonatos subordinados em algumas áreas. As mineralizações se associam predominantemente com forte alteração sericítica com adulária, silicificação, sulfetização e, mais localmente, carbonatização. As alterações hidrotermais nos riolitos e nas rochas vulcanoclásticas e, em parte, também nos pórfiros, ocorrem nos estilos pervasivo e, principalmente, fissural. O metassomatismo potássico foi caracterizado pela associação de feldspato potássico + biotita secundária ± quartzo, a alteração propilítica por clorita + epidoto + quartzo + albita ± carbonatos ± pirita, a alteração sericítica por quartzo + sericita + sulfetos ou quartzo + sericita + adulária, a alteração argílica por argilo-minerais com com illita predominante, a alteração carbonática pela calcita manganesífera e a sulfetização por pirita predominante, com calcopirita, bornita, calcocita, esfalerita e galena subordinados. Entretanto, pode haver concentração de um ou mais desses minerais em algumas áreas ou veios. A mineralização de ouro e de metais de base ocorre predominantemente em veios e vênulas de quartzo estruturalmente controlados por falhas rúpteis. Apresenta caráter polimetálico polifásico, tendo comumente a associação galena + pirita + calcopirita ± esfalerita ± ouro ± electrum ± prata. Os veios mineralizados parecem se concentrar nos domos do Riolito I e nas suas proximidades, o que, conjuntamente com o tipo epitermal da mineralização, sugere uma relação genética entre a formação dos domos e a intrusão dos pórfiros com a deposição dos metais preciosos e de base. Entretanto, diques do Riolito II hidrotermalizados podem também ocorrer associados às mineralizações. Adicionalmente, zonas de stockworks intensamente hidrotermalizadas e com indícios de sulfetos de metais de base estão presentes na área, sugerindo também potencial para ocorrência de mineralizações do tipo pórfiro nesse evento magmático datado em ca. 1,97 Ga. A mineralogia, os modos de ocorrência, a associação com as hospedeiras, os zonamentos e a evolução fluidal são típicas de sistemas magmáticos-hidrotermais epitermais rasos. A presença de adulária nas mineralizações permite caracterizar esses sistemas mineralizantes como epitermais low-sulfidation e a presença de carbonatos manganesíferos e a abundância de metais de base evidenciam gradações para sistemas intermediate-sulfidation. / This thesis had as objective the study of the gold and base metal mineralization of the Coringa Prospect, located in the southwest portion of the Tapajós Mineral Province in the Amazonian Craton. The mineralization is hosted in a fault zone with vein and veinlets associated to volcanic and volcanoclastic calc-alkaline rocks with ca. 1.97 Ga, before considered related to the Uatuma Group. This study allowed to characterize rhyolitic volcanic units, (including volcanoclastic and epiclastic components), as well as andesites, dacites and rhyodacites, granophyric granite, and porphyries of different composition and ages. Plutonic rocks ca. 2,0 Ga were identified, where granites and granodiorites represent the basement of this volcanic sequence. The volcanic rocks comprise predominantly rhyolite domes with associated unusual flows) and subordinate dikes. They were formed in active continental margin, with magmas generated predominantly in the lower crust, with possible crustal contamination. Two sets of rhyolites have been identified, named Rhyolite I and Rhyolite II. The first occurs as domes, and is characterized by its dark color, predominantly black, and has U-Pb SHRIMP ages in zircon between 1975 and 1967 Ma.. The Rhyolite II, whose age is ca. 1966 Ma, occurs in dikes, is enriched in lithophysae and it has reddish-brown color. The volcaniclastic rocks encompass breccias, volcanic agglomerates, lapilli-tuff and tuff with lithic and crystal fragments and, subordinate, rheologically-deformed welded tuffs by ignimbrite flows. The rhyolite fragments predominate in the volcanoclastic rocks, with occurrence of one type of rhyolite in some deposits or both in others. Fragments of hydrothermally altered rocks and, more rarely, of andesitic, dacitic and rhyodacitic rocks and porphyries have been also recognized. The crystals and crystal fragments are predominantly of potassic feldspar and quartz, often with remains as result of explosive activities. The groundmass is proven by spherulitic textures. An U-Pb SHRIMP age in zircon obtained for these rocks resulted in ca. 1966 Ma. Volcanic and volcanoclastic rocks, before considered related to Iriri Group, show ages 90 Ma older than this volcanic event. Three porphyry samples were dated, varying from rhyolitic to rhyodacitic, coarse to fine-grained and aphanitic matrix. They are associated to small circular structures, with radial fractures, suggesting the presence of small stocks. Crystallization ages between 1959 and 1980 Ma (U-Pb SHRIMP in zircon), indicate, within the age errors, that the porphyries and volcanic rocks are coeval and may be formed in the same event. However, the compositional variations and geochemistry data suggest different sources. In some bodies is possible to find xenoliths of volcanics and fine-grained granophyric granite. Also were described porphyry fragments in volcaniclastic rocks and as intrusions in fine-grained granophyric granite, indicating different events of porphyry intrusion in the region. Several bodies of granitic intrusive rocks in the volcanic sequences have been also characterized, and their ages vary between 1959 and 1980 Ma (U-Pb SHRIMP in zircon). The main granophyric granite body with abundant miarolitic cavities indicates its emplacement in shallow crustal environment. A coarse-grained granodiorite of similar age (ca. 1955 Ma, U-Pb SHRIMP in zircon), shows typical characteristics that reflect emplacement in deep crustal environment. These rocks of this region were considered as part of the Parauari and Maloquinha suites, but their ages indicate that these rocks are older than those suites and their calc-alkaline geochemistry patterns and age do not allow correlation with the rocks of Maloquinha suite. The basement of the volcanic units has been previously attributed to the Parauari Intrusive Suite and to the Creporizão Intrusive Suite, composed mainly of tonalite and granodiorite. However, in the Coringa area, the basement is represented by fine-grained, gray to pinkish granite with ages ranging from ca. 2123 Ma to ca. 2023 Ma, which are also older than the units previously considered. Porphyries, volcanics, volcanoclastics and granites were altered by hydrothermal fluids in different type and styles, including potassium metasomatism, propylitic, sericitic (sometimes with adularia) and argillic alteration. Also were identified carbonate with manganoan calcite and variable intensity of silicification. At mineralization zones and in its vicinity, hydrothermal alteration is typically represented by strong sericitic alteration, with carbonates in some places. The mineralized zones are associated with sericitic alteration (with adularia), silicification, sulfidization and carbonation. Hydrothermal alteration occurs in pervasive style, but mainly in fissural style, and it is associated to both types of rhyolites and volcanoclastic rocks, and partially affects the porphyry lithotypes. Potassium metasomatism is evidenced by association of potassium feldspar + biotite ± quartz, propylitic alteration by chlorite + epidote + quartz + albite ± carbonate ± pyrite, sericitic alteration by quartz + sericite + quartz + sulfide or sericite + adularia, argillic predominantly with illite carbonate by manganoan calcite, silicification and sulfide formation, with chalcopyrite, bornite, chalcocite, sphalerite and garnet. The gold and base metal mineralization occurs predominantly in veins and quartz veinlets, which are structurally controlled by brittle faults. The mineralization is polymetallic and polyphasic, and commonly is represented by pyrite + galena + chalcopyrite ± sphalerite ± gold ± silver ± electrum. The mineralized veins seem to focus in the Rhyolite I domes and its neighbor areas, which, together with the type of epithermal mineralization suggest a genetic relationship between the formation of domes and the intrusion of porphyries with the precious and base metals deposition. However, dikes of Rhyolite II hydrothermalized occur associated to mineralization. Additionally, intense hydrothermally-altered stockwork zones with evidences of base metal mineralization have been identified, suggesting a potential for the occurrence of porphyry-type mineralization related to this ca. 1.97 Ga magmatic event. The mineralogy, the occurrence mode, the relationship with the host rocks, the zoning and fluid evolution are typical of shallow epithermal magmatic-hydrothermal systems. The presence of adularia in mineralization allows its classification as low-sulfidation epithermal. Additionally, the presence of manganoan carbonates and the abundance of base metals point to gradations to intermediate-sulfidation epithermal systems.
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Mineralizações low-e intermediate sulfidation de ouro e de metais de base em domos de riolito paleoproterozóicos na porção sul da provincia mineral do Tapajós / not availableCláudia do Couto Tokashiki 26 June 2015 (has links)
Essa tese teve como objetivo o estudo das mineralizações de ouro e metais base do Projeto Coringa, localizado na porção sudoeste da Província Mineral do Tapajós, no Cráton Amazônico. A mineralização é composta por diversos veios e zonas de vênulas hospedadas em zonas de falhas em vulcânicas e vulcanoclásticas félsicas cálcio-alcalinas de ca. 1,97 Ga, anteriomente consideradas como pertencentes ao Grupo Uatumã. O estudo permitiu a caracterização de unidades vulcânicas riolíticas, incluindo grandes volumes de rochas vulcanoclásticas e epiclásticas, bem como corpos de andesitos, dacitos e riodacitos, de granitos granofíricos e de pórfiros de composições e idades diversas. Como embasamento das rochas supracrustais foram identificados granitos e granodioritos plutônicos de idade de ca 2,0 Ga. As rochas vulcânicas constituem predominantemente domos de riolito com raros derrames associados e, subordinadamente, diques. Geoquimicamente foram caracterizados como formados em ambiente de margem continental ativa por magmas originados predominantemente na crosta inferior, com possíveis contaminações crustais. Dois conjuntos de riolitos foram identificados, nomeados como Riolito I e Riolito II. O primeiro, de idade de cristalização variando entre 1975 e 1967 Ma (U?Pb SHRIMP em zircão), se caracteriza por sua cor escura, predominantemente negra. Esses compõem predominante os domos. O Riolito II, de idade de ca. 1966 Ma (U-Pb SHRIMP em zircão), é rico em lithophysae e tem cores marrom-avermelhadas e ocorrem predominantemente como diques. As rochas vulcanoclásticas são predominantemente brechas e aglomerados vulcânicos, lapilli-tufos e tufos líticos e de cristais. Subordinadamente foram verificados corpos de welded-tuffs reológicamente deformados formados por fluxos de ignimbritos. Nas vulcanoclásticas predominam fragmentos de riolitos, com ocorrência de um dos tipos de riolito em alguns depósitos ou de ambos em outros, mas também estão presentes fragmentos de rochas hidrotermalizadas e, mais raramente, de rochas andesíticas, dacíticas e riodacíticas. Os cristais e fragmentos de cristais são predominantemente de feldspato potássico e de quartzo, comumente com relíquias de hábito bipiramidado e com fraturas conchoidais resultantes de atividades explosivas. A matriz foi muitas vezes vítrea, conforme atestado pelas texturas esferulíticas cristalizadas. Uma idade U-Pb SHRIMP em zircão obtido para essas rochas resultou em ca. 1966 Ma. As rochas vulcânicas e vulcanoclásticas estudadas foram anteriormente cartografadas como pertencentes ao Grupo Iriri, mas as idades indicam que esse evento vulcânico antecedeu esse magmatismo em pelo menos 90 Ma. Três tipos dos pórfiros foram idenficados, com composições variando de riolítica a riodacítica, com granulação grossa a fina e com matriz muito fina a afanítica. Esses se associam a estruturas circulares menores em planta, com fraturas radiadas, sugerindo comporem pequenos stocks. Suas idades de cristalização variam entre 1959 e 1980 Ma (U-Pb SHRIMP em zircão), indicando, dentro dos erros, formação contemporânea ao mesmo evento que gerou as rochas vulcânicas. Entretanto, as variações composicionais e geoquímicas sugerem fontes de magmas distintas. Em alguns corpos observam-se xenólitos de vulcânicas e de granito granofírico fino, assim como fragmentos de pórfiros nas rochas vulcanoclásticas, indicando ter havido diversos estágios de intrusão de pórfiros na região. Também ocorrem diversos corpos de granitos intrusivos nas sequências vulcânicas, mas outros corpos parecem ser anteriores ao vulcanismo. Suas idades variam entre 1959 e 1980 Ma (U-Pb SHRIMP em zircão). O principal corpo formado por granito é granofírico com abundantes cavidades miarolíticas, indicando ambiente crustal de colocação rasa. Um corpo de granodiorito de granulação grossa, de idade semelhante (ca. 1955 Ma, U-Pb SHRIMP em zircão), com características típicas de ambiente de cristalização mais profundo, foi também identificado na área. Essas rochas constam nos mapas geológicos como pertencentes às suítes Parauari e Maloquinha, mas as idades são mais antigas que as das rochas da Suite Intrusiva Parauari, e suas características geoquímicas cálcio-alcalinas e as idades não permitem correlações com as rochas da Suíte Intrusiva Maloquinha. O embasamento das unidades vulcânicas na região consta nos mapas geológicos como sendo formado por rochas da Suite Intrusiva Parauari e, mais a sudoeste, aflorariam rochas da Suíte Intrusiva Creporizão, formada basicamente por tonalitos e granodioritos. No entanto, no embasamento das rochas vulcânicas foram identificados granitos finos cinzas a levemente rosados, com idades variando de ca. 2123 Ma a ca. 2023 Ma (U-Pb SHRIMP em zircão), também mais antigas que as unidades previamente consideradas, além de granodioritos. Os pórfiros, as rochas vulcânicas e vulcanoclásticas, e em menor grau os granitos, foram hidrotermalizados em extensos sistemas hidrotermais, tendo sido reconhecidas zonas com metassomatismo potássico e alterações propilítica, sericítica (por vezes com adulária) e argílicas, além de carbonatização com calcita manganesífera e silicificação, todas em intensidades muito variadas. Nas zonas mineralizadas e nas suas proximidades, a alteração hidrotermal é, tipicamente, representada por forte alteração sericítica, com carbonatos subordinados em algumas áreas. As mineralizações se associam predominantemente com forte alteração sericítica com adulária, silicificação, sulfetização e, mais localmente, carbonatização. As alterações hidrotermais nos riolitos e nas rochas vulcanoclásticas e, em parte, também nos pórfiros, ocorrem nos estilos pervasivo e, principalmente, fissural. O metassomatismo potássico foi caracterizado pela associação de feldspato potássico + biotita secundária ± quartzo, a alteração propilítica por clorita + epidoto + quartzo + albita ± carbonatos ± pirita, a alteração sericítica por quartzo + sericita + sulfetos ou quartzo + sericita + adulária, a alteração argílica por argilo-minerais com com illita predominante, a alteração carbonática pela calcita manganesífera e a sulfetização por pirita predominante, com calcopirita, bornita, calcocita, esfalerita e galena subordinados. Entretanto, pode haver concentração de um ou mais desses minerais em algumas áreas ou veios. A mineralização de ouro e de metais de base ocorre predominantemente em veios e vênulas de quartzo estruturalmente controlados por falhas rúpteis. Apresenta caráter polimetálico polifásico, tendo comumente a associação galena + pirita + calcopirita ± esfalerita ± ouro ± electrum ± prata. Os veios mineralizados parecem se concentrar nos domos do Riolito I e nas suas proximidades, o que, conjuntamente com o tipo epitermal da mineralização, sugere uma relação genética entre a formação dos domos e a intrusão dos pórfiros com a deposição dos metais preciosos e de base. Entretanto, diques do Riolito II hidrotermalizados podem também ocorrer associados às mineralizações. Adicionalmente, zonas de stockworks intensamente hidrotermalizadas e com indícios de sulfetos de metais de base estão presentes na área, sugerindo também potencial para ocorrência de mineralizações do tipo pórfiro nesse evento magmático datado em ca. 1,97 Ga. A mineralogia, os modos de ocorrência, a associação com as hospedeiras, os zonamentos e a evolução fluidal são típicas de sistemas magmáticos-hidrotermais epitermais rasos. A presença de adulária nas mineralizações permite caracterizar esses sistemas mineralizantes como epitermais low-sulfidation e a presença de carbonatos manganesíferos e a abundância de metais de base evidenciam gradações para sistemas intermediate-sulfidation. / This thesis had as objective the study of the gold and base metal mineralization of the Coringa Prospect, located in the southwest portion of the Tapajós Mineral Province in the Amazonian Craton. The mineralization is hosted in a fault zone with vein and veinlets associated to volcanic and volcanoclastic calc-alkaline rocks with ca. 1.97 Ga, before considered related to the Uatuma Group. This study allowed to characterize rhyolitic volcanic units, (including volcanoclastic and epiclastic components), as well as andesites, dacites and rhyodacites, granophyric granite, and porphyries of different composition and ages. Plutonic rocks ca. 2,0 Ga were identified, where granites and granodiorites represent the basement of this volcanic sequence. The volcanic rocks comprise predominantly rhyolite domes with associated unusual flows) and subordinate dikes. They were formed in active continental margin, with magmas generated predominantly in the lower crust, with possible crustal contamination. Two sets of rhyolites have been identified, named Rhyolite I and Rhyolite II. The first occurs as domes, and is characterized by its dark color, predominantly black, and has U-Pb SHRIMP ages in zircon between 1975 and 1967 Ma.. The Rhyolite II, whose age is ca. 1966 Ma, occurs in dikes, is enriched in lithophysae and it has reddish-brown color. The volcaniclastic rocks encompass breccias, volcanic agglomerates, lapilli-tuff and tuff with lithic and crystal fragments and, subordinate, rheologically-deformed welded tuffs by ignimbrite flows. The rhyolite fragments predominate in the volcanoclastic rocks, with occurrence of one type of rhyolite in some deposits or both in others. Fragments of hydrothermally altered rocks and, more rarely, of andesitic, dacitic and rhyodacitic rocks and porphyries have been also recognized. The crystals and crystal fragments are predominantly of potassic feldspar and quartz, often with remains as result of explosive activities. The groundmass is proven by spherulitic textures. An U-Pb SHRIMP age in zircon obtained for these rocks resulted in ca. 1966 Ma. Volcanic and volcanoclastic rocks, before considered related to Iriri Group, show ages 90 Ma older than this volcanic event. Three porphyry samples were dated, varying from rhyolitic to rhyodacitic, coarse to fine-grained and aphanitic matrix. They are associated to small circular structures, with radial fractures, suggesting the presence of small stocks. Crystallization ages between 1959 and 1980 Ma (U-Pb SHRIMP in zircon), indicate, within the age errors, that the porphyries and volcanic rocks are coeval and may be formed in the same event. However, the compositional variations and geochemistry data suggest different sources. In some bodies is possible to find xenoliths of volcanics and fine-grained granophyric granite. Also were described porphyry fragments in volcaniclastic rocks and as intrusions in fine-grained granophyric granite, indicating different events of porphyry intrusion in the region. Several bodies of granitic intrusive rocks in the volcanic sequences have been also characterized, and their ages vary between 1959 and 1980 Ma (U-Pb SHRIMP in zircon). The main granophyric granite body with abundant miarolitic cavities indicates its emplacement in shallow crustal environment. A coarse-grained granodiorite of similar age (ca. 1955 Ma, U-Pb SHRIMP in zircon), shows typical characteristics that reflect emplacement in deep crustal environment. These rocks of this region were considered as part of the Parauari and Maloquinha suites, but their ages indicate that these rocks are older than those suites and their calc-alkaline geochemistry patterns and age do not allow correlation with the rocks of Maloquinha suite. The basement of the volcanic units has been previously attributed to the Parauari Intrusive Suite and to the Creporizão Intrusive Suite, composed mainly of tonalite and granodiorite. However, in the Coringa area, the basement is represented by fine-grained, gray to pinkish granite with ages ranging from ca. 2123 Ma to ca. 2023 Ma, which are also older than the units previously considered. Porphyries, volcanics, volcanoclastics and granites were altered by hydrothermal fluids in different type and styles, including potassium metasomatism, propylitic, sericitic (sometimes with adularia) and argillic alteration. Also were identified carbonate with manganoan calcite and variable intensity of silicification. At mineralization zones and in its vicinity, hydrothermal alteration is typically represented by strong sericitic alteration, with carbonates in some places. The mineralized zones are associated with sericitic alteration (with adularia), silicification, sulfidization and carbonation. Hydrothermal alteration occurs in pervasive style, but mainly in fissural style, and it is associated to both types of rhyolites and volcanoclastic rocks, and partially affects the porphyry lithotypes. Potassium metasomatism is evidenced by association of potassium feldspar + biotite ± quartz, propylitic alteration by chlorite + epidote + quartz + albite ± carbonate ± pyrite, sericitic alteration by quartz + sericite + quartz + sulfide or sericite + adularia, argillic predominantly with illite carbonate by manganoan calcite, silicification and sulfide formation, with chalcopyrite, bornite, chalcocite, sphalerite and garnet. The gold and base metal mineralization occurs predominantly in veins and quartz veinlets, which are structurally controlled by brittle faults. The mineralization is polymetallic and polyphasic, and commonly is represented by pyrite + galena + chalcopyrite ± sphalerite ± gold ± silver ± electrum. The mineralized veins seem to focus in the Rhyolite I domes and its neighbor areas, which, together with the type of epithermal mineralization suggest a genetic relationship between the formation of domes and the intrusion of porphyries with the precious and base metals deposition. However, dikes of Rhyolite II hydrothermalized occur associated to mineralization. Additionally, intense hydrothermally-altered stockwork zones with evidences of base metal mineralization have been identified, suggesting a potential for the occurrence of porphyry-type mineralization related to this ca. 1.97 Ga magmatic event. The mineralogy, the occurrence mode, the relationship with the host rocks, the zoning and fluid evolution are typical of shallow epithermal magmatic-hydrothermal systems. The presence of adularia in mineralization allows its classification as low-sulfidation epithermal. Additionally, the presence of manganoan carbonates and the abundance of base metals point to gradations to intermediate-sulfidation epithermal systems.
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Altérations hydrothermales, minéralisation Cu-Ag et géologie structurale des roches volcaniques de la Mine de Seival, Bassin Néoprotérozoïque de Camaquã, Sud du Brésil / Hydrothermal alterations, Cu-Ag mineralizations and structural geology of the volcanic rocks from Seival Mine, Camaquã Neoproterozoic Basin, Southern BrazilLopes, Rodrigo Winck 23 October 2018 (has links)
Les roches vulcanogéniques de la Mine de Seival appartiennent à la Formation Hilário du Bassin de Camaquã, d’âge Néoprotérozoique. Ces roches contiennent six mines inactives avec diverses prospections de cuivre–argent. Les minéralisations semblent associées à un contrôle structurel intense du régime ruptile. La compréhension de la transformation chimique de l’hydrothermalisme associé aux paléo-contraintes est assez faible dans la région. Nous proposons de caractériser la chimie des minéraux des phases magmatiques, tardi–magmatiques et hydrothermales ainsi que de comprendre les contraintes structurales et la géochimie des veines tardives de barytine et calcite. Pour ce faire, nous avons effectué des analyses minéralogiques, et chimiques des phases magmatiques et d’altération. La chimie minérale associée à la modélisation thermodynamique a permis de caractériser l’altération comme tardi– magmatique. L’albitisation (650 à 350 °C) s’est produite en association avec une chloritisation (312 à 120 °C) et avec de la pyrite et de la chalcopyrite. Les températures les plus basses (150 à 50 °C) ont été reliées à la formation de smectite et d’inter-stratifié de chlorite/smectite et avec de la chalcocite–covellite, chalcocite–bornite ou barytine. Nous effectuons les analyses structurales des mesures de cinématique et de la direction des failles/fractures. L’analyse structurale a montré trois contraintes principales survenant dans la Mine Seival et dans le District Minier de Lavras do Sul : compression NW–SW ; compression NE–SW ; distension ENE–SWS. La contrainte NW–SE est la principale direction de contrainte associée à la minéralisation et aux filons minéralisés dans ces deux régions. / The volcanogenic rocks of the Seival Mine belong to Hilário Formation from Camaquã Basin, with ages Neoproterozoic. These rocks contain six inactive mines with various prospects of copper-silver. Mineralization are associated with intense structural control in brittle regime. Chemical transformation of hydrothermal alteration associated with paleostress is not very well understood in the region. We propose a characterization of mineral chemistry of the magmatic phases, tardi–magmatic and hydrothermal as well as understand the paleostress and geochemistry of late veins. For this, we realized analyses of mineral chemistry of magmatic and alteration phase. Mineral chemistry coupled with thermodynamic modeling allowed to characterize the alteration as tardi–magmatic. The albitization (650 to 350 °C) occurred in association with chloritization (312 to 120 °C), and with pyrite and chalcopyrite. The lowest temperatures (150 to 50 °C) were related to formation of smectite and interlayered chlorite/smectite, and with chalcocite–covellite, chalcocite–bornite or barite. We perform structural analyzes through kinematic measures and failure/fracture directions. The analysis on faults, fractures and mineralization showed three main stresses occurring in the Seival Mine and Lavras do Sul Mining District: NW–SE compression; NE–SW compression; ENE–SWS distension. The NW–SE paleostress is the main effort related to the dikes and mineralization in both areas.
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