Spelling suggestions: "subject:"montré (québec)""
181 |
Housing of female single-parent families with special reference to Point St. CharlesBourianova, Ioulia. January 1996 (has links)
No description available.
|
182 |
Goal attainment, social exchange and power relations : a search for guiding principles for organizing strategySin, Ricky W. C. (Ricky Wai-Chuen) January 1995 (has links)
No description available.
|
183 |
Women prisoners and modern methods of prison control : a comparative study of two Canadian women’s prisonsWatson, Catherine M. January 1980 (has links)
Note:
|
184 |
Le financement des services métropolitains et l’usage de la tarification, particulièrement dans le cas du service de la police dans la Communauté Urbaine de MontréalLarin, Gilles. January 1979 (has links)
Note:
|
185 |
Montreal's musical life under the Union, with an emphasis on the terminal years, 1841 and 1867Slemon, Peter John. January 1975 (has links)
No description available.
|
186 |
L'École sociale populaire et le syndicalisme catholique 1911-1949Saint-Amant, Jean-Claude 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
|
187 |
L'Action française : l'appel à la raceRobertson, Susan (Mann) 25 April 2018 (has links)
Maurice Barrés referred to the French Canadian survival in North America as "le miracle canadien ". In his novels and his parliamentary speeches, Barrés divulged his romantic attachment to the maintenance of French traditions. Recognition from a prestigious Frenchman was heart-warming to French Canadians. They acknowledged the attention by granting Barrés priority in the literary pages of Quebec1 s newspapers. The survival of French Canada however, was neither miraculous nor romantic. It was a perpetual struggle. That there was glory in the struggle, abbé Groulx was most anxious to portray. But the struggle itself stemmed from the determination, the will, the very character of the French Canadians. Institutions, traditions, social, religious and political patterns might help to form that character, to maintain its strength and cohesion; ultimately though, they were secondary, accessory to the fundamental belief in and desire for survival. It was the moral resolution of the French Canadian people that maintained their existence in North America. As long as time, place and language kept most French Canadians far from the madding crowd, the volition could remain in the realm of the sub-conscience. When the twentieth century brought its international communications in the form of war, its industrial development and techniques in the form of foreign capital and English tongue, its population growth in the form of sprawling and seductive cities, its political changes in the form of crumbling empires and nascent states, sub-conscious resistance or ignorant apathy would no longer suffice. French Canadians had to confront the novelties of the twentieth century actively. The domestic repercussions of the First World War shook the passivity of many French Canadians. The war1s summons for duty, patriotism and heroism contrasted sharply with Ontario’s educational persecution of the French speaking minority. The war's appeal to aid the two mother countries could not sweeten the bitter pill of conscription. The war's emotions of distrust and hatred coloured the furor of the federal elections of 1917. Each incident emphasized the feeble and unwelcome position of French Canada in Confederation. In a post-war world context of political and social effervescence, Confederation itself appeared feeble. Disunity, division, disequilibrium and disintegration characterized the economic, social and political scene. Where would French Canada stand in a disrupted Canada? Posing the question, piquing the apathy and prodding the will was the Action Française. Commencing as the Ligue des Droits du français in 1913, the Action Française was a small group of middle-aged men in the liberal professions, using intellectual means to present a moral message. Until 1928, the Action Française, heavily spicing its doctrine with the imagery of battle, urged an energetic reaction to the contemporary novelties that threatened French Canada (2). The tale of the Action Française as doctors and teachers of the French Canadian national conscience involves the selection of sustenance from Canadian predecessors and from a French homonym, the internal history and the external activities of the movement and the confrontation with the linguistic, economic, social and political challenges to the French Canadian will to survive. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
|
188 |
Antoine Plamondon (1804-1895) : le chemin de croix de l'église Notre-Dame de MontréalLacasse, Yves, Lacasse, Yves 23 April 2024 (has links)
« Inaugurée en juin 1829 et considérée à l'époque comme le plus remarquable édifice de toute l'Amérique du Nord, l'actuelle église Notre-Dame de Montréal est l'oeuvre de l'architecte James O'Donnell (1774-1830). En 1834, on commandait au peintre américain James Bowman (1793-1842), alors de passage à Montréal, un chemin de croix pour la nouvelle église. Pris de découragement devant l'ampleur de la tâche à accomplir, ce dernier abandonna toutefois rapidement son chantier. C'est en 1836 que l'on songea à faire appel au talent reconnu du peintre Antoine Plamondon pour que les paroissiens de Notre-Dame puissent enfin bénéficier de tous les privilèges et indulgences rattachés à la nouvelle dévotion au chemin de croix, implantée ici en 1820. Terminé en 1839, le chemin de croix de Plamondon se rallia les éloges les plus enthousiastes. Malgré une critique favorable unanime, les autorités ecclésiastiques, pour des raisons d'orthodoxie religieuse, se virent pourtant dans l'obligation de refuser au peintre ses quatorze tableaux, étant donné que les scènes de la Passion, sélectionnées par Plamondon, ne correspondaient pas aux épisodes habituels du chemin de croix. Un chemin de croix importé de Rome prie finalement place sur les murs de l'église Notre-Dame en 1847 avant d'être remplacé, dans les années 1870, par l'actuel chemin de croix. D'abord remisé à l'atelier du peintre, le chemin de croix de Plamondon orna finalement la nef de la nouvelle église Saint-Patrick de Montréal, à compter de 1847. A la fin du 19e siècle, on entreposa à nouveau les oeuvres et c'est sans doute à cette époque que plus de la moitié d'entre elles disparurent. Au début des années 1930, les six tableaux qui restaient du chemin de croix initial prirent place sur les murs de l'Institution des Sourds-Muets de la rue Saint-Laurent à Montréal pour se retrouver enfin dans les collections du Musée des beaux-arts de Montréal à partir de 1961. On ne saurait aborder ces six grandes compositions sans tenir compte des huit oeuvres aujourd'hui disparues. A cet effet, nous avons tenté, grâce à de nombreux recoupements, une première reconstitution du chemin de croix intégral de Plamondon. Cet exercice nous aura permis de mesurer l'effort qu'ont pu exiger de l'artiste la conception et la réalisation de cet ensemble. Après avoir sélectionné les sources qui allaient lui servir de modèles pour chacune des quatorze stations de son chemin de croix, Plamondon a entrepris de les transposer sur des toiles tout en s'efforçant de maintenir une certaine unité. L'utilisation de sources gravées dans au moins une dizaine de cas lui aura permis de démontrer son indéniable talent de coloriste. Il n'est alors pas étonnant que l'artiste ait tenu à signer la plupart de ses copies, comme il l'aurait fait pour des compositions originales. En redonnant la place qui lui revient à cet ensemble unique dans la production artistique québécoise de la première moitié du 19e siècle, nous avons tenté de démontrer à quel point ce groupe d'oeuvres, par sa facture, témoigne à la fois de la formation, du talent et des conceptions artistiques de l'un des chefs de file de notre école de peinture. Par leur iconographie, ces oeuvres nous révèlent en outre l'âme d'une époque et nous permettent d'éclairer le contexte dans lequel elles ont été produites et reçues. »--Pages préliminaires
|
189 |
Louis-Antoine Dessaulles, rédacteur du Pays (1er mars 1861-24 décembre 1863), journaliste libéral doctrinairePiette, Christine 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
|
190 |
La conception de la démocratie chez l'École sociale populaire, 1930-1960Demers, Christiane 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
|
Page generated in 0.0764 seconds