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L'art tragique, ou, La vie : l'esthétique de Nietzsche comme renversement de la mimêsis platonicienneDoyon, Frédérique January 1998 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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The three phases of Nietzsche’s philosophy.Wiseman, Solomon. January 1923 (has links)
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The educational thought of Nietzsche /Lobo, Harold Francis Pius. January 1977 (has links)
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Penser la crise écologique à partir de NietzscheBoulanger-Côté, Francis 02 February 2024 (has links)
Pour Nietzsche, le déclin de la croyance en Dieu est le symptôme du déclin de la croyance au suprasensible, laquelle a modelé plus de deux milles ans d'histoire occidentale. Puisque nous avions jusqu'alors justifié la façon dont nous menions nos vies sur le fondement de cette croyance, la mort de Dieu sera désignée par Nietzsche comme étant l'événement inaugural d'une crise culturelle sans précédent. Toute sa philosophie vise ainsi à préparer une nouvelle institution de valeurs qui puisse surmonter cette crise. Puisque la prise de conscience de l'importance des changements climatiques annoncés rend difficile de justifier nos modes de vie, la crise environnementale peut et doit être comprise comme une crise culturelle de l'ordre de celle identifiée par Nietzsche. Cependant, tandis que le philosophe prévenait son époque de l'effondrement d'un monde, le monde platonico-chrétien, la crise environnementale, quant à elle, renvoie plutôt à la fin du monde, de tous les mondes possibles. Parce qu'elle remet en question notre façon d'habiter la planète, la menace d'une crise environnementale initie, plus profondément, une crise écologique. Le premier chapitre du présent mémoire cherche à démasquer la croyance au suprasensible derrière l'institution responsable de la destruction massive de notre environnement, le technocapitalisme. Le second chapitre, quant à lui, identifie la distinction sujet-objet comme ce qui structure ultimement notre relation à la nature. Le dernier chapitre montre enfin comment la pensée du surhomme ouvre notre relation avec la nature entre deux possibilités opposées, parce qu'elle pourrait à la fois rendre le problème plus aigu et mener à un renouvèlement de notre relation avec la nature. En guise d'ouverture conclusive, nous pointons vers ce qui commence à être pensé chez Heidegger avec le Dasein comme étant une radicalisation de la pensée nietzschéenne du surhomme qui puisse dépasser la crise écologique dans la mesure où elle prépare une relation libre à la technique. / For Nietzsche, the decline of the belief in God is a symptom of a decline in the belief in any supra-sensible principle, a belief which had guided western history for more than two millennia. Because we had been, until then, justifying our ways of life on the basis of this belief, Nietzsche designates the death of God as the inaugural event of an unprecedented cultural crisis. Therefore, his philosophy sought to prepare a new institution of values in order to overcome this crisis. Since the severity of the predicted climate changes makes it difficult to justify our lifestyles, the environmental crisis can and must be understood as a cultural crisis of the same order of magnitude as the one identified by Nietzsche, if not greater. Indeed, while Nietzsche warned his epoch of the collapse of a world, the Platonic-Christian world, the environmental crisis, meanwhile, rather refers to the end of the world, of all possible worlds. Because it calls into question the way we inhabit our planet, the environmental crisis is, more profoundly, an ecological crisis. The first chapter of this master's thesis seeks to retrace the belief in a supra-sensible world behind the institution responsible for the massive destruction of the environment: technocapitalism. The second chapter then identifies the subject-object dichotomy as that which ultimately structures our relationship with nature. The last chapter finally shows that Nietzsche's thought of the overman opens the discourse between two opposite possibilities, because it could as much contribute to making the problem more acute as it could lead a renewal of our relationship with nature. The closing discussion points towards what Heidegger begins to think with the Dasein as a keener thought of the overhuman, which could overcome the ecological crisis if it manages to achieve a free relationship with technology.
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Nietzsche et les répercussions de la mort de Dieu - Nier l'au-delà et affirmer la vieGagnon, Lucie 14 May 2024 (has links)
Ce mémoire s'intéresse aux répercussions de la mort de Dieu, telles que développées dans l'œuvre de Friedrich Nietzsche. En s'attaquant au mythe gigantesque, rassurant, tenace et trompeur du dieu chrétien, Nietzsche remet en question l'idée que Dieu est la vérité et que la vérité est divine et prône de remplacer le dogme auquel il faut adhérer pour faire partie de la chrétienté par une invitation qu'il lance à tous d'accepter leur nature et à chacun, la singularité de son destin. Comme Dieu représente l'inconditionné, une vérité supérieure à toutes les autres et à partir de laquelle tout s'explique, sa suppression rend légitime un renversement des valeurs, un bannissement des *tu dois*, de ce médicament que l'on appelle la morale, et permet à l'homme de se penser à partir de lui-même et non plus à partir d'une idée qui lui est extérieure et qui le dépasse. Ce basculement, qui s'élabore dès les premiers textes nietzschéens, s'amorce vraiment au moment de la rédaction du *Gai savoir* : « la victoire qui arrive, qui doit arriver, qui est peut-être déjà arrivée ». Cette victoire du doute sur la vérité intervient à la fois pour lever les entraves — qu'elles soient morales ou culturelles — et pour favoriser trois remplacements : celui de la foi en l'au-delà par la célébration de la vie, celui de l'obéissance à la morale par l'exploration du soi et celui de ce qui est par ce qui devient. Avant de faire cela, Nietzsche cherche à comprendre les raisons de la pérennité du mythe de l'au-delà. Il identifie d'abord que la peur, comme disposition fondamentale de l'homme, le porte à créer des rassemblements au sein desquels l'orthodoxie privilégiée est sanctifiée par le biais de l'*illusio* religieuse. Puis, aux fins de saisir le rôle que joue cet au-delà dans la philosophie occidentale et pourquoi la mort du dieu chrétien n'a pas occasionné la fin de cette référence, il pointe vers le besoin de certitudes absolues et dénonce la technique sophistiquée de manipulation jouée par la conscience chrétienne. / This memoir focuses on the repercussions of the death of God, as developed in the works of Friedrich Nietzsche. By attacking the gigantic, reassuring, tenacious and misleading myth of the Christian God, Nietzsche questions the idea that God is truth and that truth is divine and advocates replacing the dogma to which one must adhere to be par of the Christianity by an invitation that he launches to all to accept the whole of their nature and to each person, the singularity of their destiny. As God represents the unconditioned, a truth superior to all others and from which everything is explained, its suppression legitimizes a reversal of values, the banishment of the *you must*, of this medicine that we call morality, and allows for man to think by himself starting from himself and no longer from an idea which is external to him which goes beyond him. This swift, which was developed from the first Nietzschean texts, really came into play at the time of the writing of *Gay Science*: "the victory which is coming, which must happen, which has perhaps already arrived." This victory of the doubt over the truth intervenes both to remove obstacles – whether moral or cultural – and to promote three replacements: that of faith in the afterlife through the celebration of life, that of obedience to morality through exploration of the self and that of what is through what becomes. Before doing so, Nietzsche seeks to understand the reasons for the sustainability of the myth of the afterlife. He first identifies that fear, as a fundamental disposition of man, leads him to create gatherings within which the privileged orthodoxy is sanctified through religious illusion. Then, in order to understand the role that the afterlife plays in Western philosophy and why the death of the Christian god did not bring about the end of this reference, he points to the need for absolute certainties and denounces the sophisticated manipulation technique played by the Christian conscience.
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Nietzsche et les sciences socialesChamberland, Jacques January 1989 (has links)
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Nietzsche's ethical vision : an examination of the moral and political philosophy of Friedrich NietzscheAppel, Fredrick January 1995 (has links)
This dissertation argues that a pervasive ethical vision underlies the work of Friedrich Nietzsche (1844-1900): a concern for the possibility of human flourishing, in the modern world. Notwithstanding Nietzsche's celebrated claim to be "beyond good and evil", and against the standard interpretation of his "perspectivism", it is argued that Nietzsche makes qualitative, normative distinctions between higher, admirable modes of human existence and lower, contemptible ones, and that he wishes through his writings to foster the former and discourage the latter. Furthermore, it is argued that Nietzsche believes human excellence to be the property of a small minority of "higher" human beings, and that he identifies the project of encouraging human excellence with a political imperative of cultivating this gifted elite. The dissertation also argues that Nietzsche's picture of the fully flourishing human life suffers from a number of inconsistencies that may be traced back to his vacillation between two incompatible moral discourses: an Aristotelian discourse emphasising the importance of certain "external goods" (e.g. friendship, recognition, community) in a fully flourishing life, and a rival, Stoic-influenced discourse stressing the virtuous individual's total self-sufficiency. An examination is made of Nietzsche's stance towards the following key concepts and questions: truth, morality, virtue, instinct and "bodily" knowledge, nature, creativity, rationality, discipline and self-mastery, freedom, solitude and sociability, friendship, community, pity, breeding and heredity, women and gender relations, and domination.
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Hatab's Nietzschean defense of democracy a post-modern experiment in political theory and its relevancy in understanding Nietzsche /West, Brandon. January 2007 (has links)
Thesis (B.A.)--Haverford College, Dept. of Philosophy, 2007. / Includes bibliographical references.
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The existential grounding of death in Hölderlin, Nietzsche, and Heidegger /Ireton, Sean Moore. January 1998 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Washington, 1998. / Vita. Includes bibliographical references (leaves [322-333).
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Pascal et Nietzsche; étude historique et comparéeDionne, J. Robert January 1900 (has links)
Thèse--Paris, 1965. / Bibliography: p. 139-145.
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