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Stimulation cérébrale profonde hypothalamique pour l'obésité chez le primate non humain : Une approche préclinique.

Torres, Napoleon 17 December 2008 (has links) (PDF)
Résume Objet: La stimulation cérébrale profonde (SCP) est devenue une thérapie efficace dans une série de maladies cérébrales. Récemment, dans les cas des algies vasculaires de la face résistantes au traitement (intraitables), chroniques, la SCP hypothalamique a suscité un nouvel intérêt pour cette région, également bien connue pour son implication dans la régulation de la prise alimentaire et de la balance énergétique. Cependant, les risques et les problèmes connexes liés à l'implantation dans cette aire cérébrale ont soulevé plusieurs questions concernant la sûreté de cette technique chirurgicale. Dans cette étude, les auteurs ont proposé l'implantation d'une électrode intraventriculaire insérée dans le troisième ventricule au niveau de l'hypothalamus ventromedial (VMH) chez des singes macaca fascicularis non obèses dans le but de moduler la prise alimentaire et le masse corporelle des sujets. Cette méthode de SCP pourrait s'avérer être un traitement potentiel de l'obésité morbide. Méthodes: Cinq singes de macaca fascicularis adultes (4 sujets et 1 contrôle ou sham) ont été implantés de façon stéréotaxique dans le troisième ventricule. Une électrode chronique Medtronic®, habituellement utilisée dans le cadre de la SCP chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, a été positionnées dans l'espace intraventriculaire adossée à la paroi de ce dernier au niveau du VMH. Dans la première phase de l'étude, le comportement alimentaire de chaque animal (durée du repas, quantité de nourriture avalée) et son activité motrice ont été enregistrés et analysés en fonction différents paramètres de stimulation (fréquence et intensité) après une période de jeun de 24 heures. Dans la seconde phase du protocole, trois cycles de stimulation intraventriculaire de 8 semaines chacun ont été réalisés à 130Hz, à 80Hz et à 30Hz, suivi des périodes de « washout » de 4 semaines entre les périodes« on - stimulation ». L'index de masse corporelle, le poids (masse corporelle), la « teneur « en graisse, l'épaisseur cutanée et les concentrations hormonales ont été mesurés au début de l'étude pour établir une ligne de base et après chaque session de stimulation. Résultats: Lors de la première phase du protocole réalisée sur des animaux a jeun depuis 24 heures, nous avons remarqué une diminution de la prise alimentaire comprise entre 11 et 19% chez tous les sujets stimulés à une fréquence 80 hertz. A partie de ces résultats, , une diminution de la masse corporelle et du BMI (body mass index indice de masse corporelle) ont été observés chez trois de quatre singes lors des phases de stimulation chronique à une fréquence de 80 hertz : la moyenne de perte pondérale était de 8± 4.4%. Une augmentation de 2-6 ± 2.5% et de 5 ±2,93 %de la masse corporelle a été observée respectivement chez les animaux stimulés à une fréquence de 130Hzet de 30Hz. Une diminution importante des épaisseurs sous-cutanées ( )a été observée pour chacun des quatre sujets à une fréquence de 80 hertz et dans une moindre mesure, une augmentation de cette variable ( ) a été remarquée une fréquence de 130 Hz. Tout au long de l'étude, les variables relevées sur le singe Sham sont restées stables. Sur la durée de l'étude, aucun effet potentielle ment délétère n'a été remarqués sur les animaux. Conclusion: La stimulation de la région de VMH par voie intraventriculaire pourrait s'avérer efficace pour moduler le comportement alimentaire et induire une diminution soutenue de la masse corporelle caractérisée par réduction de la masse graisseuse chez les primates non humains non obèses.
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MODIFICATIONS NEUROCHIMIQUES INDUITES PAR LA STIMULATION HAUTE FREQUENCE DU NOYAU SOUS-THALAMIQUE AU SEIN DES RESEAUX NEURONAUX IMPLIQUES DANS LES CIRCUITS MOTEURS ET LEURS INTERACTIONS AVEC UN TRAITEMENT A LA L-DOPA<br /><br />Etude par microdialyse intracérébrale chez le rat sain et hémiparkinsonien.

Lacombe, Emilie 27 April 2007 (has links) (PDF)
La stimulation à haute fréquence (SHF) du noyau sous-thalamique (NST) permet de traiter l'ensemble des symptômes moteurs de la maladie de Parkinson (MP), mais aussi d'atténuer l'apparition les dyskinésies L-Dopa induites, grâce notamment à une réduction massive, voire complète, des prises de L-Dopa chez les patients stimulés. Toutefois, les mécanismes in fine qui sous-tendent l'efficacité thérapeutique de la SHF du NST chez l'homme ne sont pas encore élucidés, tout comme les possibles interactions pouvant exister entre les effets induits par la SHF du NST et ceux (synergiques ou non) d'un traitement à la L-DOPA.<br />Notre travail a porté principalement sur l'animal anesthésié, sain ou hémiparkinsonien, traité de manière chronique ou aiguë à la L-Dopa, et soumis ou non à la SHF du NST. Dans une première partie expérimentale, nous avons analysé chez le rat sain les modifications neurochimiques (variations des contenus en glutamate et en GABA mesurées par microdialyse intracérébrale) induites par la SHF du NST sur des structures situées à distance du NST mais impliquées directement ou indirectement dans les circuits moteurs, comme la region Fr3 du cortex moteur, le colliculus supérieur et le noyau ventro-médian du thalamus.Dans une deuxième partie, nous avons essayé de déterminer si la SHF du NST pouvait modifier la réponse à la L-Dopa (suite à un traitement chronique ou aigu) sur les contenus en dopamine (et ses métabolites DOPAC et HVA), en glutamate et en GABA. Les principaux résultats obtenus mettent en exergue une interaction synergique entre les effets d'une injection unique de L-Dopa et ceux induits par la SHF du NST. En effet, il apparaît que cette stimulation stabilise les taux élevés de dopamine suite au traitement L-Dopa, retardant ainsi son métabolisme. Ces résultats pourraient donc apporter de arguments intéressants concernant les effets bénéfiques de la SHF du NST observés chez les malades parkinsoniens, notamment dans la stabilisation des fluctuations motrices. <br />Les données obtenues au cours de ce travail doctoral apportent de nouveaux arguments pour la compréhension des mécanismes de la SHF du NST, et amènent de nouvelles perspectives justifiant l'intérêt thérapeutique de la SHF dans la maladie de Parkinson.

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