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Émergence de la servitude subjectale au XVIe siècle. : Textes narratifs en prose (1504-1585) / Emergence of subjective servitude in the 16th century. : Narrative texts in prose (1504-1585)

Taddei, Edith 26 June 2012 (has links)
Cette thèse aborde un phénomène du changement linguistique spécifique à la langue française en tant que langue romane : la généralisation de l’emploi des personnels sujets considérée comme acquise au 17e siècle. Les relevés opérés dans un corpus littéraire en prose réparti sur le 16e s. montrent que cette progression, bien qu’elle soit continue, est inégale selon que les personnels sujets réfèrent au locuteur ou à l’allocutaire de la situation contextuelle ou qu’ils réfèrent à un élément cotextuel. Aussi, pour expliciter cette disparité, cette étude s’appuie sur l’hétérogénéité interne au paradigme des personnels sujets et distingue les personnels déictiques locutifs je/nous, et allocutifs tu/vous, et les anaphoriques il(s)/elle(s), et propose la raison énonciative comme principal facteur d’emploi. Elle s’efforce de démontrer que leur emploi correspond à un choix émanant de l’énonciateur qui s’effectue dans des cadres cotextuels repérables, illustrés par deux corpus, les assertions fictionnelles postérieures à un discours direct fictif (chap. 3) et un ensemble de propositions subordonnées (chap. 4). Dans le premier, le recours aux personnels sujets quel que soit leur mode référentiel pallie une saturation textuelle traditionnelle en voie de disparition. Dans le second, l’énonciateur (fictif ou fictionnel) signifie son intention de prendre en charge la représentation des instances de la situation coénonciative (je ou vous) au lieu de la laisser à l’initiative de son allocutaire. Au terme de cette thèse, le passage d’une morphosyntaxe variée à la progressive fixation de l’ordre phrastique PSV se trouve justifiée par trois critères, énonciatif, pragmatique et textuel. / This thesis addresses a phenomenon of language change specific to the French language as a Romance language: the generalisation of the use of subjective personals considered asestablished on the end of the 16th century. The listings extracted from a literary corpus inprose show that, even though it has a significantly evolution, the progression depends on whether the subjective personals refer to the locutor or to the allocutor in the context or if theyrefer to the co-text. To explain that the discrepancy, this study is based upon the internal heterogeneity of the paradigm in subjective personals, making the difference between the first person deictic personals je/nous, the second person ones tu/vous and the anaphoric subjectivepersonals il(s)/elle(s), and it gives an enunciative reason as the main factor of use. To us, their use corresponds to a choice by the enunciator, choice made within a defined co-text, illustrated by two corpus: fictional assertions posterior to a fictitious direct speech (chap. 3) and a set of dependent clauses (chap.4). In the first one, resorting to subjective personals regardless of their referential mood compensates for a traditional textual saturation which ison its ellapsing way. In the second one, the (fictitious or fictional) enunciator signifies his intention to be responsible for the representation of the co-enunciative situation’s occurrences instead of leaving it to his allocutor’s initiative. At the end of this thesis, the transition from a mutable morphosyntax to the progressive fixation of the SP V sentential order will be justifiedby three different criteria, enunciative, pragmatic and textual.
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Émergence de la servitude subjectale au XVIe siècle. : Textes narratifs en prose (1504-1585)

Taddei, Edith 26 June 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse aborde un phénomène du changement linguistique spécifique à la langue française en tant que langue romane : la généralisation de l'emploi des personnels sujets considérée comme acquise au 17e siècle. Les relevés opérés dans un corpus littéraire en prose réparti sur le 16e s. montrent que cette progression, bien qu'elle soit continue, est inégale selon que les personnels sujets réfèrent au locuteur ou à l'allocutaire de la situation contextuelle ou qu'ils réfèrent à un élément cotextuel. Aussi, pour expliciter cette disparité, cette étude s'appuie sur l'hétérogénéité interne au paradigme des personnels sujets et distingue les personnels déictiques locutifs je/nous, et allocutifs tu/vous, et les anaphoriques il(s)/elle(s), et propose la raison énonciative comme principal facteur d'emploi. Elle s'efforce de démontrer que leur emploi correspond à un choix émanant de l'énonciateur qui s'effectue dans des cadres cotextuels repérables, illustrés par deux corpus, les assertions fictionnelles postérieures à un discours direct fictif (chap. 3) et un ensemble de propositions subordonnées (chap. 4). Dans le premier, le recours aux personnels sujets quel que soit leur mode référentiel pallie une saturation textuelle traditionnelle en voie de disparition. Dans le second, l'énonciateur (fictif ou fictionnel) signifie son intention de prendre en charge la représentation des instances de la situation coénonciative (je ou vous) au lieu de la laisser à l'initiative de son allocutaire. Au terme de cette thèse, le passage d'une morphosyntaxe variée à la progressive fixation de l'ordre phrastique PSV se trouve justifiée par trois critères, énonciatif, pragmatique et textuel.
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LES PLANS D'ORGANISATION TEXTUELLE EN FRANÇAIS ET EN JAPONAIS<br />De la rhétorique contrastive à la linguistique textuelle

Takagaki, Yumi 18 December 2008 (has links) (PDF)
Cette étude à la fois culturelle et linguistique a pour but de décrire et d'expliquer certaines différences dans les modes d'organisation textuelle en français et en japonais.<br />La Partie I de cette thèse décrit des différences d'organisation textuelle entre les deux langues et tente d'en trouver les origines du point de vue de la rhétorique contrastive. Sont identifiées, entre autres, neuf spécificités du japonais qui contribuent à créer des différences : 1. le schéma organisationnel ki-syô-ten-ketu, 2. la structure relâchée et le cadre, 3. le sujet comme point de départ, 4. le goût du symbole, 5. l'expression de soi, 6. l'interaction, 7. l'expression indirecte, 8. le caractère fragmentaire, 9. l'évocation et les liens associatifs. L'examen de ces spécificités, avec d'autres caractéristiques, se fait sur le plan de la production (la comparaison de manuels scolaires français et japonais) et sur le plan de la représentation (une enquête auprès d'étudiants japonais et de professeurs français).<br />La Partie II est consacrée à l'examen des facteurs proprement linguistiques et à la caractérisation des deux langues. En adoptant le cadre théorique de Jean-Michel Adam (2008), nous examinons cinq aspects textuels : la continuité, la discontinuité et les trois dimensions d'une proposition-énoncé. Entre les deux langues sont observées cinq différences fondamentales. 1. La cohésion est plus forte en français qu'en japonais. 2. La référence est plus explicite en français qu'en japonais. 3. La prise en charge énonciative est moins explicite en français qu'en japonais. 4. La valeur illocutoire est moins forte en français qu'en japonais. 5. La segmentation textuelle est plus forte en français qu'en japonais. Pour vérifier ces hypothèses, les quatre phénomènes suivants sont examinés : les connecteurs, le non-dit, oui/si/non (et leurs équivalents japonais hai/îe) et les personnes.
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LES PLANS D'ORGANISATION TEXTUELLE EN FRANÇAIS ET EN JAPONAIS<br />De la rhétorique contrastive à la linguistique textuelle

Takagaki, Yumi 18 December 2008 (has links) (PDF)
Cette étude à la fois culturelle et linguistique a pour but de décrire et d'expliquer certaines différences dans les modes d'organisation textuelle en français et en japonais.<br />La Partie I de cette thèse décrit des différences d'organisation textuelle entre les deux langues et tente d'en trouver les origines du point de vue de la rhétorique contrastive. Sont identifiées, entre autres, neuf spécificités du japonais qui contribuent à créer des différences : 1. le schéma organisationnel ki-syô-ten-ketu, 2. la structure relâchée et le cadre, 3. le sujet comme point de départ, 4. le goût du symbole, 5. l'expression de soi, 6. l'interaction, 7. l'expression indirecte, 8. le caractère fragmentaire, 9. l'évocation et les liens associatifs. L'examen de ces spécificités, avec d'autres caractéristiques, se fait sur le plan de la production (la comparaison de manuels scolaires français et japonais) et sur le plan de la représentation (une enquête auprès d'étudiants japonais et de professeurs français).<br />La Partie II est consacrée à l'examen des facteurs proprement linguistiques et à la caractérisation des deux langues. En adoptant le cadre théorique de Jean-Michel Adam (2008), nous examinons cinq aspects textuels : la continuité, la discontinuité et les trois dimensions d'une proposition-énoncé. Entre les deux langues sont observées cinq différences fondamentales. 1. La cohésion est plus forte en français qu'en japonais. 2. La référence est plus explicite en français qu'en japonais. 3. La prise en charge énonciative est moins explicite en français qu'en japonais. 4. La valeur illocutoire est moins forte en français qu'en japonais. 5. La segmentation textuelle est plus forte en français qu'en japonais. Pour vérifier ces hypothèses, les quatre phénomènes suivants sont examinés : les connecteurs, le non-dit, oui/si/non (et leurs équivalents japonais hai/îe) et les personnes.

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