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Contribution à l'étude des sources naturelles de monoxyde de carbone et d'hydrocarbures légers non méthaniques

Polle, Claude 07 April 1993 (has links) (PDF)
Les hydrocarbures légers non méthaniques (NMHC) ainsi que le monoxyde de carbone (CO) ont un rôle fondamental dans le bilan des espèces oxydantes tel que l'ozone et les radicaux hydroxyles. Afin de mieux connaitre ce rôle, nous avons cherche à déterminer des teneurs en NMHC et en CO loin des sources de pollution, c'est a dire au dessus de l'océan ou dans des carottes de glace polaire. Nous avons mis en évidence un flux océanique d'isoprène probablement lié à l'activite biologique marine vers 40 m de profondeur. Bien que relativement faible (1,2 Tg-C/a), cette production d'isoprène pourrait constituer un bon traceur des échanges ocean-atmosphère. L'étude des NMHC dans la glace s'est averée difficile étant donnée la quantite de glace requise et la contamination introduite par les matériaux (inox) utilises pour extraire le gaz de la glace. Pour le CO, nous avons mis au point une des premières méthodes analytiques permettant la mesure de concentrations en CO dans l'air piégé par la glace polaire. Nous avons mesuré des échantillons de glace prélevés en Antarctique et au Groenland, et avons trouvé des concentrations moyennes de CO allant de 50 à 110 ppbv. Les résultats indiquent un gradient d'environ 50 ppbv entre les deux régions polaires, mais nous n'avons détecté aucune différence significative entre des échantillons glaciales et interglaciaires. Ces résultats uniques sont préliminaires: pour confirmer nos observations il faudra multiplier les mesures et utiliser à l'avenir un standard précis
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Chimie de la neige de très haute altitude dans les Alpes francaises

Maupetit, François 01 June 1992 (has links) (PDF)
Le manteau neigeux de quatre glaciers de haute altitude (3000-3500 m) des Alpes francaises a été échantillonné pendant 3 saisons consécutives. En complément, un carottage de 13 m couvrant 3,5 années sur un glacier froid a permis de retracer la chimie de la précipitation annuelle. L'analyse des ions majeurs et des acides organiques par chromatographie ionique et par titration acide a permis d'équilibrer la balance ionique de la précipitation alpine. La neige alpine a un caractère légérement acide du essentiellement à l'ion nitrate et à la fraction d'acide sulfurique non neutralisée par l'ammoniac et les aérosols minéraux basiques. Les précipitations les plus acides reflètent l'influence des émissions de polluants des régions européennes les plus industrialisées. Les ions majeurs présentent des variations saisonnières avec un maximum d'été. Les arrivées de poussières sahariennes affectent de façon ponctuelle les hautes régions alpines, la neige étant alors alcaline. Ces poussières favorisent des réactions de neutralisation avec les composés atmosphériques acides augmentant ainsi leur dépôt. Les concentrations des acides organiques sont généralement faibles dans la neige alpine. La reprise de ces composés par les cristaux de neige est trés peu efficace du fait de leur réémission en phase gazeuse. Leurs sources sont principalement naturelles. L'ion fluoruré est présent dans la neige alpine au niveau du ppb. Au printemps et en été, les émissions de HF d'origine anthropique permettent vraisemblablement d'expliquer le bruit de fond de fluor observé hors événements sahariens

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