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Étude synchronique contrastive des descendants romans d’ESSE et de STARE : les signifiants italiens essere et stare à la lumière des signifiants espagnols ser et estar / A contrastive synchronic study of Romance descendants of ESSE and STARE : Italian signifiers essere and stare in light of Spanish signifiers ser and estar

Zalio, Damien 30 November 2013 (has links)
Les verbes latins ESSE et STARE ont trouvé un prolongement dans toutes les langues romanes. Parmi celles-ci, l’espagnol présente une nette opposition entre ser et estar. Les rôles syntaxiques et sémantiques de ces verbes sont répartis de façon relativement homogène, sans cesser pour autant d’être l’un des sujets les plus étudiés de l’hispanisme. Les verbes italiens essere et stare font quant à eux l’objet d’une littérature lacunaire, probablement en raison du fait que le choix du sujet parlant n’y apparaît pas aussi contraint qu’en espagnol : ces deux verbes sont alors considérés comme pratiquement interchangeables. Faisant nôtre l’axiome de la motivation du signe linguistique, nous ne pouvons poser deux formes de langue comme strictement équivalentes. Ce travail se propose d’analyser les signifiants italiens essere et stare à la lumière de leurs homologues espagnols ser et estar. Nous y formulons le postulat selon lequel essere et ser véhiculent chacun les mêmes instructions mais que celles-ci se déploient différemment dans les deux langues, et nous faisons le même pari pour stare face à estar. Dans la première partie, nous parcourrons la littérature spécialisée, nous aborderons la notion d’existence, puis nous remonterons aux sources latines pour mieux cerner les évolutions de ces quatre verbes. La deuxième partie sera consacrée aux tours périphrastiques, où ser, estar mais aussi essere et stare jouent un rôle prépondérant. Leur emploi avec un circonstant et un attribut fera l’objet de la troisième partie, tandis que la quatrième et dernière partie se focalisera sur certaines structures présentant un ordre syntaxique marqué. / The latin verbs ESSE and STARE have derivatives in all Romance languages. Among the latter, Spanish draws a clear distinction between ser and estar. The syntactic and semantic roles of these two verbs are quite homogeneously divided but it is still one of the questions most discussed in Spanish studies. Italian verbs essere and stare, however, have not received as much critical attention, probably because the speaking subject is less compelled to choose between the two than in Spanish: these two verbs are then considered interchangeable. In keeping with the axiom of linguistic sign motivation, I will argue that two linguistic forms cannot be strictly equivalent. In the present study, I will analyse the Italian signifiers essere and stare in light of their Spanish equivalents ser and estar. I posit that essere and ser both convey the same instructions but that these take effect differently in the two languages, just as stare and estar. In the first part, I will present an overview of the literature on the issue, I will tackle the notion of existence, and finally, I will go back to the Latin sources to better outline the evolutions of these four verbs. The second part will focus on the periphrastic turns in which ser, estar but also essere and stare play a dominating role. Their use with an adverbial and a predicative adjective will be discussed in the third part, while the fourth and final part will be devoted to certain structures presenting a marked syntactic order.
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Gustave Guillaume. Aux sources archéologiques du problème de l'article / Gustave Guillaume : an inquiry into the archeological sources of the problem of the article

Babu, Jean-Philippe 07 July 2014 (has links)
Dans Le problème de l’article et sa solution dans la langue française, ouvrage publié en 1919, mais qui reprenait le contenu du mémoire qu’il présenta en 1917 pour l’obtention du diplôme de l'École pratique des Hautes Études, Gustave Guillaume soutenait deux thèses majeures. La première, bien connue, est que l’article est la solution apportée à un problème de représentation existant « universellement pour l’esprit humain », à savoir le problème de « la transition du nom en puissance au nom en effet ». La deuxième thèse est que l’apparition récente et simultanée dans un grand nombre de langues indo-européennes de cette catégorie grammaticale est le résultat d’une « intention systématique ». Moins remarquée et, semble-t-il, moins appréciée par Antoine Meillet que la première, elle lui était pourtant consubstantielle. Notre enquête sur les sources archéologiques de la pensée guillaumienne de l’article montre que dans son premier ouvrage, Guillaume posait les jalons d’une linguistique génétique, ou selon sa propre terminologie, d’une linguistique transcendante, capable de relier l’étude des faits de langue à leur origine dans l’esprit humain. Cette restauration de la subjectivité représentative le conduira à affirmer plus tard que ce n’est pas seulement l’article mais le système entier de la langue qui constitue la réponse à un problème humain de représentation : « un système, est, à tout moment, la solution réussie d'un problème de représentation posé à l'esprit humain » (leçon du 11 janvier 1946). Humboldt disait que la langue est une energeia, qu’elle est « la réitération éternellement recommencée du travail qu’accomplit l’esprit afin de ployer le son articulé à l’expression de la pensée ». Après 1919, toutes les recherches de Guillaume visèrent à le démontrer. / In The Problem of the article and its solution in the French language, published in 1919, but drawned from the thesis he defended for graduating at l'École pratique des Hautes Études, Gustave Guillaume brought up two major thesis. Well known, the first thesis argues that the article is the solution to a problem of representation existing « universellement pour l’esprit humain », that is to say the problem of « la transition du nom en puissance au nom en effet ». The second one is that the recent and independant appearance of the article in many indo-european languages is the result of « une intention systématique ». Less noticed, and apparently not as highly estimeed by Antoine Meillet, this second thesis was anyhow consubstantial with the first one. Our inquiry into the archeological sources of Guillaume’s thought of the article shows that in his first work, the French linguist prepared the ground for a genetic approach to the understanding of language, in other words, for what he called a linguistics bringing the explanation on a transcendental plan and able to link the study of linguistic facts with their origin in the human mind. This restoration of the representative subjectivity will lead him to claim that not only the article but the whole system of language is the answer to a human problem of representation : « un système, est, à tout moment, la solution réussie d'un problème de représentation posé à l'esprit humain » (leçon du 11 janvier 1946). Humboldt said that language is an energeia, the « continual intellectual effort to make the articulated sound capable of expressing thought ». After 1919, in all of his research, Guillaume will aim at proving it.

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