S'il est un thème récurrent dans le discours politique actuel, c'est bien celui de l’assainissement des finances publiques, et rares sont ceux qui aujourd'hui contestent l’urgence à résorber le déficit budgétaire de l'Etat. A cette crise des finances publiques désormais structurelle, la propriété publique pourrait apporter une réponse. Tout comme les personnes privées, les personnes publiques peuvent être propriétaires ; contrairement aux personnes privées, leurs biens sont soumis à un régime juridique spécifique, celui de la domanialité. Ce travail consistera à rechercher comment ce régime juridique peut permettre la valorisation des biens du domaine public et du domaine privé, et ce au travers de deux approches. L'approche gestionnaire, en premier lieu, impliquera l'étude de la gestion financière du domaine. En particulier, en ce qui concerne le domaine public, il s'agira de rechercher comment la stricte règle d'inaliénabilité peut s'accommoder de la volonté de maximiser les revenus des personnes publiques sans mettre en péril l'existence matérielle de ces dernières. L'approche comptable, en second lieu, consistera à étudier la façon dont les biens des personnes publiques sont décrits dans leurs divers documents comptables, et à apprécier l'intérêt puis la possibilité de comptabiliser des biens inaliénables. Parce qu'elle réunira ces deux angles d'approches, cette étude des relations entre les finances publiques et la domanialité se voudra transversale, ce qui la rendra novatrice. / Le résumé en anglais n'a pas été communiqué par l'auteur.

Proefschrift--Universiteit Leiden. / Bibliogr. p. 190-203.

Dissertation--Marburg--Phillips-Universität, 2002. / Bibliogr. p. 585-622.

Thèse Linköping : Univ., 2003. / År 2005 tilldelat nummer i serien Linköping studies in arts and science.

Thèse de doctorat : Droit public : Metz : 2007. / Thèse soutenue sur ensemble de travaux. Bibliogr. p. 421-514.

Inscrite au Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures

Ce mémoire propose une analyse comparative de la caricature éditoriale dans des quotidiens de l’Allemagne, du Canada, des États-Unis, d’Israël et de la Palestine. L’étude examine la prise de position des dessins de presse pour ou contre une des parties impliquées dans la Deuxième Intifada du conflit israélo-palestinien. De plus, la recherche analyse la variation des représentations visuelles de nature politique et culturelle selon les quotidiens d’orientations politiques diverses et de différents types d’entreprise. L’étude s’est effectuée à partir d’une analyse de contenu des caricatures selon des méthodes quantitatives et qualitatives. Les résultats mettent en évidence que l’origine du pays de publication est plus décisive dans la prise de position de la caricature éditoriale que l’orientation politique ou le type d’entreprise du quotidien ; de plus, les représentations politiques sont plus fréquentes que celle de la culture, indiquant une vision de la Deuxième Intifada comme un conflit politique plutôt qu’ethnique.

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