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Takadoum un quartier périphérique de Rabat /

Zerrouk, Laïla, January 1988 (has links)
Th. 3e cycle--Géogr. urbaine--Tours, 1986.
2

Untersuchungen zu den Ursachen des Korkeichensterbens (Quercus suber L.) im Maamorawald in Marokko /

Harrachi, Kouider. January 2000 (has links)
Thesis (doctoral)--Universität, Göttingen, 2000.
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L'Espace péri-urbain d'une capitale, la région au sud-ouest de Rabat.

Belfquih, M'hammed. January 1978 (has links)
Th. 3e cycle--Géogr.--Paris 7, 1974. / Soutenue sous le titre : l'Évolution de l'espace géographique au sud-ouest de Rabat.
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La Republica andaluza de Rabat en el siglo XVII /

Gozalbes Busto, Guillermo. January 1974 (has links)
Thesis (Ph. D.) -- Universidad de Granada. / "Resumen de tesis doctoral." At head of title: Facultad de Derecho, Departamento de Historia del Derecho Español.
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Éléments d'analyse de la crise du logement à travers l'étude de la ville de Rabat /

Benbouchaib, Maria. January 1981 (has links)
Mémoire DES--Sci. économiques--Rabat, 1981.
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Islam, vie collective, organisation sociale et politique dans la ville de Salé : (1792-1930) / Islam, social life, collective organization in Salé in the 19th century

Ben Omar, Ahmed Khalid 21 December 2017 (has links)
Les principales villes marocaines semblent connaitre un déclin économique et un affaiblissement au courant du 19e siècle, celles-ci semblent aussi avoir peu de contacts avec l'extérieur et la vie religieuse, sociale, l'organisation collective et urbaine sont encore peu connus. La ville marocaine de Salé bien qu'au passé prestigieux et riche est emblématique de cette tendance. Peu d'étrangers semblent avoir à cette époque eu l'occasion de visiter des villes marocaines comme Salé ou encore Chefchaouen au passé prestigieux mais traditionnellement fermées aux influences étrangères. Les archives locales sont rares et impliquent une familiarité avec l'Arabe et les documents officiels du régime Sultanien, archives qu'il faut aller déchiffrer parfois dans les collections privées. Or, le courant du 19e siècle est un moment historique crucial. En effet, se plonger dans la culture urbaine marocaine de ce siècle et dans les mouvements historiques associés permet d'avoir des éclairages complémentaires et intéressants sur la réaction marocaine à la colonisation et l'essence des mouvements de résistances marocains. Ceci est particulièrement valable pour la ville de Salé. En effet, pendant les décennies qui précédent l'indépendance du Maroc, la ville de Salé fut le fief des mouvements de résistance nationale. En témoignent l'appel au «latif» lancé à Salé, par Ahmed Maâninou, relayé par la suite dans les principales cités du Maroc, et la pétition contre le Dahir Berbère remise au Sultan Mohammed V et au Résident général conduira la France au retrait du dahir de mai 1930, perçu par les intellectuels de l'époque comme une tentative de division du peuple marocain. / The main Moroccan cities seem to be experiencing an economic decline and a weakening during the 19th century, they also seem lo have little contact with the outside world and religious, social, collective and urban organization are still little known. The Moroccan city of Salé although a prestigious and rich past is emblematic of this trend. Few foreigners seem to have had the opportunity to visit Moroccan cities such as Salé or Chefchaouen with a prestigious past but traditionally closed to foreign influences. Local archives are rare and involve a familiarity with the Arabic and official documents of the Sultanian regime, which must be deciphered sometimes in private collections. Indeed, the 19th century is a crucial historical moment : to immerse ourselves in the Moroccan urban culture of this century and in the associated historical movements allows us to have complementary and interesting insights into the Moroccan reaction to colonization and the essence of Moroccan resistance movements. This is especially !rue for the city of Salé. Indeed, during the decades preceding the independence of Morocco, the city of Salé was the stronghold of the national resistance movements. As evidenced by the appeal to the "latif” launched in Salé by Ahmed Maâninou, subsequently relayed in the main cities of Morocco, and the petit ion against the Dahir Berbère given LO Sultan Mohammed V and the General Resident will lead France to the withdrawal of dahir of May 1930, perceived by the intellectuals of the time as an attempt to divide the Moroccan people.
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POLITIQUES DE RÉHABILITATION DES QUARTIERS NON RÉGLEMENTAIRES AU MAROC ET MOBILISATION(S) DES HABITANTS. ÉTUDES DE CAS DANS L'AGGLOMÉRATION DE RABAT (RABAT, TÉMARA, SKHIRAT)

Essahel, Habiba 03 December 2011 (has links) (PDF)
Sur la base d'enquêtes de terrain menées entre 2003 et 2007, cette thèse interroge les rapports entre le pouvoir local et les habitants " ordinaires " de quartiers non réglementaires - dont la plupart sont des bidonvilles - situés à Rabat et dans sa périphérie méridionale (Témara et Skhirat). Au-delà de leur diversité (de localisation, de genèse, morphologique, de taille, économique et sociale, etc.), les quartiers que nous avons choisis ont tous été l'objet, anciennement ou plus récemment, de politiques publiques visant à leur restructuration ou à leur réhabilitation ; et toutes envisagent, d'une manière ou d'une autre, un déménagement et un relogement de leurs habitants. C'est donc à l'analyse des réactions de ces populations envers ces politiques que notre thèse est consacrée, étant entendu que, au-delà des réactions individuelles, on observe rapidement l'émergence de réactions collectives. Celles-ci sont susceptibles de favoriser soit l'activation de formes ou structures d'organisations préexistantes (j'maâ), soit l'émergence de formes organisationnelles nouvelles, telles que les associations de quartiers. Notre posture de recherche consiste à considérer que les habitants de ces quartiers, généralement stigmatisés ou considérés comme incapables tant par les gouvernants ou les responsables administratifs agissant à l'échelle locale que par les citadins " de souche ", ne sont pas des agents passifs des décisions qui sont prises concernant leur habitat et leur cadre de vie, mais qu'ils sont tout à fait en mesure d'exprimer des " compétences " variées, dont leur capacité à se mobiliser, à mener des actions revendicatives et à négocier avec les autorités, n'est pas la moindre. Notre thèse s'interroge donc sur les politiques menées pour la restructuration des bidonvilles et les mobilisations qu'elles engendrent en retour. Il s'agit de ce fait de comprendre et d'analyser les modes de fonctionnement des habitants engagés dans l'action protestataire : comment s'organisent-ils, de quelle manière et sous quelle(s) forme(s). Dès lors qu'ils se constituent en groupes de pression, les habitants interpellent les autorités et négocient avec l'État l'accès aux infrastructures de base. Les habitants des quartiers non réglementaires parviennent ainsi à obtenir des avantages concrets grâce à leurs mobilisations collectives qui s'organisent autour de répertoires de légitimation faisant, entre autres, systématiquement référence aux Droits de l'Homme en général et à leurs droits propres en particulier (notamment à leur droit à la ville). Les formes de mobilisation des habitants de ces quartiers, que nous avons successivement identifiées, décrites et analysées en détail, nous permettent de comprendre comment un système d'acteurs se forme à ces occasions. Interprétées à partir d'études localisées, ces actions habitantes que nous analysons nous servent de clés de lecture et d'interprétation des conflits et controverses qui naissent et se développent, des rapports de force qui se créent, des coalitions d'intérêts qui, parfois - même si relativement - se font jour ; mais elles permettent aussi de comprendre comment s'établissent et évoluent les négociations entre les habitants, les opérateurs de l'aménagement et les autorités (locales et/ou nationales).
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Un tremplin, mais pas nécessairement vers l'Europe : (in)visibilité de personnes originaires d’Afrique subsaharienne au Maroc

Audette-Chapdelaine, Sophie 19 April 2018 (has links)
Cette étude porte sur les relations interpersonnelles des personnes d’origine subsaharienne habitant la ville de Rabat au Maroc. L’échantillon comprend des hommes et des femmes et inclut à la fois des migrants irréguliers, des étudiants, des stagiaires, des réfugiés, des personnes venues au Maroc pour des raisons médicales ou pour y travailler. L’étude analyse la visibilité et l’invisibilité en tant que concepts mouvants et aucunement dichotomiques. Au-delà des différences de parcours, de conditions de vie et de statut juridique au Maroc, les participants perçoivent tous leur vécu actuel comme transitoire. Point de convergence de ces rencontres, leur quotidien au Maroc est vécu comme un passage, un tremplin, dans l’espoir non pas uniquement d’aller en Europe, mais plutôt de pouvoir (sur)vivre et un jour donner sens à leur vie, s’épanouir, se transformer. Tous désirent obtenir un certain pouvoir d’agir sur leur propre existence.
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Espaces imaginés, espaces habités. Au-delà de la mondialisation : Téhéran, Rabat, New York, Paris

Bailly, Émeline 08 December 2009 (has links) (PDF)
La mondialisation est souvent associée à une homogénéisation et une standardisation des métropoles. Pour autant, des représentations urbaines singulières émergent. En questionnant la réalité des modèles internationaux, mon ambition était de comprendre la manière dont les pensées urbaines se fabriquent, se diffusent, se confrontent et s'inventent, la façon dont elles s'ancrent dans une culture, projettent une société en devenir et créent les lieux publics. La mise en regard de la conception de l'espace urbain dans quatre métropoles, Paris, Rabat, Téhéran et New York, a révélé qu'il n'y avait non pas émergence de grands modèles types mais, au contraire, une atomisation de références qui co-existent et fondent les nouveaux lieux de la ville. Ce faisceau d'influences s'inscrit en continuité avec le passé pour mieux le réinventer. Il s'inspire de visions de plus en plus diversifiées, venues d'ailleurs. Plus encore, il prend appui sur des symboles, des représentations imaginaires de la ville. La réalité urbaine émerge de cet enchevêtrement d'interprétations individuelles et collectives, passées ou importées, théoriques ou imaginaires. Les lieux publics apparaissent alors comme un espace de dialogue inachevé sur une représentation du monde elle-même en évolution. Ils sont une redéfinition infinie de l'expérience de la relation des hommes à leur environnement. Cette hybridation amène à penser autrement le fait urbain. La proximité et l'expérience partagée de la fabrication de la ville permettent de charger les lieux des existences, émotions, passions et rêves des hommes. Ceux-ci sont potentiellement ouverts à une possibilité d'habiter, d'être au monde. Plus encore, l'expérience subjective et symbolique permet d'être présent au monde et à autrui, de transposer la vie humaine au-delà de sa condition mortelle, d'inventer un horizon pour " habiter poétiquement la terre " (F. Hölderlin).
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Espaces imaginés, espaces habités, au-delà de la mondialisation : Téhéran, Rabat, New York, Paris / Imagined spaces, inhabited spaces, beyond globalization : Tehran, Rabat, New York, Paris

Bailly, Émeline 08 December 2009 (has links)
La mondialisation est souvent associée à une homogénéisation et une standardisation des métropoles. Pour autant, des représentations urbaines singulières émergent. En questionnant la réalité des modèles internationaux, mon ambition était de comprendre la manière dont les pensées urbaines se fabriquent, se diffusent, se confrontent et s’inventent, la façon dont elles s’ancrent dans une culture, projettent une société en devenir et créent les lieux publics. La mise en regard de la conception de l’espace urbain dans quatre métropoles, Paris, Rabat, Téhéran et New York, a révélé qu’il n’y avait non pas émergence de grands modèles types mais, au contraire, une atomisation de références qui co-existent et fondent les nouveaux lieux de la ville. Ce faisceau d’influences s’inscrit en continuité avec le passé pour mieux le réinventer. Il s’inspire de visions de plus en plus diversifiées, venues d’ailleurs. Plus encore, il prend appui sur des symboles, des représentations imaginaires de la ville. La réalité urbaine émerge de cet enchevêtrement d’interprétations individuelles et collectives, passées ou importées, théoriques ou imaginaires. Les lieux publics apparaissent alors comme un espace de dialogue inachevé sur une représentation du monde elle-même en évolution. Ils sont une redéfinition infinie de l’expérience de la relation des hommes à leur environnement. Cette hybridation amène à penser autrement le fait urbain. La proximité et l’expérience partagée de la fabrication de la ville permettent de charger les lieux des existences, émotions, passions et rêves des hommes. Ceux-ci sont potentiellement ouverts à une possibilité d’habiter, d’être au monde. Plus encore, l’expérience subjective et symbolique permet d’être présent au monde et à autrui, de transposer la vie humaine au-delà de sa condition mortelle, d’inventer un horizon pour « habiter poétiquement la terre » (F. Hölderlin). / Globalization is often associated with a homogenization and standardization of cities, However, representations of unique urban models continue to emerge. By questioning the veracity of a homogenous international model, my desire was to understand the manner in which urban thinking is formed, how it is disseminated, how it is challenged and reinvented, how it is rooted in a culture, projecting a vision of society and the création of public space. An overview of the design of urban space in four cities : Paris, Rabat Tehran and New York, does not reveal the emergence of any global design types, but rather a splintering of references which co-exist and form the basis for new urban spaces. This palette of influences is in continuity with the past so as to better reinvent it. It inspires visions which are more and more diversified by places afar. More than ever, it is attached to symbols, imaginative representations of the city. The urban reality emerges from this entwinement of individual and collective interpretations, of the past or imported, theoretical or imaginary. In perpetual reinterpretation, public spaces then appear as places of open dialogue that are based on an everchanging representation of a world that is still in flux. They are the infinite redefinition of the experience of the relation of humankind's to the environment. This hybridization brings to mind a new urban reality. The intimacy and shared experience in the creation of cities allows for spaces that are charged with the existence, emotions and passions of mankind. They are open to the possibility of living, of being, of the world. Even more, the experience of the subjective and symbolic allows for the presence of the worldly and the « other », the transposition of human life beyond its mortal condition, to create a horizon « for poetic living on Earth ». (F. Hölderlin).

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