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La politisation de l’accès aux médicaments dans l’espace international : L'Organisation mondiale de la santé comme foyer d'une dynamique contestataire / The politicisation of access to medicines at the international level : a study of the dynamics of contention within the World Health Organization

Ndour, Marame 29 November 2013 (has links)
A partir d'une enquête sur le rôle de l'OMS dans la politisation de l'accès aux médicaments dans l'espace international cette thèse rend compte de deux choses : d'une part, des conditions particulières d'émergence et de structuration d'une cause à vocation mobilisatrice au sein de cette organisation; d'autre part, des effets de cette mise en politique sur l'action publique internationale. Il s'agit de comprendre les logiques sociales et politiques qui ont fait de cette organisation relativement marginalisée dans son domaine d'intervention, aux normes essentiellement non contraignantes, le lieu d'une mise en débat inédite et durable des enjeux situés à l'interface entre la santé publique et le commerce international et plus précisément entre le brevet pharmaceutique et l'accès aux médicaments des pays en développement. Privilégiant une approche de sociologie politique de l'international, la thèse montre que l'OMS a constitué le foyer de convergence et de consolidation de cette dynamique contestataire car elle offrait un support à la fois matériel et symbolique à cette revendication qui a contribué à revaloriser sa position dans le nouvel espace politique de l'accès aux médicaments. La thèse secondaire est que la prise en charge de ce problème public à l'OMS offrait des marges de manœuvre aux entrepreneurs de mobilisation sans pour autant remettre fondamentalement en cause l'ordre social contesté. En effet, les solutions qui émergent et s'institutionnalisent aussi bien à l'OMS que dans d'autres espaces, constituent des arrangements qui peinent à s'affranchir du cadre établi par le système dominant d'innovation pharmaceutique. / Drawing from an investigation of the role played by WHO in the politicization of access to medicines issue at an international level, this thesis reports on two things: - first, on the specific conditions in which this issue emerged and how it was structured within and by WHO; - second, on its effects on international health public policy. Indeed WHO has been the space of an unprecedented and long-lasting political debate on tensions between public health and international trade, and more specifically between pharmaceutical patents and access to medicines in developing countries. The main objective is to understand the social and political dynamics behind a process that occurred within an organization with mostly non-binding norms, and which has been relatively marginalized in its field of intervention. Favoring an international political sociology perspective, this research shows that WHO offered material and symbolic adherence to the claims for greater access to medicines and pharmaceutical innovation system reform. These claims were shaped and consolidated by a coalition of actors within and outside WHO, and in return this politicization process helped replace the organization at the center of the new international access to medicines' policy space. A secondary thesis is that this framing process was possible as it provided at the same time some room for policy entrepreneurs without fundamentally questioning the challenged social order. Indeed, the emerging institutionalized solutions, both in and outside WHO, are domesticated political arrangements which hardly go beyond the dominant pharmaceutical innovation system.
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La littératie en santé sur l’agenda public : Explorer l’émergence d’un problème social par sa teneur dramatique, sa nouveauté et son adéquation avec la culture dominante

de Broucker, Gatien January 2014 (has links)
Développer la compréhension de la « littératie en santé » (ou « health literacy ») est devenu une préoccupation croissante pour les professionnels de la santé et les chercheurs en santé publique. Se définissant comme l’opérationnalisation, par l’entremise de mesures et de modèles, de la capacité des individus à obtenir, comprendre et utiliser de l’information pour prendre soin de leur santé, la littératie en santé est rapidement devenue un enjeu de santé publique à l'échelle internationale. La littératie en santé – comme domaine de recherche et comme enjeu de santé publique – progresse sur l’agenda public, grâce à la mobilisation et au travail de différents groupes d'acteurs qui interagissent dans le domaine de la santé publique et la médecine. En partie à cause de sa nature interdisciplinaire, la littératie en santé a engendré un bon nombre de définitions, apportant avec elles des perspectives très différentes sur la littératie en santé et sur les systèmes de santé eux-mêmes. Plusieurs études ont mis l'accent sur le développement d'un consensus autour de la définition, de la conceptualisation et de la mesure de la littératie en santé, essayant de créer une notion qui soit commune à tous les acteurs. Toutefois, peu nombreuses sont les études qui discutent des différentes perspectives des groupes d’acteurs, de manière à mettre en évidence autant les éléments de consensus que les points de divergence. Explorer les différentes idées qui s’expriment sur le rôle du patient et celui des professionnels de la santé, sur la manière de concevoir l’autonomie et « l’empowerment » et sur le développement d’une action publique enrichit notre compréhension de la littératie en santé. L’expression de points de vue opposés sur la littératie en santé, particulièrement entre les États-Unis et l’Europe, et la manière dont ces points de vue soutiennent le débat scientifique permettent de saisir la complexité du développement de ce concept ainsi que certains conflits d’idées qu’il révèle.
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L'intégration organisationnelle de la participation : des enjeux locaux pour une santé publique globale

Suárez Herrera, José Carlos 04 1900 (has links)
À l’ère de la mondialisation institutionnelle des sociétés modernes, alors que la confluence d’une myriade d’influences à la fois micro et macro-contextuelles complexifient le panorama sociopolitique international, l’intégration de l’idéal participatif par les processus de démocratisation de la santé publique acquiert l’apparence d’une stratégie organisationnelle promouvant la cohésion des multiples initiatives qui se tissent simultanément aux échelles locale et globale. L’actualisation constante des savoirs contemporains par les divers secteurs sociétaux ainsi que la perception sociale de différents risques conduisent à la prise de conscience des limites de la compétence technique des systèmes experts associés au domaine de la santé et des services sociaux. La santé publique, une des responsables légitimes de la gestion des risques modernes à l’échelle internationale, fait la promotion de la création d’espaces participatifs permettant l’interaction mutuelle d’acteurs intersectoriels et de savoirs multiples constamment modifiables. Il s’agit là d’une stratégie de relocalisation institutionnelle de l’action collective afin de rétablir la confiance envers la fiabilité des représentants de la santé publique internationale, qui ne répondent que partiellement aux besoins actuels de la sécurité populationnelle. Dans ce contexte, les conseils locaux de santé (CLS), mis en place à l’échelle internationale dans le cadre des politiques régionales de décentralisation des soins de santé primaires (SSP), représentent ainsi des espaces participatifs intéressants qui renferment dans leur fonctionnement tout un univers de forces de tension paradoxales. Ils nous permettent d’examiner la relation de caractère réciproque existant entre, d’une part, une approche plus empirique par l’analyse en profondeur des pratiques participatives (PP) plus spécifiques et, d’autre part, une compréhension conceptuelle de la mondialisation institutionnelle qui définit les tendances expansionnistes très générales des sociétés contemporaines. À l’aide du modèle de la transition organisationnelle (MTO), nous considérons que les PP intégrées à la gouverne des CLS sont potentiellement porteuses de changement organisationnel, dans le sens où elles sont la condition et la conséquence de nombreuses traductions stratégiques et systémiques essentiellement transformatrices. Or, pour qu’une telle transformation puisse s’accomplir, il est nécessaire de développer les compétences participatives pertinentes, ce qui confère au phénomène participatif la connotation d’apprentissage organisationnel de nouvelles formes d’action et d’intervention collectives. Notre modèle conceptuel semble fournir un ensemble de considérations épistémosociales fort intéressantes et très prometteuses permettant d’examiner en profondeur les dimensions nécessaires d’un renouvellement organisationnel de la participation dans le champ complexe de la santé publique internationale. Il permet de concevoir les interventions complexes comme des réseaux épistémiques de pratiques participatives (RÉPP) rassemblant des acteurs très diversifiés qui s’organisent autour d’un processus de conceptualisation transculturelle de connaissances ainsi que d’opérationnalisation intersectorielle des actions, et ce, par un ensemble de mécanismes d’instrumentalisation organisationnelle de l’apprentissage. De cette façon, le MTO ainsi que la notion de RÉPP permettent de mieux comprendre la création de passages incessants entre l’intégration locale des PP dans la gouverne des interventions complexes de la santé et des services sociaux – tels que les CLS –, et les processus plus larges de réorganisation démocratique de la santé publique dans le contexte global de la mondialisation institutionnelle. Cela pourrait certainement nous aider à construire collectivement l’expression réflexive et manifeste des valeurs démocratiques proposées dans la Déclaration d’Alma-Ata, publiée en 1978, lors de la première Conférence internationale sur les SSP. / In an age of the institutional globalization of modern societies, the confluence of a myriad of micro- and macro-contextual factors complicates the international socio-political arena. In this context, the integration of participatory values through the democratization processes of Public Health takes on the appearance of an organizational strategy promoting cohesion among a multitude of local and global initiatives. The constant renewal of intersectoral knowledge and the social perception of risk suggest an increased social awareness regarding the limits of technical competence of social and healthcare Systems. As a legitimate international actor in the management of modern health risks, Public Health creates participatory spaces that enable interaction of intersectoral actors and constantly changing and dynamic knowledge. It is indeed a strategy of the institutional “relocalisation” of collective action, aiming to restore trust in the level of reliability of international Public Health representatives who only partially meet the current needs of population security. In this context, Local Health Councils (LHC), implemented internationally as part of decentralized Primary Health Care (PHC) regional policies, represent participative spaces that involve countless paradoxical forces of tension. The LHC provides both an opportunity to examine the reciprocal relationship between an in-depth empirical analysis of specific participatory practices (PP), as well as a conceptual comprehension of the institutional globalization defining the general expansionist tendencies of modern societies. Using the organizational transition model (OTM), we postulate that the integration of PP into LHC governance is potentially associated with organizational change in creating both the conditions and the consequences of numerous strategic and systemic translations, which are essentially transformative. However, in order for this transformation to occur, relevant participative skills need to be developed. Consequently, this participative phenomenon takes on the shape of an organizational learning process allowing new forms of collective action and intervention to be accomplished. Our conceptual model offers a set of interesting and promising “epistemosocial” considerations for an in-depth examination of the dimensions essential for an organizational renewal of participation in the complex field of Global Health. Through the OTM, we conceive complex interventions as epistemic networks of participative practices (ENPP) composed of a wide range of actors organized around a double process of transcultural conceptualization of knowledge and inter-sector operationalization of action. This process is possible through a set of mechanisms of organizational instrumentation of learning. In this way, the OTM and the concept of ENPP allow for a better understanding of the unceasing transition between the local integration of PP in the governance of complex interventions in the field of health and social services – such as LCH – and the broader processes of democratic reorganization of Public Health in a global context of institutional globalization. This could certainly help us to collectively construct a reflexive and manifest expression of democratic values proposed in Alma-Ata Declaration published in 1978 during the first International Conference on PHC.
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L'intégration organisationnelle de la participation : des enjeux locaux pour une santé publique globale

Suárez Herrera, José Carlos 04 1900 (has links)
À l’ère de la mondialisation institutionnelle des sociétés modernes, alors que la confluence d’une myriade d’influences à la fois micro et macro-contextuelles complexifient le panorama sociopolitique international, l’intégration de l’idéal participatif par les processus de démocratisation de la santé publique acquiert l’apparence d’une stratégie organisationnelle promouvant la cohésion des multiples initiatives qui se tissent simultanément aux échelles locale et globale. L’actualisation constante des savoirs contemporains par les divers secteurs sociétaux ainsi que la perception sociale de différents risques conduisent à la prise de conscience des limites de la compétence technique des systèmes experts associés au domaine de la santé et des services sociaux. La santé publique, une des responsables légitimes de la gestion des risques modernes à l’échelle internationale, fait la promotion de la création d’espaces participatifs permettant l’interaction mutuelle d’acteurs intersectoriels et de savoirs multiples constamment modifiables. Il s’agit là d’une stratégie de relocalisation institutionnelle de l’action collective afin de rétablir la confiance envers la fiabilité des représentants de la santé publique internationale, qui ne répondent que partiellement aux besoins actuels de la sécurité populationnelle. Dans ce contexte, les conseils locaux de santé (CLS), mis en place à l’échelle internationale dans le cadre des politiques régionales de décentralisation des soins de santé primaires (SSP), représentent ainsi des espaces participatifs intéressants qui renferment dans leur fonctionnement tout un univers de forces de tension paradoxales. Ils nous permettent d’examiner la relation de caractère réciproque existant entre, d’une part, une approche plus empirique par l’analyse en profondeur des pratiques participatives (PP) plus spécifiques et, d’autre part, une compréhension conceptuelle de la mondialisation institutionnelle qui définit les tendances expansionnistes très générales des sociétés contemporaines. À l’aide du modèle de la transition organisationnelle (MTO), nous considérons que les PP intégrées à la gouverne des CLS sont potentiellement porteuses de changement organisationnel, dans le sens où elles sont la condition et la conséquence de nombreuses traductions stratégiques et systémiques essentiellement transformatrices. Or, pour qu’une telle transformation puisse s’accomplir, il est nécessaire de développer les compétences participatives pertinentes, ce qui confère au phénomène participatif la connotation d’apprentissage organisationnel de nouvelles formes d’action et d’intervention collectives. Notre modèle conceptuel semble fournir un ensemble de considérations épistémosociales fort intéressantes et très prometteuses permettant d’examiner en profondeur les dimensions nécessaires d’un renouvellement organisationnel de la participation dans le champ complexe de la santé publique internationale. Il permet de concevoir les interventions complexes comme des réseaux épistémiques de pratiques participatives (RÉPP) rassemblant des acteurs très diversifiés qui s’organisent autour d’un processus de conceptualisation transculturelle de connaissances ainsi que d’opérationnalisation intersectorielle des actions, et ce, par un ensemble de mécanismes d’instrumentalisation organisationnelle de l’apprentissage. De cette façon, le MTO ainsi que la notion de RÉPP permettent de mieux comprendre la création de passages incessants entre l’intégration locale des PP dans la gouverne des interventions complexes de la santé et des services sociaux – tels que les CLS –, et les processus plus larges de réorganisation démocratique de la santé publique dans le contexte global de la mondialisation institutionnelle. Cela pourrait certainement nous aider à construire collectivement l’expression réflexive et manifeste des valeurs démocratiques proposées dans la Déclaration d’Alma-Ata, publiée en 1978, lors de la première Conférence internationale sur les SSP. / In an age of the institutional globalization of modern societies, the confluence of a myriad of micro- and macro-contextual factors complicates the international socio-political arena. In this context, the integration of participatory values through the democratization processes of Public Health takes on the appearance of an organizational strategy promoting cohesion among a multitude of local and global initiatives. The constant renewal of intersectoral knowledge and the social perception of risk suggest an increased social awareness regarding the limits of technical competence of social and healthcare Systems. As a legitimate international actor in the management of modern health risks, Public Health creates participatory spaces that enable interaction of intersectoral actors and constantly changing and dynamic knowledge. It is indeed a strategy of the institutional “relocalisation” of collective action, aiming to restore trust in the level of reliability of international Public Health representatives who only partially meet the current needs of population security. In this context, Local Health Councils (LHC), implemented internationally as part of decentralized Primary Health Care (PHC) regional policies, represent participative spaces that involve countless paradoxical forces of tension. The LHC provides both an opportunity to examine the reciprocal relationship between an in-depth empirical analysis of specific participatory practices (PP), as well as a conceptual comprehension of the institutional globalization defining the general expansionist tendencies of modern societies. Using the organizational transition model (OTM), we postulate that the integration of PP into LHC governance is potentially associated with organizational change in creating both the conditions and the consequences of numerous strategic and systemic translations, which are essentially transformative. However, in order for this transformation to occur, relevant participative skills need to be developed. Consequently, this participative phenomenon takes on the shape of an organizational learning process allowing new forms of collective action and intervention to be accomplished. Our conceptual model offers a set of interesting and promising “epistemosocial” considerations for an in-depth examination of the dimensions essential for an organizational renewal of participation in the complex field of Global Health. Through the OTM, we conceive complex interventions as epistemic networks of participative practices (ENPP) composed of a wide range of actors organized around a double process of transcultural conceptualization of knowledge and inter-sector operationalization of action. This process is possible through a set of mechanisms of organizational instrumentation of learning. In this way, the OTM and the concept of ENPP allow for a better understanding of the unceasing transition between the local integration of PP in the governance of complex interventions in the field of health and social services – such as LCH – and the broader processes of democratic reorganization of Public Health in a global context of institutional globalization. This could certainly help us to collectively construct a reflexive and manifest expression of democratic values proposed in Alma-Ata Declaration published in 1978 during the first International Conference on PHC.

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