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La Société canadienne de la Croix-Rouge et les prisonniers de guerre provenant du Commonwealth, durant la Seconde Guerre mondiale

Pomerleau, Daniel January 2007 (has links) (PDF)
Durant la Seconde Guerre mondiale, la Société canadienne de la Croix-Rouge est venue en aide aux prisonniers de guerre provenant du Commonwealth. Comment cette aide fut-elle entreprise et quels furent ses principaux acteurs? L'étude des archives et publications de l'institution ainsi que de journaux quotidiens permet de répondre à ces questions et de corriger les erreurs et les vides de l'historiographie. La Croix-Rouge a fait parvenir aux prisonniers différents colis contenant notamment de la nourriture, des vêtements et des médicaments, et a également facilité la communication entre ces captifs et leurs parents. Malgré certains obstacles importants, cette aide fut bénéfique pour la santé et le moral de chacun. Cette oeuvre n'aurait pu exister sans le dévouement de la population canadienne. Des spécialistes organisèrent les activités de l'institution, alors que des bénévoles -surtout des femmes -confectionnèrent et empaquetèrent les articles envoyés aux prisonniers. Quant à la population en général, elle fournit les sommes nécessaires à la poursuite de ces activités. L'ampleur de la participation populaire peut être attribuée en partie aux médias et aux publications de l'institution, qui diffusèrent une image positive de cette dernière et combattirent les rumeurs à son sujet. Le gouvernement fut l'instigateur de certaines activités, et s'assura que les ressources utilisées par la Croix-Rouge fussent utilisées adéquatement. Il exerça un contrôle sur l'institution, et en tira également certains avantages politiques et sociaux. Finalement, les Croix-Rouges étrangères firent à la Croix-Rouge canadienne des demandes, et lui proposèrent des idées, des expertises et des solutions. En somme, l'aide fournie durant la Seconde Guerre mondiale par la Société canadienne de la Croix-Rouge aux prisonniers de guerre provenant du Commonwealth a, de loin, dépassé les quelques événements recensés dans l'historiographie. Un plus grand crédit devrait être donné à la population, mais le travail des médias, du gouvernement canadien et des autres Croix-Rouges nationales doit également être reconnu. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Organisation non gouvernementale, Humanitaire, Bénévolat, Campagnes de financement, Colis de vivres, Médias, Gouvernement, Services nationaux de guerre.
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L'architecture des bungalows de la SCHL : 1946-1974

Lachance, Jonathan January 2009 (has links) (PDF)
La Société Centrale d'Hypothèques et de Logement (SCHL) a été instaurée le 1er janvier 1946 en tant qu'instance suprême en matière d'habitation au Canada. L'histoire de l'architecture domestique canadienne lui attribue la responsabilité de la répétitivité architecturale et de l'homogénéité sociale de nos banlieues. Il nous semble que la Société soit moins responsable de la monotonie suburbaine que de la création d'une image archétypale de l'architecture pavilIonnaire : une maison fonctionnaIiste matérialisant les valeurs de la classe moyenne salariée intégrée à la vie de banlieue nord-américaine. Entre 1946 et 1974, la SCHL a contribué de manière peu ordinaire à la popularisation de la maison individuelle au Canada. Entre autres, elle a conçu et diffusé une image particulière de la maison par l'entremise de publications didactiques adressées aux clients, bâtisseurs, architectes et planificateurs urbains canadiens. Nous avons considéré ces publications comme des documents historiques à part entière et nous les avons analysés dans le but d'identifier l'image que la SCHL projette de la maison. La Société a tout d'abord créé Monsieur Canada, père de famille nucléaire ordinaire et client fictif du concours d'architecture de maisons de 1946. La SCHL a ensuite réagi aux banlieues dortoirs monotones en proposant un nouveau modèle suburbain basé sur Radburn au New Jersey, banlieue pittoresque qui intègre des maisons individuelles dans un tracé urbain novateur et diversifié. Puis la Société a créé une maison pour cette famiIle et cette banlieue: elle a favorisé un système constructif industriel à ossature de bois, elle a mis sur pied un programme domestique articulé autour des principes modernes de zonage, et elle a publié des catalogues contenant 630 modèles de maisons reflétant les tendances esthétiques de l'époque. L'image qui en résulte est celle d'une maison normalisée, économique, fonctionnelle et symbolique de l'American way of life que la Société cherche à implanter en sol canadien. Cette maison représente une amélioration des conditions du logement par rapport à la norme antérieure. Nos analyses révèlent que l'architecture de la maison de la SCHL reflète le mode de vie de la classe moyenne intégrée à la vie de banlieue et en ce sens, l'action de la SCHL est idéologique. Elle fait passer l'image de la famille nucléaire et de la maison fonctionnaliste de banlieue comme allant de soi pour les couples en recherche d'un logis pour fonder un foyer, alors que cette image cache un attachement à la société de consommation et à la culture de masse, condition associée à la réception du Mouvement moderne en Amérique du Nord. En faisant la promotion d'une mythologie fonctionnaliste adaptée à l'architecture domestique des années 1950, la SCHL reflète la culture architecturale savante de son temps; son rôle de médiateur peut être considéré comme une contribution significative à la modernisation sociale et architecturale du Canada urbain. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Architecture domestique, Bungalows, Fonctionnalisme, Banlieue, SCHL, Canada.

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