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La rhétorique de l'image de guerre dans le magazine Life de 1936 à 1946 : analyse critique et création d'un site web

Martin, Jason 09 1900 (has links) (PDF)
Je suis un designer graphique de formation. Après des études à la maîtrise en communication spécialisées en multimédia, je me suis consacré à la création d'applications numériques et de sites Web. Ce champ d'activité réunit mes habilités en tant que graphiste, programmeur et spécialiste en communication. J'ai un grand intérêt pour le pouvoir qu'exerce l'image sur la société, et en particulier pour le sujet de la guerre et de la propagande. En outre, la façon dont nous conservons et transmettons les objets culturels qui s'y rapportent m'intrigue et m'amène à questionner les vecteurs et les modes de transmission. LIFE magazine est un parfait exemple d'un objet culturel qui a traité le sujet de la guerre et qui a tablé sur le fait que l'image pouvait relater un événement et exprimer des idées. Ce magazine qui a accepté pendant la période de la Seconde Guerre mondiale de soutenir la position du gouvernement américain, a eu une présence importante dans les foyers des américains et à l'international. Cette thèse comporte deux volets : la création d'un site Web consignant les données visuelles et documentaires qui ont servi de base à la recherche que l'on retrouve dans le second volet, la thèse comme telle. Cette thèse examine le traitement photographique du magazine LIFE entre 1936 et 1946 quant à l'implication des Américains dans la Seconde Guerre mondiale. L'introduction présente d'abord le contexte historique de la Seconde Guerre mondiale, l'évolution de la position des États-Unis face à ce conflit et la naissance et la mission de la publication hebdomadaire LIFE. Elle aborde aussi le cadre théorique qui a servi à analyser ces photographies de guerre et les liens entre les photoreportages de LIFE et l'évolution de la position américaine. Le premier chapitre introduit l'approche méthodologique qui a servi pour la recherche et pour la création de l'œuvre multimédia. Le deuxième chapitre dévoile mon projet de recherche-création, qui est un site Web destiné aux images étudiées dans le cadre de cette thèse. Le troisième chapitre explore, par la médiologie, les différentes technologies existantes à l'époque de LIFE pour susciter une meilleure compréhension de la réalité et du rôle du média imprimé à l'époque de la Seconde Guerre mondiale. Le quatrième chapitre liste les figures de rhétorique retenues pour leur pertinence et la fréquence de leur occurrence. Le cinquième chapitre analyse les photos retenues en fonction des figures de rhétorique visant à démontrer qu'il y a un lien intime et dynamique entre les effets rhétoriques des images de guerre présentées par LIFE et les grands moments de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale. La conclusion est appuyée de statistiques qui démontrent l'intérêt que LIFE apportait aux différents moments historiques. En ce qui concerne l'œuvre, nous pouvons le consulter à l'adresse suivante : www.images-de-guerre.org. Il s’agit d'un site Web dédié aux pages du LIFE de 1936 à 1946 qui ont eu pour sujet la guerre qu'elle soit une image de combat, un document photographique militaire démontrant les exploits, une image pour encourager les efforts de guerre de la maison jusqu'au front, une critique gouvernementale ou sociale, une image ludique pour démocratiser la science de la guerre, une photo satirique de l'ennemi, un cliché de célébrations, etc. Celui qui explore ce site peut accéder aux images soit par périodes chronologiques ou par une sélection thématique. Il peut également consulter une frise chronologique des événements historiques de cette période étudiée et voir les pages du LIFE qui relatent ces événements. Toutes les images présentées dans cette thèse s'y retrouvent avec leur analyse ainsi que plusieurs autres images qui ont été considérées, mais qui n'ont pas été retenues pour cette thèse. Par la suite, pour complémenter la lecture des internautes qui visitent ce site, ils peuvent consulter une section de type glossaire qui définit les figures de rhétorique expliquées à partir d'images sélectionnées et une section, qui explique les technologies et la médiologie de LIFE. ______________________________________________________________________________
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«Demandez à quelqu'un qui sait» : discours des publicitaires et des experts de la famille sur les enfants et la consommation à Montréal au lendemain de la deuxième guerre mondiale (1944-1954)

Archambault, Jacinthe January 2008 (has links) (PDF)
L'historiographie se rapportant à la famille et à l'enfance traite d'une période de plus de deux cents ans en Europe, aux États-Unis et au Canada. Cette étude se situe à l'intersection de cette vaste historiographie avec celles relatives à la consommation, à la publicité, aux mesures sociales et à l'État-providence. C'est par le croisement de celles-ci que nous cherchons à éclairer un pan de l'histoire de l'enfance et de la famille montréalaise. À Montréal, au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, que révèlent les discours des publicitaires et des «experts» de la famille concernant les enfants et la consommation? À l'aide d'une analyse de contenu des publicités parues dans le quotidien La Presse et dans le mensuel Revue moderne ainsi que des écrits des experts dans la revue L'École des parents et dans différentes publications, nous avons tenté de répondre à cette question. À cette époque, les publicitaires misent sur plusieurs stratégies pour rejoindre les parents et leurs enfants. Ils s'appuient essentiellement sur le sentimentalisme des parents quant à leurs enfants en insistant sur les notions de santé, de sécurité et de bonheur. L'enfant est alors utilisé davantage comme un argument de vente que considéré comme un public cible. Il est ainsi intégré au monde adulte et est très peu souvent représenté comme étant indépendant de sa famille. Les experts, quant à eux, cherchent à présenter aux familles montréalaises un modèle de consommation à l'intérieur duquel elles doivent s'inscrire afin d'accéder à cette normalité que l'on cherche à construire au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale. Dans les discours des experts de la famille, ce sont encore une fois les parents qui devraient consommer pour leurs enfants, ces derniers ne bénéficiant pas d'une autonomie consommatrice. On tente donc d'informer et d'éduquer les parents pour que ceux-ci consomment «de la bonne façon» pour leurs enfants. Ces constatations nous poussent donc, à l'instar des analyses récentes de certains chercheurs canadiens, à remettre en question la «consommation débridée» associée à l'après-guerre. Même si, dans les discours des publicitaires et des experts, la consommation est loin d'être restreinte, elle n'est pourtant pas poussée à son maximum en ce qui concerne les enfants. Trois enquêtes nous amènent encore une fois à relativiser l'atmosphère de consommation de l'après-guerre à Montréal. À cette époque, tous ne profitent pas de cette période de prospérité, particulièrement les familles ouvrières aux prises avec une situation économique précaire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Québec, XXe siècle, Discours, Consommation, Publicité, Famille, Enfance, Experts.
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La place des femmes dans la Société d'art contemporain : Montréal, 1939-1948

Fortin, Nathalie January 2007 (has links) (PDF)
Suite à notre constatation que l'histoire de l'art des femmes du Québec et du Canada reste largement à écrire, nous avons voulu y contribuer en étudiant la manière avec laquelle les femmes s'étaient impliquées dans le champ de l'art, à l'aube de la modernité artistique. Consciente de la complexité de cette problématique, nous avons décidé de restreindre notre objet d'étude à l'analyse du rôle et de la reconnaissance des femmes à l'intérieur d'un groupe d'artistes montréalais des années 1940: la Société d'art contemporain (SAC). Le nombre élevé de femmes membres rendant cette étude trop vaste pour un mémoire de maîtrise, nous nous sommes vue contrainte de procéder à une sélection. Comme ce groupe qui soutenait l'art moderne s'était donné comme principale mission d'organiser des expositions des oeuvres de ses membres, notre sélection fût déterminée par la fréquence des participations des femmes aux expositions. Huit femmes -Marguerite Doernbach, Louise Gadbois, Prudence Heward, Sybil Kennedy, Mabel Lockerby, Jeanne Rhéaume, Marian Scott et Fanny Wiselberg -se sont finalement imposées comme faisant partie des membres les plus actifs et les plus susceptibles d'avoir eu un rôle significatif à jouer dans le groupe. Cette recherche étant basée sur une approche à la fois historique, sociologique et iconographique, la place des femmes dans la SAC y est analysée sous différents aspects. L'apport de notre corpus à la SAC est d'abord évalué grâce à l'observation des fonctions qu'y occupaient, ou non, ces huit femmes. Par ailleurs, l'analyse de leur production artistique -ou, lorsque cela s'est avéré possible, des oeuvres présentées lors des expositions de la SAC -nous a permis de constater de quelle manière chacune de ces artistes avait intégré les principes modernes dans sa pratique et, par conséquent, d'évaluer l'impact qu'elles avaient pu avoir à l'intérieur de la SAC, ainsi que sur le public. Enfin, l'analyse de la réception critique de ces femmes nous éclaire sur leur reconnaissance par le milieu de l'art et nous fournit, ainsi, davantage d'indices sur l'importance qu'elles étaient susceptibles d'avoir dans la SAC. Une attention particulière a, par ailleurs, été accordée au vocabulaire utilisé par la critique, afin d'évaluer si leur travail était commenté en fonction d'une quelconque « identité féminine ». Ce mémoire s'appuie sur une importante recherche en archives et constitue, en grande partie, un travail de défrichage. Il s'agit par conséquent d'une étude préliminaire pour des travaux plus approfondis sur ces femmes artistes. Néanmoins, nous croyons avoir démontré que, même si les femmes n'occupaient pas les devants de la scène artistique à l'époque de la SAC, elles manifestaient clairement le désir de s'impliquer dans la sphère sociale, et que ce groupe d'artistes leur a sans doute fourni un moyen d'y arriver. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Femmes artistes, Modernité, Société d'art contemporain, Montréal, 1940, Marguerite Doernbach (Peggy Anderson), Louise Gadbois, Prudence Heward, Sybil Kennedy, Mabel Lockerby, Jeanne Rhéaume, Marian Scott, Fanny Wiselberg.
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Le parcours de formation et les stratégies de diffusion de femmes galeristes à Montréal entre 1941 et 1963 : Denyse Delrue, Estelle Hecht, Agnès Lefort et Rose Millman

Lafleur, Geneviève 01 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire traite du phénomène des femmes ayant fondé et géré une galerie d'art à Montréal entre 1941 et 1963. L'objectif de cette recherche est de déterminer le rôle que ces galeristes ont joué dans la diffusion des arts visuels à Montréal et si leur condition féminine a influencé ce rôle. Nous supposions alors que les femmes de notre corpus avaient participé à la diffusion de l'art moderne canadien en éduquant les publics aux esthétiques modernes. Mais encore, nous émettions l'hypothèse que le fait qu'elles soient femmes ait eu une double influence sur la gestion de leurs galeries, en les limitant au plan législatif et en leur imposant socialement un certain nombre de valeurs dites féminines. Pour cette étude à caractère historique, nous avons choisi d'emprunter une approche théorique davantage sociologique développée par Max Weber, soit l'individualisme méthodologique, qui explique les phénomènes sociétaux à partir des gestes individuels. Cette approche nous a permis de considérer les femmes de notre corpus en tant que personnes dont les actions ont pu participer au développement de l'histoire de l'art au Québec. Cette approche propose que, pour comprendre une action dans sa globalité, il s'avère nécessaire d'en comprendre l'environnement ainsi que ses effets et répercussions. Nous avons donc étudié le contexte socio-historique de la période de notre étude, en portant une attention particulière à la situation des femmes sur les plans social et législatif ainsi qu'au milieu des arts visuels. Ensuite, nous avons analysé plusieurs éléments biographiques des femmes de notre corpus afin de déterminer quelles étaient leurs motivations à ouvrir et diriger une galerie d'art, mais également afin de constater s'il y avait eu certaines expériences communes chez ces femmes qui auraient pu les orienter vers l'exercice de cette fonction. Puis, nous nous sommes intéressés aux stratégies de diffusion que ces galeristes avaient entreprises afin d'évaluer comment elles ont répondu aux objectifs de promotion artistique que ces femmes s'étaient fixés. De plus, nous avons analysé plusieurs articles de la presse écrite afin de définir les effets véritables et la réception de ces stratégies. Finalement, nous avons constaté que les galeristes de notre corpus ont participé à la diffusion de formes d'art n'ayant pas encore de public établi, mais aussi que leur condition féminine aura eu une influence significative sur cette participation. Ce mémoire constitue un ouvrage descriptif et historique dont le travail de défrichage documentaire était nécessaire pour entamer notre projet doctoral. Le phénomène ici étudié n'avait encore jamais été développé, outre par l'étude de cas uniques; c'est pourquoi il était indispensable, à l'intérieur de ces pages, de procéder au regroupement des informations préexistantes que nous allions complémenter de nos propres recherches. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Galeries d'art, Stratégies de diffusion, Montréal, Femmes
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Pratiques cliniques, aspirations professionnelles et politiques de la santé : histoire des professions paramédicales au Québec, 1940-2005

Prud'homme, Julien January 2007 (has links) (PDF)
La présente thèse décrit la transformation des pratiques de diagnostic et des champs d'expertise dans plusieurs professions paramédicales, en montrant en quoi ces transformations sont indissociables des stratégies d'avancement professionnel des acteurs. J'aborde l'évolution de huit groupes professionnels réunis en trois grappes : des professions à caractère psychosocial (psychologie, travail social), des professions de réadaptation physique (orthophonie, ergothérapie, physiothérapie) et des professions liées à l'appareillage (audiologie, audioprothésie, inhalothérapie). Cette histoire compte trois périodes. De 1940 à 1970, les professionnelles intègrent le secteur de la santé à l'invitation de médecins hospitaliers de diverses spécialités. Ces médecins ne réfèrent alors que des patients sur lesquels ils gardent une pleine autorité, limitant le pouvoir d'initiative des paramédicales qui font office d'auxiliaires. De 1970 à 1985, la multiplication des positions en santé stimule l'appropriation par les professionnelles de nouveaux objets d'intervention, qui ne leur confèrent cependant qu'une position souvent ambiguë. A partir de 1985, plusieurs professions rehaussent leur statut de manière plus marquée par l'adoption de diagnostics élargis dont l'usage favorise la rapide expansion des clientèles sanitaires. Les diagnostics et leurs usages se transforment ainsi dans un contexte où la recherche de positions d'autonomie s'accompagne d'un déplacement des champs d'expertise. L'obtention des positions convoitées dépend de l'aptitude à émettre des diagnostics qui rendent possible l'appropriation des cas. Cette évolution s'explique par l'émergence de nouvelles catégories issues du milieu scientifique, mais aussi par leur réception particulière en clinique, un même diagnostic pouvant faire l'objet d'usages variés selon les milieux. Enfin, l'État, en imposant au réseau de santé la forme d'un système différencié, exerce une pression involontaire en faveur de la multiplication des activités de soins. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Santé, Paramédical, Profession, Réadaptation, Diagnostic, Physiothérapie, Ergothérapie, Orthophonie, Psychologie, Travail social, Audiologie, Inhalothérapie.
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L'architecture des bungalows de la SCHL : 1946-1974

Lachance, Jonathan January 2009 (has links) (PDF)
La Société Centrale d'Hypothèques et de Logement (SCHL) a été instaurée le 1er janvier 1946 en tant qu'instance suprême en matière d'habitation au Canada. L'histoire de l'architecture domestique canadienne lui attribue la responsabilité de la répétitivité architecturale et de l'homogénéité sociale de nos banlieues. Il nous semble que la Société soit moins responsable de la monotonie suburbaine que de la création d'une image archétypale de l'architecture pavilIonnaire : une maison fonctionnaIiste matérialisant les valeurs de la classe moyenne salariée intégrée à la vie de banlieue nord-américaine. Entre 1946 et 1974, la SCHL a contribué de manière peu ordinaire à la popularisation de la maison individuelle au Canada. Entre autres, elle a conçu et diffusé une image particulière de la maison par l'entremise de publications didactiques adressées aux clients, bâtisseurs, architectes et planificateurs urbains canadiens. Nous avons considéré ces publications comme des documents historiques à part entière et nous les avons analysés dans le but d'identifier l'image que la SCHL projette de la maison. La Société a tout d'abord créé Monsieur Canada, père de famille nucléaire ordinaire et client fictif du concours d'architecture de maisons de 1946. La SCHL a ensuite réagi aux banlieues dortoirs monotones en proposant un nouveau modèle suburbain basé sur Radburn au New Jersey, banlieue pittoresque qui intègre des maisons individuelles dans un tracé urbain novateur et diversifié. Puis la Société a créé une maison pour cette famiIle et cette banlieue: elle a favorisé un système constructif industriel à ossature de bois, elle a mis sur pied un programme domestique articulé autour des principes modernes de zonage, et elle a publié des catalogues contenant 630 modèles de maisons reflétant les tendances esthétiques de l'époque. L'image qui en résulte est celle d'une maison normalisée, économique, fonctionnelle et symbolique de l'American way of life que la Société cherche à implanter en sol canadien. Cette maison représente une amélioration des conditions du logement par rapport à la norme antérieure. Nos analyses révèlent que l'architecture de la maison de la SCHL reflète le mode de vie de la classe moyenne intégrée à la vie de banlieue et en ce sens, l'action de la SCHL est idéologique. Elle fait passer l'image de la famille nucléaire et de la maison fonctionnaliste de banlieue comme allant de soi pour les couples en recherche d'un logis pour fonder un foyer, alors que cette image cache un attachement à la société de consommation et à la culture de masse, condition associée à la réception du Mouvement moderne en Amérique du Nord. En faisant la promotion d'une mythologie fonctionnaliste adaptée à l'architecture domestique des années 1950, la SCHL reflète la culture architecturale savante de son temps; son rôle de médiateur peut être considéré comme une contribution significative à la modernisation sociale et architecturale du Canada urbain. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Architecture domestique, Bungalows, Fonctionnalisme, Banlieue, SCHL, Canada.
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Économie domestique en milieu rural au Québec 1930-1960 : témoignages oraux de la région du Piedmont lanaudois

Beaupied, Stéphanie January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire traite de l'économie domestique des familles en milieu rural entre 1930 et 1960, une période de profondes transformations dans l'agriculture québécoise. Cette étude porte une attention particulière à la paysannerie qui pratique une agriculture de subsistance. C'est grâce à l'utilisation de sources orales que de nouveaux angles de l'histoire rurale au Québec ont pu être considérés, particulièrement l'importance de la dynamique interne des familles en milieu rural. Les témoignages ont été recueillis au coeur du Piedmont lanaudois, une zone colonisée au courant du XIXe siècle et peu étudiée par l'historiographie rurale. Trois constats liés au concept d'économie domestique constituent le noyau de ce mémoire. En premier lieu, il ressort que la famille est le centre de la production domestique et du déploiement du travail sur la ferme. Ensuite, cette étude révèle que les réseaux de sociabilité ont un rôle socio-économique primordial. Le recours à l'entraide sert autant de filet social que de moyen de production. Enfin, le dernier chapitre explore les rapports qu'entretiennent les familles rurales avec le marché et l'argent. La pluriactivité est une façon stratégique d'acquérir du numéraire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Paysannerie, Travail, Famille, XXe siècle, Histoire orale.
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La sociologie québécoise : analyse lexicométrique de la pratique d'une discipline, 1943-2003

Lepage, Jean-François January 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse propose une analyse lexicométrique d'un corpus constitué de textes de sociologie francophone publiés au cours des soixante premières années de la sociologie universitaire au Québec, soit de 1943 à 2003. L'analyse a pour but d'identifier les courants de la sociologie québécoise et les pratiques associées à chacun d'eux, en plus d'explorer l'évolution historique de la production sociographique dans son contexte social, politique et disciplinaire. La problématique de recherche se définit au confluent de travaux sur l'institutionnalisation de la sociologie québécoise et de ceux plus récents sur les sciences sociales dans le contexte de la mondialisation, où les pressions exercées par l'État et par le secteur privé génèrent des transformations dans les pratiques scientifiques. L'impact de ces pressions sur la production scientifique, sur le contenu de la science, est cependant pratiquement inexploré. La nécessité d'actualiser les connaissances sur la sociologie fait de cette discipline un cas intéressant pour combler cette lacune. Les publications constituent un matériau privilégié pour l'étude des pratiques sociologiques puisqu'elles en sont l'extrant principal. La méthode préconisée pour l'étude de contenu repose d'abord sur une lecture du corpus, qui offre une vision d'ensemble, puis sur une analyse lexicométrique assistée par ordinateur qui assure une exploration systématique du corpus, en plus de dépister les régularités et les variations lexicales. L'objectif principal de la présente thèse est donc d'explorer et de documenter l'évolution historique de la production sociologique québécoise, et de la mettre en perspective par rapport au contexte social, politique et disciplinaire dans lequel elle s'est inscrite. L'analyse du corpus a permis l'identification de six courants distincts. Dernier vestige de la sociologie préinstitutionnelle, la sociologie doctrinale (...-1952) fait surtout la promotion de la pratique et de l'enseignement du service social. La sociologie de la modernisation (1943-1971) se concentre sur l'étude empirique des familles et des paroisses canadiennes-françaises à l'aide de la méthode monographique. La sociologie de la société globale (1961-1973) met l'accent sur les idéologies qui structurent la société québécoise, et sur les rapports de classes, définies notamment en termes ethniques. Résolument matérialiste et engagée, la sociologie des luttes sociales (1970-1980) insiste sur les contradictions internes de la société québécoise, d'abord en termes de classes sociales, puis en termes de luttes nationales. La sociologie des problèmes sociaux (1977-1994), hétérogène sur les plans thématique, théorique et méthodologique, met l'accent sur la recherche empirique dans un domaine d'intérêt du point de vue de la gouvernance. La sociologie des objets transversaux (1988-...), délocalisée et transdisciplinaire, est davantage axée sur les enjeux théoriques liés à l'objet d'étude, que permettent de documenter des études empiriques du « cas » québécois. L'étude chronologique de la sociographie québécoise permet de constater que la base sur laquelle s'opère la transition d'un courant à l'autre n'échappe pas à une certaine logique institutionnelle, et relève souvent d'un changement d'habitus qui met en cause le rapport à l'empirie. La sociologie interagit nécessairement avec son environnement, mais la configuration complexe et ponctuelle d'un ensemble de facteurs ne permet pas d'appréhender la relation entre la sociologie et ces facteurs externes autrement que dans les termes d'une contingence historique. Il semble que le contexte dans lequel évoluent les sciences sociales depuis le début des années 1980 ait une incidence sur le contenu de la connaissance sociologique. La sociologie québécoise perd de son unité dans les années 1980. Le champ sociologique québécois n'est plus l'espace social significatif dans lequel la pratique de la sociologie s'inscrit. Les changements observés dans le corpus s'accordent avec l'idée d'une multidisciplinarisation et d'une internationalisation de la recherche sociale, ce qui correspond aux grandes tendances mondiales que permettent d'anticiper les principaux modèles d'analyse. Toutefois, les observations ne fournissent aucun indice quant à une éventuelle instrumentalisation de la recherche. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Champ sociologique, Discours, Lexicométrie, Pratiques scientifiques, Publications, Québec, Science, Sciences sociales, Sociographie, Sociologie.
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A política cambial brasileira durante a vigência do acordo de Bretton Woods : 1945-1973

Trevisan, Ana Lúcia January 2004 (has links)
O tema central deste trabalho é a política cambial. Seu objetivo básico é analisar a condução da política cambial no Brasil entre 1945-1973, que compreende a vigência do Acordo de Bretton Woods, identificando as principais medidas adotadas e seus efeitos sobre algumas das principais variáveis econômicas. Ainda que o Acordo de Bretton Woods tenha estabelecido o dólar norte-americano como base do sistema monetário mundial, de forma que cada país deveria adotar uma taxa fixa de câmbio em relação ao dólar-norte americano, verificou-se, especialmente após a Segunda Guerra Mundial, a utilização freqüente de alternância de instrumentos de política cambial pelo governo brasileiro. Dessa forma, ficou evidenciado que durante o período mencionado, a política cambial, esteve em grande parte, subordinada à gestão de freqüentes estrangulamentos cambiais, decorrentes da necessidade de equilibrar as contas externas ou de fornecer divisas à importação dos bens de produção necessários à continuidade do desenvolvimento industrial. Tais fatos, levavam o governo brasileiro a adotar medidas intercaladas de controle cambial, ora austeras, ora mais flexíveis, para fazer frente a tais desequilíbrios. Em 1973, o Acordo de Bretton Woods ruiu e desta forma o sistema monetário internacional passou a adotar taxas de câmbio flexíveis. No entanto, o Brasil já vinha praticando uma política cambial mais flexível desde 1968, com base em minidesvalorizações cambiais, levando em consideração a variação da paridade do poder de compra. À guisa de conclusão, evidenciou-se que a política cambial teve importância crucial, constituindo-se num marco decisivo no processo de desenvolvimento econômico do país, durante o período analisado, procurando, em conjunturas específicas, compatibilizar a estabilidade econômica com os compromissos desenvolvimentistas assumidos pelos governos do período.
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A política cambial brasileira durante a vigência do acordo de Bretton Woods : 1945-1973

Trevisan, Ana Lúcia January 2004 (has links)
O tema central deste trabalho é a política cambial. Seu objetivo básico é analisar a condução da política cambial no Brasil entre 1945-1973, que compreende a vigência do Acordo de Bretton Woods, identificando as principais medidas adotadas e seus efeitos sobre algumas das principais variáveis econômicas. Ainda que o Acordo de Bretton Woods tenha estabelecido o dólar norte-americano como base do sistema monetário mundial, de forma que cada país deveria adotar uma taxa fixa de câmbio em relação ao dólar-norte americano, verificou-se, especialmente após a Segunda Guerra Mundial, a utilização freqüente de alternância de instrumentos de política cambial pelo governo brasileiro. Dessa forma, ficou evidenciado que durante o período mencionado, a política cambial, esteve em grande parte, subordinada à gestão de freqüentes estrangulamentos cambiais, decorrentes da necessidade de equilibrar as contas externas ou de fornecer divisas à importação dos bens de produção necessários à continuidade do desenvolvimento industrial. Tais fatos, levavam o governo brasileiro a adotar medidas intercaladas de controle cambial, ora austeras, ora mais flexíveis, para fazer frente a tais desequilíbrios. Em 1973, o Acordo de Bretton Woods ruiu e desta forma o sistema monetário internacional passou a adotar taxas de câmbio flexíveis. No entanto, o Brasil já vinha praticando uma política cambial mais flexível desde 1968, com base em minidesvalorizações cambiais, levando em consideração a variação da paridade do poder de compra. À guisa de conclusão, evidenciou-se que a política cambial teve importância crucial, constituindo-se num marco decisivo no processo de desenvolvimento econômico do país, durante o período analisado, procurando, em conjunturas específicas, compatibilizar a estabilidade econômica com os compromissos desenvolvimentistas assumidos pelos governos do período.

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