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Soufisme et Hadith dans l'oeuvre du traditionniste et mystique égyptien Abd al-Ra'uf al-Munawi (m. 1031/1622) / Sufism and Hadith in the works of the Egyptian traditionnist and mystic 'Abd al-Ra'üfal-Munawï (d. 1031/1622)

Chouiref Boukabrine, Tayeb 02 April 2013 (has links)
L'œuvre écrite de ʽAbd al-Raʼūf al-Munāwī (m. 1031/1622) est l'une des plus riches et des plus importantes du XIe/XVIIe siècle, en langue arabe. Il s'intéressa à toutes les sciences islamiques de son époque qu'il maîtrisa de façon exceptionnelle. À ce titre, il incarne parfaitement l'idéal d'encyclopédisme et de polygraphie que l'Égypte ottomane a hérité de son époque mamelouke. L'œuvre de Munāwī n'est toutefois pas dénuée d'originalité. Tout en étant l'héritier de nombreux savants marqués par le soufisme, notre auteur a su proposer des vues en nette rupture avec le consensus. C'est le cas, notamment, de la façon dont il aborde la falsafa, l'alchimie et la science des lettres. Ce faisant, il est amené à tenter une réhabilitation d'Ibn Sīnā et d'Abū l-ʽAbbās al-Būnī. Enfin et surtout, les écrits de Munāwī constituent une excellente illustration de la convergence du soufisme et du Hadith qui fut amorcée durant la période mamelouke et s'amplifia sous les premiers Ottomans, notamment avec Suyūṭī et Šaʽrānī. Reprenant la tradition de l'herméneutique soufie du Hadith (Tirmiḏī, Kalābāḏī, Qūnawī, etc.), Munāwī l'enrichit d'apports importants comme ceux de Ġazālī et d'Ibn ʽArabī. Il donne ainsi à cette tradition une ampleur rarement égalée. / The works of ʽAbd al-Raʼūf al-Munāwī (d. 1031/1622) are one of the richest and most important of the 11th/17th century, in Arabic. He developed an interest in all Islamic sciences of his time, which he mastered exceptionally well. As such, he embodies the ideal of encyclopedism and prolificness as Egypt inherited from its Mamluk era. Munāwī's works are not lacking in originality. He was heir of many scholars marked by Sufism, and at the same time, our author was able to present views radically different from the conventional ones. This is actually the case when he speaks about falsafa, alchemy and the science of letters. In doing so, he had to defend Ibn Sīnā and Abū l-ʽAbbās al-Būnī. Finally and most importantly, Munāwī writings are an excellent illustration of the convergence of Sufism and Hadith, which was initiated during the Mamluk era and then amplified under the first Ottomans, especially by Suyūṭī and Šaʽrānī. Resuming the tradition of Sufi Hermeneutic of Hadith (Tirmiḏī, Kalābāḏī, Qūnawī, etc.), Munāwī enriches it with contributions from major authors like Ġazālī and Ibn ʽArabī. Thus, he gave this tradition an eminence hardly ever reached.
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La réception de la pensée mystique perse dans le monde francophone : le cas de la traduction française de Manteq ot-teyr de Farîd-ud-Dîn 'Attâr par Leili Anvar

Ajdari, Safoura 21 January 2025 (has links)
Cette recherche explore la réception de la traduction française de *Manteq ot-teyr*, recueil poétique mystique du XIIᵉ siècle écrit par Farîd-ud-Dîn 'Attâr, dans une dynamique d'échange culturel et spirituel. Elle met en lumière la poésie mystique persane et son écho dans des contextes contemporains francophones. Nous analysons les stratégies de la traductrice, Leili Anvar, visant à équilibrer la fidélité au texte source et l'accessibilité pour le lectorat cible, en examinant ses choix lexicaux et stylistiques. L'étude se concentre sur la préservation du rythme et des concepts mystiques profonds, tout en évaluant leur influence sur la réception par un public francophone. Notre méthodologie repose sur une analyse de corpus, notamment au moyen d'une comparaison entre le texte original et sa traduction. Cette approche permet d'explorer les choix de traduction, les défis linguistiques et culturels, ainsi que l'interprétation des thèmes mystiques. De plus, la consultation des vidéos en ligne des entrevues avec Anvar enrichit notre compréhension de ses intentions et des valeurs sous-jacentes à ses décisions. À travers cette recherche, nous démontrons que la traduction de *Manteq ot-teyr* ne se réduit pas à une simple transposition linguistique, mais constitue un acte de médiation culturelle essentiel. Les choix de traduction influencent considérablement la manière dont les thèmes spirituels sont perçus par les lecteurs, et la sensibilité interculturelle s'avère cruciale pour rendre accessible la richesse de la poésie persane. Enfin, en célébrant la richesse des échanges entre traditions littéraires, cette thèse aspire à contribuer à une meilleure appréciation de la poésie mystique persane dans le monde francophone, tout en renforçant les liens interculturels dans la société contemporaine. / This research explores the reception of the French translation of *Manteq ot-teyr*, a 12th-century mystical poetic collection written by Farîd-ud-Dîn 'Attâr, within a framework of cultural and spiritual exchange. It highlights Persian mystical poetry and its resonance in contemporary Francophone contexts. We analyze the strategies of the translator, Leili Anvar, who seeks to balance fidelity to the source text with accessibility for the target readership, by examining her lexical and stylistic choices. The study focuses on preserving the rhythm and profound mystical concepts, while assessing how these elements influence the reception by a French-speaking audience. Our methodology is based on corpus analysis, including a comparative analysis between the original text and its translation. This approach allows us to explore translation choices, linguistic and cultural challenges, and the interpretation of mystical themes. Furthermore, consulting the online videos of interviews with Anvar enhances our understanding of her intentions and the underlying values behind her decisions. Through this research, we demonstrate that the translation of *Manteq ot-teyr* is not merely a linguistic transposition but an essential act of cultural mediation. Translation choices significantly impact how spiritual themes are perceived by readers, and intercultural sensitivity is crucial to making the richness of Persian poetry accessible. Ultimately, by celebrating the richness of exchanges between literary traditions, this thesis seeks to contribute to a broader appreciation of Persian mystical poetry in the Francophone world, while strengthening intercultural ties in contemporary society.
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L'héritage du soufisme dans la poétique arabe contemporaine

Kchouk, Khedija 12 September 2012 (has links) (PDF)
Dans son premier chapitre, cette étude présente la poétique chez les penseurs, poètes et critiques confondus, dans le patrimoine arabe traditionnel jusqu'au XIVe siècle en en faisant la synthèse. Son deuxième chapitre expose le soufisme dans ses grandes lignes et dans ce qui le distingue en tant qu'approche existentielle de l'ensemble de la vision islamique. Ces mêmes caractéristiques se reflètent dans le troisième chapitre à travers la production poétique de trois de ses plus célèbres représentants à savoir Râbia Al- Adawiyya (m. 725), Umar Ibn Al-Fâridh (m.1235) et Mohyî Al-Dîn Ibn Arabî (m.1240). L'analyse de leurs œuvres respectives démontre que Râbia dans sa quête de purification, Ibn Al-Fâridh dans sa recherche à propager sa foi soufie à travers sa Tâiyya Al-Kubrâ (La Grande Tâiyya), et Ibn Arabî avec son dessein de réfuter tout écrit stable et rigide dans son recueil Turjumân Al-Achwâq (l'Interprète des désirs), ont eu trois approches différentes de la création poétique. Râbia l'utilise comme catharsis. Ibn Al-Fâridh, en s'adressant essentiellement à son lecteur, essaye de l'imprégner de sa propre foi soufie, alors qu'Ibn Arabî cherche à instaurer " un Texte " idéal. Aussi conclut‑on que ces poètes soufis ont eu trois approches différentes de la création poétique. L'analyse de leurs œuvres respectives démontre qu'" émetteur ", " récepteur " et " message " sont les trois pôles d'intérêts de ces poètes. Dans le quatrième chapitre de cette étude, trois œuvres poétiques de trois poètes contemporains sont analysées afin de déceler les filigranes soufis de leurs poèmes. Il s'agit de " Al-Tûfân Al-Aswad " (Le déluge noir) de Muhammad Miftâh Al-Faytûrî (1936-...), d'Al-Kibrît wa Al-Asâbi (l'Allumette et les doigts) de Nizâr Qabbânî (1923-1998), et de Qaṣîdat Al-Takwîn (le poème de la genèse) d'Adonis (1930-...). Ainsi cette analyse prouve-t-elle l'influence du soufisme dans la pratique de la création poétique arabe. Quant au cinquième chapitre, il démontre cet héritage soufi dans les théories poétiques arabes contemporaines et son influence dans l'instauration de trois approches poétiques différentes constituant ce que l'on appellerait " l'école purificatrice ", " l'école imprégnatrice " et " l'école de la réfutation" ; ces théories ne tenant nullement compte du corpus littéraire exposé dans le premier chapitre. Outre la traduction de Claudine Chonez de " la Grande Tâiyya ", les poèmes analysés sont cités en annexe à la fin de cette étude avec une traduction personnelle, qui bien qu'elle ne prétende nullement refléter la profondeur et la beauté des poèmes arabes, ne désespère pas pour autant de la laisser entrevoir.
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L'héritage du soufisme dans la poétique arabe contemporaine / The legacy of Sufism in contemporary Arabic poetic

Kchouk Ayachi, Khedija 12 September 2012 (has links)
Dans son premier chapitre, cette étude présente la poétique chez les penseurs, poètes et critiques confondus, dans le patrimoine arabe traditionnel jusqu’au XIVe siècle en en faisant la synthèse. Son deuxième chapitre expose le soufisme dans ses grandes lignes et dans ce qui le distingue en tant qu’approche existentielle de l’ensemble de la vision islamique. Ces mêmes caractéristiques se reflètent dans le troisième chapitre à travers la production poétique de trois de ses plus célèbres représentants à savoir Râbia Al- Adawiyya (m. 725), Umar Ibn Al-Fâridh (m.1235) et Mohyî Al-Dîn Ibn Arabî (m.1240). L’analyse de leurs œuvres respectives démontre que Râbia dans sa quête de purification, Ibn Al-Fâridh dans sa recherche à propager sa foi soufie à travers sa Tâiyya Al-Kubrâ (La Grande Tâiyya), et   Ibn Arabî avec son dessein de réfuter tout écrit stable et rigide dans son recueil Turjumân Al-Achwâq (l’Interprète des désirs), ont eu trois approches différentes de la création poétique. Râbia l’utilise comme catharsis. Ibn Al-Fâridh, en s’adressant essentiellement à son lecteur, essaye de l’imprégner de sa propre foi soufie, alors qu’Ibn Arabî cherche à instaurer « un Texte » idéal.  Aussi conclut‑on   que ces poètes soufis ont eu trois approches différentes de la création poétique. L’analyse de leurs œuvres respectives démontre qu’« émetteur », « récepteur » et « message » sont les trois pôles d’intérêts de ces poètes. Dans le quatrième chapitre de cette étude, trois œuvres poétiques de trois poètes contemporains sont analysées afin de déceler les filigranes soufis de leurs poèmes. Il s’agit de « Al-Tûfân Al-Aswad » (Le déluge noir) de Muhammad Miftâh Al-Faytûrî (1936-…), d’Al-Kibrît wa Al-Asâbi (l’Allumette et les doigts) de Nizâr Qabbânî (1923-1998), et de Qaṣîdat Al-Takwîn (le poème de la genèse) d’Adonis (1930-…). Ainsi cette analyse prouve-t-elle l’influence du soufisme dans la pratique de la création poétique arabe. Quant au cinquième chapitre, il démontre cet héritage soufi dans les théories poétiques arabes contemporaines et son influence dans l’instauration de trois approches poétiques différentes constituant ce que l’on appellerait « l’école purificatrice », « l’école imprégnatrice » et « l’école de la réfutation» ; ces théories ne tenant nullement compte du corpus littéraire exposé dans le premier chapitre. Outre la traduction de Claudine Chonez de « la Grande Tâiyya », les poèmes analysés sont cités en annexe à la fin de cette étude avec une traduction personnelle, qui bien qu’elle ne prétende nullement refléter la profondeur et la beauté des poèmes arabes, ne désespère pas pour autant de la laisser entrevoir. / The first chapter in this study presents the poetic thinkers, poets and critics alike, in the traditional Arabic heritage until the fourteenth century by making a synthesis. The second chapter presents Sufism in outline and in what distinguishes it as an existential approach throughout the Islamic view. These same characteristics are reflected in the third chapter through the poetic production of three of its most famous representatives namely Rabia Al-Adawiyya (d. 725), Umar Ibn Al-Fâridh (d. 1235) and Mohyî Al -Dîn Ibn Arabi (d. 1240). The analysis shows that in their respective works, they also had three different approaches to poetic creation. Rabia with her quest for purification uses it as a catharsis, Ibn Al-Fâridh, with his quest to spread his Sufi faith through his Al-Tâiyya Kubrâ (The Great Tâiyya),tries to impregnate his own Sufi liver faith, and Ibn  Arabi, with his plan to refute any writing stable and rigid trough his collection of poems Turjumân Al-Achwaq  (the interpreter of desires), seeks to establish an ideal "Text ".Thus we can conclude that these Sufi poets had three different approaches to poetic creation. The analysis of their respective writings demonstrates that "issuer", "receiver" and "message" are the three core interests of these three Sufi poets. In the fourth chapter of this study, three poetic works of three contemporary poets are analyzed to detect the Sufi watermarks of these poems. It is Al-Tufan Al-Aswad (The Black Flood) of Muhammad Miftâh Al-Faytûrî (1936 - ...), Al-Kibrît wa Al-Asâbi (The Match and the Fingers) of Nizar Qabbâni (1923-1998), and Qasîdat Al-Takwîn The Poem of the Genesis of Adonis (1930 - ...). Their analysis proves the influence of Sufism in the practice of the creation of Arabic poetry. The fifth chapter demonstrates this Sufi legacy in poetic theories in contemporary Arab thought and its influence in the establishment of three different poetic approaches constituting the so-called " the Purifying School," " the Impregnator School" and "the Refutation School", these theories take no account of the literary corpus described in the first chapter. Besides the translation of Claudine Chonez of "Great Tâiyya," the poems are cited in Appendix at the end of the study with a personal translation, which, although it does not claim to reflect in any way the depth and beauty of Arabic poems, she does not despair for the many suggest.

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