Although the date of Acts requires no introduction there has been consistent apathy in recent years with regards to this longstanding debate. While the ‘majority’ of scholars have been lulled into thinking it was written between 70 and 90 CE the vast majority of recent opinion is unanimously adamant that this middle range date is a convenient, political compromise. A large part of the problem relates to the recent and remarkable neglect of historical, textual, and source-critical matters. Compounding the problem further are the methodological flaws among the approaches to the middle and late date of Acts. A historiographical approach to the debate offers a stronger framework for evaluating the primary and secondary sources. Under this umbrella, and with the support of modern principles of textual criticism and linguistics, the historical context of Acts is determined to be concurrent with a date of 62-63 CE. This thesis also examines the much-neglected issue of Acts and its sources. As a consequence, it was found that there is no clear evidence that Luke used Paul's letters or the writings of Josephus—which (in concert with other evidence) effectively removes the plausibility of a late date of Acts. Additionally, the relationship between the date of Acts and the various interpretations on the end of Acts demonstrate that many of the modern and more recent theories are not only assumptive (especially with regards to genre), in some cases they utilize anachronistic literary methods that were originally applied to nineteenth-century novels. It is proposed below that the ancient interpretation (that Luke wrote no more because he knew no more) remains the most logical in light ofthe combined literary and historical evidence. This interpretation is further strengthened by a study of the variants at the end of Acts, the fall of Jerusalem (and its aftermath), the great fire of Rome and the subsequent persecution of Christians under Nero—all of which strongly indicate a pre-64 CE state of affairs. / Thesis / Doctor of Philosophy (PhD)

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Thesis (M.M. (Research))--University of the Witwatersrand, Faculty of Commerce, Law and Management, Graduate School of Business Administration, 2013. / This research investigated the way in which an academic library could add value to the research undertaken by the business community in Johannesburg. The research was qualitative and data was collected via interviews, both telephonic and face-to-face. Two research questions were examined: 1. Where does corporate South Africa access information? 2. Why does corporate South Africa access information? The results were collated and themes drawn to reach conclusions. It was initially thought that researchers in the business community used Google and social media extensively in order to trace information for innovation, the development of new products, and marketing. A significant theme that emerged during the research was that people actually prefer personal contact, either face-to-face or via conferences and telephonically. This contradicts the library literature which maintains that libraries need to maintain a profile in the social media since this is where people are looking for information. It was also discovered that while researchers are using Google extensively, they are not using libraries to any significant extent. It is recommended that libraries consider linking into communities of practice in order to ensure that they are part of the research process and, at the same time, part of the community of practice, and so are able to anticipate the research needs of their community. The research highlights the need for libraries to actively market their resources to their communities to increase their visibility in order to validate the value they can add to the bottom line of an organisation.

L’énoncé du sujet fixe le champ de la réflexion mais envisage aussi les principaux défis que cette réflexion devra prendre en compte. Le droit maritime : un champ fort étendu que l’orthodoxie universitaire (en dépit des entremêlements qu’impose assez souvent la pratique sur le terrain) distingue au sein des «questions juridiques portant sur l’univers océanique 1 », en le situant, dans la sphère du droit privé, comme étant «l’ensemble des règles juridiques spécifiques directement applicables aux activités que la mer détermine 2». Ce problème du champ reste au demeurant complexe. L’épreuve des sources. Les sources du droit maritime ont certes des particularités qui devront apparaître au fil de la réflexion mais c’est l’ensemble des sources du droit qui sont « mises à l’épreuve », aujourd’hui, par les profondes mutations du monde. D’où l’intérêt d’un préambule introductif pour établir des repères. Qu’est-ce que le droit? Une notion toute intuitive et spontanée mais qui pourtant divise les doctes. Une réalité diverse à l’échelle du monde et défiant le travail exhaustif de la définition, très cloisonnée mais par des cloisons mal étanches. Que sont les sources du droit ? La fons juris de Cicéron c’est une fontaine de droit, la réserve de droit formé (loi, coutume…) ; le dépôt disponible, un « mode d’expression » du droit. Ce n’est pas une origine du droit ni quelque force antérieure au droit formé : ce que l’évolution du mot source en langage usuel conduirait à suggérer par erreur. Une liste est alors adoptée dans un ordre que nuancera peu à peu la rencontre avec le droit maritime. Situées dans cette optique, les sources du droit maritime ont pour ancienne originalité d’être des sources lointaines, appartenant à l’internationalité de la mer. Le précédent schéma des sources en est pourtant conforté même si des interférences apparaissent entre les sources que l’on distingue, même si l’internationalité spontanée des origines a du mal à trouver son chemin dans l’affairisme mondialisé d’aujourd’hui. L’Européanisation des sources (et l’Union européenne n’étant donc pas une source du droit mais se donnant autorité sur les sources) est un élément décisif. Si la Communauté européenne fut au début timide à l’endroit du droit maritime, on en est aujourd’hui loin : l’Union européenne défiant parfois sur ce terrain-là les organismes spécialisés des Nations Unies. Sur le plan des sources, l’Union Européenne officialise le « droit souple » et bouleverse les hiérarchies : la simple jurisprudence de la Cour de Justice de l’Union Européenne ayant préséance sur les lois nationales. De quoi retoucher, déjà, l’originel schéma des sources. S’impose un large diagnostic, au terme des bouleversements du monde et du rôle de l’Union européenne: les sources du droit maritime sont troublées. Troublées par de fortes rivalités. La loi, du fait de ses insuffisances à l’échelle internationale, est confrontée aux pratiques normatives de plus en plus nombreuses des acteurs privés du droit maritime. A côté de la jurisprudence publique une jurisprudence arbitrale apparaît, qui se développe en tant que source du droit. Puis à côté de ce que l’on regardera comme un simple désordre des sources, apparaissent, au sein même de la source légale, des conflits entre conventions internationales. Face à ce diagnostic, les efforts thérapeutiques de la communauté maritime sont nombreux: la démarche thérapeutique s’effectuant au plan national autant que supranational. Mais en définitive le droit maritime affecté par l’épreuve de ses sources ne retrouvera sa stabilité et son harmonie qu’au prix d’un effort collectif visant à lui conserver son internationalité, son identité. La conclusion de la réflexion se propose, entre autres, de répartir les sources rencontrées dans les catégories d’un vocabulaire actuel, appelant aussi – mais il ne s’agit évidemment pas d’une autre « source » - un rapprochement entre la morale et le droit. / No

Thesis (M.S.)--University of Tennessee, Knoxville, 2009. / Title from title page screen (viewed on Oct. 23, 2009). Thesis advisor: James A. Larson. Vita. Includes bibliographical references.

Thesis (Doctoral)--İzmir Institute of Technology, İzmir, 2005 / Includes bibliographical references (leaves 271-292).

Texte remanié de: Th. doct.--Droit--Lausanne. / La couv. porte en plus : "étude de droit suisse" En appendice, choix de documents. Bibliogr. p. 239-244. Index.