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Perception des sensations physiques et des émotions dans le comportement alimentaire : lien avec la consommation alimentaire et le statut pondéral en population générale / Perception of physical sensations and emotions in the context of eating behavior : associations with food intake and weight status in the general population

Camilleri, Geraldine 03 November 2015 (has links)
Les traits psychologiques individuels peuvent faciliter ou nuire au contrôle alimentaire et pondéral non seulement chez les obèses, mais également dans l’ensemble de la population. La littérature s’est jusqu’à présent principalement focalisée sur les traits négatifs tels que la restriction ou l’alimentation liée aux émotions négatives. A l’inverse, des traits positifs (ou adaptatifs) tels que l’alimentation intuitive et la pleine conscience pourraient favoriser une alimentation saine et un maintien du poids. L'alimentation intuitive est caractérisée par une consommation motivée par les signaux physiologiques de faim et de satiété plutôt qu’en réponse aux stimuli externes et émotionnels, couplée à une faible préoccupation vis-à-vis de l’alimentation. La pleine conscience est définie par une prise de conscience de l’instant présent sans jugement de valeur. L’objectif principal de ce travail était de mesurer l’alimentation liée aux émotions, l’alimentation intuitive et la pleine conscience dans un large échantillon d’adultes en population générale issus de la cohorte NutriNet-Santé, et d’évaluer leur association avec la consommation alimentaire et le statut pondéral de façon transversale. Chez les femmes, une forte alimentation liée aux émotions était associée à une plus forte consommation d’aliments riches en énergie, en particulier les aliments gras et sucrés. La présence de symptômes dépressifs exacerbait cette association. Pour les hommes, cette relation était mise en évidence seulement chez ceux sans symptômes dépressifs. La version traduite et validée d’un questionnaire d’alimentation intuitive a montré des caractéristiques psychométriques satisfaisantes. Des scores plus élevés aux dimensions « manger pour des raisons physiques plutôt qu’émotionnelles » et « recourir à ses signaux de faim et de satiété» étaient associés à des choix alimentaires bénéfiques pour la santé tandis que des scores plus élevés à la dimension « permission inconditionnelle de manger » étaient associés à une alimentation moins saine. Par ailleurs, l’alimentation intuitive et ses trois dimensions étaient inversement associées au statut pondéral. La disposition de pleine conscience était inversement associée au surpoids et à l’obésité chez les femmes, et à l’obésité chez les hommes. De plus, dans l’ensemble, toutes les dimensions de la pleine conscience (« observation », « description », « agir en pleine conscience », « non-jugement » et « non-réactivité ») étaient inversement associées au statut pondéral chez les femmes tandis que chez les hommes, seules les dimensions « observation » et non-réactivité » l’étaient. De façon cohérente, la pratique de techniques psycho-physiques pouvant développer la pleine conscience était inversement associée au statut pondéral. Ces résultats illustrent l’importance des déterminants psychologiques sur le comportement alimentaire et le statut pondéral. Plus particulièrement, ils montrent l’importance de considérer des conduites positives, et pas uniquement des conduites à risque, à la fois en prévention primaire et secondaire de l’obésité. / Individual psychological traits can positively or adversely affect eating and weight control notonly among obese individuals, but also in the whole population. So far, the literature hasmainly focused on negative traits such as restrained or emotional eating. Yet, positive (oradaptive) traits such as intuitive eating and mindfulness might predispose people to eat morehealthfully and maintain weight. Intuitive eating is defined as generally eating in response tophysiological hunger and satiety signals, and not in response to external and/or emotionalcues, together with low overall preoccupation with food. Mindfulness is defined as nonjudgmentalawareness of the present moment.Our main objective was to quantify emotional eating, intuitive eating and mindfulness in alarge sample of adults from the general population (the NutriNet-Santé cohort) and to assesswhether they were cross-sectionally associated with food intake and weight status.In women, higher emotional eating was associated with higher consumption of energy densesnack foods, and in particular sweet-and-fatty foods. The presence of depressive symptomsexacerbated this association. In men, this association was found in those without depressivesymptoms only.We translated and validated an existing intuitive eating questionnaire into French, and thistranslated version demonstrated satisfactory psychometric properties.Higher scores on the dimensions “eating for physical rather than emotional reasons” and“reliance on hunger and satiety cues” were associated with healthier food choices whilehigher scores on the dimension “unconditional permission to eat” were associated with a lesshealthy diet. However, overall intuitive eating and its three dimensions were all inverselyassociated with weight status.Dispositional mindfulness was inversely associated with overweight and obesity in womenand with obesity in men. In addition, overall, all dimensions of mindfulness (“observing”,“describing”, “acting with awareness”, “non-judging” and “non-reactivity”) were inverselyassociated with weight status in women, while only the “observing” and “non-reactivity”dimensions were inversely associated with weight status in men. In line with this, mind-bodypractices, which can help to develop mindfulness, were also inversely associated with weightstatus.These results illustrate the importance of psychological determinants of dietary behavior andweight status. In particular, our results underline the value of considering positive behaviors,and not only behaviors at risk, for both primary and secondary prevention of obesity.
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Perceptions, préoccupations et pratiques alimentaires parentales de mères immigrantes noires de descendance africaine ou caribéenne résidant à Ottawa : déterminants et relation avec la qualité de la diète et le statut pondéral de leurs enfants

Kengneson, Cris-Carelle 04 March 2021 (has links)
No description available.
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Approche épidémiologique des choix alimentaires lors de l'approvisionnement et de la préparation des repas : déterminants et associations avec l'alimentation et le tatut pondéral / Epidemiological approach of food choices during grocery shopping and home meal preparation : determinants and associations with diet quality and weight status

Ducrot, Pauline 12 September 2016 (has links)
L’obésité est aujourd’hui un problème sociétal mondial. Dans les pays développés, l’abondance alimentaire a contribué au développement d’un environnement « obésogène » en favorisant la surconsommation. Ainsi, la promotion de choix alimentaires favorables à la santé représente un enjeu de santé publique majeur. L’objectif de cette thèse était de fournir une approche épidémiologique des choix alimentaires lors de l’approvisionnement et de la préparation des repas. Ce travail a été réalisé sur la population NutriNet-Santé, large cohorte prospective d’observation d’adultes français basée sur Internet.Au moment de l’approvisionnement, les logos d’information nutritionnelle ont été évalués comme des outils potentiels pour guider les consommateurs lors de leurs choix. Quatre logos ont été comparés : les Repères Nutritionnels Journaliers, les Traffic Light Multiples, le logo simple Pick the Tick et le logo 5-Couleurs. Des quatre logos testés, le logo 5-Couleurs était perçu comme le plus facile à identifier et celui demandant le moins d’effort à comprendre. Il était le plus efficace pour augmenter la capacité des individus à classer trois produits en fonction de leur qualité nutritionnelle. Enfin, en situation d’achats simulée en ligne, ce logo était celui qui permettait d’accroitre de façon la plus importante la qualité nutritionnelle du panier d’achat par rapport à une situation sans logo.Lors de la préparation des repas, un premier objectif était de comprendre l’ensemble des déterminants mis en jeu, cette thématique restant peu étudiée dans la littérature. Cinq grandes motivations ont été identifiées : alimentation saine, contraintes, plaisir, régimes spécifiques et organisation. Le fait d’attacher de l’importance à avoir une alimentation saine était associé à une alimentation de meilleure qualité nutritionnelle, ainsi qu’à une moindre susceptibilité d’être en surpoids. Attacher de l’importance à un régime spécifique était également associé à une meilleure qualité d’alimentation mais à un surpoids plus important. Malgré des associations significatives pour les autres motivations, les effets observés étaient de faible ampleur. Ces résultats soulignent l’importance de promouvoir des choix alimentaires favorables au moment de la préparation du repas.Le fait de planifier ses repas, c’est-à-dire prévoir à l’avance ce qui va être consommé sur plusieurs jours, a également été évalué. Globalement, les individus qui planifiaient leurs repas avaient une alimentation plus en adéquation avec les recommandations nutritionnelles et plus variée, bien que les résultats en termes d’apports en énergie et groupes d’aliments indiquaient de faibles différences. Ils étaient également moins susceptibles d’être obèses (et en surpoids chez les femmes).L’ensemble de ces résultats suggèrent l’intérêt de fournir des outils (logo, outils d’aide à la décision au moment de la préparation des repas et d’aide à la planification) afin de guider les individus lors de leurs choix alimentaires et ainsi améliorer la qualité de leur alimentation. / Nowadays, obesity is a global societal problem. In developed countries, food abundance has contributed to the development of an "obesogenic" environment by encouraging overconsumption. Thus, promoting healthy food choices is a major public health issue. The objective of this thesis was to provide an epidemiological approach to food choices during grocery shopping and home meal preparation of food. This work was performed on the NutriNet-Santé population, which is a large web-based prospective observational cohort of French adults.During grocery shopping, front-of-pack nutrition labels were evaluated as potential tools to guide consumers in their choices. Four logos were compared: the Guideline Daily Amounts, the Multiple Traffic Light, the simple Pick the Tick label and 5-color nutrition label. Among these labels, the 5-color nutrition label was perceived as the easiest to identify, and that requiring the least effort to understand. It was the most effective in increasing the capacity of individuals to rank three products based on their nutritional quality. Finally, in a situation of simulated online grocery shopping, this label was the one that allowed the most important increase in the nutritional quality of the shopping cart as compared to a situation without label.During home meal preparation, a first objective was to uncover all the determinants involved in food choices, since this topic remains little studied in the literature. Five motives of dish choice were identified: healthy diet, constraints, pleasure, specific diets and organization. Giving importance to a healthy diet was associated with a better nutritional quality of food, and to lower odds of being overweight. The importance attached to specific diet motive was also associated with better diet quality food but lower odds of being overweight. Despite significant associations for other motives, the observed effects were relatively small. These results underscore the importance of promoting healthy food choices when preparing meals.Planning meal, in other words deciding ahead the foods that will be eaten in the next few days, was also evaluated. Overall, individuals who planned their meals were more likely to comply with nutritional guidelines and had a more varied diet, although the results in terms of energy intake and food groups showed limited differences. They were also less likely to be obese (and overweight in women).All these results suggest the interest of providing tools (nutrition labels, tools providing assistance for decision-making when preparing meals, as well as for meal planning) to guide individuals in their food choices and thereby improving the quality of their diet.
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Privilégier la santé ou le plaisir : impact des attitudes envers l’alimentation et du contexte sur les choix alimentaires des enfants normo-pondéraux et en surpoids âgés de 5 à 11 ans / Pleasure or health : impact of attitudes toward food and context on nfood choices in normal- and overweight children from 5 to 11 years old

Marty, Lucile 21 December 2017 (has links)
Plaisir et santé sont deux concepts souvent opposés lorsqu’il est question d’alimentation. Néanmoins, les conséquences sur les choix alimentaires de privilégier la santé ou le plaisir ne sont pas clairement établies, en particulier chez l’enfant. Pourtant mieux appréhender chez l’enfant les déterminants des choix alimentaires favorables à la santé, ou au contraire délétères, semble primordial étant donné que les habitudes alimentaires sont formées précocement. Il apparaît donc nécessaire d’étudier comment les enfants s’approprient les considérations liées au plaisir et à la santé et dans quelle mesure celles-ci influencent leurs choix alimentaires. Pour répondre à ces questions, nous avons étudié à la fois l’influence des attitudes et du contexte sur les choix alimentaires des enfants normo-pondéraux et en surpoids. Nous avons mis en évidence que la dominance relative des bases hédoniques et nutritionnelles des attitudes implicites et/ou explicites des enfants envers l’alimentation variaient en fonction de leur âge, de leur statut pondéral et de leur milieu culturel. De plus, les enfants dont les attitudes implicites et explicites étaient les plus basées sur des considérations liées à la santé étaient ceux qui effectuaient les choix de moins bonne qualité nutritionnelle lors d’un goûter proposé au laboratoire. Néanmoins, dans certains contextes, nous avons montré que valoriser la santé pouvait conduire à des choix de meilleure qualité nutritionnelle par les enfants. Ces résultats nous ont permis d’amorcer une réflexion quant à la place que pourrait jouer le plaisir dans la promotion de comportements alimentaires favorables à la santé chez les enfants normo-pondéraux ou en surpoids. / In the food domain, pleasure and health are often viewed as two opposite sides of a coin. However, surprisingly sparse research has examined the relative influence of hedonic versus nutritional considerations on food choices, especially in children. Yet, a better understanding of the factors that underlie healthy or unhealthy eating in children is of particular importance because eating habits are early shaped. To fill this gap, we explored the relationships between hedonic- versus nutrition-based attitudes towards food, pleasure- versus health-oriented eating contexts and children’s food choices. First, our results showed that the relative dominance of nutrition- versus hedonic-based implicit and/or explicit attitudes varied by age, weight status and cultural context in children. Moreover, children with implicit and explicit nutrition-based attitudes performed the unhealthiest food choices for their afternoon snack during a buffet test in our laboratory. However, a health-oriented context has been shown to enhance healthy food choices compared to a pleasure-oriented context. Collectively, these results add to the literature regarding the determinants of children’s eating behaviors and give some interesting insights regarding the potential role of pleasure in building public health strategies to promote healthy eating behaviors among normal- and overweight children.
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Changements développementaux des capacités d'ajustement de la prise énergétique chez le nourrisson entre 11 et 15 mois : quels liens avec les caractéristiques infantiles, le type d'aliments offerts et les interactions avec la mère au cours du repas ? / Developmental changes in caloric compensation ability in infants between 11 and 15 months of age : which links with the infants' characteristics, the food offered and, the mother-infant interaction during the meal?

Brugaillères, Pauline 21 June 2019 (has links)
Être capable d’ajuster les quantités consommées selon la densité énergétique des aliments contribue au maintien de l’équilibre de la balance énergétique. Dans un contexte de prévalence du surpoids chez l’enfant, il est crucial d’identifier les facteurs précoces susceptibles d’affecter les capacités d’ajustement énergétique. Durant toute la diversification alimentaire, les quantités ingérées, et donc les capacités d’ajustement énergétique, dépendent en partie de la qualité de l’interaction parent-enfant. Une étude épidémiologique suggère que les capacités d’ajustement énergétique se détérioreraient vers l’âge de un an. C’est aussi à cette période que survient le passage d’une alimentation spécifique bébé à une alimentation de type adulte.Aussi, dans ce travail, nous avons mis en place un suivi longitudinal afin de décrire, à l’aide d’une mesure expérimentale de compensation calorique, les changements développementaux des capacités d’ajustement énergétique entre 11 et 15 mois. Nous avons aussi exploré si certains facteurs relatifs aux caractéristiques individuelles des nourrissons, aux aliments qu’ils avaient consommés ou à l’interaction mère-nourrisson au cours du repas étaient liés aux capacités d’ajustement énergétique.Nous avons mis en évidence qu’à 11 et 15 mois les nourrissons sous-compensent leur prise énergétique à la suite de la consommation d’un premier aliment plus ou moins calorique, avec cependant de grandes différences interindividuelles. L’ajustement énergétique n’est pas meilleur si l’on considère l’ensemble des prises alimentaires au cours des 24h suivant la consommation de ce premier aliment. À 11 mois, les nourrissons ont de meilleures capacités d’ajustement énergétique lorsque, au cours du repas, la mère adapte le rythme des cuillerées à la taille des cuillerées ce qui pourrait refléter un nourrissage réceptif. À 15 mois, les nourrissons ajustent leur prise alimentaire sur des critères volumétriques plutôt que caloriques. Quel que soit l’âge, aucun lien n’a été mis en évidence entre l’expérience alimentaire des nourrissons (lactée et diversifiée) et leurs capacités d’ajustement énergétique. Concernant les changements développementaux, nous avons montré que les capacités d’ajustement énergétique se détériorent de 11 à 15 mois. Les nourrissons pour lesquels cette détérioration est plus importante sont perçus par leur mère comme étant plus ‘attirés’ par la nourriture. De plus, la détérioration des capacités d’ajustement énergétique est associée à une augmentation du z-IMC entre 11 et 15 mois et à un z-IMC plus élevé à 24 mois. Par ailleurs, plus les nourrissons sont exposés à des recettes de légumes de densité énergétique variable entre 8 et 11 mois, moins leur z-IMC est élevé à 8 mois et 11 mois. Ce travail souligne que les capacités d’ajustement énergétique sont associées à différents facteurs précoces relatifs au fonctionnement de la dyade mère-nourrisson et au statut pondéral des nourrissons. Ces résultats ouvrent un nouveau champ de recherche visant à comprendre la causalité de ces liens. In fine, cela permettrait de mieux accompagner les parents pour qu’ils adoptent des pratiques permettant le développement optimal des capacités d’ajustement énergétique de leur enfant au cours de la période clé des 1000 premiers jours. / Being able to adjust food intake according to the energy density of food is one way to self-regulate energy intake and maintain a healthy energy balance. In the context of the prevalence of overweight in children, it appears crucial to identify early factors that may affect caloric adjustment abilities. During the complementary feeding process, the amount consumed, and in turn, the caloric adjustment abilities depend in part on the quality of the caregiver-infant interaction. An epidemiological study suggests that caloric adjustment abilities might deteriorate around one year old; a time when the transition from baby-foods towards adult like foods occurs in the infant diet.In this work, we performed a laboratory-based assessment of the infants’ caloric adjustment ability by adapting the preload paradigm. By using a longitudinal approach, we first described the developmental changes in infants’ caloric adjustment ability between 11 and 15 mo. Then, we explored whether some factors related to the infants’ characteristics, the type of foods consumed or the mother-infant interaction during the meal were linked to the caloric adjustment ability.We showed that, at 11 and 15 mo, the infants under-compensated their energy intake after consuming a food preload more or less caloric. However, we observed large inter-individual variation in this ability. The level of caloric adjustment was not better when considering the total food intake during the 24 h following the food preload consumption. At 11 mo, infants had better caloric adjustment ability when the mother adapted the spoonful pace to the spoonful weight content; this dynamic during the meal could reflect a responsive feeding. At 15 mo, the infants exhibited a volumetric adjustment rather than a caloric adjustment. Regardless of the studied age, no significant links were found between the infants’ feeding experience (milk and complementary foods) and their caloric adjustment ability. Regarding the developmental changes, we observed that the infants’ caloric adjustment ability deteriorated from 11 to 15 mo. The more this deterioration, the more the infants were perceived as ‘attracted by food’ by their mothers. Moreover, the more this deterioration, the more the z-BMI increased between 11 and 15 mo, and the higher the z-BMI was at 24 mo. In addition, the more the infants were exposed to a wide range of energy density for the vegetable-based recipes between 8 and 11 mo, the lower their z-BMI was at 8 and at 11 mo. This work highlights that caloric adjustment ability is associated with various early factors related to the mother-infant dyadic functioning and the infants’ weight status. These results open up a new research field to understand the causality underpinning these links. In fine, this would allow to assist parents to support an optimal development of their infant’s caloric adjustment abilities during the key period of the first 1000 days.

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