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Regroupements des lettres dans l'écriture : origines motrice et linguistique : étude des lettres majuscules chez le scripteur adulte / Letter chunking in handwriting : motor and language influences : study of capital letter writing in the adult subject

Lagarrigue, Aurélie 08 November 2011 (has links)
L’écriture est une habileté motrice au service du langage. Écrire nécessite donc la prise en compte de contraintes motrices (périphériques) et linguistiques (centrales). Dans ce travail, nous nous sommes intéressés aux influences linguistiques qui s’exercent sur la sortie graphique, et à leur impact éventuel sur notre façon d’écrire. En parallèle, nous avons recherché les contraintes motrices qui règlent localement l’organisation de la sortie graphique. Ces différents niveaux d’organisation du langage écrit doivent interagir.Nous avons analysé l’écriture des majuscules chez l’adulte, en examinant les indices temporels et cinématiques de l’intervalle inter-lettres. La 1ere expérience était destinée à mettre en évidence des regroupements syllabiques de lettres dans les mots. Les résultats préliminaires nous ont orienté vers l’étude d’autres contraintes, motrices, d’organisation de l’écriture. Des regroupements de lettres peuvent en effet se produire aussi sur la base de critères moteurs. Il pourrait exister une certaine ‘compatibilité motrice’ entre les lettres qui serait susceptible de moduler l’expression des effets linguistiques. Dans l’expérience 2, nous avons mis en évidence une compatibilité subjective entre certaines lettres. Nous avons ensuite proposé des règles d’associations motrices des lettres que nous avons testées dans les expériences 3A et 3B. Au cours de l’expérience 3A, nous avons étendu la compatibilité motrice à d’autres caractères graphiques, tels que les chiffres. Dans l’expérience 3B, nous avons vérifié avec des gauchers que les règles de compatibilité dépendent de la façon d’écrire les lettres et, dans une certaine mesure, de leur fréquence dans la langue.Ces résultats suggèrent que la direction et l’amplitude du mouvement nécessaire pour enchainer certaines lettres majuscules peut les rendre moins aisées à écrire. D’autres expériences doivent confirmer et préciser ces règles de compatibilité. Finalement, nous envisageons les conséquences théoriques de nos résultats sur les modèles de traitement du langage écrit. / Hand-writing is a motor activity which is at the service of language. The act of writing therefore entails both motor (peripheral) and linguistic (central) constraints. In this study, we have focused on the linguistic influences upon graphical output, and on their potential impact upon our way of writing. At the same time, we have studied the immediate motor constraints which determine how graphical output is produced. These different layers are bound to interact in the production of written language.We analyzed adult hand-written capital letters, by examining evidence of the interval, in time and in movement, between the formation of consecutive letters. The first experiment was designed to highlight syllabic groupings of letters within words. Our preliminary findings directed us towards the study of other, motor, constraints upon the production of hand-writing. In effect, letter groupings can also be created on the basis of motor criteria. A certain "motor compatibility" between letters could exist, which would be capable of modulating what is produced by linguistic factors. In the second experiment, we focused on subjective compatibility between certain letters. We then proposed rules for motor associations of letters which we tested in experiments 3A and 3B. In the course of experiment 3A, we extended motor compatibility to other graphical symbols, such as numbers. In experiment 3B, we ascertained with left­ handed subjects, that the rules for compatibility depend upon the way letters are writ ten and to a certain extent, on their recurrence in the language.These findings suggest that the direction and range of movement required to produce certain capital letters can make them less easy to write. Other experiments should confirm and refine these compatibility rules. Finally, we anticipate the theoretical consequences of our findings for existing models of understanding written language.
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La réanalyse historique comme outil de validation des théories

Noske, Roland 10 December 2001 (has links) (PDF)
Dans la partie oeuvre originale de ce mémoire d'habilitation, la validité de deux analyses phonologiques synchroniques sont testée par des comparaison avec des données historiques. Les deux analyses concernent l'alternance schwa/zéro en allemand et le r intrusif en anglais britannique.<br /> En ce qui concerne l'allemand, nous montrons que notre analyse de 1992 est confirmée par les donnée historiques. Dans cette annalyse, le comportement différent d'adjectifs d'une part et de verbes et de substantif d'autres part était analysé comme étant le résultat de l'existence d'un morphème adjectival sous forme de schwa. par des données historiques. Dans l'histoire de l'allemand on voit naître le comportement différent de schwa en ce qui concerne les adjectifs.<br />En ce qui concerne le r instrusif en anglais, nous montrons que l'analyse d'Anttila et Cho (1968) dans le cadre de la Théorie d'optimalité présente de sérieux problèmes comparée à l'analyse d'inversion de règles de Vennemann (1972) : elle n'explique ni le fait que les segments effacés et insérés sont identiques, ni le fait qu'il s'agit précisément de r (oude n dans un cas pareil en du néerlandais). En outre, la spécificité des contextes des<br />deux processus est ignorée.
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Processus phonologiques et conditions de bonne formation en français québécois

Fortin, Pascal January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Vers une phonologie CVCV du chinois : analyse des interactions entre syllabe, ton et processus morphologiques / Towards a CVCV phonology of Chinese

Luo, Xiaoliang 12 June 2013 (has links)
Dans cette thèse est analysée la morphophonologie du chinois standard (CS), dans un essai de transposition du modèle CVCV, un modèle phonologique post -génératif. Dans la Partie 1, nous situons l’analyse dans son contexte historique, pour comprendre l’état de l’art qui résulte des consitions internes et externes à la science et mettre en perspective la partie 2, dédiée à l’étude phonologique même.Dans la Partie 2, nous proposons, en adoptant une approche déductive, d’unifier l’explication d’ un grand nombre de phénomènes en CS à la fois en phonologie (syllabe), tonologie (représentation du ton, sandhi tonal, ton neutre) et morphologie (composition , réduplication), jusqu’alors traités séparément, de façon isolée et dans des cadres différents, tout en restant économique et cohérent, avec le même dispositif théorique : le modèle CVCV. / In this phd thesis is analyzed the morphophonology of Standard Chinese, in an attempt to transpose the CVCV theory, a post-generative phonological model.Part 1 situates the analyses in their historical context, in order to understand the state of the art resultingfrom internal and external conditions to the science and to put into perspective Part 2, dedicated to the phonological studies themself.Part 2 proposes adopting a deductive approach to unify the explanation of many phenomena in StandardChinese in phonology (syllable), tonology (representation tone, tone sandhi, neutral tone) and morphology(composition, reduplication), previously treated separately, in isolation and in different frameworks, while remaining economical and coherent, with the same theoretical tool: the CVCV theory.
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La coarticulation en français et en chinois: étude expérimentale et modélisation

Ma, Liang 28 April 2008 (has links) (PDF)
Comme d'autres mouvements humains, les gestes de la parole sont vraisemblablement planifiés selon des stratégies optimales. Cependant, il est probable que la planification de ces gestes soit aussi contrainte par des critères de nature linguistique. De telles contraintes pourraient porter notamment sur la structure phonologique et la longueur des séquences prises en compte dans la planification. Le but de cette thèse a été d'approfondir cette hypothèse à partir de l'analyse de données expérimentales et de simulations avec un modèle. <br />Pour cela, la coarticulation anticipante a été étudiée expérimentalement dans des séquences Voyelle1-Consonne-Voyelle2 (V1CV2) pour deux langues différentes, le français et le chinois, à partir de données articulatoires et acoustiques. Les résultats de nos analyses montrent que les locuteurs français et chinois ont adopté des stratégies de planification différentes : en français l'anticipation s'étend au delà des frontières de la syllabe CV, alors qu'en chinois ce n'est pas le cas. Pour valider cette interprétation sur le rôle de la syllabe, un modèle de contrôle moteur a été élaboré exploitant une stratégie de planification qui minimise un critère combinant effort articulatoire et contraintes perceptives, et il a été testé sur un modèle biomécanique de la langue. Différentes hypothèses sur la structure phonologique de la séquence planifiée ainsi que sur l'exécution du mouvement ont été testées dans ce cadre. Les simulations ont été comparées aux données. Nos résultats soutiennent l'hypothèse selon laquelle les influences de la syllabe seraient plus fortes en mandarin qu'en français.
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Le cadre de la parole et le cadre du signe : un rendez-vous développemental

Ducey Kaufmann, Virginie 26 January 2007 (has links) (PDF)
Notre hypothèse de travail est qu'il existerait un rendez-vous développemental entre ce que nous nommons le cadre de la parole et le cadre du signe. Tandis que le cadre de la parole (Speech Frame) s'établit sous la forme du babillage canonique, vers 7 mois, le cadre du signe (Sign Frame) se manifeste tout d'abord sous la forme du pointage dit impératif vers 9 mois, avant de donner lieu au pointage dit déclaratif. Ce dernier apparaît avec les premiers mots, tandis que le cadre de la parole permet à ce moment-là de coproduire (coarticuler) voyelle et consonne (Sussman et al. 1999). Les places respectives des ingrédients de ce rendez-vous développemental autour du premier mot restent encore à explorer.<br />Dans la présente contribution, nous avons voulu tester l'existence d'un rapport harmonique entre cadre de la parole et cadre du signe. Pour cela, il nous a fallu tout d'abord obtenir la distribution des fréquences de babillage, puis celle des durées des pointers. Nos résultats sur 6 sujets, suivis sur 12 mois, montrent qu'avec un mode de babillage à 3Hz et des strokes de pointers de 600-700 ms (1.5Hz), nous pouvons rendre compte du gabarit (template) des premiers mots. En effet, ces mots «prosodiques» pouvant varier d'une à deux «syllabes», il est nécessaire de faire appel à la notion de pied (foot) comme une unité de contrôle métrique ancrée dans le pointer. Ceci rendra compte des observations courantes dans la littérature à condition qu'au lieu de compter seulement des syllabes/mot, on mesure le pas des cycles mandibulaires entrant dans le stroke des pointers.
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De la syllabation en termes de contours CV.

Carvalho, Joaquim Brandão De 23 November 2002 (has links) (PDF)
In all phonological models of syllable structure, 'sonority', and, in particular, one of its main correlates — voice(lessness) — are intrinsic properties of segments, as opposed, for example, to length, which also plays a major role in syllable stucture, and was shown to be a prosodic effect by autosegmental phonology, thanks to the notion of skeletal positions and the Obligatory Contour Principle. This has particular importance today, since the segmental nature of sonority may naturally be viewed as evidence for 'output-based' and non-representational approaches to the syllable.<br />The basic claim here is that voice, and, more generally, all features associated with 'voice onset time' (VOT) — voice, voicelessness and aspiration (henceforth VOT-values) — are not segmental features ; rather, VOT-values and length contrasts are to be assigned similar representations. It is proposed that phonological words are characterized by two parallel curves which follow from the association with the skeleton of two autonomous and antinomic tiers : the O-tier, where 'onsets' are the roots of consonants, is supposed to stand for (articulatory) 'tension' ; the N-tier, where 'nuclei' are the roots of vowels, represents (perceptual) 'sonority'. VOT-values and length contrasts are, as it were, contextual allophones of such abstract invariants : aspiration and voice emerge from O-spreading to the following N-slot, and from N-spreading to the preceding O-slot respectively ; consonantal and vocalic length results from O-spreading to the preceding N-slot, and from N-spreading to the following O-slot respectively.<br />The representation of VOT-values and length in terms of O/N interactions provides a simple and straightforward solution to six problems at least : (a) why can no segment contain the sole 'feature' [voiced] or [aspirated] ? ; (b) why do gemination and voice behave as the poles of the same 'strength scale' ? ; (c) why are voice contrasts much more frequent among consonants than among vowels ? ; (d) why is compensatory lengthening impossible before vowel ? ; (e) why are both initial aspiration and final voicing 'edge-specific' marked phenomena ? ; (f) why does voicing normally take place in intervocalic position, but fails to occur either word-initially or after coda ? Finally, voicing and vowel lengthening are shown to be alternative lenition strategies.<br />Beyond its explanatory power, the hypothesis of O/N interactions has an important issue on cognitive grounds. By denying any symbolic status to aspiration and voice, we are led to reduce the number of segmental primitives. By assuming that both VOT-values and length contrasts are segmental effects of onset and nucleus weight, defined as the number of slots onsets and nuclei are associated with, we are assigning a representational basis to syllables : 'syllables' exist wherever VOT and/or length contrasts may emerge. This runs counter the claims of output-based approaches, where syllables emerge from smaller units. A contrario, the present theory is likely to lend phonological support to quite independently grounded ideas, since based on brain studies, like MacNeilage's distinction between frame and content. In particular, the assumed autonomy of syllabic structure, i.e. of VOT/length, vis-à-vis segmental material proper is consonant with "the idea that speech production branches into metrical and segmental processes, and that syllabic frames are conceptually separable from their phonemic content".
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Délimitation et étiquetage des morphèmes en coréen par ressources linguistiques

Huh, Hyun Gue 28 June 2005 (has links) (PDF)
Nous présentons un système de délimitation morphologique des textes coréens par automates à états finis. Le Coréen est une langue agglutinante et notre système peut probablement être adapté aux autres langues agglutinantes à suffixes (hongrois, finnois, turc). Les textes coréens s'écrivent principalement avec l'alphabet Hangul qui est un ensemble de caractères syllabiques. Il est possible de les mélanger avec des idéogrammes et des caractères de l'alphabet latin. Nous utilisons le système de codage de caractères UNICODE dans lequel les syllabes coréennes sont rangées par ordre alphabétique. Pour certains traitements sur les syllable coréennes, nous décomposons chaque syllable en plusieurs caractères alphabétiques coréens. Les mots coréens reçoivent des affixes. Pour le nom, un mot peut avoir plusieurs suffixes sans compter les suffixes dérivés, le nombre maximal de combinaisons étant d'environ 1600. Notre première étape pour l'analyse des textes coréens est la description des morphèmes d'un mot pour le segmenter à l'aide des séparateurs : blanc et symboles. Et on segmente encore les segments en morphèmes. Pour pouvoir analyser les segments, nous construisons des dictionnaires de racines et de séquences de suffixes. Nous utilisons les transducteurs pour représenter les compatibilités entre des morphèmes : racines et suffixes avec l'interface graphique de UNITEX. Ils sont conçus de manière à être construits et maintenus manuellement. Notre méthode est fondée sur des ressources linguistiques alors que la plupart des systèmes d'analyse morphologique sont fondés sur des données statistiques. Nous intégrons automatiquement les dictionnaires de racines et les transducteurs des suffixes en un transducteur unique, qui remplit la fonction d'un dictionnaire. Le résultat de l'analyse d'un texte se présente sous la forme d'un automate pour rendre compte de l'ambiguité du découpage en morphèmes. Les transitions sont étiquetés par des morphèmes annotés d'informations linguistiques (forme canonique, forme fléchie et informations linguistiques).
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Les phénomènes de Sandhi dans l'espace gallo-roman

Burov, Ivaylo 19 October 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse de doctorat s'inscrit principalement, mais non entièrement, dans le domaine de la phonologie générale et romane. Elle a pour objet d'étude plusieurs phénomènes de sandhi attestés dans quelques variétés de gallo-roman : français, occitan, wallon, franco-provençal. Comme une grande partie des phénomènes phonologiques postlexicaux étudiés sont panromans, la thèse ne les analyse pas comme des processus isolés, mais à travers leur variation diatopique et diachronique, c'est-à-dire comme des manifestations concrètes de tendances communes aux langues romanes, tout en essayant d'expliquer leur motivation par des principes phonologiques universels, ainsi que par les méthodes de l'analyse contrastive.Dans cette thèse on pourrait délimiter trois grandes parties thématiques. La première a une portée théorique et englobe les chapitres I et II où sont présentées et analysées des données d'une soixantaine de langues parlées dans le monde entier. Dans cette partie je passe en revue les diverses acceptions controversées du terme de sandhi en vue d'en proposer ma propre définition grâce au formalisme de la phonologie prosodique. La deuxième partie a une portée phonologique et englobe les chapitres III, IV et V où sont étudiés trois phénomènes de sandhi de l'espace gallo-roman, à savoir la liaison, le redoublement phonosyntaxique et les alternances vocaliques avec zéro en syllabe initiale. La dernière partie thématique est représentée par le chapitre VI qui a une portée sociolinguistique. Les trois phénomènes de sandhi en question y sont comparés et analysés à la lumière des facteurs pour leur variation, parmi lesquels la tradition graphique occupe une place privilégiée.
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Contextes de liaison et FLE : productivité des positions /ʔ/, /t/, /n/ et /z/

Fernandez, Maria 30 May 2013 (has links) (PDF)
1) Utilisation des corpus oraux en FLE. On postule une unité minimale d'information syntaxique qui opère dans les situations d'interaction communicative. Au niveau macro-syntaxique, cette unité informe la syllabe proéminente. Des positions linéarisées sont décrites pour comparer les syllabations concurrentes. Sur cette base, le gabarit syllabique opératif dans l'interlangue de l'apprenant peut être modifié par la présentation d'un modèle alternatif. Les productions déviantes constatées dans les corpus (intra-langue) justifient l'intervention d'un didacticien-tuteur et la formulation de règles établissant des rapports phonologiques entre la syllabation erratique et une syllabation modèle. 2) Les ressources. Les enregistrements de corpus oraux suivant le protocole PFC (Durand, Laks & Lyche, 2002/2009), permettent de répertorier les contextes de liaison de 14 informateurs de niveau B1/B2 apprenants de FLE à Madrid. En lecture les liaisons sont classées selon les analyses disponibles du texte PFC conçu pour étudier la variation chez des francophones. Les transcriptions orthographiques des conversations ont été réalisées par un transcripteur du sous projet IPFC (Detey, et al. 2010) qui vise l'alignement et le traitement de corpus oraux de locuteurs non francophones. 3) Traitement de données et perspectives. Trois notations (lecture, conversation, prosodie) marquent les productions pour analyse. Leur élaboration s'inspire de la méthodologie appliquée en acquisition du français L1 (Chevrot, Dugua & Fayol, 2008) et repèrent les consonnes parasites, omissions et erreurs à distance. Des critères prosodiques sont proposés pour reconstruire la syntaxe par l'élaboration d'exercices correctifs.

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