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La nada poética : mística y vacío en la estética contemporánea : Cajas Metafísicas de Jorge Oteiza : Tres lecciones de tinieblas de José Ángel Valente / Le néant poétique : mysticisme et vide dans l'esthétique contemporaine : Cajas Metafísicas de Jorge Oteiza : Tres lecciones de tinieblas de José Ángel Valente / The poetic void : mysticisme and emptiness in the contemporary aesthetics : Cajas Metafísicas de Jorge Oteiza : Tres lecciones de tinieblas de José Ángel Valente

Pueyo, Javier 03 May 2019 (has links)
L'abstraction, la fragmentation et d'autres modes de destruction de l'image ou du discours ont caractérisé l'art de la deuxième moitié du XX siècle. L'absence d'éléments narratifs ou référentiels dans les oeuvres de cette période indique une vide de signification qui, en même temps, est expression ou manifestation du sacré. Cette recherche établit les liens entre la radicalité de ces propositions et l'expérience mystique ou l'expérience du néant. Dans ce but, nous avons analysé "Boîtes métaphysiques", de Jorge Oteiza, et "Trois leçons de ténèbres", de José Ángel Valente. / Abstraction, fragmentation, and other ways of image or speech destruction have characterized the art of the second half of the 20th century. The absence of narrative or referential elements in the artworks of this period points to a condition of absolute emptiness of meaning, which, in turn, constitutes the expression or manifestation of the sacred. This investigation is aimed at establishing links between these radical artworks (o, is prefieres, between the radicalness of these artworks) and mystic experience. To that end, I have analyzed two important works of 20th century art, namely, “Metaphysical Boxes” by the Basque sculptor Jorge Oteiza and “Three Lessons of Darkness” by the Galician poet José Ángel Valente.
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L'amour de l'ennemi comme relation de métissage selon Nancy Huston : dans Instruments des ténèbres (1996), L'empreinte de l'Ange (1998) et Professeurs de désespoir (2004)

Gauvin, Kathrine 12 April 2018 (has links)
L'œuvre de Nancy Huston est un véritable travail de médiation qui permet d'examiner les relations entre soi et l'Autre dans toute leur complexité et leur richesse, de concilier les contraires, et parfois, de comprendre l'incompréhensible. Dans les romans Instruments des ténèbres (1996) et L'empreinte de l'ange (1998), ainsi que dans l'essai Professeurs de désespoir (2004), l'amour du sujet envers ce qui le surprend, le menace, voire le détruit, crée un rapport antithétique qui peut se comprendre et s'expliquer par et à travers la pensée métisse. « En l'autre, c'est l'ennemi qu'ils aiment », constate la narratrice de L'empreinte de l'ange en observant la relation particulière qui se développe entre l'Allemande Saffie et le Juif hongrois Andrâs. La dichotomie manichéenne d'une relation d'amour-haine est modérée au profit d'un amour de l'ennemi qui laisse place au questionnement, à la réflexion et à la nuance, qui nécessite un travail d'échange, de compréhension et d'ouverture. Des théoriciens de la postmodernité (Paterson, Lyotard, Laplantine et Nouss, Todorov, Malouf, Madison, etc.) ont favorisé et enrichi notre travail d'analyse.
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Nulle part ailleurs : la poétique de l'absence dans le Livro do desassossego, de Fernando Pessoa

Pereira Milazzo, Daniel 08 1900 (has links)
Cette thèse propose une réflexion originale sur la construction d’une poétique de l’absence dans le Livro do desassossego (Livre de l’intranquillité) de Fernando Pessoa (1888-1935). Plus grande œuvre en prose de l’écrivain portugais, le Livro est une œuvre inachevée et inachevable, en raison tant de sa forme que de son contenu. En fait, c’est la négation du livre, l’anti-livre. Attribuées par Pessoa à son demi-hétéronyme Bernardo Soares, les centaines de fragments tissent en filigrane une quête vers la compréhension de ce qu’est l’absence et des modalités de sa manifestation. Participe à cette quête la réflexion sur l’absence de l’être, dont l’interrogation mobilise le dialogue avec des sources anciennes, notamment chez Parménide, Héraclite et Augustin. L’absence se manifeste aussi dans le moyen entrepris pour l’investiguer : le langage. À ce sujet, l’analyse des piliers de la théologie négative, inaugurée par Pseudo-Denys l’Aréopagite et basée sur le lien avec ce qui est impossible à dire, apporte une perspective décisive pour illuminer la démarche de Pessoa. Pour réfléchir au mystère enfoui dans le Livro, mystère qui est aussi son moteur et l’essence de la parole, l’herméneutique de certains passages de la Bible s’avère un important atout, notamment dans la question concernant le nom de Dieu. Ma thèse démontre que, comme dans les Écritures, le Livro porte un nom secret. Dans ce contexte, en comprenant la place de l’absence dans le langage de Pessoa, la thèse évoque la théorie kabbalistique du langage chez Gershom Scholem, dans laquelle le nom de Dieu et l’essence de la parole recèlent et révèlent à la fois. Cette absence se déploie aussi dans le questionnement d’une subjectivité poreuse et plurielle, qui se heurte à des énigmes existentielles et articule l’absence du je. Cette thèse met en exergue également le lien explicite entre l’absence et l’amour : le rapport à l’absence, surtout l’absence de l’autre, produit des sentiments. Du rapport affectif à l’absence surgit l’amour, qui comporte un surplus, un élan. Comme chez Dante, l’amour chez Pessoa se déplie dans l’espace de la distance et dans la jouissance d’un affect irréalisable. À travers la parole poétique, Pessoa quête l’absence par, dans et du langage. / This thesis proposes an original interpretation regarding the construction of a poetics of absence in the Livro do desassossego (Book of Disquiet) by Fernando Pessoa (1888-1935). A major prose work by the Portuguese writer, the Livro is a work unfinished and unfinishable, both in form and content. In fact, it runs counter to the book; it is an anti-book. Hundreds of fragments assigned by Pessoa to his half-heteronym Bernardo Soares weave a search towards the meaning of absence and the ways it manifests itself. Such searching includes thoughts on the absence of being, whose interrogation calls for a dialogue with ancient sources, especially Parmenides, Heraclitus and Augustine. The absence also manifests itself in the medium used to investigate it: language. In that regard, the analysis of negative theology’s main ideas, initially articulated by Pseudo-Dionysius the Areopagite and based on the link with what cannot be said, offers a decisive perspective for illuminating Pessoa’s project. In thinking about the hidden mystery in the Livro, a mystery that is both its source and the word’s essence, the hermeneutics of certain passages of the Bible offer a crucial advantage, in particular when the name of God is discussed. My thesis demonstrates that, as in the Scriptures, the Livro carries a secret name. In this context, in understanding the place of absence in Pessoa’s language, the thesis evokes Gershom Scholem’s kabbalistic theory of language in which the name of God and the word’s essence conceal and reveal at the same time. Such absence also appears in the questioning of a porous and plural subjectivity, which comes up against existential enigmas and articulates the absence of the self. In the same vein, this thesis emphasizes the link between absence and love: being attached to absence, mainly the absence of the beloved, produces feelings. From this affective link to absence comes love, which also leads to a surplus and an elan. As with Dante, for Pessoa love comes about at a distance and in the joy of unrealizable affect. By means of poetic expression, Pessoa searches the absence of language, through language and inside language. / Esta tese propõe uma reflexão original sobre a construção de uma poética da ausência no Livro do desassossego, de Fernando Pessoa (1888-1935). Mais importante obra em prosa do escritor português, o Livro é uma obra inacabada e inacabável, em razão tanto de sua forma quanto de seu conteúdo. É, na verdade, a negação do livro, um anti-livro. Atribuídas por Pessoa a seu semi-heterônimo Bernardo Soares, as centenas de fragmentos tecem em filigrana uma busca rumo à compreensão do que é a ausência e das modalidades de sua manifestação. Participa desta busca a reflexão sobre a ausência do ser, cuja interrogação mobiliza o diálogo com fontes antigas, notadamente Parmênides, Heráclito et Santo Agostinho. A ausência também se manifesta no meio utilizado para a investigar: a linguagem. Sobre este assunto, a análise dos pilares da teologia negativa, inaugurada por Pseudo-Dionísio Areopagita e baseada na relação com aquilo que é impossível dizer, oferece uma perspectiva decisiva para iluminar o projeto de Pessoa. Para refletir sobre o mistério escondido no Livro, mistério que é também seu motor e a essência da palavra, a hermenêutica de algumas passagens da Bíblia se confirma como uma importante vantagem, principalmente na discussão sobre o nome de Deus. Minha tese demonstra que, como nas Escrituras, o Livro carrega um nome secreto. Neste contexto, entendendo o lugar da ausência na linguagem de Pessoa, a tese evoca a teoria cabalística da linguagem segundo Gershom Scholem, na qual o nome de Deus e a essência da palavra tanto ocultam quanto revelam. Esta ausência se desenvolve também no questionamento sobre uma subjetividade porosa e plural, que se confronta com enigmas existenciais e articula a ausência do eu. Esta tese também destaca o elo explícito entre a ausência e o amor: a relação à ausência, sobretudo a ausência do outro, produz sentimentos. Da relação afetiva à ausência surge o amor, que comporta um excedente, um élan. Como se percebe em Dante, o amor em Pessoa se desdobra no espaço da distância e na experiência de um afeto irrealizável. Por meio da palavra poética, Pessoa busca a ausência da, dentro e através da linguagem.

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