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Technologische Innovationen in Europa : Ordnungpolitische Implikationen der Forschungs- und Technologiepolitik in der EU /Jasper, Jörg, Müller, Udo, January 1998 (has links)
Diss.--Hannover, 1998. / Bibliogr. p. 381-419.
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Repérage et sélection de sites de littérature contemporaine par une bibliothèque universitaire de lettres et sciences humainesPernoo-Bécache, Marianne January 2004 (has links) (PDF)
Mémoire de recherche diplôme de conservateur des bibliothèques : Bibliothéconomie : Villeurbanne, ENSSIB : 2004.
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Analyse préalable à la mise en place d'une cellule de veille pour la Maison des sciences de l'homme de DijonDesbois, Sophie Wolikow, Serge. Larouk, Omar January 2004 (has links) (PDF)
Rapport de stage diplôme d'études supérieures spécialisées : Réseaux d'information et document électronique : Villeurbanne, ENSSIB : 2004.
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Réflexion sur la mise en place d'une cellule de veille au sein de la Mission d'Ingénierie Touristique Rhône-AlpesRiadh, Hanane Brossard, Céline. Beesau, Hugues. Lardy, Jean-Pierre January 2005 (has links) (PDF)
Mémoire de master professionnel 2e année : Réseaux d'information et document électronique : Villeurbanne, ENSSIB : 2005. / Texte intégral.
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Le processus de l'innovation technique : l'articulation du rôle des acteurs et de la cultureMahil, Aziza 09 1900 (has links) (PDF)
Les préoccupations qui entourent l'utilisation de la technique ne sont pas nouvelles. Par contre, le grand essor des NTIC (les nouvelles technologies d'information et de communication) a relancé de nouveau ce débat, qui s'oriente davantage vers la proposition de nouvelles manières de penser la technique. Alors que les tenants des théories standards passent sous silence le lien entre la technique et le social, les auteurs des approches sociotechniques insistent sur la double construction de la technique dans le cadre d'interactions continues avec le social. Au sein des organisations, cette distinction se manifeste à travers la manière dont l'innovation technique est appréhendée. Les organisations ayant une vision déterministe supposent une nette séparation entre le social et la technique et s'intéressent soit aux conditions de l'innovation technique soit à sa diffusion. Par contre, dans les organisations qui adoptent une vision sociotechnique, la technique est perçue comme un construit social appréhendé à travers une analyse profonde saisissant les liens qui se tissent entre une technique en conception et l'ensemble des interactions sociales qu'elle suscite. La culture est un point central qui influe sur l'innovation. Elle peut constituer soit une barrière, soit un facteur mobilisateur à cette innovation. Dans les théories sociotechniques, la notion de la culture n'est pas présente, elle cède toute la place à la notion du social. La culture est nuancée dans les théories évolutionnistes de l'innovation, qui situent cette dernière dans une organisation ou une entreprise possédant ses routines et sa propre histoire qui influencent grandement le processus de l'innovation et sa trajectoire. Ainsi, il ressort que dans les travaux sur l'innovation, le rôle des acteurs et la culture ne sont pas traités pareillement. En général, une variable l'emporte sur l'autre, influence l'autre sans subir ses influences et prend le dessus. Notre recherche permet d'articuler conjointement le rôle des acteurs et de la culture dans la dynamique de l'innovation technique. Ainsi, à partir d'une étude dans trois secteurs, nous allons mettre en évidence le rôle des acteurs en nous fondant sur une synthèse des différentes théories sociotechniques tout en ressortant les influences de la culture sur ce processus. Notre recherche a été menée dans trois secteurs d'activité : public, privé et économie sociale, et avec deux types d'organisations dans chaque secteur d'activité (organisations à faible potentiel technologique et à fort potentiel technologique). L'objectif est de fournir une compréhension aussi complète que variée de l'innovation technique en misant sur un pluralisme d'approche. Cette compréhension s'appuie sur l'articulation de la culture et du rôle des acteurs comme des variables à part entière qui cohabitent et s'influencent mutuellement au sein de l'organisation.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : innovation technique, acteurs, culture, organisation, articulation culture et rôle acteurs.
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Utilisation des fils RSS en bibliothèqueBrochard, Jean-Christophe Noël, Elisabeth January 2005 (has links) (PDF)
Mémoire de recherche diplôme de conservateur des bibliothèques : Bibliothéconomie : Villeurbanne, ENSSIB : 2005. / Texte intégral.
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L'innovation technologique comme processus d'apprentissage industriel : analyse de la Formation et de la diffusion des connaissances dans le cas des hauts fourneaux à injection en France et au JaponJolivet, Eric 27 March 1999 (has links) (PDF)
Une série de travaux en économie et en sciences de gestion ont montré que le développement technologique tend à suivre des cycles composés de deux étapes principales (Abernathy, 1978 ; David, 1992 ; Foray, 1989, Utterback et Suarez, 1993 ; Metcalfe et Miles, 1994). Dans un premier temps, les acteurs de l'industrie tendent à explorer une diversité de pistes technologiques. Cette étape se traduit par la création d'une forte variété technologique selon une logique d'exploration du spectre des possibles (Foray, 1996). Dans un second temps, le marché technologique tend à converger vers un ou quelques technologies et design dominants. Cela correspond à une logique de sélection et d'optimisation technologique visant à exploiter les effets cumulatifs liés aux rendements croissants. <br /><br />Partant de ces modèles cycliques, la question centrale que nous nous posons dans cette thèse consiste alors à interroger les phénomènes cognitifs soutenant la dynamique d'apprentissage industriel qui les fonde. Les observations portées sur les cycles technologiques et les phénomènes de convergence supposent en effet, outre le fait que les firmes génèrent de nouvelles connaissances sur une famille de technologies en émergence, ce qui leur permet la création et l'approfondissement d'une série de voies technologiques possibles, mais de plus, que ces apprentissages manifestent une forte coordination, une capitalisation collective de connaissances, expliquant la convergence technologique. Comment, dans une situation de création de technologie nouvelle, caractérisée par un état d'ignorance et d'incertitude généralisés, les firmes parviennent-elles à produire les nouveaux savoirs et les nouvelles compétences nécessaire à leur maîtrise ? Par quels mécanismes ces savoirs se transforment-ils en savoir commun, collectif, et se propagent-ils dans l'ensemble de l'économie faisant du même coup basculer la technologie du domaine de l'inconnu, au domaine du sens commun ? Quels sont, enfin, les mécanismes de coordination inter-firme permettant la capitalisation des connaissances et leur approfondissement, autorisant la mise en place d'étapes d'exploration puis d'exploitation collective des possibles technologiques ? Autant de points qui font largement écho à des questions centrales et classiques de la dynamique industrielle, liées aux stratégies de coopération et de spécialisation des firmes autour de bases de connaissances technologiques collectives. <br /><br />Pour tenter d'apporter des éléments de réponse à ces questions complexes, nous avons choisi de développer, dans l'esprit de l'étude menée par Abernathy sur l'automobile américaine, une étude qualitative, avec à la fois, un spectre suffisamment large pour intégrer l'ensemble du cycle de développement d'une technologie nouvelle, et un niveau de détail permettant d'observer les phénomènes cognitifs micro-économique au fondement de la formation et de la diffusion des connaissances. Le cas étudié a porté sur la technologie des hauts fourneaux à injection de charbon, dont les premiers pas hésitants ont vu le jour dans les années 1960, et qui est devenue, au tournant des années 1990, une technologie dominante largement répandue sur la plupart des grands hauts fourneaux du monde. Ce cas s'est révélé être un bon support pour l'analyse de l'apprentissage industriel. En effet, si le développement technologique a bel et bien suivi une logique cyclique en deux étapes, celui-ci a été secoué de débats et de controverses facilitant le repérage de points de vue et de connaissances hétérogènes et en partie contradictoires détenues par les entreprises sidérurgiques. Avant d'atteindre un certain consensus permettant la stabilisation de la technologie et la mise en place d'investissements cumulatifs, les firmes sont passées par l'élaboration progressive d'une théorisation collective de la technologie leur permettant de nouer ensemble les savoirs fragmentés et parcellaires dont l'une ou l'autre était porteuse. <br /><br />Les résultats de l'analyse montrent ainsi que dans des conditions où l'apprentissage doit s'effectuer sur la base d'une expérience limitée -ce que March a décrit comme 'learning from sample of one or fewer' (March et Alii, 1991)- les firmes tendent à développer des zones de connaissances fragmentées liées à leurs impératifs 'locaux' et à des exigences pratiques. Le rôle d'institutions intermédiaires privées, les associations techniques et professionnelles, apparaît alors fondamental dans la mise en ordre, l'organisation, et l'élaboration d'un savoir commun dont dépend, en bonne part, la mise en place de rendements croissants et l'approfondissement de la division du travail au niveau industriel.
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La convergence des productivités : comparaison entre la zone euro et les autres pays de l’OCDE / Productivity convergence : comparison among Eurozone and other OECD countriesDakouo, Cyprien 27 June 2017 (has links)
L’objectif de réduction des écarts de niveaux de vie entre les pays membres de l’Union Monétaire Européenne nécessite la convergence des productivités entre les économies. Notre contribution est de comparer la dynamique sur longue période des Productivités Globales des Facteurs (PGF) des pays de la zone euro à celles d’un ensemble de pays dénommé "autres OCDE". Cet objectif général est subordonné à deux autres plus spécifiques : 1) Analyser les gains de productivité par une approche paramétrique des frontières de production afin d’examiner la sigma-convergence des PGF des deux zones. 2) Etudier les évolutions des inefficacités productives sous-jacentes aux dynamiques de la PGF en s’appuyant sur un modèle d’activités non paramétrique. Nous étudions les évolutions de 11 pays de la zone euro et de 11 pays « autres OCDE entre 1965 et 2015. Nos résultats montrent que la zone euro connait un meilleur taux de croissance tendanciel de la PGF que celui des autres pays de l’OCDE ; bien que les niveaux de productivité de ceux-ci soient plus élevés. Par ailleurs, les variations des inefficacités productives attestent l’existence d’un rattrapage technologique au sein de chaque zone. Ce phénomène se fait non pas vers la frontière mais en dessous de celle-ci. De plus, la réduction des inefficacités structurelles entre le milieu des années 1970 et le début des années 2000 témoignent d’une homogénéisation des mixes d’output/inputs entre les pays membres. La convergence conditionnelle aux variables monétaires budgétaires et réelles conduit à des résultats différents suivant qu’il s’agit du processus de rattrapage technique ou de celui de la convergence structurelle. Toutefois au début des années 2000, un mouvement de divergence s’installe entre les pays de l’Euroland et s’accentue à partir de 2008-2009. / The objective of reducing differences in living standards among the Eurozone countries requires the convergence of productivity levels between economies. Our contribution is to compare the long-run dynamics of the Total Factor Productivity (TFP) among the Eurozone countries to that of another group, referred to as "other OECD countries". This general objective is divided into two more specific research subjects: 1) To analyze the productivity gains based on a parametric activity framework of production set to investigate the absolute Sigma-convergence of the TFPs in the two zones. 2) To examine the evolution of the productive inefficiencies underlying the dynamics of the TFP, based on a nonparametric activity model. We observed the evolutions of 11 Eurozone countries, and 11 other OECD countries over the period 1965-2015. Our empirical results show that the level of productivity still seems to be higher in other OECD countries even the growth rate of productivity is greater in the Eurozone. This indicates a catch- up phenomenon between two groups and a sigma-convergence is observed before the end of 1990s. However, the catching up efficiency processes do not move the countries toward the frontier but make them converge below the frontier. Additionally, a significant decrease in structural inefficiencies is noticed between the mid-1970s and the early 2000s which indicates the homogenization of output / input mixes for each zone. The convergence process is conditional to real and monetary variables which may differ according to the technical catch-up or the structural efficiency dynamics. However, it seems that these dynamics have been interrupted since the creation of the Euro and have been even turned to a movement of divergence since the subprime crisis in 2008.
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Les régions métropolitaines de recensement innovantes au CanadaBourassa, Michel January 2008 (has links) (PDF)
Cette étude porte entièrement sur l'innovation régionale au Canada. En effet, elle tente de mieux comprendre quels sont les facteurs qui influencent la production et la productivité d'innovations dans les neuf RMR les plus innovantes du Canada. La partie introductive expose le thème de l'innovation. Pour ce faire, elle définit l'innovation tout en précisant les acteurs participants aux activités d'innovation, le processus d'innovation et les stratégies de protection de la propriété intellectuelle. Par la suite, ce chapitre présente la situation de l'innovation au Canada. Finalement, elle termine par les objectifs de cette étude. La revue de la littérature présente d'abord l'évolution des théories relatives aux districts industriels de Marshall qui ont mené aux externalités. Par la suite, les théories sur la production d'innovation et la fonction d'innovation sont exposées. Ces deux thèmes mènent aux théories traitant des externalités de connaissances, de l'importance de la structure locale et de la diffusion des connaissances. Le troisième chapitre présente le cadre conceptuel basé sur les théories présentées au chapitre précédent. De ce cadre conceptuel, on extrait des questions et des hypothèses de recherche qui serviront à déterminer les facteurs influençant l'innovation régionale dans les neuf plus grandes RMR au Canada. Par la suite les variables utilisées sont définies et justifiées. Enfin, l'échantillon est décrit et ses faits saillants sont exposés. Le chapitre quatre porte sur les analyses statistiques tentant de répondre aux questions et hypothèses de recherche. En effet, toutes les hypothèses sont testées et les résultats sont présentés et interprétés. La deuxième partie de ce chapitre présente une discussion des résultats et une exposition des conséquences de ceux-ci sur la gestion de l'innovation au niveau régional.
Finalement, la conclusion revient sur les résultats obtenus tout en présentant les limites de l'étude et les possibilités de recherches futures. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Innovation régionale, Production d'innovation, Productivité d'innovation, Structure locale, Extemalité, Facteur d'influence, RMR.
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Elaboration d'une méthodologie et d'une plate-forme de gestion de l'information technique et stratégiqueHenry, Véronique. Bouché, Richard. Boucher, Diane. January 2001 (has links)
Thèse de doctorat : Sciences de l'information et de la communication : Lyon 2 : 2001. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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