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La dynamique du traitement des visages : du percept à la familiarité

Barragan-Jason, Gladys 18 February 2013 (has links) (PDF)
Reconnaître rapidement les visages familiers est une fonction fondamentale qui joue un rôle important dans nos interactions sociales. D'un point de vue évolutionniste, il semble en effet crucial de pouvoir rapidement déterminer si la personne qui nous fait face est amie ou ennemie pour adapter son comportement en conséquence. C'est sans doute pour cela que, dans l'opinion publique, mais également dans la littérature scientifique, la reconnaissance des visages est supposée être un processus très rapide, efficace et exécuté sans effort. Cependant, la reconnaissance des visages familiers est-elle réellement si rapide ? Ne serait-ce pas simplement une idée reçue ? Rapide, admettons, mais à quelle vitesse ? En adaptant des protocoles de catégorisation visuelle rapide (tâche de go/no-go) développés initialement pour étudier la rapidité du système visuel et en mettant en place de nouveaux protocoles de catégorisation ultra-rapide (" Speed and Accuracy Boosting procedure " ; SAB), nous avons pu déterminer les latences comportementales et électrophysiologiques les plus précoces pour reconnaître explicitement un visage célèbre. Nous nous sommes intéressés d'une part à la reconnaissance de type " bottom-up " (reconnaître plusieurs visages célèbres sans savoir au préalable de qui il s'agit) et d'autre part à la reconnaissance " top-down " (reconnaître une personne en particulier parmi des inconnus). Le temps de réaction minimum pour reconnaître des visages célèbres parmi des inconnus (reconnaissance " bottom-up ") est d'environ 360-390 ms, ce temps de réponse ne pouvant être amélioré ni par un apprentissage intensif des stimuli (Article 1), ni par un protocole de catégorisation ultra-rapide (Article 2). Ce temps de réaction est environ 100 ms plus tardif que lors d'une tâche de détection de visage (Article 1) ou de genre (Article 1). Ces latences sont très différentes lorsque la procédure SAB est appliquée à une reconnaissance de type " top-down ", descendant à environ 300 ms contre 270 ms dans une tâche de détection de visages (Article 3). De plus, en appliquant une méthode de MVPA (Multi-Variate Pattern Analysis) à des données d'EEG de surface, nous avons montré que l'activité neuronale liée à la reconnaissance des visages célèbres était disponible dès 230 ms après la présentation du stimulus (voire 200 ms pour le sujet les plus rapides) alors que l'activité neuronale liée à a détection d'un visage humain parmi des visages d'animaux était disponible dés 80 ms (Articles 4 et 5). L'activité neuronale était de plus fortement corrélée aux temps de réponses minimales en reconnaissance, confirmant ainsi son rôle dans la prise de décision. Nous discutons ces latences au regard des modèles de la voie visuelle ventrale et des modèles de la reconnaissance des visages. Nous distinguons trois modèles différents pouvant théoriquement être à l'origine de la familiarité et en favorisons un en particulier.
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Approche temporelle de la mémoire de reconnaissance visuelle et atteinte au stade prodromal de la maladie d'Alzheimer

Besson, Gabriel 12 June 2013 (has links) (PDF)
La mémoire de reconnaissance visuelle (MRV) est atteinte précocement dans la maladie d'Alzheimer (MA). Or, elle reposerait sur deux processus: la familiarité (simple sentiment d'avoir déjà rencontré un item) et la recollection (récupération de détails associés à l'item lors de son encodage). Si la recollection est clairement atteinte au début de la MA, les résultats concernant la familiarité sont à ce jour contradictoires. Supposée plus rapide que la recollection, la familiarité devrait pouvoir être évaluée directement par une approche temporelle. Son atteinte dans la MA pourrait alors être mieux comprise. Pour tester ces hypthèses, la procédure comportementale SAB (Speed and Accuracy Boosting) a été créée. Permettant d'étudier les propriétés de la MRV (sa vitesse-limite, (Articles 1 et 2, ou sa nature "bottom-up", Article 3) ainsi que l'hypothèse que la familiarité serait plus rapide que la recollection, cette méthode s'est montrée évaluer majoritairement la familiarité (Article 1). Chez des patients à risque de MA, une dissociation inattendue au sein de la familiarité a alors pu être révélée, avec une atteinte des signaux tardifs de familiarité (utilisés lors d'un jugement classique), mais une préservation des premiers signaux (supportant la détection rapide évaluée en SAB) (Article 4). En outre, la segmentation manuelle d'images IRM du lobe temporal interne (premières régions cérébrales touchées dans la MA, et clés pour la MRV) a été appliquée à la problématique connexe de l'effet de l'âge au début de la MA (Article 5). Indépendamment, ces méthodes ont permis de mieux comprendre la MRV et son atteinte au début de la MA ; leur combinaison s'annonce très prometteuse.
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Approche temporelle de la mémoire de reconnaissance visuelle et atteinte au stade prodromal de la maladie d'Alzheimer

Besson, Gabriel 12 June 2013 (has links)
La mémoire de reconnaissance visuelle (MRV) est atteinte précocement dans la maladie d'Alzheimer (MA). Or, elle reposerait sur deux processus : la familiarité (simple sentiment d'avoir déjà rencontré un item) et la recollection (récupération de détails associés à l'item lors de son encodage). Si la recollection est clairement atteinte au début de la MA, les résultats concernant la familiarité sont à ce jour contradictoires. Supposée plus rapide que la recollection, la familiarité devrait pouvoir être évaluée directement par une approche temporelle. Son atteinte dans la MA pourrait alors être mieux comprise.Pour tester ces hypthèses, la procédure comportementale SAB (Speed and Accuracy Boosting) a été créée. Permettant d'étudier les propriétés de la MRV (sa vitesse-limite, Articles 1 et 2, ou sa nature « bottom-up », Article 3), ainsi que l'hypothèse que la familiarité est plus rapide que la recollection, cette méthode s'est montrée évaluer majoritairement la familiarité (Article 1). Chez des patients à risque de MA, une dissociation inattendue au sein de la familiarité a alors pu être révélée, avec une atteinte des signaux tardifs de familiarité (utilisés lors d'un jugement classique), mais une préservation des premiers signaux (supportant la détection rapide évaluée en SAB) (Article 4).En outre, la segmentation manuelle d'images IRM du lobe temporal interne (premières régions cérébrales touchées dans la MA, et clées pour la MRV) a été appliquée à la problématique connexe de l'effet de l'âge au début de la MA (Article 5).Indépendamment, ces méthodes ont permis de mieux comprendre la MRV et son atteinte au début de la MA ; leur combinaison s'annonce très prometteuse. / Visual recognition memory (VRM) is impaired early in Alzheimer's Disease (AD), but would rely on two processes : familiarity (mere feeling that an item has been seen previously) and recollection (retrieval of details associated to the item at encoding). If recollection is clearly impaired in early AD, results concerning familiarity remain contradictory. Supposed to be faster than recollection, familiarity should be better understood using a temporal approach. Its possible impairment in AD could then be better understood.In order to test this, a behavioural procedure was designed: the SAB (Speed and Accuracy Boosting). Revealing different properties of VRM (its speed-limit, Articles 1 and 2; its « bottom-up » nature, Article 3) and some of its processes (familiarity appeares indeed faster than recollection, Article 1), results showed that the SAB procedure was mainly assessing familiarity (Article 1). In patients at risk of AD, an unexpected dissociation within familiarity processes was evidenced, with an impairment of late signals of familiarity (as used for classical judgements), but a preservation of the first signals (supporting fast detection assessed with the SAB) (Article 4).Last, manual segmentation of MRI images of the medial temporal lobe (first cerebral regions affected in AD, known for their key role in VRM) was also used to assess age effect at the early stage of AD (Article 5).Independently, both methods allowed understanding better the VRM and its impairment in early AD; their combination appears very promising.

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