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Nous, les Autres et le vivre ensemble en relations internationalesMioc, Roxana Consuela 01 May 2012 (has links)
L’identité est un des concepts qui ne peuvent pas être contournés dans nos efforts pour appréhender la politique mondiale. Tout effort dans cette direction implique nécessairement une certaine conceptualisation de l’identité, une certaine vision de qui sont le Nous et les Autres et de comment ils se manifestent sur la scène politique internationale. Depuis sa création, la discipline des Relations Internationales a cependant marginalisé ou même exclu tout intérêt pour les questions et les enjeux reliés à l’identité, les qualifiant comme non pertinents pour l’étude de la politique internationale. C’est surtout après la fin de la Guerre froide que l’identité est revenue en force et que nous avons assisté à une ouverture de la discipline aux réflexions sur l’identité et sur ses relations avec l’altérité. L’objectif de cette recherche est d’analyser si le retour de l’identité en Relations Internationales a aussi conduit au dépassement des conceptualisations traditionnelles du vivre ensemble dans la discipline – conceptualisations qui, soit excluent la différence, soit l’ignorent complètement - pour offrir une nouvelle manière de définir et de « contenir » théoriquement la diversité au niveau mondial. Mon hypothèse de départ est que pour avoir un changement dans la conceptualisation du vivre ensemble dans la discipline des Relations Internationales, le retour de l’identité doit nécessairement impliquer une reconceptualisation autant de l’identité que des rapports de pouvoirs dans lesquels les identités sont imbriquées. À travers une analyse qualitative du discours sur l’identité développé par les auteurs qui ont contribué au retour de l’identité dans la discipline, je développe l’idée que le retour de l’identité en Relations Internationales n’a pas conduit à une reconceptualisation du vivre ensemble dans la discipline, soit parce que l’identité continue d’être appréhendée en termes essentialistes et totalisants, soit parce que les rapports de pouvoir qui s’établissent entre les identités sont négligés.
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Rhétorique de la conversation : sa dimension littéraire et linguistique dans la société française du XVIIe siècle /Strosetzki, Christoph, Seubert, Sabine. January 1984 (has links)
Trad. de : Diss. : Philos. Fak. : Düsseldorf : 1977, intitulée "Konversation : e. Kap. gesellschaftl. u. literar. Pragmatik im Frankreich d. 17. Jh." - Bibliogr. p. 287-307. -
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Höflichkeit und Hierarchie bei den in Jakarta lebenden Javanern /Markham, Marion. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Bonn--Universität, 1993. / Bibliogr. p. 205-210.
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Aristocrates et grands bourgeois : éducation, traditions, valeurs /Mension-Rigau, Éric, January 1994 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Histoire--Paris--EHESS, 1993. Titre de soutenance : La naissance et les valeurs, l'éducation et la transmission des valeurs familiales dans l'aristocratie et dans la grande bourgeoisie de la Belle époque à nos jours. / Bibliogr. p. 493-507.
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Aristocrates et grands bourgeois : éducation, traditions, valeurs /Mension-Rigau, Éric, January 1996 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Histoire--Paris--EHESS, 1993. Titre de soutenance : La naissance et les valeurs, l'éducation et la transmission des valeurs familiales dans l'aristocratie et dans la grande bourgeoisie de la Belle époque à nos jours. / Bibliogr. p. 493-507.
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The Bourgeoisie in the dining-room : meal ritual and cultural process in Parisian families of today /Sjögren-De Beauchaine, Annick. January 1988 (has links)
Avhandling--Filosofie--Stockholm--Institutet för folklivsforskning, 1988.
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Nous, les Autres et le vivre ensemble en relations internationalesMioc, Roxana Consuela January 2012 (has links)
L’identité est un des concepts qui ne peuvent pas être contournés dans nos efforts pour appréhender la politique mondiale. Tout effort dans cette direction implique nécessairement une certaine conceptualisation de l’identité, une certaine vision de qui sont le Nous et les Autres et de comment ils se manifestent sur la scène politique internationale. Depuis sa création, la discipline des Relations Internationales a cependant marginalisé ou même exclu tout intérêt pour les questions et les enjeux reliés à l’identité, les qualifiant comme non pertinents pour l’étude de la politique internationale. C’est surtout après la fin de la Guerre froide que l’identité est revenue en force et que nous avons assisté à une ouverture de la discipline aux réflexions sur l’identité et sur ses relations avec l’altérité. L’objectif de cette recherche est d’analyser si le retour de l’identité en Relations Internationales a aussi conduit au dépassement des conceptualisations traditionnelles du vivre ensemble dans la discipline – conceptualisations qui, soit excluent la différence, soit l’ignorent complètement - pour offrir une nouvelle manière de définir et de « contenir » théoriquement la diversité au niveau mondial. Mon hypothèse de départ est que pour avoir un changement dans la conceptualisation du vivre ensemble dans la discipline des Relations Internationales, le retour de l’identité doit nécessairement impliquer une reconceptualisation autant de l’identité que des rapports de pouvoirs dans lesquels les identités sont imbriquées. À travers une analyse qualitative du discours sur l’identité développé par les auteurs qui ont contribué au retour de l’identité dans la discipline, je développe l’idée que le retour de l’identité en Relations Internationales n’a pas conduit à une reconceptualisation du vivre ensemble dans la discipline, soit parce que l’identité continue d’être appréhendée en termes essentialistes et totalisants, soit parce que les rapports de pouvoir qui s’établissent entre les identités sont négligés.
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L'homme, le plus politique des animaux : essai sur les "Politiques" d'Aristote, livre I, chapitre 2. / Human being, the most political of the animals : a study of Aristotle' s "Poltics", book I, chapter 2Guremen, Refik 18 December 2013 (has links)
Cette étude est entièrement consacrée à un examen du deuxième chapitre du premier livre des "Politiques" d'Aristote. Elle vise à analyser l'affirmation aristotélicienne selon laquelle l'homme est un animal plus politique que les autres animaux politiques (Pol., I, 1, 1253a7-9). Tous les commentateurs d'Aristote expliquent cette affirmation par référence à la rationalité, ou à la moralité ou encore à la capacité langagière de l'homme. Selon l'idée soutenue dans cette étude, bien que ces traits exclusivement humains ne soient pas impertinents à la forme spécifique que prend la vie politique de l'homme, le plus haut degré de son caractère politique ne peut pas s'expliquer en fonction d'eux. Après un examen détaillés des plusieurs difficultés que l'on rencontre dans les commentaires contemporains des Politiques, 1,2, nous avons développé la thèse que selon Aristote l'homme est le plus politique des animaux politiques parce qu'il est un animal grégaire à multiple communautés. D'après Aristote, l'homme développe cette multiplicité de communautés en vue de l'autosuffisance. Pour pouvoir montrer que cette interprétation est en conformité avec une autre affirmation d'Aristote selon laquelle la polis existe en vue du bien-vivre, nous avons aussi démontré qu'il existe chez le Stagirite des éléments d'une notion de bien-vivre qui relève moins de la moralité que des conditions animales de l'homme et que c'est dans ce dernier sens que l'existence de la polis en vue du bien-vivre doit être comprise. / This dissertation is dedicated to an exclusive study of Aristotle's "Politics", I, 2. It aims at analyzing Aristotle's affirmation that human beings are more political than the other political animals (Pol., I, 1, 1253a7-9). According to the most widely shared views about Aristotle's argument here, human beings would be more political either because they are rational, or because they have a natural capacity for speech or because they are perceptive about questions of morality. According to the idea defended in this study, although these exclusively human features are not impertinent to the specific form that human beings' political life takes, human beings' higher degree of politicalness cannot be explained on the basis of them. After a detailed examination of certain difficulties and shortcomings in contemporary commentaries on Politics, l, 2, we develop the thesis that according to Aristotle, the human being is more political because it is a gregarious animal of multiple communities. For Aristotle, human beings develop this multiplicity of communities for the sake of self-sufficiency. In order to show that this thesis is in conformity with Aristotle's other main idea that the polis exists for the sake of living-well, we demonstrate that elements of a different conception of living-well, based more on human being's animality than its rnorality, are present in Aristotle’s work. Aristotle's affirmation that the polis exists for the sake of living-well must be understood in this rather zoological sense of living-well.
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Politesse en situation de communication sino-française : malentendu et compréhension /Pu, Zhihong. January 2003 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Didactologie des langues et des cultures--Paris 3, 2002. / Bibliogr. p. 261-267. Index.
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Om konsten att konstruera en kvinna : retoriska strategier i 1800-talets rådgivare och i Marie Sophie Schwartz' romaner /Kolbe, Gunlög, January 2001 (has links)
Dissertation--Göteborg, 2001. / Bibliogr. p. Bibliogr. p. 276-292.
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