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L'homme, le plus politique des animaux : essai sur les "Politiques" d'Aristote, livre I, chapitre 2. / Human being, the most political of the animals : a study of Aristotle' s "Poltics", book I, chapter 2

Guremen, Refik 18 December 2013 (has links)
Cette étude est entièrement consacrée à un examen du deuxième chapitre du premier livre des "Politiques" d'Aristote. Elle vise à analyser l'affirmation aristotélicienne selon laquelle l'homme est un animal plus politique que les autres animaux politiques (Pol., I, 1, 1253a7-9). Tous les commentateurs d'Aristote expliquent cette affirmation par référence à la rationalité, ou à la moralité ou encore à la capacité langagière de l'homme. Selon l'idée soutenue dans cette étude, bien que ces traits exclusivement humains ne soient pas impertinents à la forme spécifique que prend la vie politique de l'homme, le plus haut degré de son caractère politique ne peut pas s'expliquer en fonction d'eux. Après un examen détaillés des plusieurs difficultés que l'on rencontre dans les commentaires contemporains des Politiques, 1,2, nous avons développé la thèse que selon Aristote l'homme est le plus politique des animaux politiques parce qu'il est un animal grégaire à multiple communautés. D'après Aristote, l'homme développe cette multiplicité de communautés en vue de l'autosuffisance. Pour pouvoir montrer que cette interprétation est en conformité avec une autre affirmation d'Aristote selon laquelle la polis existe en vue du bien-vivre, nous avons aussi démontré qu'il existe chez le Stagirite des éléments d'une notion de bien-vivre qui relève moins de la moralité que des conditions animales de l'homme et que c'est dans ce dernier sens que l'existence de la polis en vue du bien-vivre doit être comprise. / This dissertation is dedicated to an exclusive study of Aristotle's "Politics", I, 2. It aims at analyzing Aristotle's affirmation that human beings are more political than the other political animals (Pol., I, 1, 1253a7-9). According to the most widely shared views about Aristotle's argument here, human beings would be more political either because they are rational, or because they have a natural capacity for speech or because they are perceptive about questions of morality. According to the idea defended in this study, although these exclusively human features are not impertinent to the specific form that human beings' political life takes, human beings' higher degree of politicalness cannot be explained on the basis of them. After a detailed examination of certain difficulties and shortcomings in contemporary commentaries on Politics, l, 2, we develop the thesis that according to Aristotle, the human being is more political because it is a gregarious animal of multiple communities. For Aristotle, human beings develop this multiplicity of communities for the sake of self-sufficiency. In order to show that this thesis is in conformity with Aristotle's other main idea that the polis exists for the sake of living-well, we demonstrate that elements of a different conception of living-well, based more on human being's animality than its rnorality, are present in Aristotle’s work. Aristotle's affirmation that the polis exists for the sake of living-well must be understood in this rather zoological sense of living-well.
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La nécessité d'une nouvelle conception de la responsabilité au service de l'en-commun : une approche à partir de champs spécifiques : genre, peuples autochtones, environnement

Canovas, Julie 23 March 2012 (has links) (PDF)
L'expansion du capitalisme a suscité des luttes à travers le monde, qui se sont exprimées contre les formes de domination et les divers types de déstructurations - sociopolitiques, économiques, culturelles, environnementales, notamment - issues d'un modèle homogénéisant. Face à l'amenuisement de la capacité de résilience de l'Ecosphère et à l'accroissement des inégalités inter et intra-sociétales, les acteurs de ces résistances anti-systémiques soulignent l' " insoutenabilité " du système dominant qui porte atteinte au respect de la dignité des êtres humains et de l'intégrité de la Nature. Au sein de ces luttes, trois champs se distinguent par la fécondité de leur articulation à l'heure actuelle : le genre, les peuples autochtones et l'environnement. Peu étudiées dans leurs interrelations, ces catégories représentent des sphères essentielles dans l'analyse de la naissance et de la construction d'un autre ordre mondial, par les liens existants mais souvent masqués entre ces pans et par le potentiel de leur articulation avec d'autres groupements. L'émergence d'un socle de valeurs partagées par ces acteurs sociaux souligne une convergence autour d'une responsabilité éthique, qui implique de repenser la perception prédominante de l'altérité au sein du système dominant. Dans ce cadre, la redéfinition de la responsabilité, fondée sur les notions de réciprocité, de " care " et de " bien vivre ", a permis de rassembler ces groupements autour d'une approche qui peut être qualifiée de solidaire et d'écocentrée. Si face à l'urgence sociale et environnementale actuelle, la reconnaissance de l'interdépendance de l'ensemble des composantes de l'Ecosphère, l'humanité y compris, est devenue une nécessité pour divers mouvements sociaux, les peuples autochtones et les mouvements écoféministes constituent les principaux sous-ensembles porteurs de cet en-commun. Reconnaître l'appartenance de l'humanité à l'Ecosphère implique d'adopter une vision du monde respectueuse des êtres humains et de la Nature qui doit se matérialiser dans la pratique par une organisation sociale fondée sur la justice sociale et environnementale. Partir des propositions existantes émanant des acteurs sociaux afin de penser à la construction d'un autre ordre mondial fondé sur une responsabilité solidaire et écocentrée permet de poser les fondements de l'élargissement futur de l'en-commun.
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Kara et kakaram : étude pragmatique de la vie sociale des rêves chez les Achuar du Pastaza, Équateur.

Preux, Raphaël 04 1900 (has links)
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La nécessité d'une nouvelle conception de la responsabilité au service de l'en-commun : une approche à partir de champs spécifiques : genre, peuples autochtones, environnement / The necessity of a new conception of responsability for the "en-commun"

Canovas, Julie 23 March 2012 (has links)
L’expansion du capitalisme a suscité des luttes à travers le monde, qui se sont exprimées contre les formes de domination et les divers types de déstructurations – sociopolitiques, économiques, culturelles, environnementales, notamment – issues d’un modèle homogénéisant. Face à l’amenuisement de la capacité de résilience de l’Ecosphère et à l’accroissement des inégalités inter et intra-sociétales, les acteurs de ces résistances anti-systémiques soulignent l’ « insoutenabilité » du système dominant qui porte atteinte au respect de la dignité des êtres humains et de l’intégrité de la Nature. Au sein de ces luttes, trois champs se distinguent par la fécondité de leur articulation à l’heure actuelle : le genre, les peuples autochtones et l’environnement. Peu étudiées dans leurs interrelations, ces catégories représentent des sphères essentielles dans l’analyse de la naissance et de la construction d’un autre ordre mondial, par les liens existants mais souvent masqués entre ces pans et par le potentiel de leur articulation avec d’autres groupements. L’émergence d’un socle de valeurs partagées par ces acteurs sociaux souligne une convergence autour d’une responsabilité éthique, qui implique de repenser la perception prédominante de l’altérité au sein du système dominant. Dans ce cadre, la redéfinition de la responsabilité, fondée sur les notions de réciprocité, de « care » et de « bien vivre », a permis de rassembler ces groupements autour d’une approche qui peut être qualifiée de solidaire et d’écocentrée. Si face à l’urgence sociale et environnementale actuelle, la reconnaissance de l’interdépendance de l’ensemble des composantes de l’Ecosphère, l’humanité y compris, est devenue une nécessité pour divers mouvements sociaux, les peuples autochtones et les mouvements écoféministes constituent les principaux sous-ensembles porteurs de cet en-commun. Reconnaître l’appartenance de l’humanité à l’Ecosphère implique d’adopter une vision du monde respectueuse des êtres humains et de la Nature qui doit se matérialiser dans la pratique par une organisation sociale fondée sur la justice sociale et environnementale. Partir des propositions existantes émanant des acteurs sociaux afin de penser à la construction d’un autre ordre mondial fondé sur une responsabilité solidaire et écocentrée permet de poser les fondements de l’élargissement futur de l’en-commun. / The expansion of the capitalism aroused struggles worldwide, which expressed themselves against the forms of domination and the various types of destructurations – sociopolitical, economic, cultural, environmental, in particular – stemming from a homogenizing model. In front of the decrease of the resilience capacity of the Ecosphere and of the increase of the inter and intra-societal inequalities, the actors of these anti-systematic resistances underline the « unsustainability » of the dominant system which affects the respect for the human being’s dignity and for the Nature’s integrity. Within these fights, three fields distinguish themselves by the fertility of their articulation at the moment : gender, indigenous peoples and environment. Little studied in their interrelations, these categories represent essential spheres in the analysis of the birth and the construction of another world order, by the existing often masked links between these fields and by the potential of their articulation with other groupings. The emergence of a core set of values shared by these social actors underlines a convergence around an ethical responsibility/ accountability, which implies to rethink the dominant perception of the otherness within the dominant system. In this frame, the redefining of the responsibility, based on the notions of reciprocity, care and « good life », allows to gather these groupings around an approach which can be considered as mutual and ecocentric. If in front of the current social and environmental urgency, the acknowledgment of the interdependence of all the constituents of Ecosphere, the humanity including, became a necessity for diverse social movements, indigenous peoples and the ecofeminist movements constitute the main carrier subsets of this « shared common ». To acknowledge the membership of the humanity in the Ecosphere implies to adopt a respectful world’s vision of the human beings and the Nature which has to materialize in the practice by a social organization based on social and environmental justice. To start from existing proposals emanating from social actors to think of the construction of another world order based on a collective and ecocentric responsibility allows to build the foundations of the future extension of the « shared-common ».
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La résilience par le terroir : une sociologie du bien-vivre dans les Hautes-Laurentides

Rainville, Rosalie 08 1900 (has links)
Cette étude sociologique porte sur la Municipalité régionale de comté (MRC) Antoine-Labelle dans la région des Hautes-Laurentides au Québec. Historiquement, depuis le début des années 1900, la forêt a constitué la principale assise économique et sociale de la MRC. Depuis 2005, « la crise forestière » frappe durement cette région québécoise. Un mouvement de la transition s’est installé au sein de la communauté régionale. À l’intersection de la nature et de la culture, le terroir se présente depuis lors comme l’une des voies privilégiées de la résilience. À travers le terroir, c’est le « vivre de » et le « bien vivre ensemble » que les habitants cherchent à repenser dans leur région. Aujourd’hui, plusieurs initiatives mettant en valeur le terroir régional, notamment des projets d’agriculture biologique, sont repérables à l’ensemble du territoire des Hautes-Laurentides. Plus qu’une simple ouverture économique, le terroir est porteur de nouveaux récits sociaux et symboliques dans la région. Dans ce mémoire de maîtrise, notre objectif est précisément de mettre en lumière les représentations sociales du terroir de certains acteurs du domaine agroalimentaire de la MRC Antoine-Labelle. Nous cherchons à comprendre comment le terroir se construit, se pense, se vit et se raconte dans cette région. En interrogeant dix-sept acteurs, notamment des agriculteurs, des artisans du domaine alimentaire, des chefs, des restaurateurs et des représentants de la gouvernance régionale, ceux-ci montrent que ce concept est porteur de valeurs sociales et environnementales qui répondent à de nouvelles aspirations au sein de la communauté. Non sans difficultés, le terroir renvoie pour les acteurs interrogés à des valeurs d’autonomie, de qualité de vie, de convivialité, de conscience écologique, d’éducation et d’espoir pour la relève à venir. Cette étude sociologique du terroir dans les Hautes-Laurentides jette finalement un éclairage nouveau sur le bien-vivre en région rurale au Québec. / This sociological study is about the Regional County Municipality (RCM) of Antoine-Labelle in the Hautes-Laurentides region of Quebec. Since the early 1900s, the forest has been the main economic and social base of the MRC. Since 2005, "the forestry crisis" has heavily affected this region of Quebec. A transition movement has emerged within the regional community. At the intersection of nature and culture, the terroir has appeared as one of the preferred pathways toward resilience. Through the terroir, it’s the ideas of "living" and "living together" that inhabitants are sinking to rethink in their region. Today, several initiatives which highlight the regional terroir, including organic farming projects, have emerged throughout the territory of the Hautes-Laurentides. More than just an economic opportunity, the terroir brings with it new social and symbolic narratives in the region. In this master thesis, our goal is precisely to highlight the social representations of the terroir of some actors in this field of activity in the Antoine-Labelle RCM. We seek to understand how the terroir is constructed, conceptualized, lived and told in this region. By interviewing seventeen actors, including farmers, artisans, chefs and representatives of regional governance, we show that this concept carries social and environmental values that express new aspirations within the community. For the actors interviewed and not without its challenges, the terroir refers to values such as autonomy, quality of life, friendliness, environmental awareness, education and hope for the next generation. This sociological study of the terroir in the Hautes-Laurentides sheds new light on what is meant by “living well” in rural Quebec.

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