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Aspects discursifs de l’assimilationnisme relatif aux peuples autochtones et du colonialisme d’établissement au Canada

Wawanoloath, Maxime-Auguste January 2015 (has links)
Au Canada, des pratiques ethnocidaires à l’égard des peuples autochtones se sont inscrites dans le sens commun canadien sous la forme de politiques et de normes sociales assimilationnistes. Or, il semble qu’une ambiguïté théorique entoure la «mise à distance» ou la «prégnance» de telles pratiques et des discours qui les étayent. Fait-on face à un phénomène en phase de s’effacer ou de s’accélérer? Il appert en fin d’analyse que les polymorphismes des dispositions assimilationnistes se présentent de manière diffuse à l’intérieur des espaces sociaux canadiens et qu’ils s’inscrivent dans un récit global «colonial d’établissement» généralement fondé sur un horizon normatif libéral. Nous proposons ici «d’extraire» les composantes d’un «discours assimilationniste manifeste» afin de mettre en relief certains procédés discursifs d’importance majeure qui participent au façonnement de la relation entre l’État, les corps sociaux coloniaux d’établissement et les peuples autochtones au Canada.
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Les fondements théoriques de l'interculturalisme : entre gestion de la diversité religieuse et reconnaissance des peuples autochtones au Québec

Gosselin-Tapp, Jérôme 09 December 2021 (has links)
Cette thèse doctorale vise, d’une part, à clarifier les fondements théoriques de l’interculturalisme de manière à en montrer la spécificité philosophique par rapport au multiculturalisme. D’autre part, cette thèse propose aussi un élargissement du champ d’application de l’interculturalisme dans le but de concilier la pleine reconnaissance de droits collectifs pour les peuples autochtones avec la résolution des tensions soulevées plus récemment par la gestion de la diversité au Québec et au Canada. Au terme de cet exercice, cette thèse propose des orientations concrètes pour de futures politiques publiques qui feraient de l’autodétermination des peuples autochtones l’un des ingrédients essentiels d’une redéfinition du vivre-ensemble, à laquelle seraient susceptibles de souscrire les différents groupes qui composent la société québécoise.
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Nitaskinan, territoire : analyse des discours des représentants politiques des Atikamekw Nehirowisiwok et des gouvernements coloniaux, 1973-2004

Depelteau, Julie 02 July 2019 (has links)
Nitaskinan est le nom donné par les Atikamekw Nehirowisiwok à leur territoire. Ce territoire n’a jamais été cédé de quelque façon aux gouvernements coloniaux, pourtant ils l’usurpent, notamment pour l’exploitation forestière et hydroélectrique et en imposant leurs propres découpages, comme les réserves à castor. Les Atikamekw Nehirowisiwok et les gouvernements coloniaux sont engagés depuis 1978 dans un processus de négociation territoriale globale. Cette recherche, menée en étroite collaboration avec le Secrétariat au territoire d’Atikamekw Sipi – Conseil de la Nation Atikamekw (AS – CNA), étudie les discours francophones de ces acteurs au sujet du territoire pour comprendre s’ils traitent bien du même « objet ». En substance, la recherche montre que même en français, les représentants politiques des Atikamekw Nehirowisiwok et les gouvernements coloniaux ne parlent pas du même territoire lorsqu’ils dialoguent. L’« objet » construit par chacun des acteurs dans leur discours est trop inséparable de leur pouvoir sur leur territoire pour qu’ils puissent parler du même « objet » sans admettre une diminution de leur pouvoir au profit de l’autre acteur. Pour étudier ces discours, les textes suivants ont été sélectionnés : la Recherche sur l’occupation et l’utilisation du territoire menée par le Conseil Attikamek-Montagnais (CAMROUT); le Rapport final du Sommet Aski; et le mémoire Position de la Nation Atikamekw. Les textes gouvernementaux choisis établissent un dialogue avec ces textes. Il s’agit de : la politique fédérale sur les revendications territoriales globales; la politique fédérale sur l’autonomie gouvernementale; et des textes de consultation du gouvernement du Québec sur l’affectation du territoire public et sur les objectifs de protection et de mise en valeur du milieu forestier. Les textes ont été analysés à l’aide de catégories de codes déterminées avec AS – CNA pour comprendre l’« objet » territoire auquel ces textes renvoient et pour examiner leurs interventions dans les rapports de pouvoir coloniaux entre les acteurs.
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Dynamisme religieux chez les Huichols du Mexique, le cas du Christ Cerf Hapaxuki

Marquez, Jimena January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La reconnaissance de l'autonomie judiciaire autochtone : regard sur l'expérience colombienne

Chicoine-Wilson, Charlotte January 2015 (has links)
Dans plusieurs sociétés issues de la colonisation, la validité des cultures juridiques autochtones n’est pas reconnue par l’État, ce qui est à la source de problèmes tant pour les communautés autochtones que pour les individus qui les composent. Afin de remédier à cette situation, certains États, dont la Colombie, ont reconnu constitutionnellement l’autonomie judiciaire autochtone. Nous avons étudié les textes constitutionnels et législatifs colombiens, ainsi que la jurisprudence de la Cour constitutionnelle, afin de qualifier les rapports entre le droit étatique et la justice autochtone découlant de la réforme constitutionnelle colombienne. Pour ce faire, nous avons mobilisé un cadre analytique inspiré de la typologie des sociabilités développée par Boaventura de Sousa Santos. Nous avons ainsi pu identifier des rapports de convivialité, la reconnaissance ayant permis de faire dialoguer les institutions étatiques et autochtones, ainsi que les cultures juridiques qui les sous-tendent. Cependant, plusieurs éléments de réconciliation sont également présents, notamment parce que l’État colombien s’est octroyé le droit de contrôler l’exercice de l’autonomie judiciaire autochtone, perpétuant ainsi l’inégalité des rapports entre les cultures juridiques étatique et autochtones.
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Événement, continuités, transformations : enquête documentaire sur la résistance à Kanehsatake de 1990

Sabourin, Olivier 22 December 2022 (has links)
Cette thèse porte sur la compréhension des résistances à Kanehsatake à partir du prisme de la crise politique de 1990. Le 11 juillet de cette année-là, la conjonction d’une fusillade dans la pinède de Kanehsatake et le blocage du pont Mercier inaugurent une crise politique, populairement reconnue par l’énoncé « crise d’Oka », qui durera 78 jours. Pour une énième fois dans l’histoire de la communauté, des Kanehsata’kehró : non (gens de Kanehsatake) ont résisté à la dépossession de leur territoire. Au courant des 18e et 19e siècles, à l’instar de la municipalité d’Oka lors de la crise, le Séminaire de Saint-Sulpice a mis en œuvre la dépossession de la communauté de Kanehsatake par la marchandisation des terres, contre quoi des Kanehsata’kehró : non se sont mobilisés en prenant parole et en confrontant l’institution religieuse et l’État colonial. En ce sens, derrière l’apparente nouveauté du point de vue des sociétés issues des colonies de peuplement, la résistance de 1990 n’est qu’une occurrence dans une longue série inaugurée depuis la prise de parole des chefs de la communauté à Montréal en 1781. Pour ceux et celles qui se sont mobilisée(e)s à Kanehsatake et à Kahnawake en 1990, l’expérience opère une transformation politique importante au niveau biographique, en renforçant les identités mobilisées pour résister. La méthode de l’enquête documentaire est utilisée pour réinscrire l’histoire de lutte au cœur de la résistance à Kanehsatake de 1990 dans une perspective historique qui se poursuit encore aujourd’hui dans les parcours des acteurs autochtones de la crise politique.
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Marie de l'Incarnation et ses pensionnaires amérindiennes (1639-1672) : transferts culturels et acculturation

Gourdeau, Claire., Gourdeau, Claire 29 September 2023 (has links)
Québec : Université Laval, Bibliothèque, 2013.
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Décryptage de la trajectoire sémiologique et phénoménologique des complications chez les diabétiques de type 2 : le cas des Polynésiens autochtones

Imbert-Berteloot, Geneviève January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La question indienne en Équateur dans les premières années du XXIème siècle à travers la publication KIPU. El mundo indígena en la prensa ecuatoriana. Perception d’une réalité / The Indian issue in Ecuador during the first years of XXIth century in KIPU. El mundo indigena en la prensa ecuatoriana. Perception of a reality

Vitry, Didier 02 December 2013 (has links)
En Équateur, les « nationalités et peuples indiens » sont devenus des acteurs incontournables de la scène publique, depuis plus d'une vingtaine d'années. Le caractère plurinational de l'État, longtemps réclamé, est finalement inscrit dans la Constitution de 2008. Selon les chiffres officiels, les Indiens représentent 7% de la population totale. Leur principale organisation avance parfois le chiffre de 45%. Leurs fédérations et confédérations ont su conquérir des espaces afin de participer plus directement à la vie du pays. Les Indiens ont gagné en visibilité et en respectabilité, bien que leurs actions - après avoir bénéficié du soutien de la population « blanche-métisse » - n'aient cessé d'être discréditées tout au long de la première décennie du XXIème siècle. L'intérêt que les Indiens ont pu susciter en Équateur a sans doute contribué à la publication par les Éditions Abya Yala de Quito, de 1987 à 2007, d'une compilation d'articles de presse consacrés à la question indienne, intitulée KIPU. El mundo indígena en la prensa ecuatoriana. Ces textes ont constitué un terrain d'étude satisfaisant pour tenter d'intercepter le regard de la société globale sur cette « forte minorité ethnique ». Nous nous sommes limité à la période 2000-2004, qui représente sans doute le deuxième grand tournant dans l'histoire des mouvements indiens contemporains dans le pays. Il est difficile d'obtenir un instantané très net de ces cultures sans cesse en mouvement. La société équatorienne garde, au cours de ces années, une image floue de « ses » Indiens. Ils se révèlent cependant au monde moderne, en s'inscrivant dans un processus global d'« indigénisation de la modernité ». En Équateur et dans la plupart des pays d'Amérique latine, l'Indien se déclare d'ailleurs plutôt indígena que indio. Il reste insaisissable pour beaucoup et on le dit parfois assimilé ou disparu. Mais il semble que son histoire future soit la chronique d'une survie et d'une vitalité annoncées. / In Ecuador, « indigenous nationalities and peoples » have taken an active part in the public domain, especially for the last twenty years. The « plurinationality » claimed for a long time, was finally enshrined in the Constitution of 2008. According to official figures, Indians represent 7% of the total population. Their main organisation claims the figure of 45%. Their federations and confederations have won areas to participate more directly to the country's life. Indians have gained greater visibility and respectability but after having support of blanco-mestiza population, their actions have been incessantly discredited throughout the first decade of the XXIst century. The interest aroused by the Indians may have contributed to the publication by Abya Yala from Quito of a compilation of press articles about the Indian question, entitled KIPU. El mundo indigena en la prensa ecuatoriana. These press articles make it possible to intercept how the global society looks upon this « important ethnic minority ». We selected the period from the year 2000 to 2004. This period probably represents the second great turning point in the history of contemporary Indians movements.It's difficult to get a clear picture of cultures constantly in motion. People in Ecuador keep in mind a hazy image of « their Indians ». These reveal themselves to modern world by enrolling in a global process of « indigenization of modernity ». In Ecuador as in most countries of Latin America, the Indian claims to be more indígena than indio. He remains elusive for many and is often portrayed assimilated or disappeared. But it seems like his future history is a chronicle of a survival and vitality foretold.
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“Lo indígena" tratado por les organizaciones internacionales : Los casos de la UNESCO y de la FAO / La pensée institutionnelle sur les peuples autochtones. : Les cas de l’UNESCO et de la FAO (1945-2012) / Institutional thinking in relation to indigenous peoples in international organizations : The cases of UNESCO and FAO (1945-2012)

González González, Verónica 10 January 2014 (has links)
Les activités menées au sein de l’ONU, ainsi que de son prédécesseur, la Société des Nations, ont jouées un rôle fondamental dans la détermination de la position qu’occupent actuellement les “peuples autochtones” dans le champ politique international. En adoptant une approche constructiviste, l’auteure montre que le comportement des organisations internationales face aux peuples autochtones relève de processus anciens, qui sont désormais codifiés dans les “identités” de ces institutions. Elle explique en suite comment l’interaction entre un tel héritage et des conjonctures historiques et politiques particulières (le système colonial, la décolonisation et le scénario postcolonial contemporain) a généré une “pensée institutionnelle sur les peuples autochtones”, définie comme un ensemble de catégories, de connaissances et de normes que ces organisations associent aux peuples autochtones, et qui déterminent leur relation institutionnelle avec eux. A l’aide des outils méthodologiques et conceptuels propres à l’anthropologie politique et au droit international, l’auteure analyse en perspective historique l’évolution de la “pensée institutionnelle sur les peuples autochtones” au sein de l’UNESCO et de la FAO. Jusqu’aux années quatre-vingt-dix, ces organisations ont établi une relation avec les peuples autochtones qui reproduisait la domination exercée sur eux dans le cadre du système international westphalien. Cette recherche démontre que la relation institutionnelle entre ces agences spécialisées et les peuples autochtones change graduellement, sous l’influence du développement des “questions autochtones” au sein de l’ONU et notamment après l’adoption de la Déclaration des droits des peuples autochtones en 2007. Si les initiatives prises par les deux agences en réponse aux nouveaux contextes ne réfléchissent qu’un premier stade de transformation institutionnelle, elles ouvrent tout de même une fenêtre d’opportunités pour que les peuples autochtones jouent un rôle dans la construction de leur réalité et, par conséquent, dans la concrétisation de leurs aspirations politiques au niveau national et international. / The activities of the United Nations, and its predecessor, the League of Nations, has been fundamental to determining the position which the collectivities recognized today as “indigenous peoples” have occupied in the international political field. Adopting a social constructivist approach, this thesis posits that the behaviour of international organizations vis-à-vis indigenous peoples is rooted in processes which date back centuries and which have been codified in the “identities” of these institutions. This historical baggage has subsequently been remolded in different historical and political contexts (the colonial system, the decolonization era, and the contemporary postcolonial scenario), transforming the set of categories, knowledge, and norms which these organizations have associated with indigenous peoples, and which we refer to as “lo indígena”, into an object which has had distinct meanings and connotations throughout the years.With the assistance of tools borrowed from the disciplines of political anthropology and international law, this thesis analyzes, from a historical perspective, the manner in which UNESCO and FAO have treated “lo indígena”. Until the nineties, these organizations had, in the main, constructed a relation with indigenous peoples which reproduced the domination the State exerted over them in the context of the Westphalian system. The thesis illustrates that today, encouraged by the institutionalization of indigenous issues in the UN, in particular following the adoption of the Declaration on the rights of indigenous peoples in 2007, this relation is gradually changing. The initiatives being implemented by these specialized agencies, in order to satisfy the expectations which this new international context has given rise to, reflect an initial step in institutional transformation. They nevertheless open a window of opportunity for indigenous peoples to have a role in the construction of their own realities and, in doing so, to realize their political aspirations at national and international levels. / El trabajo realizado por la ONU, así como el de su predecesora, la Sociedad de Naciones, ha sido fundamental en la determinación del lugar que las colectividades que hoy día se reconocen como “pueblos indígenas” han ocupado en el campo político internacional. Partiendo de un enfoque constructivista social, consideramos que el comportamiento de las organizaciones internacionales frente a los pueblos indígenas encuentra sus raíces en procesos que remontan a muchos siglos y que se han codificado en sus “identidades”. Ese bagaje ha interactuado con coyunturas históricas y políticas precisas (el sistema colonial, la descolonización y el escenario postcolonial contemporáneo), volviendo lo indígena (un conjunto de categorías, conocimiento y normas que esas organizaciones han asociado a los pueblos indígenas) un objeto que ha tenido significados diferentes a lo largo de los años. Con la ayuda de herramientas de antropología política, así como de derecho internacional, analizamos en perspectiva histórica el tratamiento de lo indígena en la UNESCO y la FAO. Hasta los años noventas, esas organizaciones construyeron una relación con los pueblos indígenas que reproducía la dominación que sobre ellos recayó en el marco del sistema internacional westfaliano. Demostramos que actualmente esa relación cambia de manera gradual, en el marco de la institucionalización de las “cuestiones indígenas” en la ONU y, de modo particular, tras la adopción de la Declaración de los derechos de los pueblos indígenas en 2007. Si las iniciativas de esos organismos especializados para satisfacer las expectativas del nuevo contexto reflejan aún los primeros estadios de una transformación institucional, éstas abren una ventana de oportunidad para que los pueblos indígenas tengan un rol en la construcción de su realidad y, por lo tanto, para que concreticen sus ambiciones políticas, a nivel nacional e internacional.

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