Text in French / This thesis is focused upon the political philosophy of Niccolò
Machiavelli. It is a study of both the philosophical presuppositions
of this philosophy and its practical implementation. The aim is to
determine and evaluate the reliability of its claims in the light of the
pursuit of “the common good” from the standpoint of philosophical
anthropology. Machiavelli espouses a philosophical anthropology
that vacillates between the good and the bad of the human being in
pursuit of “the common good”. In the practical implementation of
his philosophy, the bad frequently overshadows the good of the
human being. It is precisely this obliviousness of the good of the
human being that the thesis defended here intends to restore
through anthropolitics as the “new science” of the human being.
The restoration is at the same time the refutation of the bad side of
the human being as the foundation of “the common good” as
Machiavellism holds. The centrality of the good side of the human
being as the starting point of the anthropolitics defended here
assures the inscription of values in politics consistent with the
practical pursuit of “the common good” truly beneficial to all human
beings. There is no doubt that “anthropolitics” is the starting point
of an urgent and a relevant contribution to the international politics
of our time. / Compendium critique sur les prétentions de sa fiabilité
Cette thèse est axée sur la philosophie politique de Nicolas
Machiavel. Il s'agit d'une étude analysant à la fois les présupposés
philosophiques de cette philosophie et sa mise en oeuvre sur le plan
pratique. L’objectif est de déterminer et d'évaluer la fiabilité de ses
prétentions, du point de vue de l'anthropologie philosophique, et
ce, à la lumière de la poursuite du “Bien commun” comme idéal.
Machiavel épouse une anthropologie philosophique qui vacille entre
le bien et le mal de l'être humain quant à la poursuite de “l’intérêt
commun”. Dans la mise en oeuvre pratique de sa philosophie,
souvent le mal occulte le bien de l'être humain. C'est précisément
cette inconscience ou négligence de l'être humain face à la prise en
compte du bien que la thèse défendue ici a l'intention de rétablir
par le biais de l’anthropolitique en tant que “nouvelle science” de
l'être humain. Ici, la restauration sous-entend nécessairement,
toujours et en même temps la réfutation de mauvais penchants de
l'être humain, lesquels constituent le “contre-pied” au fondement
du “bien commun”, dont le machiavélisme s’avère le spécimen
parfait. D’où l’hypothèse de centralité humainement sensée, comme
point de départ de l’anthropolitique défendue ici, garantit
l'inscription des valeurs politiques compatibles à la poursuite des
pratiques du «bien commun», lesquelles sont véritablement
bénéfiques pour tous les êtres humains. Il ne fait aucun doute que
l’anthropolitique constitue, de ce fait, le point de départ d'urgence
et la pertinente contribution à la politique internationale de notre
temps. / Philosophy / D. Litt. et Phil. (Philosophy)
Identifer | oai:union.ndltd.org:netd.ac.za/oai:union.ndltd.org:unisa/oai:umkn-dsp01.int.unisa.ac.za:10500/4139 |
Date | 03 1900 |
Creators | Gibango, Norbert Muzema |
Contributors | Saayman, W. A. (Willem A.) |
Source Sets | South African National ETD Portal |
Language | other |
Detected Language | French |
Type | Thesis |
Format | 1 online resource (iv, 399 leaves) |
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