Entre 1880 et 1940, la Belgique francophone voit un accroissement significatif du nombre de femmes de lettres. À la croisée de l’histoire des femmes et de l’histoire des lettres belges, ce phénomène enregistre les nouvelles modalités d’inscription des femmes dans l’espace public, et en particulier leur accès progressif aux professions intellectuelles. Partant des acquis des études de genre (gender studies) et de la sociologie de la littérature, la thèse se propose d’étudier le rapport collectif et individuel que les femmes de lettres entretiennent vis-à-vis du littéraire. / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
Identifer | oai:union.ndltd.org:ulb.ac.be/oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210262 |
Date | 30 September 2009 |
Creators | Gemis, Vanessa |
Contributors | Aron, Paul, Couvreur, Manuel, Naudier, Delphine, Klinkenberg, Jean-Marie, Piette, Valérie, Brogniez, Laurence |
Publisher | Universite Libre de Bruxelles, Université libre de Bruxelles, Faculté de Philosophie et Lettres – Langues et Littératures, Bruxelles |
Source Sets | Université libre de Bruxelles |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | info:eu-repo/semantics/doctoralThesis, info:ulb-repo/semantics/doctoralThesis, info:ulb-repo/semantics/openurl/vlink-dissertation |
Format | 1 v. (512 p.), No full-text files |
Page generated in 0.0025 seconds