La présente recherche porte sur la ligne mince que les communicateurs municipaux dits non partisans ont fréquemment à respecter lors de leurs représentations devant les citoyens, les médias, et leurs supérieurs au sein de l’administration municipale. L’objectif est d’aller au-delà de l’encadrement éthique professionnel ou administratif, et de se pencher sur les expériences et influences vécues par les communicateurs municipaux. Le cadre théorique s’insère dans la politisation de l’information d’Alain Lavigne et dans le modèle interactionniste de Georg Simmel. La problématique générale consiste à cerner la ligne apolitique ou non partisane que les communicateurs municipaux doivent respecter, et comment ils vivent cette influence politique.
Les méthodes de recherche utilisées sont le sondage et les entrevues semi-dirigées réalisées auprès de six communicateurs municipaux de quatre villes québécoises de populations différentes. Nous avons ainsi constaté une quasi-inexistence de ligne directrice et de politique de communication interne dans ces administrations municipales québécoises, mais surtout, que les communicateurs sont souvent en pouvoir d’influence par rapport à leurs supérieurs politisés.
Identifer | oai:union.ndltd.org:uottawa.ca/oai:ruor.uottawa.ca:10393/36926 |
Date | January 2017 |
Creators | Bober, Magdalena |
Contributors | Bernier, Marc François S. |
Publisher | Université d'Ottawa / University of Ottawa |
Source Sets | Université d’Ottawa |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Thesis |
Page generated in 0.002 seconds