Return to search

An examination of full and partial facial affect recognition in pediatric brain tumour survivors versus healthy controls after the onset of the Covid-19 pandemic

Mémoire de maîtrise présenté en vue de l'obtention de la maîtrise en psychologie (M. Sc) / Introduction. Il est bien établi que les survivants tumeurs cérébrales pédiatriques (STCP) éprouvent des difficultés sociales, et la reconnaissance d’émotions faciales a été étudiée comme un mécanisme sous-jacent. Cependant, l'influence possible de la pandémie sur les capacités de reconnaissance des affects chez les STCP reste inexplorée. La présente étude visait à comparer la reconnaissance des émotions faciales (avec accès au visage complet versus seulement la région des yeux) entre les STCP et des jeunes à développement typique ainsi qu’à examiner son association avec l'adaptation sociale. Méthode. Des STCP (n=23) au moins un an après le traitement et des contrôles (n=24) entre 8 et 16 ans ont complété le sous-test de reconnaissance des affects du NEPSY-II (visage complet) et la version enfant du Reading the Mind in the Eyes Test (RMET, seulement le haut du visage). Résultats. Les groupes ne différaient pas sur leurs habiletés de reconnaissance d’émotions et ceux-ci n’étaient pas associés à leur adaptation sociale. Comparé aux normes pré-pandémie, notre échantillon avait plus de difficultés dans leur capacité de reconnaissance d’émotions avec visage complet ainsi qu’une meilleure performance avec seulement le haut du visage disponible (p < .05). Les participants ont aussi obtenu de meilleurs résultats au RMET qu’au NEPSY-II (p< .05). Conclusion. En somme, la pandémie semble avoir joué un rôle sur les capacités de reconnaissance des émotions faciales, tant chez les STCP que chez les contrôles, soulignant la nécessité d'études futures sur les effets à long terme de la pandémie sur les compétences sociales des jeunes. / Introduction. It is well-established that pediatric brain tumour survivors (PBTS) experience
social difficulties, and facial emotion recognition has been studied as an underlying mechanism. However, the possible influence of the pandemic on affect recognition abilities in PBTS remains unexplored. The present study aimed to compare facial affect recognition (with full versus partial facial features) between PBTS and healthy controls (HC) and to examine its association with social adjustment. Method. PBTS (N=23, ages 8-16) at least one-year post-treatment and HC (N=24, ages 8-16) completed the NEPSY-II Affect Recognition subtest (full face) and the child version of the Reading the Mind in the Eyes Test (RMET, upper face only). Results. The groups did not differ in their ability to recognize emotions, and these were not associated with social adjustment. Compared with pre-pandemic norms, our sample had a lower performance in their emotion recognition ability with full face and a better performance with only upper face (p < .05). Participants also performed better on the RMET than on the NEPSY-II (p< .05). Conclusion. In sum, the pandemic appears to have played a role in facial emotion recognition abilities in both PBTS and controls, highlighting the need for future studies on the pandemic long-term effects on young people's social skills.

Identiferoai:union.ndltd.org:umontreal.ca/oai:papyrus.bib.umontreal.ca:1866/32727
Date08 1900
CreatorsBuron, Laurianne
ContributorsDesjardins, Leandra
Source SetsUniversité de Montréal
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
Typethesis, thèse
Formatapplication/pdf

Page generated in 0.0033 seconds