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Analyse de la relation entre le concept de soi et la compétence sociale des jeunes garçonsRivera Angulo, Carlos Andrés January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Développement et renforcement de l'estime de soi et de la compétence sociale chez les enfants de 6-11 ans : une étude des services offerts en CLSCBérubé, France January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Sports, physical activity and academic performance : promoting physical activity among adolescentsBush, Paula Louise January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le point de vue des éducatrices sur l’adaptation en service de garde éducatifs à l’enfance des tout-petits ayant des besoins particuliersSoulez, Clara 08 1900 (has links)
Pour les enfants ayant des troubles neurodéveloppementaux, l’intégration en service de garde est essentielle. Elle permet de compenser certaines difficultés et de promouvoir le développement. Pourtant au Québec, très peu de places disponibles sont occupées par ces enfants. Leur faible représentation dans ces milieux pourrait être due aux croyances des éducatrices les concernant, pouvant influencer également leur adaptation. L’objectif de cette étude est d’explorer les perceptions des éducatrices quant à̀ l’adaptation de 190 enfants issus d’une population clinique. Des informations sur le diagnostic de l’enfant, sont recueillies. Deux questionnaires remplis par les éducatrices sont utilisés. Le premier, un questionnaire de garderie, documente le type de milieu fréquenté par l’enfant et inclut la question « L’enfant profite-t-il de la garderie ? ». Elle a fait l’objet d’une analyse thématique et a servi à codifier du type de perception de l’éducatrice (positive, nuancée, négative), utilisé dans les analyses statistiques. Le second, est le Profil Socio-Affectif (PSA, LaFrenière, Dumas, Capuano et Dubeau, 1992), dont on utilisera l’échelle de la compétence sociale. L’analyse thématique a montré une variété de thèmes, le plus fréquent étant la socialisation. Les analyses statistiques ont, permis d’étudier la relation entre le type de perception et le diagnostic de l’enfant, sa compétence sociale et le type de milieu de garde. La codification du type de perception a montré une majorité de perceptions positives, suivi des nuancées, puis des négatives. Les résultats révèlent une association significative entre le type de perception et la compétence sociale de l’enfant, de même qu’avec son diagnostic, mais pas avec le type de milieu de garde fréquenté. Ainsi, les éducatrices perçoivent très majoritairement les enfants vus en clinique de pédopsychiatrie comme profitant de leur expérience de garderie, particulièrement pour l’amélioration de leur intégration sociale. / For children with mental health and neurodevelopmental disorders, integration into childcare services is essential. It promotes their development and can compensate some of their difficulties. Yet in Quebec, very few places available are occupied by these children. Their low representation in these environments could be due to the educators’ beliefs, which may also influence their adaptation. The goal of the present study is to explore the perspective of educators regarding the adjustment of 190 children from a clinical population. Information on the child's diagnosis is collected. Two questionnaires filled by the teachers are used. The first one is a daycare questionnaire documenting the type of daycare and including the question "Does the child take advantage of the daycare?". This question was used for a thematic analysis. It also served to codify the educator’s perception (positive, nuanced, negative). The second questionnaire is the Socio-Affective Profile (LaFrenière, Dumas, Capuano and Dubeau, 1992) from which is extracted the social competence scale. The thematic analysis revealed a variety of themes, the most common being the children’s socialization. Statistical analyzes were used to study the link between the educator’s perception and the child’s diagnosis, their social competence, and the type of daycare. After codification most perceptions were positive followed by the nuanced perception and then the negatives ones. Results also revealed a significant association between educator’s perception and the child’s diagnosis as well as their social competence, but not with the type of daycare. Thus, integration, especially social of children seen in child psychiatric clinic is mostly perceived positively by their educators.
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An examination of full and partial facial affect recognition in pediatric brain tumour survivors versus healthy controls after the onset of the Covid-19 pandemicBuron, Laurianne 08 1900 (has links)
Mémoire de maîtrise présenté en vue de l'obtention de la maîtrise en psychologie (M. Sc) / Introduction. Il est bien établi que les survivants tumeurs cérébrales pédiatriques (STCP) éprouvent des difficultés sociales, et la reconnaissance d’émotions faciales a été étudiée comme un mécanisme sous-jacent. Cependant, l'influence possible de la pandémie sur les capacités de reconnaissance des affects chez les STCP reste inexplorée. La présente étude visait à comparer la reconnaissance des émotions faciales (avec accès au visage complet versus seulement la région des yeux) entre les STCP et des jeunes à développement typique ainsi qu’à examiner son association avec l'adaptation sociale. Méthode. Des STCP (n=23) au moins un an après le traitement et des contrôles (n=24) entre 8 et 16 ans ont complété le sous-test de reconnaissance des affects du NEPSY-II (visage complet) et la version enfant du Reading the Mind in the Eyes Test (RMET, seulement le haut du visage). Résultats. Les groupes ne différaient pas sur leurs habiletés de reconnaissance d’émotions et ceux-ci n’étaient pas associés à leur adaptation sociale. Comparé aux normes pré-pandémie, notre échantillon avait plus de difficultés dans leur capacité de reconnaissance d’émotions avec visage complet ainsi qu’une meilleure performance avec seulement le haut du visage disponible (p < .05). Les participants ont aussi obtenu de meilleurs résultats au RMET qu’au NEPSY-II (p< .05). Conclusion. En somme, la pandémie semble avoir joué un rôle sur les capacités de reconnaissance des émotions faciales, tant chez les STCP que chez les contrôles, soulignant la nécessité d'études futures sur les effets à long terme de la pandémie sur les compétences sociales des jeunes. / Introduction. It is well-established that pediatric brain tumour survivors (PBTS) experience
social difficulties, and facial emotion recognition has been studied as an underlying mechanism. However, the possible influence of the pandemic on affect recognition abilities in PBTS remains unexplored. The present study aimed to compare facial affect recognition (with full versus partial facial features) between PBTS and healthy controls (HC) and to examine its association with social adjustment. Method. PBTS (N=23, ages 8-16) at least one-year post-treatment and HC (N=24, ages 8-16) completed the NEPSY-II Affect Recognition subtest (full face) and the child version of the Reading the Mind in the Eyes Test (RMET, upper face only). Results. The groups did not differ in their ability to recognize emotions, and these were not associated with social adjustment. Compared with pre-pandemic norms, our sample had a lower performance in their emotion recognition ability with full face and a better performance with only upper face (p < .05). Participants also performed better on the RMET than on the NEPSY-II (p< .05). Conclusion. In sum, the pandemic appears to have played a role in facial emotion recognition abilities in both PBTS and controls, highlighting the need for future studies on the pandemic long-term effects on young people's social skills.
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Stratégies de résolution de conflits conjugaux et compétence sociale de l'enfant à l'âge préscolaire : l'effet modérateur du sexe de l'enfantLemieux, Daphné 08 1900 (has links)
Les conflits dans les couples sont souvent perçus négativement et ayant un impact sur la qualité du couple et l'adaptation des enfants. En revanche, ce ne sont pas tous les conflits qui sont négatifs. En effet, dans un contexte où les parents utilisent des stratégies de résolution positives, les situations de conflits pourraient devenir un terrain d'apprentissage pour les jeunes enfants et leur permettent de réutiliser ces modèles afin d'être plus compétents socialement. La présente étude vise à évaluer le lien entre les stratégies de résolution de conflits conjugaux et la compétence sociale des enfants d'âge préscolaire en fonction du sexe du parent et du sexe de l'enfant. Les données ont été recueillies auprès de 160 familles ayant un enfant âgé entre 4 et 6 ans. Il s'agit d'un devis de recherche transversal. Les résultats montrent que les stratégies de résolution des conflits conjugaux des parents sont marginalement liées au niveau de compétence sociale de l'enfant, mais ce, uniquement pour le père. En outre, le sexe de l'enfant modère marginalement ce lien, les garçons étant plus compétents lorsqu'exposés au rapport élevé des stratégies positives du père. Une différence significative a été observée entre les garçons et les filles quant à leur niveau de compétence sociale, les filles étant plus compétentes socialement que les garçons. / In couples, conflict is often viewed negatively and affecting the quality of the relationship and children's adjustment. On the other hand, not all conflicts are negative. Indeed, in a context where parents use positive resolution strategies, conflicts can become a learning environment for young children and allow them to reuse these models to be more socially competent. This study aims to evaluate the relationship between marital conflict resolution strategies and the social competence of preschool children depending on the sex of the parent and the child's sex. Data were collected from 160 families with a child aged between 4 and 6 years old. This is a transversal research design. Results show marital conflict resolution strategies are marginally related to the level of social competence of the children, but only for the fathers. In addition, children's gender marginally moderate this relation, boys being more socially competent when more exposed to a high ratio of positive resolution strategies from their fathers. A significant difference was observed between boys and girls as to their level of social competence, girls being more competent socially than boys.
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Qualité des jeux de bataille père-enfant et adaptation sociale de l'enfant d'âge préscolaireDubé, Amélie 08 1900 (has links)
Les pères s’impliquent aujourd’hui davantage qu’auparavant auprès de leurs enfants. À l’âge préscolaire, les jeux physiques (incluant les jeux de bataille) sont une caractéristique distinctive du style paternel d’interaction. Quelques études tendent à suggérer un lien entre ce type de jeu et l’adaptation sociale des enfants. Cependant,des contradictions se dégagent de la littérature, notamment quant au lien entre la quantité de jeu physique père-enfant et des mesures d’adaptation sociale, quant aux différentes opérationnalisations de la qualité du jeu physique, ainsi qu’en ce qui a trait au genre de l’enfant. Il y a également un débat entourant le degré optimal de contrôle ou de mutualité) au cours du jeu, de même qu’un nombre très limité d’études sur le
lien entre le jeu physique père-enfant et l’anxiété/retrait. Dans ce contexte de
divergences entre les chercheurs, la présente thèse vise quatre objectifs, soit : 1)vérifier si la quantité de jeux de bataille père-enfant est liée à l’adaptation sociale des enfants d’âge préscolaire (via des mesures de compétence sociale,
d’agressivité/irritabilité, d’agression physique et d’anxiété/retrait); 2) tester si des mesures de mutualité ou de contrôle modèrent la relation entre la quantité de jeux de bataille père-enfant et les mesures d’adaptation sociale; 3) explorer le rôle potentiel d’autres indices de qualité du jeu de bataille; 4) clarifier le rôle du genre de l’enfant. L’échantillon est composé de 100 dyades père-enfant de Montréal et les environs. Les résultats des analyses corrélationnelles suggèrent que la fréquence et la durée de jeu de bataille ne sont pas reliées directement à l’adaptation sociale des enfants et mettent en lumière des variables qui pourraient jouer un rôle modérateur. Les régressions pour modèles modérateurs indiquent que la mutualité père-enfant dans les initiations au jeu de bataille et la peur exprimée par l’enfant au cours de ce type de jeu modèrent la relation entre la durée des jeux de bataille et la compétence sociale de l’enfant d’âge préscolaire. La mutualité modère également le lien entre la durée du jeu et l’agressivité/irritabilité de l’enfant. Les initiations autoritaires faites par le père modèrent le lien entre la durée du jeu et les agressions physiques, alors qu’aucune variable ne modère le lien entre la durée du jeu et l’anxiété/retrait des enfants. Les analyses post-hoc donnent davantage d’informations sur la nature des
liens de modération. Bien que les pères rapportent ne pas faire davantage de jeux de
bataille, ni jouer plus longtemps à se batailler avec leurs garçons qu’avec leurs filles, trois modèles modérateurs sur quatre demeurent significatifs uniquement pour les
garçons. Ces données sont interprétées à la lumière des théories éthologique et
développementale. Il est suggéré que plutôt que de traiter l’agression et la compétence sociale comme des variables opposées de l’adaptation, une mesure de compétition permettrait peut-être de réconcilier les deux mondes. / Today’s fathers are increasingly more involved with their children. During the
preschool years, rough-and-tumble-play (RTP; including play-fighting) is a significant aspect of paternal interaction style. A few studies suggest that this type of play is linked to children’s social adaptation. However, many contradictions remain in the current literature, particularly concerning the link between the quantity of
father-child RTP and social adaptation measures, RTP quality indicators and their
measurement, and gender differences. There is also a debate regarding the optimal
control level (or mutuality) during play. Moreover, very few studies have investigated
the link between father-child RTP and children’s anxiety/withdrawal. The current thesis has four objectives: 1) to verify the presence of a link between father-child play-fighting quantity and preschooler’s social adaptation measures (i.e., social competency, aggressiveness/irritability, physical aggression and anxiety/withdrawal); 2) to verify if mutuality or control measures moderate the relationship between father-child play-fighting quantity and social adaptation; 3) to explore the potential role of other play-fighting quality cues; 4) to clarify the role of
child gender. The sample consists of 100 father-child dyads from the Montreal
region. Correlational analyses suggest that the frequency and duration of play-fighting
are not directly linked to children social adaptation. The regressions for moderation
models indicate that father-child mutuality in play-fighting initiations, as well as the
fear expressed by the child during play, moderate the relationship between playfighting duration and the preschooler’s social competency. Mutuality also moderates
the link between play duration and child aggressiveness/irritability. Although fathers
do not report a higher frequency or duration of play-fighting according to their
children’s gender, post-hoc analyses show that three out of four moderating models
are significant only for the boys.
iv The data is interpreted according to evolutionary and developmental theories.
It is argued that a measure of competition could shed light on the relationship
between aggressiveness and social competency in social adaptation, and that these
two variables may not systematically be opposed as it is commonly perceived in RTP
literature.
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Qualité des jeux de bataille père-enfant et adaptation sociale de l'enfant d'âge préscolaireDubé, Amélie 08 1900 (has links)
Les pères s’impliquent aujourd’hui davantage qu’auparavant auprès de leurs enfants. À l’âge préscolaire, les jeux physiques (incluant les jeux de bataille) sont une caractéristique distinctive du style paternel d’interaction. Quelques études tendent à suggérer un lien entre ce type de jeu et l’adaptation sociale des enfants. Cependant,des contradictions se dégagent de la littérature, notamment quant au lien entre la quantité de jeu physique père-enfant et des mesures d’adaptation sociale, quant aux différentes opérationnalisations de la qualité du jeu physique, ainsi qu’en ce qui a trait au genre de l’enfant. Il y a également un débat entourant le degré optimal de contrôle ou de mutualité) au cours du jeu, de même qu’un nombre très limité d’études sur le
lien entre le jeu physique père-enfant et l’anxiété/retrait. Dans ce contexte de
divergences entre les chercheurs, la présente thèse vise quatre objectifs, soit : 1)vérifier si la quantité de jeux de bataille père-enfant est liée à l’adaptation sociale des enfants d’âge préscolaire (via des mesures de compétence sociale,
d’agressivité/irritabilité, d’agression physique et d’anxiété/retrait); 2) tester si des mesures de mutualité ou de contrôle modèrent la relation entre la quantité de jeux de bataille père-enfant et les mesures d’adaptation sociale; 3) explorer le rôle potentiel d’autres indices de qualité du jeu de bataille; 4) clarifier le rôle du genre de l’enfant. L’échantillon est composé de 100 dyades père-enfant de Montréal et les environs. Les résultats des analyses corrélationnelles suggèrent que la fréquence et la durée de jeu de bataille ne sont pas reliées directement à l’adaptation sociale des enfants et mettent en lumière des variables qui pourraient jouer un rôle modérateur. Les régressions pour modèles modérateurs indiquent que la mutualité père-enfant dans les initiations au jeu de bataille et la peur exprimée par l’enfant au cours de ce type de jeu modèrent la relation entre la durée des jeux de bataille et la compétence sociale de l’enfant d’âge préscolaire. La mutualité modère également le lien entre la durée du jeu et l’agressivité/irritabilité de l’enfant. Les initiations autoritaires faites par le père modèrent le lien entre la durée du jeu et les agressions physiques, alors qu’aucune variable ne modère le lien entre la durée du jeu et l’anxiété/retrait des enfants. Les analyses post-hoc donnent davantage d’informations sur la nature des
liens de modération. Bien que les pères rapportent ne pas faire davantage de jeux de
bataille, ni jouer plus longtemps à se batailler avec leurs garçons qu’avec leurs filles, trois modèles modérateurs sur quatre demeurent significatifs uniquement pour les
garçons. Ces données sont interprétées à la lumière des théories éthologique et
développementale. Il est suggéré que plutôt que de traiter l’agression et la compétence sociale comme des variables opposées de l’adaptation, une mesure de compétition permettrait peut-être de réconcilier les deux mondes. / Today’s fathers are increasingly more involved with their children. During the
preschool years, rough-and-tumble-play (RTP; including play-fighting) is a significant aspect of paternal interaction style. A few studies suggest that this type of play is linked to children’s social adaptation. However, many contradictions remain in the current literature, particularly concerning the link between the quantity of
father-child RTP and social adaptation measures, RTP quality indicators and their
measurement, and gender differences. There is also a debate regarding the optimal
control level (or mutuality) during play. Moreover, very few studies have investigated
the link between father-child RTP and children’s anxiety/withdrawal. The current thesis has four objectives: 1) to verify the presence of a link between father-child play-fighting quantity and preschooler’s social adaptation measures (i.e., social competency, aggressiveness/irritability, physical aggression and anxiety/withdrawal); 2) to verify if mutuality or control measures moderate the relationship between father-child play-fighting quantity and social adaptation; 3) to explore the potential role of other play-fighting quality cues; 4) to clarify the role of
child gender. The sample consists of 100 father-child dyads from the Montreal
region. Correlational analyses suggest that the frequency and duration of play-fighting
are not directly linked to children social adaptation. The regressions for moderation
models indicate that father-child mutuality in play-fighting initiations, as well as the
fear expressed by the child during play, moderate the relationship between playfighting duration and the preschooler’s social competency. Mutuality also moderates
the link between play duration and child aggressiveness/irritability. Although fathers
do not report a higher frequency or duration of play-fighting according to their
children’s gender, post-hoc analyses show that three out of four moderating models
are significant only for the boys.
iv The data is interpreted according to evolutionary and developmental theories.
It is argued that a measure of competition could shed light on the relationship
between aggressiveness and social competency in social adaptation, and that these
two variables may not systematically be opposed as it is commonly perceived in RTP
literature.
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A comprehensive and multi-modal approach to studying neural and social outcomes after pediatric traumatic brain injuryTuerk, Carola 02 1900 (has links)
Les traumatismes crânio-cérébraux (TCC) pédiatriques (c.-à-d., subis entre la naissance et 18 ans) constituent l’une des principales causes de décès et d’invalidité chez les enfants et les adolescents à travers le monde. Durant la période pédiatrique, les fonctions cognitives, affectives et sociales émergent progressivement, sous-tendues par la maturation cérébrale et l’établissement de réseaux neuronaux complexes. Un TCC subi durant l’enfance ou l’adolescence peut donc causer des dommages au cerveau immature et entrainer des difficultés dans ces domaines. La présentation clinique et les facteurs environnementaux sont très variables d’un enfant ou adolescent à l’autre, de sorte qu’il est difficile d’identifier qui aura un rétablissement optimal et qui aura des séquelles persistantes. Bien que la recherche ait identifié plusieurs facteurs qui contribuent au rétablissement post-TCC pédiatrique, notamment ceux liés à la blessure, à l’enfant et à l'environnement familial, les modèles de prédiction à ce jour ne sont pas toujours exhaustifs et ne tiennent pas compte des facteurs génétiques qui pourraient aider le pronostic.
Parmi l’ensemble des séquelles liées au TCC, les problèmes sociaux (ex: participation sociale réduite, comportements sociaux inappropriés) sont parmi les plus néfastes et peuvent considérablement affecter la qualité de vie. Ces difficultés sociales peuvent résulter d'une perturbation des habiletés socio-cognitives sous-jacentes, mais les mécanismes exacts et les bases neuronales de tels problèmes sont encore inconnus. Notamment, les connaissances actuelles sur la manière dont le TCC pédiatrique affecte les connexions entre les régions cérébrales durant le développement demeurent limitées.
Considérant ces lacunes relatives aux connaissances sur les TCC pédiatriques, cette thèse avait pour but 1) de déterminer les facteurs qui contribuent à la compétence sociale durant la petite enfance (c.-à-d., entre 18 et 60 mois), afin d’établir des pistes normatives pour comprendre l’émergence de problèmes sociaux suite à un TCC pédiatrique, 2) d’établir un modèle pronostique exhaustif du devenir (mesuré par la qualité de vie) après un TCC léger pédiatrique durant la petite enfance, et 3) d’examiner l'impact d’un TCC pédiatrique de sévérité modérée à sévère sur les réseaux cérébraux structurels et fonctionnels, notamment, ceux qui sous-tendent le fonctionnement social et cognitif. Afin d’atteindre ces objectifs, les données de deux cohortes longitudinales ont été analysées et présentées sous forme de quatre articles scientifiques.
Le premier article visait à valider empiriquement le modèle ‘SOCIAL’ (Beauchamp & Anderson, 2010) pour identifier les facteurs qui contribuent à la compétence sociale. Ce modèle théorique postule que des facteurs internes (liés à l'enfant), externes (liés à l’environnement) et cognitifs (fonctions attentionnelles et exécutives, communicatives et socio-cognitives) déterminent la compétence sociale de l’enfant. Les résultats d’un modèle de régression analysé chez un groupe d’enfants neurotypiques âgés de 18 à 60 mois indiquent que les facteurs internes, externes et cognitifs contribuent tous significativement à la compétence sociale de l’enfant. Les facteurs internes ainsi que les fonctions exécutives et socio-cognitives jouent un rôle particulièrement important. En effet, les enfants avec peu d’affect négatif, moins de difficultés exécutives, une meilleure communication non-verbale et une meilleure théorie de l'esprit ont un niveau de compétence sociale plus élevé.
Le deuxième article visait à examiner les facteurs qui contribuent à la qualité de vie six et 18 mois après un TCC léger subi entre l’âge de 18 et 60 mois. Plusieurs prédicteurs potentiels provenant de quatre catégories de facteurs (biologie, environnement, blessure, comportement/cognition) ont été entrés dans un modèle de régression hiérarchique. Les résultats indiquent qu'un facteur génétique, le polymorphisme Val66Met du gène codant pour la protéine BDNF (Brain-Derived Neurotrophic Factor), contribue positivement à la qualité de vie six mois après le TCC, alors qu’un an plus tard, un plus faible niveau de stress parental prédit une meilleure qualité de vie chez l’enfant.
Le but du troisième article était d'étudier l’organisation fonctionnelle du réseau cérébral soutenant les habiletés sociales (le cerveau social) chez les enfants et les adolescents qui ont subi un TCC de sévérité modérée à sévère entre l’âge de neuf et 15 ans. Les participants ont complété un protocole d’acquisition d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle au repos 24 mois après la blessure. Dans deux échantillons indépendants, les résultats indiquent une connectivité fonctionnelle altérée entre les régions cérébrales frontales et le gyrus fusiforme bilatéral dans le groupe TCC (connectivité positive) par rapport au groupe contrôle (connectivité négative).
Le quatrième article a exploré les changements à long terme dans les réseaux de covariance structurelle du cerveau (c.-à-d., des régions cérébrales qui sont structurellement connectées) après un TCC pédiatrique de sévérité modérée à sévère subi entre neuf et 14 ans. L’objectif était d'étudier les différences de covariance structurelle au sein de trois réseaux cognitifs (réseau par défaut [DMN], réseau exécutif central [CEN], réseau de la salience [SN]) entre les enfants avec un TCC et les enfants sans blessure, trois et 24 mois post-TCC. Aucune différence de groupe n'a été trouvée après trois mois. Cependant, 24 mois après la blessure, le groupe TCC montrait une covariance structurelle réduite dans le DMN et le CEN par rapport au groupe contrôle.
Dans leur ensemble, ces résultats suggèrent que des modèles exhaustifs incluant un large éventail de facteurs provenant de plusieurs sphères du fonctionnement sont essentiels afin de comprendre les éléments qui placent un enfant à risque de séquelles après un TCC pédiatrique. Ils mettent également en évidence l’importance de considérer parmi les facteurs de prédiction des marqueurs génétiques impliqués dans les mécanismes de neuroplasticité, et confirment l’influence de facteurs parentaux, notamment la santé mentale du parent, sur le rétablissement post-TCC chez les jeunes enfants. De plus, les résultats montrent qu’un TCC pédiatrique de sévérité modérée à sévère peut induire des altérations à long terme au niveau des réseaux neuronaux sous-jacents aux fonctions sociales et cognitives. Ces résultats permettent de mieux comprendre comment un TCC pédiatrique affecte les circuits cérébraux pendant le développement, ce qui contribue à clarifier les bases neuronales des problèmes sociaux post-TCC. Finalement, les trouvailles et réflexions issues de la thèse supportent l’idée de considérer plusieurs facteurs liés à la blessure, à l’enfant, et à l'environnement familial ainsi que des facteurs génétiques pour le diagnostic, le pronostic, et le rétablissement après un TCC subi durant l’enfance ou l’adolescence. / Pediatric traumatic brain injury (TBI; sustained between birth and 18 years) is one of the leading causes of death and disability among children and adolescents worldwide. During development, cognitive, affective and social functions emerge gradually, supported by rapid brain maturation and the establishment of complex neural networks. TBI sustained during childhood or adolescence can therefore cause damage to the immature brain and lead to difficulties in these domains. Clinical presentation and environmental factors vary greatly, rendering it difficult to identify who will recover well and who will experience persistent sequelae. Although research has identified several factors that contribute to recovery after pediatric TBI, including injury, child-related, and family-environmental variables, existing prediction models are not always comprehensive, and they do not account for genetic factors which could contribute to prognosis.
Among all consequences associated with pediatric TBI, social problems (e.g., reduced social participation, maladaptive social behaviours) may be the most debilitating, and can considerably affect quality of life (QoL). These social difficulties can stem from a disruption of underlying socio-cognitive skills, but the exact mechanisms and neural bases of such problems are still unknown. In particular, current knowledge of how pediatric TBI affects connections between brain regions during development remains limited.
Considering these gaps in the pediatric TBI literature, this thesis aimed to 1) determine factors that contribute to social competence in early childhood (i.e., between 18 and 60 months) in order to establish normative avenues for understanding the emergence of social problems following pediatric TBI, 2) establish a comprehensive prognostic model of outcome (assessed by QoL) after early mild TBI (mTBI), and 3) examine the impact of pediatric moderate to severe TBI on structural and functional brain networks, notably those underlying social and cognitive functioning. In order to meet these objectives, data from two longitudinal cohorts were analyzed and are presented in the form of four scientific articles.
The first article aimed to empirically validate the “SOCIAL” model (Beauchamp & Anderson, 2010) to identify factors that contribute to social competence. This theoretical model posits that internal (child-related), external (environment-related) and cognitive (attentional-executive, communicative and socio-cognitive) factors determine a child's social competence. The results of a regression model analyzed in a sample of neurotypical children aged 18 to 60 months indicate that internal, external and cognitive factors all contribute significantly to a child’s social competence. Internal variables, executive functions, and socio-cognitive factors play a particularly important role. Indeed, children with lower levels of negative affect, fewer executive difficulties, greater non-verbal communication and better theory of mind had better social competence.
The objective of the second article was to examine which factors predict QoL six and 18 months following early mTBI sustained between 18 and 60 months of age. Several potential predictors from four domains (biology, environment, injury and behaviour/cognition) were entered into a hierarchical regression model. The results indicate that a genetic factor, the Val66Met polymorphism of the gene coding for the BDNF protein (Brain-Derived Neuroptrophic Factor), positively contributes to QoL six months after TBI, while a year later, lower parental distress predicts better child QoL.
The aim of the third article was to study the functional organization of the brain network supporting social skills (the social brain) in children and adolescents who sustained moderate to severe TBI between nine and 15 years of age. Participants completed a protocol for the acquisition of functional resting magnetic resonance images 24 months post-injury. In two independent samples, the results indicate altered functional connectivity between frontal brain areas and bilateral fusiform gyrus in the TBI group (positive connectivity) compared to the control group (negative connectivity).
The fourth article explored long-term changes in the brain’s structural covariance networks (i.e., brain regions that are structurally connected) following pediatric moderate to severe TBI sustained between nine and 14 years of age. The aim was to investigate differences in structural covariance within three core cognitive networks (i.e., default-mode [DMN], central executive [CEN], salience [SN]) between children with TBI and typically developing controls, three and 24 months post-injury. No group difference was found after three months. However, at 24 months post-injury, the TBI group showed reduced structural covariance within the DMN and the CEN compared to the control group.
Taken together, these findings suggest that comprehensive models including a wide range of factors from several domains of functioning are essential for understanding the elements that put a child at risk for poor recovery after TBI. They also highlight the importance of considering, among potential predictors, genetic factors involved in mechanisms of neuroplasticity, and confirm the role of parental factors, in particular parent mental health for post-TBI recovery in young children. In addition, the results show that moderate-severe pediatric TBI can induce long-term alterations in neural networks underlying social and cognitive functions. These findings provide insights into how pediatric TBI affects brain circuits during development, and may help to elucidate the neural underpinnings of social problems after pediatric TBI. Finally, the findings and implications from the thesis support the notion that several injury, child-related, family-environmental as well as genetic factors should be considered for diagnosis, prognosis, and recovery after TBI sustained during childhood or adolescence.
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Design, morale et justification : le design pour la santé sexuelleAmyotte, Katharine 05 1900 (has links)
Les connaissances liées à la compréhension du consommateur, soit l’humain, permet au designer industriel d’œuvrer dans une multitude de secteurs. Cependant, comprendre pourquoi il fait un choix en tant que professionnel lui permet d’être aux aguets de biais personnels qui peuvent influencer la valeur de son projet. Celle-ci n’est plus liée uniquement à l’esthétique de l’objet. L’éthique professionnelle implique des composantes morales qui touchent autant le designer que son produit. Des valeurs s’y rattachent.
Il est intéressant de se pencher sur sa manière d’exercer dans ces secteurs diversifiés, notamment celui de la sexualité. Le milieu de la santé sexuelle, bien qu’en continuelle recherche d’innovation, comporte des enjeux issus de tabous, de la diversité de cultures, des croyances et du bagage personnel de chacun. Étant humain, le designer est lui-même perméable à ces états de conscience morale.
Notre étude s’interroge sur l’engagement moral d’un professionnel du design aux prises avec cette thématique à forte implication morale. Précisément, nous explorons les discours justificatifs du designer industriel et son implication personnelle vis-à-vis de tels sujets. Pour ce faire, les données d’observations sont obtenues par le biais de quatre verbatims obtenus lors d’une charrette de design accueillant quatre équipes pour un total de onze participants.
Les analyses exploratoires du discours justificatif des designer sont supportées par six cités (1) proposées par Boltanski et Thévenot (1991) dans le livre De la justification, et portant sur les compétences sociales en matière de justification. En ce sens, notre hypothèse principale est que le travail du designer se justifiera majoritairement par une perspective issue de la cité industrielle et qui est supportée par le principe d’efficacité, une qualité propre au design industriel.
Parmi les 34 passages isolés des verbatims, nous constatons que la cité industrielle, observée à 27 reprises, est la plus présente dans les discours. Cependant, les autres cités sont aussi présentes dans le discours de trois équipes, selon la tangente principale de leur projet. Ainsi, la cité inspirée est proéminente dans les justifications d’une équipe, et les deux autres ont beaucoup visité la cité domestique. Étonnamment, les trois autres cités, bien que peu présentes, son tout de même observées au travers du discours justificatif à au moins une reprise et chez au moins un groupe.
Cette recherche nous permet d’établir que le designer peut intervenir sur des thématiques à forte implication morale et que son discours se développe selon les contraintes qu’il rencontre et du type de projet qu’il développe. De plus, le projet de design peut être impacté par l’aisance du professionnel avec une thématique ou encore ses préférences personnelles. Ces observations soutiennent la pertinence de développer un ordre qui demande aux designers une formation continue et des outils pour une intégration de l’aspect social aux projets. Le tout devrait ultimement s’effectuer dans le but de les aider à comprendre les aspects motivants leur choix lors du projet.
1. Les cités domestique, civique, industrielle, de l’opinion, inspirée et marchande / Industrial designers work in a multitude of sectors wherein understanding consumer and their choices is
fundamental. This means that understanding why industrial designers’ choices as professionals allows them
to be on the lookout for personal biases that can influence the value of the project. Professional ethics may
involve moral components that affect the designer as much as their product and that are no longer linked to
the aesthetics of the object alone. There are values attached to that object.
In this study our interest is to understand the industrial designer’s way of practicing in these diverse sectors,
especially when the sector is that of sexuality and sexual health. While in constant search of innovation, the
field of sexual health involves issues that arise in terms of taboos, cultural diversity, beliefs and personal
backgrounds. Being human, the designer is confronted with states of moral conscience in this field.
This study questions the moral commitment of a design professional grappling with issues that present
strong moral implications. We explore the industrial designers’ intentions and justifications and their
personal implication vis-à-vis such subjects.
This study proceeds as an exploratory study, with data collection that included 4 narratives extrapolated
from a design charrette with four teams, and a total of eleven participants. Exploratory analysis of the
justifying discourse of designers is supported by The Six cities2 model proposed by Boltanski and Thévenot
(1991) in the book “De la justification” and focuses on social competences in terms of justification of
decision-making. The overarching hypothesis is that the work of the designer will be justified mainly by an
“industrial city” perspective, supported by the principle of efficiency, a quality specific to industrial design
product development. The analysis revealed emergent themes and issues of relevance to this model and the
principles explored.
This study proposes that the designer has a role to play in the consideration of topics with a strong moral
implication. The designers’ discourse develops according to the constraints encountered and the type of
project being developed. In addition, the design project can be impacted by professional’s comfort with such
a difficult topic or even their personal preferences, and. ultimately understanding the motivating aspects of
their choices during the project is of value in future products and the training received by designers.
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