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Sports, physical activity and academic performance : promoting physical activity among adolescentsBush, Paula Louise January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Promotion de l'activité physique des médecins omnipraticiens auprès de leurs patientsLestage, Kim 04 1900 (has links)
Les maladies non transmissibles sont en forte hausse au Québec. La pratique régulière
d’activités physiques (AP) permet d’agir en amont et de contribuer à la prévention de
plusieurs de ces maladies. Cependant, une grande proportion de la population québécoise
n’est pas suffisamment active pour en retirer des bienfaits pour sa santé. Plusieurs études
portant sur l’efficacité des interventions de sensibilisation et de promotion de l’AP(SPAP)
ont montré que les médecins omnipraticiens peuvent avoir une influence non négligeable
sur le niveau de pratique d’AP de la population. Peu d’études à ce jour ont examiné la pratique de SPAP des médecins omnipraticiens du Québec auprès de leurs patients et quels sont les freins et facteurs facilitants. La présente étude vise à combler en partie cette lacune en documentant leur pratique de SPAP et en examinant dans quelle mesure les attitudes,perceptions, barrières, besoins et caractéristiques sociodémographiques influencent leur pratique.
Une enquête anonyme a été retenue comme méthode pour dresser un portrait de la
situation. L’échantillon de convenance est composé de 701 questionnaires recueillis lors de formations continues de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec. Les
résultats montrent que deux répondants sur cinq (40 %) font de la SPAP auprès de la
majorité de leurs patients en contexte de prévention primaire, et ce, bien que la presque totalité d’entre eux (98 %) croit que la SPAP fait partie de leur rôle fondamental. L’analyse de régression multiple a permis d’identifier les facteurs les plus souvent associés à la pratique de la SPAP chez les répondants : les médecins qui pratiquent eux-mêmes de l’AP de façon régulière, ceux qui ont plus de neuf ans d’expérience médicale, ceux qui sont moins affectés par la surcharge de travail et ceux qui ont l’impression d’être relativement efficaces dans leurs interventions de SPAP sont les plus susceptibles d’en faire auprès de
leurs patients en contexte de prévention primaire. / The rate of non communicable diseases is increasing in Québec. Regular physical activity(PA) can help preventing many of these diseases. However, a great proportion of the Québec population does not meet the PA recommendations to reap the health benefits.
Several researches on the effectiveness of PA awareness and promotion interventions have
shown that primary care physicians can positively influence the adoption and increase of PA in the population. To date, few studies have documented the PA counselling and promotion (PACP) of Québec primary care physicians to their patients, and more specifically, what are the PACP barriers and facilitators. The aim of the current study is to address this shortcoming in documenting the Quebec general practitioners’ PACP and examining to what extent their attitudes, perceptions, barriers, needs and sociodemographic
characteristics influence their behavior.
We used an anonymous questionnaire survey to draw a picture of the current situation. The
convenience sample consisted of 701 completed questionnaires collected during continuing
medical education sessions of the Fédération des médecins omnipraticiens du Québec.
Results showed that two respondents out of five (40%) reported PACP to their patients in
the context of primary care, while almost the majority (98%) of them considers that it is an integral part of their professional role. A multiple logistic regression analysis allowed the identification of the factors predominantly associated with physicians’ PACP. Physicians who are personally physically active on a regular basis, who have more than nine years of medical experience, who are less affected by work overload, and who feel to be effective in
the PACP interventions are more likely to promote PA to their patients.
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Promotion de l'activité physique des médecins omnipraticiens auprès de leurs patientsLestage, Kim 04 1900 (has links)
Les maladies non transmissibles sont en forte hausse au Québec. La pratique régulière
d’activités physiques (AP) permet d’agir en amont et de contribuer à la prévention de
plusieurs de ces maladies. Cependant, une grande proportion de la population québécoise
n’est pas suffisamment active pour en retirer des bienfaits pour sa santé. Plusieurs études
portant sur l’efficacité des interventions de sensibilisation et de promotion de l’AP(SPAP)
ont montré que les médecins omnipraticiens peuvent avoir une influence non négligeable
sur le niveau de pratique d’AP de la population. Peu d’études à ce jour ont examiné la pratique de SPAP des médecins omnipraticiens du Québec auprès de leurs patients et quels sont les freins et facteurs facilitants. La présente étude vise à combler en partie cette lacune en documentant leur pratique de SPAP et en examinant dans quelle mesure les attitudes,perceptions, barrières, besoins et caractéristiques sociodémographiques influencent leur pratique.
Une enquête anonyme a été retenue comme méthode pour dresser un portrait de la
situation. L’échantillon de convenance est composé de 701 questionnaires recueillis lors de formations continues de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec. Les
résultats montrent que deux répondants sur cinq (40 %) font de la SPAP auprès de la
majorité de leurs patients en contexte de prévention primaire, et ce, bien que la presque totalité d’entre eux (98 %) croit que la SPAP fait partie de leur rôle fondamental. L’analyse de régression multiple a permis d’identifier les facteurs les plus souvent associés à la pratique de la SPAP chez les répondants : les médecins qui pratiquent eux-mêmes de l’AP de façon régulière, ceux qui ont plus de neuf ans d’expérience médicale, ceux qui sont moins affectés par la surcharge de travail et ceux qui ont l’impression d’être relativement efficaces dans leurs interventions de SPAP sont les plus susceptibles d’en faire auprès de
leurs patients en contexte de prévention primaire. / The rate of non communicable diseases is increasing in Québec. Regular physical activity(PA) can help preventing many of these diseases. However, a great proportion of the Québec population does not meet the PA recommendations to reap the health benefits.
Several researches on the effectiveness of PA awareness and promotion interventions have
shown that primary care physicians can positively influence the adoption and increase of PA in the population. To date, few studies have documented the PA counselling and promotion (PACP) of Québec primary care physicians to their patients, and more specifically, what are the PACP barriers and facilitators. The aim of the current study is to address this shortcoming in documenting the Quebec general practitioners’ PACP and examining to what extent their attitudes, perceptions, barriers, needs and sociodemographic
characteristics influence their behavior.
We used an anonymous questionnaire survey to draw a picture of the current situation. The
convenience sample consisted of 701 completed questionnaires collected during continuing
medical education sessions of the Fédération des médecins omnipraticiens du Québec.
Results showed that two respondents out of five (40%) reported PACP to their patients in
the context of primary care, while almost the majority (98%) of them considers that it is an integral part of their professional role. A multiple logistic regression analysis allowed the identification of the factors predominantly associated with physicians’ PACP. Physicians who are personally physically active on a regular basis, who have more than nine years of medical experience, who are less affected by work overload, and who feel to be effective in
the PACP interventions are more likely to promote PA to their patients.
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Évaluation de processus d'implantation du programme Bleu Blanc Bouge en ActionLaflamme, Jean-François 04 1900 (has links)
Les habiletés motrices des jeunes sont en déclin depuis plusieurs années au Canada. Plusieurs interventions ou programmes ont ainsi été développés, et ce, en vue d’améliorer la pratique d’activités physiques (AP) à long terme chez les enfants. Quelques études ont réalisé une évaluation des effets de ces programmes mais peu d'entre elles ont procédé à une évaluation de leur processus d'implantation. Or, l'évaluation de processus est importante pour comprendre les freins ou facteurs facilitants qui peuvent moduler les résultats. Cet aspect est d'autant plus important quand une intervention est déployée dans plusieurs milieux à la fois.
Notre étude vise à évaluer le programme Bleu Blanc Bouge en Action (BBBEA) de la Fondation des Canadiens pour l’Enfance afin de rendre compte des facteurs qui ont pu faciliter ou nuire à son implantation. Trois composantes du processus d'implantation ont été évaluées : le « Reach », la « dose delivered » et la « dose received ». Les données ont été collectées au moyen d'une grille d’observation créée à partir de la grille SOFIT (McKenzie, Sallis et coll. 1991) ainsi qu'au moyen d'un questionnaire auprès des parents des jeunes (n=238) des six écoles participantes. Quatre des six séances de BBBEA ont fait l'objet d'observations auprès d'un échantillon de deux des six milieux ciblés par le programme. Les observations ont porté à la fois sur les interventions des animateurs et sur les activités d'un sous-échantillon de jeunes (Montréal-Nord : n = 35 et Verdun : n = 38).
Nos résultats indiquent que la clientèle ciblée par BBBEA (des jeunes ne sachant pas patiner) compose près de 75 % des participants du programme. La part relative du temps d’engagement moteur est significativement plus élevée (50,5 % contre 41,0 %) dans le milieu comportant davantage de jeunes sachant patiner, ce qui suggère un effet d’entraînement du groupe sur les apprenants. Un constat positif du programme est que le temps d’engagement moteur dans les deux milieux étudiés est semblable ou supérieur à celui de programmes de promotion de l’activité physique comparables à BBBEA. Lors de jeux et d’activités libres, l’engagement moteur des jeunes est significativement plus faible dans le milieu où l’effet d’entraînement du groupe est moins manifeste. Ceci suggère que des activités plus structurées (éducatifs lors de la pratique d'une habileté motrice) seraient favorables à l’engagement moteur des jeunes lorsque ceux-ci semblent peu engagés ou autodidactes. / Canadian youth’s motor skills have been declining over the last few years. Many interventions or programs have been developed to enhance children’s long term physical activity practice. Some studies evaluated the effects of those interventions, but only a small number carried on a process evaluation of the implementation. A process evaluation is important to get a better understanding of barriers and facilitators of the intervention. These components of evaluation are some of the most important criteria to explain the divergent results of an intervention deployed in various environments.
Our research was an evaluation of the Bleu Blanc Bouge en Action (BBBEA) program of the Montreal Canadiens Children’s Foundation aiming to reflect elements impairing or enabling its implementation. Three components of the implementation process have been evaluated: the Reach, the dose delivered and the dose received. Data was collected with an observational form adapted from the System for observing fitness instruction time (SOFIT) (McKenzie, Sallis et al. 1991) and with questionnaire distributed to the parents of the youth of the six targeted participant schools. A sub-sample of 35 children from Montréal Nord and 38 from Verdun were observed during 4 of the 6 skating lessons.
Results show that targeted participants (children that do not know how to skate) compose almost 75 % of the program’s attendees. Physical engagement proportion was significantly higher (50.5 % vs 41.0 %) in the environment composed of a higher number of children knowing how to skate, suggesting a ripple effect on the learners. As a positive outcome, MVPA (moderate to vigorous physical activity) proportion in both neighborhoods was equal or higher than other programs comparable to BBBEA. During “game” or “free play” contexts, children’s physical activity levels were significantly lower in the context where the ripple effect was the weakest. This suggests that structured activities (drills during motor skills practice) favor youth’s physical engagement when they are disengaged or less autodidact.
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Évaluation de la mesure À l’école, on bouge! : quels sont les facteurs qui ont favorisé son implantation dans les écoles primaires du Québec?Desranleau Robitaille, Noémie 12 1900 (has links)
Le manque d’activité physique chez les jeunes est un enjeu préoccupant de santé publique en
Amérique du Nord. Afin de s’attaquer au problème de sédentarité des jeunes, certains
gouvernements des provinces canadiennes ont mis en place des programmes de promotion de
l’activité physique dans les écoles. Au Québec, en cohérence avec la Politique de l’activité
physique, du sport et du loisir (2017), le gouvernement a mis en place la mesure À l’école, on
bouge! visant à soutenir les écoles primaires souhaitant s’engager à offrir à l’ensemble de leurs
élèves la possibilité de bouger 60 minutes chaque jour de classe. Cette étude examine les facteurs
associés à la réussite de la mise en œuvre de cette mesure dans les écoles primaires de la province.
Un sondage en ligne a été envoyé aux 415 écoles participantes de la première année. Les
responsables désignés du projet ont rendu compte du processus de mise en œuvre de leur école et
du nombre moyen de minutes d’activité physique quotidienne (APQ) offert. Les résultats montrent
qu’entre 66,9 % et 81,1 % des écoles ont atteint l’objectif du 60 min d’APQ. Les analyses de
régression logistique ont permis d’identifier certains prédicteurs associés à une implantation
réussie. Ces prédicteurs diffèrent selon le milieu géographique (rural et urbain). Les prédicteurs
qui sont ressortis comme influençant l’atteinte du 60 minutes d’APQ sont : la perception des
bienfaits de l’APQ sur la réussite éducative pour les deux milieux géographiques, la somme reçue
par élève et le nombre de responsables désignés pour le milieu rural et l’analyse de la situation pour
le milieu urbain. Les données qualitatives portant sur l’engagement des équipes-écoles, le
leadership de la direction, la résistance rencontrée face à la mise en œuvre de la mesure et les
stratégies de mobilisation déployées pour encourager la participation des membres des équipes-écoles
ont également été analysées. L’ensemble de nos résultats révèlent que différents facteurs
influencent la mise en œuvre réussie d’une mesure visant à offrir des opportunités d’APQ dans les
écoles primaires et qu’il est important que ces facteurs soient pris en considération par les décideurs
et les administrateurs scolaires pour assurer le succès d’implantation de nouvelles mesures / The lack of physical activity among young people is an issue of concern for public health in North
America. In order to tackle the problem of physical inactivity among young people, some Canadian
provincial governments have implemented programs to promote physical activity in schools. In
Quebec, in line with the Policy on Physical Activity, Sport and Leisure (2017), the government
implemented the Active at school! aimed at supporting elementary schools wishing to commit to
provide all their students with various opportunities to be active 60 minutes daily, every school
day. This study examines the factors associated with the successful implementation by the school
teams of 60 min daily physical activity (DPA) in Quebec elementary schools.
An online survey was sent to the 415 participating schools in Quebec. Assigned project leaders
reported on their school team’s implementation process and the average number of DPA minutes
offered. The results showed that between 66.9% and 81.1% of schools met the 60-minute DPA
goal. Logistic regression analyses have identified some predictors associated with successful
implementation. These predictors differed between geographic settings (rural and urban). The
strongest predictors of the achievement of 60 min DPA provision were: school-teams perception
of PA benefits on learning outcomes, for the two geographical settings; per-student amount
received and number of school’s assigned PA promoters for the rural one and situation analysis for
the urban one. Qualitative data on the school team’s commitment, the administration’s leadership,
the resistance encountered toward the measure implementation and the mobilisation strategies
deployed to encourage the participation of the school team members were also analysed. Overall,
our results highlighted the fact that different factors influence the successful implementation of a
measure aimed at providing DPA opportunities in primary schools and that it is important these
factors are taken into consideration by policy makers and school administrators to ensure the
successful implementation of new measures.
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Études sur les inégalités sociales et l’activité physique en milieu scolaireGosselin, Véronique 12 1900 (has links)
Cette thèse de doctorat aborde le problème de l’inactivité physique et des inégalités sociales en matière d’activité physique (AP) au Québec.
Dans un premier temps, puisqu’une faible compétence motrice pendant l’enfance constitue un obstacle important à la pratique ultérieure d’AP, nous brossons le premier portrait québécois des disparités sociales en matière de compétence motrice chez les enfants. Les associations entre la compétence motrice de 2654 enfants québécois et le statut socioéconomique de leur école primaire sont examinées à l’aide de régressions logistiques. Nos résultats révèlent des disparités sociales en matière de développement moteur : les enfants qui fréquentent une école en milieu plus défavorisé présentent des besoins plus importants que ceux qui fréquentent une école en milieu moyen et que ces derniers présentent, à leur tour, des besoins plus importants que les élèves des écoles les plus favorisés (article 1 : Gosselin, Leone et Laberge, 2020).
Dans un deuxième temps, nous explorons en quoi les programmes scolaires d’AP peuvent être pertinents pour favoriser la pratique d’AP et le développement global des enfants dans une perspective de réduction des inégalités sociales. Une réflexion critique qui s’appuie sur une revue de littérature est présentée (article 2 : Gosselin, Boccanfuso et Laberge, 2020), et deux points clés sont soulignés : 1) l’importance d’évaluer l’implantation et les effets différentiels de ces programmes; et 2) la pertinence d’adapter ces programmes selon trois conditions : 1) l’approche universelle proportionnée; 2) le renforcement des capacités, et 3) la complexité des programmes (agir à plusieurs niveaux). Ces points constituent aussi un appel aux chercheurs en vue d’entreprendre davantage de recherches pour clarifier les effets différentiels des programmes scolaires d’AP et pour mieux comprendre comment les adapter, selon les besoins des différents milieux, afin de lutter contre les inégalités sociales en matière d’AP.
Dans un troisième temps, un premier pas pour répondre à cet appel est réalisé par l’évaluation du plus récent programme d’AP au quotidien implanté en milieu scolaire au Canada : la mesure québécoise « À l’école, on bouge! ». Cette évaluation souligne que le caractère flexible de la mesure québécoise semble avoir alimenté, à travers un processus d’autonomisation (community empowerment) et au fil des trois années d’implantation, un changement de culture scolaire orienté vers une intégration durable d’AP au quotidien dans tous les contextes, à l’exception des écoles situées en milieu urbain défavorisé (articles 3 et 4 : Gosselin et Laberge, 2022). Puisque les enfants qui fréquentent ces dernières ont plus de chances que les enfants des milieux favorisés d’avoir des retards au regard du développement de leur compétence motrice (article 1), il s’avère crucial de favoriser l’intégration de la mesure pour maximiser le temps actif dans ces écoles afin de réduire les disparités. Des ressources additionnelles pour supporter des structures de leadership locales (comme un comité) pourraient permettre aux écoles de ces milieux d’implanter et maintenir l’intégration quotidienne de temps actif pour leurs élèves. Cette suggestion s’aligne avec deux des trois conditions qui semblent favoriser l’AP des enfants dans une perspective de réduction des inégalités sociales. / In this thesis, we address the problem of physical inactivity and social inequalities in physical
activity (PA) in Quebec.
The first chapter examines socioeconomic disparities in children’s motor competence in Quebec.
Differences in the motor skills of 2654 children (6 to 12 years old) were measured using validated
tests to assess agility, balance and coordination. ANCOVA and logistic regressions were
performed to examine associations between motor competence and socioeconomic status (SES).
The results, presented in a published article (Gosselin, Leone and Laberge, 2020), revealed that
children who attend a school in a low SES setting have greater needs (in terms of their motor
development) than children who attend a school in a middle-SES environment and that the latter
present, in turn, greater need than the pupils of the school of the most privileged environments.
The second chapter presents a critical reflection, based on a review of the literature, which
explores how school-based PA programs might be relevant to create enabling environments that
can both support children’s PA and contribute to the reduction of social inequalities. This
reflection, presented as a published commentary (Gosselin, Boccanfuso and Laberge, 2020),
raises the importance of evaluating the implementation and differential effects of school-based
universal public policies (addressing all children).
The third chapter examines the specific case of the Quebec school-based daily PA program “À
l’école, on bouge!” and attempts to meet two objectives: 1) to assess the initial implementation
of this program within the first cohort of participating schools (415); and 2) to verify whether the
implementation of the program varies according to the socioeconomic status of the schools.
Online questionnaires were sent to all participating schools throughout the three-year
implementation period (one questionnaire per year, in May 2018, 2019 and 2020). To meet the
first objective of the chapter, we relied on a logic model and examined, using logistic regressions,
what factors are associated with the school’s adherence to providing at least 60 minutes of daily
PA. The results presented in an article (submitted; accepted), showed that the financial resources granted, a shared vision amongst the school-team members that PA benefits learning outcomes
and, for urban schools, having conducted a detailed situational analysis, are three factors
facilitating the mobilization of school teams towards offering 60 minutes of daily active time.
Then, to better understand the mechanisms underlying the implementation of the program in
different socioeconomic contexts (second objective), we carried out a realistic evaluation. The
results, presented in an article (Gosselin and Laberge, 2022), revealed that the “bottom-up”
nature of the program has enabled the participating schools to take ownership of its
implementation, which resulted in a cultural shift towards a sustainable DPA provision in most
settings. In disadvantaged urban settings, implementing local leadership structures provided
pivotal assistance to members of the school teams in providing new DPA opportunities. However,
without continued external funding, those schools seem unable to support local leadership
structures on their own, jeopardizing the sustainability of the program for children living in
disadvantaged urban areas.
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