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Analyse de la relation entre le concept de soi et la compétence sociale des jeunes garçonsRivera Angulo, Carlos Andrés January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Développement et renforcement de l'estime de soi et de la compétence sociale chez les enfants de 6-11 ans : une étude des services offerts en CLSCBérubé, France January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Sports, physical activity and academic performance : promoting physical activity among adolescentsBush, Paula Louise January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le point de vue des éducatrices sur l’adaptation en service de garde éducatifs à l’enfance des tout-petits ayant des besoins particuliersSoulez, Clara 08 1900 (has links)
Pour les enfants ayant des troubles neurodéveloppementaux, l’intégration en service de garde est essentielle. Elle permet de compenser certaines difficultés et de promouvoir le développement. Pourtant au Québec, très peu de places disponibles sont occupées par ces enfants. Leur faible représentation dans ces milieux pourrait être due aux croyances des éducatrices les concernant, pouvant influencer également leur adaptation. L’objectif de cette étude est d’explorer les perceptions des éducatrices quant à̀ l’adaptation de 190 enfants issus d’une population clinique. Des informations sur le diagnostic de l’enfant, sont recueillies. Deux questionnaires remplis par les éducatrices sont utilisés. Le premier, un questionnaire de garderie, documente le type de milieu fréquenté par l’enfant et inclut la question « L’enfant profite-t-il de la garderie ? ». Elle a fait l’objet d’une analyse thématique et a servi à codifier du type de perception de l’éducatrice (positive, nuancée, négative), utilisé dans les analyses statistiques. Le second, est le Profil Socio-Affectif (PSA, LaFrenière, Dumas, Capuano et Dubeau, 1992), dont on utilisera l’échelle de la compétence sociale. L’analyse thématique a montré une variété de thèmes, le plus fréquent étant la socialisation. Les analyses statistiques ont, permis d’étudier la relation entre le type de perception et le diagnostic de l’enfant, sa compétence sociale et le type de milieu de garde. La codification du type de perception a montré une majorité de perceptions positives, suivi des nuancées, puis des négatives. Les résultats révèlent une association significative entre le type de perception et la compétence sociale de l’enfant, de même qu’avec son diagnostic, mais pas avec le type de milieu de garde fréquenté. Ainsi, les éducatrices perçoivent très majoritairement les enfants vus en clinique de pédopsychiatrie comme profitant de leur expérience de garderie, particulièrement pour l’amélioration de leur intégration sociale. / For children with mental health and neurodevelopmental disorders, integration into childcare services is essential. It promotes their development and can compensate some of their difficulties. Yet in Quebec, very few places available are occupied by these children. Their low representation in these environments could be due to the educators’ beliefs, which may also influence their adaptation. The goal of the present study is to explore the perspective of educators regarding the adjustment of 190 children from a clinical population. Information on the child's diagnosis is collected. Two questionnaires filled by the teachers are used. The first one is a daycare questionnaire documenting the type of daycare and including the question "Does the child take advantage of the daycare?". This question was used for a thematic analysis. It also served to codify the educator’s perception (positive, nuanced, negative). The second questionnaire is the Socio-Affective Profile (LaFrenière, Dumas, Capuano and Dubeau, 1992) from which is extracted the social competence scale. The thematic analysis revealed a variety of themes, the most common being the children’s socialization. Statistical analyzes were used to study the link between the educator’s perception and the child’s diagnosis, their social competence, and the type of daycare. After codification most perceptions were positive followed by the nuanced perception and then the negatives ones. Results also revealed a significant association between educator’s perception and the child’s diagnosis as well as their social competence, but not with the type of daycare. Thus, integration, especially social of children seen in child psychiatric clinic is mostly perceived positively by their educators.
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An examination of full and partial facial affect recognition in pediatric brain tumour survivors versus healthy controls after the onset of the Covid-19 pandemicBuron, Laurianne 08 1900 (has links)
Mémoire de maîtrise présenté en vue de l'obtention de la maîtrise en psychologie (M. Sc) / Introduction. Il est bien établi que les survivants tumeurs cérébrales pédiatriques (STCP) éprouvent des difficultés sociales, et la reconnaissance d’émotions faciales a été étudiée comme un mécanisme sous-jacent. Cependant, l'influence possible de la pandémie sur les capacités de reconnaissance des affects chez les STCP reste inexplorée. La présente étude visait à comparer la reconnaissance des émotions faciales (avec accès au visage complet versus seulement la région des yeux) entre les STCP et des jeunes à développement typique ainsi qu’à examiner son association avec l'adaptation sociale. Méthode. Des STCP (n=23) au moins un an après le traitement et des contrôles (n=24) entre 8 et 16 ans ont complété le sous-test de reconnaissance des affects du NEPSY-II (visage complet) et la version enfant du Reading the Mind in the Eyes Test (RMET, seulement le haut du visage). Résultats. Les groupes ne différaient pas sur leurs habiletés de reconnaissance d’émotions et ceux-ci n’étaient pas associés à leur adaptation sociale. Comparé aux normes pré-pandémie, notre échantillon avait plus de difficultés dans leur capacité de reconnaissance d’émotions avec visage complet ainsi qu’une meilleure performance avec seulement le haut du visage disponible (p < .05). Les participants ont aussi obtenu de meilleurs résultats au RMET qu’au NEPSY-II (p< .05). Conclusion. En somme, la pandémie semble avoir joué un rôle sur les capacités de reconnaissance des émotions faciales, tant chez les STCP que chez les contrôles, soulignant la nécessité d'études futures sur les effets à long terme de la pandémie sur les compétences sociales des jeunes. / Introduction. It is well-established that pediatric brain tumour survivors (PBTS) experience
social difficulties, and facial emotion recognition has been studied as an underlying mechanism. However, the possible influence of the pandemic on affect recognition abilities in PBTS remains unexplored. The present study aimed to compare facial affect recognition (with full versus partial facial features) between PBTS and healthy controls (HC) and to examine its association with social adjustment. Method. PBTS (N=23, ages 8-16) at least one-year post-treatment and HC (N=24, ages 8-16) completed the NEPSY-II Affect Recognition subtest (full face) and the child version of the Reading the Mind in the Eyes Test (RMET, upper face only). Results. The groups did not differ in their ability to recognize emotions, and these were not associated with social adjustment. Compared with pre-pandemic norms, our sample had a lower performance in their emotion recognition ability with full face and a better performance with only upper face (p < .05). Participants also performed better on the RMET than on the NEPSY-II (p< .05). Conclusion. In sum, the pandemic appears to have played a role in facial emotion recognition abilities in both PBTS and controls, highlighting the need for future studies on the pandemic long-term effects on young people's social skills.
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Les facteurs cognitifs, environnementaux et sociaux contribuant à la compétence sociale chez les enfantsMorasse, Frédérick 06 1900 (has links)
Dès les premières années de vie, l’enfant doit être en mesure de comprendre le monde social complexe qui l’entoure afin de s’y intégrer adéquatement. Au quotidien, l’aisance avec laquelle il parvient à naviguer cet environnement et à s’engager efficacement dans ses interactions avec autrui dépend de sa compétence sociale. Une bonne compétence sociale repose, entre autres, sur un ensemble d’habiletés sophistiquées nommé « cognition sociale », qui regroupe diverses fonctions permettant de traiter, comprendre et évaluer les situations sociales ainsi que d’y répondre. Le traitement des normes sociales et le raisonnement sociomoral (RSM) font partie des fonctions sociocognitives les plus complexes et sont reconnus comme étant essentiels au déploiement de comportements sociaux appropriés. Ces deux fonctions distinctes, mais complémentaires, permettent à l’enfant d’analyser les situations de la vie quotidienne sur la base de normes sociales et de critères moraux afin d’offrir une réponse comportementale appropriée à chaque interaction sociale. Selon plusieurs modèles théoriques, bien que l’émergence de ces deux fonctions sociocognitives s’observe dès les premières années de vie, la complexification et le raffinement de ces dernières se poursuivent tout au long de la période développementale. Cette évolution progressive serait soutenue, en partie, par la maturation cérébrale, le développement cognitif et affectif, ainsi que la quantité et de la qualité des expériences sociales. À ce jour, bien que la littérature regorge d’études s’intéressant à la compétence sociale et, plus spécifiquement, au traitement des normes sociales et au RSM, plusieurs questions subsistent concernant les éléments permettant leur recrutement optimal au cours de l’enfance. La difficulté à établir un portrait exhaustif et approfondi des différents facteurs contribuant à ces deux fonctions sociocognitives découle, en partie, de la diversité des approches théoriques, méthodologiques et statistiques utilisées, ainsi que du peu de méthodes objectives permettant d’évaluer ces processus chez les enfants. Ainsi, en s’ancrant dans des cadres théoriques et expérimentaux appartenant aux neurosciences sociales et computationnelles ainsi qu’à la neuropsychologique développementale, cette thèse vise globalement à mieux comprendre les éléments favorisant la compétence sociale durant l’enfance. En s’intéressant plus spécifiquement au traitement des normes sociales et au RSM, les articles de la présente thèse ont pour objectif d’identifier les facteurs contribuant à ces deux habiletés et préciser leur rôle chez les enfants.
Le premier article de cette thèse s’appuie sur une méthode novatrice de modélisation comportementale afin d’explorer la capacité d’adaptation aux normes sociales chez des enfants âgés entre 7 et 11 ans et identifier le mécanisme cognitif qui sous-tend cette dernière. Pour ce faire, une tâche de prise de décisions en lien avec la norme d’équité permettant de manipuler les informations sociales auxquelles les enfants sont exposées a été utilisée. Les résultats ont confirmé que les enfants possèdent un mécanisme d’adaptation aux normes sociales qui leur permet de modifier leurs attentes en fonction de l’information implicitement présente dans l’environnement social. L’analyse subséquente des données à travers différents modèles computationnels a révélé que, ces enfants ajustent la norme d’équité de façon dynamique selon l’apport combiné de l’erreur de prédiction (c.-à-d., l’écart entre ce qui est attendu et ce qui se produit réellement) et d’un paramètre individuel d’apprentissage.
Le deuxième article de cette thèse visait à identifier les facteurs contributifs précoces du RSM chez les enfants d’âge scolaire. Pour répondre à certaines limites identifiées dans les études précédentes, une approche longitudinale et compréhensive a été privilégiée afin de déterminer comment différents facteurs internes (c.-à-d., inhérent à l’enfant: âge, sexe, tendances comportementales), externes (c.-à-d., provenant de l’environnement : éducation et stress parental, interactions parent-enfant) et cognitifs (c.-à-d., processus mentaux : fonctions exécutives et sociocognitives) présents entre l’âge de 3 à 5 ans contribuaient à la maturité du RSM quatre ans plus tard. Les résultats d’une analyse de régression hiérarchique en quatre étapes ont révélé que les fonctions exécutives et les problèmes de comportement internalisés étaient des prédicteurs indépendants du SMR à l’âge scolaire.
Ensemble, les travaux de cette thèse s’ajoutent à une vaste littérature visant à mieux comprendre les éléments qui permettent aux enfants d’être compétents lors de leurs interactions sociales. En explorant plus spécifiquement le traitement des normes sociales et le RSM, les études ont permis d’apporter certaines précisions et nuances concernant les différents facteurs concomitants et prédictifs contribuant au déploiement d’une bonne compétence sociale durant l’enfance. / From the very first years of life, children must understand the complex social world around them in order to adequately participate in it. In everyday life, the ease with which they navigate this environment and effectively engage in interactions with others depends on their social competence. Good social competence relies, among other things, on a set of sophisticated cognitive skills known as "social cognition", which encompasses several abilities that allow the individual to process, understand, evaluate, and respond to social situations. Processing of social norms and sociomoral reasoning (SMR) are among the most complex sociocognitive functions and are recognized as essential to the implementation of appropriate social behaviors. These two distinct but complementary functions allow children to analyze various situations based on social norms and moral criteria, in order to provide appropriate behavioral responses to social interactions. According to several theoretical models, although the emergence of these two sociocognitive functions can be observed from the early years of life, their refinement and complexification continue throughout the developmental period. This progressive evolution is partly supported by brain maturation, cognitive and affective development, as well as the quantity and quality of social experiences. To date, although there is a wealth of studies on social competence and, more specifically, on social norms processing and SMR, several questions remain regarding the underlying factors that enable their optimal recruitment during childhood. One of the biggest issues in establishing a comprehensive and in-depth portrait of the factors contributing to these two sociocognitive functions stems, in part, from the diversity of theoretical, methodological, and statistical approaches used, as well as the limited number of objective methods available for assessing these processes in children. By drawing on theoretical and experimental frameworks belonging to social and computational neurosciences as well as developmental neuropsychology, this thesis globally aims to better understand what promotes social competence during childhood. The articles in this thesis specifically aim to identify the factors that contribute to the adequate recruitment of these two abilities and to clarify their role in school-aged children by focusing on social norms processing and SMR.
The first article of this thesis relies on an innovative behavioral modeling method to explore social norms adaptation in children aged 7 to 11 and to identify the cognitive mechanism underlying this process. To achieve this, a fairness-based decision-making task that manipulated the social information to which children were exposed was used. The results confirmed that children rely on an adaptation mechanism to social norms that allows them to adjust their expectations based on the implicit information present in the social environment. Subsequent analyses of the data through different computational models revealed that, children adjust their equity norm dynamically according to the combined contribution of a prediction error (i.e., the discrepancy between what is expected and what actually occurs) and an individual learning rate parameter.
The second article of this thesis aimed to identify what factord contribute to SMR in school- aged children. To address some of the limitations identified in previous studies, a longitudinal and comprehensive approach was adopted to determine how different internal factors (i.e., inherent to the child: age, sex, behavioral tendencies), external factors (i.e., from the environment: parental education and stress, parent-child interactions), and cognitive factors (i.e., mental processes: executive and sociocognitive functions) between the ages of 3 and 5 years contribute to SMR maturity four years later. A four-step hierarchical regression analysis revealed that executive functions and internalized behavior problems were independent predictors of SMR.
Taken together, the work stemming from this thesis adds to an extensive literature focused on understanding the factors that enable children to be competent in their social interactions. By specifically exploring the processing of social norms and SMR, the two studies provide a more nuanced portrait of the various concomitant and predictive factors that contribute to good social competence in children.
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Stratégies de résolution de conflits conjugaux et compétence sociale de l'enfant à l'âge préscolaire : l'effet modérateur du sexe de l'enfantLemieux, Daphné 08 1900 (has links)
Les conflits dans les couples sont souvent perçus négativement et ayant un impact sur la qualité du couple et l'adaptation des enfants. En revanche, ce ne sont pas tous les conflits qui sont négatifs. En effet, dans un contexte où les parents utilisent des stratégies de résolution positives, les situations de conflits pourraient devenir un terrain d'apprentissage pour les jeunes enfants et leur permettent de réutiliser ces modèles afin d'être plus compétents socialement. La présente étude vise à évaluer le lien entre les stratégies de résolution de conflits conjugaux et la compétence sociale des enfants d'âge préscolaire en fonction du sexe du parent et du sexe de l'enfant. Les données ont été recueillies auprès de 160 familles ayant un enfant âgé entre 4 et 6 ans. Il s'agit d'un devis de recherche transversal. Les résultats montrent que les stratégies de résolution des conflits conjugaux des parents sont marginalement liées au niveau de compétence sociale de l'enfant, mais ce, uniquement pour le père. En outre, le sexe de l'enfant modère marginalement ce lien, les garçons étant plus compétents lorsqu'exposés au rapport élevé des stratégies positives du père. Une différence significative a été observée entre les garçons et les filles quant à leur niveau de compétence sociale, les filles étant plus compétentes socialement que les garçons. / In couples, conflict is often viewed negatively and affecting the quality of the relationship and children's adjustment. On the other hand, not all conflicts are negative. Indeed, in a context where parents use positive resolution strategies, conflicts can become a learning environment for young children and allow them to reuse these models to be more socially competent. This study aims to evaluate the relationship between marital conflict resolution strategies and the social competence of preschool children depending on the sex of the parent and the child's sex. Data were collected from 160 families with a child aged between 4 and 6 years old. This is a transversal research design. Results show marital conflict resolution strategies are marginally related to the level of social competence of the children, but only for the fathers. In addition, children's gender marginally moderate this relation, boys being more socially competent when more exposed to a high ratio of positive resolution strategies from their fathers. A significant difference was observed between boys and girls as to their level of social competence, girls being more competent socially than boys.
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Qualité des jeux de bataille père-enfant et adaptation sociale de l'enfant d'âge préscolaireDubé, Amélie 08 1900 (has links)
Les pères s’impliquent aujourd’hui davantage qu’auparavant auprès de leurs enfants. À l’âge préscolaire, les jeux physiques (incluant les jeux de bataille) sont une caractéristique distinctive du style paternel d’interaction. Quelques études tendent à suggérer un lien entre ce type de jeu et l’adaptation sociale des enfants. Cependant,des contradictions se dégagent de la littérature, notamment quant au lien entre la quantité de jeu physique père-enfant et des mesures d’adaptation sociale, quant aux différentes opérationnalisations de la qualité du jeu physique, ainsi qu’en ce qui a trait au genre de l’enfant. Il y a également un débat entourant le degré optimal de contrôle ou de mutualité) au cours du jeu, de même qu’un nombre très limité d’études sur le
lien entre le jeu physique père-enfant et l’anxiété/retrait. Dans ce contexte de
divergences entre les chercheurs, la présente thèse vise quatre objectifs, soit : 1)vérifier si la quantité de jeux de bataille père-enfant est liée à l’adaptation sociale des enfants d’âge préscolaire (via des mesures de compétence sociale,
d’agressivité/irritabilité, d’agression physique et d’anxiété/retrait); 2) tester si des mesures de mutualité ou de contrôle modèrent la relation entre la quantité de jeux de bataille père-enfant et les mesures d’adaptation sociale; 3) explorer le rôle potentiel d’autres indices de qualité du jeu de bataille; 4) clarifier le rôle du genre de l’enfant. L’échantillon est composé de 100 dyades père-enfant de Montréal et les environs. Les résultats des analyses corrélationnelles suggèrent que la fréquence et la durée de jeu de bataille ne sont pas reliées directement à l’adaptation sociale des enfants et mettent en lumière des variables qui pourraient jouer un rôle modérateur. Les régressions pour modèles modérateurs indiquent que la mutualité père-enfant dans les initiations au jeu de bataille et la peur exprimée par l’enfant au cours de ce type de jeu modèrent la relation entre la durée des jeux de bataille et la compétence sociale de l’enfant d’âge préscolaire. La mutualité modère également le lien entre la durée du jeu et l’agressivité/irritabilité de l’enfant. Les initiations autoritaires faites par le père modèrent le lien entre la durée du jeu et les agressions physiques, alors qu’aucune variable ne modère le lien entre la durée du jeu et l’anxiété/retrait des enfants. Les analyses post-hoc donnent davantage d’informations sur la nature des
liens de modération. Bien que les pères rapportent ne pas faire davantage de jeux de
bataille, ni jouer plus longtemps à se batailler avec leurs garçons qu’avec leurs filles, trois modèles modérateurs sur quatre demeurent significatifs uniquement pour les
garçons. Ces données sont interprétées à la lumière des théories éthologique et
développementale. Il est suggéré que plutôt que de traiter l’agression et la compétence sociale comme des variables opposées de l’adaptation, une mesure de compétition permettrait peut-être de réconcilier les deux mondes. / Today’s fathers are increasingly more involved with their children. During the
preschool years, rough-and-tumble-play (RTP; including play-fighting) is a significant aspect of paternal interaction style. A few studies suggest that this type of play is linked to children’s social adaptation. However, many contradictions remain in the current literature, particularly concerning the link between the quantity of
father-child RTP and social adaptation measures, RTP quality indicators and their
measurement, and gender differences. There is also a debate regarding the optimal
control level (or mutuality) during play. Moreover, very few studies have investigated
the link between father-child RTP and children’s anxiety/withdrawal. The current thesis has four objectives: 1) to verify the presence of a link between father-child play-fighting quantity and preschooler’s social adaptation measures (i.e., social competency, aggressiveness/irritability, physical aggression and anxiety/withdrawal); 2) to verify if mutuality or control measures moderate the relationship between father-child play-fighting quantity and social adaptation; 3) to explore the potential role of other play-fighting quality cues; 4) to clarify the role of
child gender. The sample consists of 100 father-child dyads from the Montreal
region. Correlational analyses suggest that the frequency and duration of play-fighting
are not directly linked to children social adaptation. The regressions for moderation
models indicate that father-child mutuality in play-fighting initiations, as well as the
fear expressed by the child during play, moderate the relationship between playfighting duration and the preschooler’s social competency. Mutuality also moderates
the link between play duration and child aggressiveness/irritability. Although fathers
do not report a higher frequency or duration of play-fighting according to their
children’s gender, post-hoc analyses show that three out of four moderating models
are significant only for the boys.
iv The data is interpreted according to evolutionary and developmental theories.
It is argued that a measure of competition could shed light on the relationship
between aggressiveness and social competency in social adaptation, and that these
two variables may not systematically be opposed as it is commonly perceived in RTP
literature.
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Qualité des jeux de bataille père-enfant et adaptation sociale de l'enfant d'âge préscolaireDubé, Amélie 08 1900 (has links)
Les pères s’impliquent aujourd’hui davantage qu’auparavant auprès de leurs enfants. À l’âge préscolaire, les jeux physiques (incluant les jeux de bataille) sont une caractéristique distinctive du style paternel d’interaction. Quelques études tendent à suggérer un lien entre ce type de jeu et l’adaptation sociale des enfants. Cependant,des contradictions se dégagent de la littérature, notamment quant au lien entre la quantité de jeu physique père-enfant et des mesures d’adaptation sociale, quant aux différentes opérationnalisations de la qualité du jeu physique, ainsi qu’en ce qui a trait au genre de l’enfant. Il y a également un débat entourant le degré optimal de contrôle ou de mutualité) au cours du jeu, de même qu’un nombre très limité d’études sur le
lien entre le jeu physique père-enfant et l’anxiété/retrait. Dans ce contexte de
divergences entre les chercheurs, la présente thèse vise quatre objectifs, soit : 1)vérifier si la quantité de jeux de bataille père-enfant est liée à l’adaptation sociale des enfants d’âge préscolaire (via des mesures de compétence sociale,
d’agressivité/irritabilité, d’agression physique et d’anxiété/retrait); 2) tester si des mesures de mutualité ou de contrôle modèrent la relation entre la quantité de jeux de bataille père-enfant et les mesures d’adaptation sociale; 3) explorer le rôle potentiel d’autres indices de qualité du jeu de bataille; 4) clarifier le rôle du genre de l’enfant. L’échantillon est composé de 100 dyades père-enfant de Montréal et les environs. Les résultats des analyses corrélationnelles suggèrent que la fréquence et la durée de jeu de bataille ne sont pas reliées directement à l’adaptation sociale des enfants et mettent en lumière des variables qui pourraient jouer un rôle modérateur. Les régressions pour modèles modérateurs indiquent que la mutualité père-enfant dans les initiations au jeu de bataille et la peur exprimée par l’enfant au cours de ce type de jeu modèrent la relation entre la durée des jeux de bataille et la compétence sociale de l’enfant d’âge préscolaire. La mutualité modère également le lien entre la durée du jeu et l’agressivité/irritabilité de l’enfant. Les initiations autoritaires faites par le père modèrent le lien entre la durée du jeu et les agressions physiques, alors qu’aucune variable ne modère le lien entre la durée du jeu et l’anxiété/retrait des enfants. Les analyses post-hoc donnent davantage d’informations sur la nature des
liens de modération. Bien que les pères rapportent ne pas faire davantage de jeux de
bataille, ni jouer plus longtemps à se batailler avec leurs garçons qu’avec leurs filles, trois modèles modérateurs sur quatre demeurent significatifs uniquement pour les
garçons. Ces données sont interprétées à la lumière des théories éthologique et
développementale. Il est suggéré que plutôt que de traiter l’agression et la compétence sociale comme des variables opposées de l’adaptation, une mesure de compétition permettrait peut-être de réconcilier les deux mondes. / Today’s fathers are increasingly more involved with their children. During the
preschool years, rough-and-tumble-play (RTP; including play-fighting) is a significant aspect of paternal interaction style. A few studies suggest that this type of play is linked to children’s social adaptation. However, many contradictions remain in the current literature, particularly concerning the link between the quantity of
father-child RTP and social adaptation measures, RTP quality indicators and their
measurement, and gender differences. There is also a debate regarding the optimal
control level (or mutuality) during play. Moreover, very few studies have investigated
the link between father-child RTP and children’s anxiety/withdrawal. The current thesis has four objectives: 1) to verify the presence of a link between father-child play-fighting quantity and preschooler’s social adaptation measures (i.e., social competency, aggressiveness/irritability, physical aggression and anxiety/withdrawal); 2) to verify if mutuality or control measures moderate the relationship between father-child play-fighting quantity and social adaptation; 3) to explore the potential role of other play-fighting quality cues; 4) to clarify the role of
child gender. The sample consists of 100 father-child dyads from the Montreal
region. Correlational analyses suggest that the frequency and duration of play-fighting
are not directly linked to children social adaptation. The regressions for moderation
models indicate that father-child mutuality in play-fighting initiations, as well as the
fear expressed by the child during play, moderate the relationship between playfighting duration and the preschooler’s social competency. Mutuality also moderates
the link between play duration and child aggressiveness/irritability. Although fathers
do not report a higher frequency or duration of play-fighting according to their
children’s gender, post-hoc analyses show that three out of four moderating models
are significant only for the boys.
iv The data is interpreted according to evolutionary and developmental theories.
It is argued that a measure of competition could shed light on the relationship
between aggressiveness and social competency in social adaptation, and that these
two variables may not systematically be opposed as it is commonly perceived in RTP
literature.
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A comprehensive and multi-modal approach to studying neural and social outcomes after pediatric traumatic brain injuryTuerk, Carola 02 1900 (has links)
Les traumatismes crânio-cérébraux (TCC) pédiatriques (c.-à-d., subis entre la naissance et 18 ans) constituent l’une des principales causes de décès et d’invalidité chez les enfants et les adolescents à travers le monde. Durant la période pédiatrique, les fonctions cognitives, affectives et sociales émergent progressivement, sous-tendues par la maturation cérébrale et l’établissement de réseaux neuronaux complexes. Un TCC subi durant l’enfance ou l’adolescence peut donc causer des dommages au cerveau immature et entrainer des difficultés dans ces domaines. La présentation clinique et les facteurs environnementaux sont très variables d’un enfant ou adolescent à l’autre, de sorte qu’il est difficile d’identifier qui aura un rétablissement optimal et qui aura des séquelles persistantes. Bien que la recherche ait identifié plusieurs facteurs qui contribuent au rétablissement post-TCC pédiatrique, notamment ceux liés à la blessure, à l’enfant et à l'environnement familial, les modèles de prédiction à ce jour ne sont pas toujours exhaustifs et ne tiennent pas compte des facteurs génétiques qui pourraient aider le pronostic.
Parmi l’ensemble des séquelles liées au TCC, les problèmes sociaux (ex: participation sociale réduite, comportements sociaux inappropriés) sont parmi les plus néfastes et peuvent considérablement affecter la qualité de vie. Ces difficultés sociales peuvent résulter d'une perturbation des habiletés socio-cognitives sous-jacentes, mais les mécanismes exacts et les bases neuronales de tels problèmes sont encore inconnus. Notamment, les connaissances actuelles sur la manière dont le TCC pédiatrique affecte les connexions entre les régions cérébrales durant le développement demeurent limitées.
Considérant ces lacunes relatives aux connaissances sur les TCC pédiatriques, cette thèse avait pour but 1) de déterminer les facteurs qui contribuent à la compétence sociale durant la petite enfance (c.-à-d., entre 18 et 60 mois), afin d’établir des pistes normatives pour comprendre l’émergence de problèmes sociaux suite à un TCC pédiatrique, 2) d’établir un modèle pronostique exhaustif du devenir (mesuré par la qualité de vie) après un TCC léger pédiatrique durant la petite enfance, et 3) d’examiner l'impact d’un TCC pédiatrique de sévérité modérée à sévère sur les réseaux cérébraux structurels et fonctionnels, notamment, ceux qui sous-tendent le fonctionnement social et cognitif. Afin d’atteindre ces objectifs, les données de deux cohortes longitudinales ont été analysées et présentées sous forme de quatre articles scientifiques.
Le premier article visait à valider empiriquement le modèle ‘SOCIAL’ (Beauchamp & Anderson, 2010) pour identifier les facteurs qui contribuent à la compétence sociale. Ce modèle théorique postule que des facteurs internes (liés à l'enfant), externes (liés à l’environnement) et cognitifs (fonctions attentionnelles et exécutives, communicatives et socio-cognitives) déterminent la compétence sociale de l’enfant. Les résultats d’un modèle de régression analysé chez un groupe d’enfants neurotypiques âgés de 18 à 60 mois indiquent que les facteurs internes, externes et cognitifs contribuent tous significativement à la compétence sociale de l’enfant. Les facteurs internes ainsi que les fonctions exécutives et socio-cognitives jouent un rôle particulièrement important. En effet, les enfants avec peu d’affect négatif, moins de difficultés exécutives, une meilleure communication non-verbale et une meilleure théorie de l'esprit ont un niveau de compétence sociale plus élevé.
Le deuxième article visait à examiner les facteurs qui contribuent à la qualité de vie six et 18 mois après un TCC léger subi entre l’âge de 18 et 60 mois. Plusieurs prédicteurs potentiels provenant de quatre catégories de facteurs (biologie, environnement, blessure, comportement/cognition) ont été entrés dans un modèle de régression hiérarchique. Les résultats indiquent qu'un facteur génétique, le polymorphisme Val66Met du gène codant pour la protéine BDNF (Brain-Derived Neurotrophic Factor), contribue positivement à la qualité de vie six mois après le TCC, alors qu’un an plus tard, un plus faible niveau de stress parental prédit une meilleure qualité de vie chez l’enfant.
Le but du troisième article était d'étudier l’organisation fonctionnelle du réseau cérébral soutenant les habiletés sociales (le cerveau social) chez les enfants et les adolescents qui ont subi un TCC de sévérité modérée à sévère entre l’âge de neuf et 15 ans. Les participants ont complété un protocole d’acquisition d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle au repos 24 mois après la blessure. Dans deux échantillons indépendants, les résultats indiquent une connectivité fonctionnelle altérée entre les régions cérébrales frontales et le gyrus fusiforme bilatéral dans le groupe TCC (connectivité positive) par rapport au groupe contrôle (connectivité négative).
Le quatrième article a exploré les changements à long terme dans les réseaux de covariance structurelle du cerveau (c.-à-d., des régions cérébrales qui sont structurellement connectées) après un TCC pédiatrique de sévérité modérée à sévère subi entre neuf et 14 ans. L’objectif était d'étudier les différences de covariance structurelle au sein de trois réseaux cognitifs (réseau par défaut [DMN], réseau exécutif central [CEN], réseau de la salience [SN]) entre les enfants avec un TCC et les enfants sans blessure, trois et 24 mois post-TCC. Aucune différence de groupe n'a été trouvée après trois mois. Cependant, 24 mois après la blessure, le groupe TCC montrait une covariance structurelle réduite dans le DMN et le CEN par rapport au groupe contrôle.
Dans leur ensemble, ces résultats suggèrent que des modèles exhaustifs incluant un large éventail de facteurs provenant de plusieurs sphères du fonctionnement sont essentiels afin de comprendre les éléments qui placent un enfant à risque de séquelles après un TCC pédiatrique. Ils mettent également en évidence l’importance de considérer parmi les facteurs de prédiction des marqueurs génétiques impliqués dans les mécanismes de neuroplasticité, et confirment l’influence de facteurs parentaux, notamment la santé mentale du parent, sur le rétablissement post-TCC chez les jeunes enfants. De plus, les résultats montrent qu’un TCC pédiatrique de sévérité modérée à sévère peut induire des altérations à long terme au niveau des réseaux neuronaux sous-jacents aux fonctions sociales et cognitives. Ces résultats permettent de mieux comprendre comment un TCC pédiatrique affecte les circuits cérébraux pendant le développement, ce qui contribue à clarifier les bases neuronales des problèmes sociaux post-TCC. Finalement, les trouvailles et réflexions issues de la thèse supportent l’idée de considérer plusieurs facteurs liés à la blessure, à l’enfant, et à l'environnement familial ainsi que des facteurs génétiques pour le diagnostic, le pronostic, et le rétablissement après un TCC subi durant l’enfance ou l’adolescence. / Pediatric traumatic brain injury (TBI; sustained between birth and 18 years) is one of the leading causes of death and disability among children and adolescents worldwide. During development, cognitive, affective and social functions emerge gradually, supported by rapid brain maturation and the establishment of complex neural networks. TBI sustained during childhood or adolescence can therefore cause damage to the immature brain and lead to difficulties in these domains. Clinical presentation and environmental factors vary greatly, rendering it difficult to identify who will recover well and who will experience persistent sequelae. Although research has identified several factors that contribute to recovery after pediatric TBI, including injury, child-related, and family-environmental variables, existing prediction models are not always comprehensive, and they do not account for genetic factors which could contribute to prognosis.
Among all consequences associated with pediatric TBI, social problems (e.g., reduced social participation, maladaptive social behaviours) may be the most debilitating, and can considerably affect quality of life (QoL). These social difficulties can stem from a disruption of underlying socio-cognitive skills, but the exact mechanisms and neural bases of such problems are still unknown. In particular, current knowledge of how pediatric TBI affects connections between brain regions during development remains limited.
Considering these gaps in the pediatric TBI literature, this thesis aimed to 1) determine factors that contribute to social competence in early childhood (i.e., between 18 and 60 months) in order to establish normative avenues for understanding the emergence of social problems following pediatric TBI, 2) establish a comprehensive prognostic model of outcome (assessed by QoL) after early mild TBI (mTBI), and 3) examine the impact of pediatric moderate to severe TBI on structural and functional brain networks, notably those underlying social and cognitive functioning. In order to meet these objectives, data from two longitudinal cohorts were analyzed and are presented in the form of four scientific articles.
The first article aimed to empirically validate the “SOCIAL” model (Beauchamp & Anderson, 2010) to identify factors that contribute to social competence. This theoretical model posits that internal (child-related), external (environment-related) and cognitive (attentional-executive, communicative and socio-cognitive) factors determine a child's social competence. The results of a regression model analyzed in a sample of neurotypical children aged 18 to 60 months indicate that internal, external and cognitive factors all contribute significantly to a child’s social competence. Internal variables, executive functions, and socio-cognitive factors play a particularly important role. Indeed, children with lower levels of negative affect, fewer executive difficulties, greater non-verbal communication and better theory of mind had better social competence.
The objective of the second article was to examine which factors predict QoL six and 18 months following early mTBI sustained between 18 and 60 months of age. Several potential predictors from four domains (biology, environment, injury and behaviour/cognition) were entered into a hierarchical regression model. The results indicate that a genetic factor, the Val66Met polymorphism of the gene coding for the BDNF protein (Brain-Derived Neuroptrophic Factor), positively contributes to QoL six months after TBI, while a year later, lower parental distress predicts better child QoL.
The aim of the third article was to study the functional organization of the brain network supporting social skills (the social brain) in children and adolescents who sustained moderate to severe TBI between nine and 15 years of age. Participants completed a protocol for the acquisition of functional resting magnetic resonance images 24 months post-injury. In two independent samples, the results indicate altered functional connectivity between frontal brain areas and bilateral fusiform gyrus in the TBI group (positive connectivity) compared to the control group (negative connectivity).
The fourth article explored long-term changes in the brain’s structural covariance networks (i.e., brain regions that are structurally connected) following pediatric moderate to severe TBI sustained between nine and 14 years of age. The aim was to investigate differences in structural covariance within three core cognitive networks (i.e., default-mode [DMN], central executive [CEN], salience [SN]) between children with TBI and typically developing controls, three and 24 months post-injury. No group difference was found after three months. However, at 24 months post-injury, the TBI group showed reduced structural covariance within the DMN and the CEN compared to the control group.
Taken together, these findings suggest that comprehensive models including a wide range of factors from several domains of functioning are essential for understanding the elements that put a child at risk for poor recovery after TBI. They also highlight the importance of considering, among potential predictors, genetic factors involved in mechanisms of neuroplasticity, and confirm the role of parental factors, in particular parent mental health for post-TBI recovery in young children. In addition, the results show that moderate-severe pediatric TBI can induce long-term alterations in neural networks underlying social and cognitive functions. These findings provide insights into how pediatric TBI affects brain circuits during development, and may help to elucidate the neural underpinnings of social problems after pediatric TBI. Finally, the findings and implications from the thesis support the notion that several injury, child-related, family-environmental as well as genetic factors should be considered for diagnosis, prognosis, and recovery after TBI sustained during childhood or adolescence.
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