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The Moscow trials three views from the French Left.Levine, Richard, January 1968 (has links)
Thesis (M.A.)--University of Wisconsin--Madison, 1968. / eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references.
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The French Communist Party and the colonial question, 1928-1939Schweitzer, Thomas Adrian, January 1968 (has links)
Thesis (M.A.)--University of Wisconsin--Madison, 1968. / eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references.
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Picasso : the communist years /Utley, Gertje R., January 2000 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D.--Institute of fine arts--New York university, 1997. / Notes bibliogr. p. 219-259. Index.
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De Vrije Katheder : een platform van communisten en niet-communisten, 1945-1950 /Van Den Burg, Fennigje. January 1983 (has links)
Proefschrift--Letteren--Groningen, 1983. / Bibliogr. p. 363-367. Index. Résumé en anglais.
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Pour un syndicalisme de lutte de classe! les groupes marxistes-léninistes et le mouvement syndical au Québec, 1972-1983Dubois-Campagna, Alexis January 2009 (has links)
Dès la fin des années 1960, se développe une nouvelle tendance socialiste au Québec dans un contexte marqué par l'épuisement de la Révolution tranquille et par une ébullition idéologique sur la scène internationale. Dans ce climat politique, des groupuscules marxistes-léninistes (m-l) de tendance maoïste voient le jour au Québec, principalement dans la deuxième moitié des années 1970. Au même moment, sur le front syndical québécois, la lutte est intense entre travailleurs et employeurs. Les fronts communs de 1972 et 1975 et d'importantes grèves en font foi. De plus, de nombreux chefs syndicaux n'hésitent pas à s'attaquer directement au patronat et à l'État dans des discours clairement nourris par l'idéologie socialiste. Le radicalisme politique, même s'il n'est pas homogène et généralisé dans les centrales québécoises, s'impose de plus en plus dans les syndicats locaux comme dans les instances supérieures. C'est précisément les liens entre ces deux mondes, celui des groupuscules marxistes-léninistes et celui des centrales syndicales, qui nous intéressent. L'originalité de notre travail tient au fait qu'il lie les historiographies du marxisme-léninisme et du syndicalisme, ce qui représente un angle intéressant afin de renouveler la réflexion dans ces deux champs de recherche, certes très proches, mais malheureusement trop souvent étanches. À l'aide de diverses sources écrites, notamment les publications des organisations m-l et les archives des mêmes groupes, mais aussi d'entrevues menées par l'auteur avec d'anciens militants syndicaux, nous observons les relations entre les deux principaux groupuscules marxistes-léninistes, à savoir En Lutte! et la Ligue communiste (marxiste-léniniste) du Canada, et les centrales syndicales québécoises entre 1972 et 1983. Effectivement, il nous semble pertinent de mieux comprendre la nature des liens et des influences réciproques entre ces acteurs sociaux. L'objectif premier de cette recherche est de mettre en relief le militantisme des marxistes-léninistes au sein de ces institutions syndicales. En effet, la structure ouverte des syndicats, c'est-à-dire démocratique et accessible à tous les travailleurs syndiqués, a permis à un grand nombre de membres et sympathisants m-l de s'y intégrer et d'y faire valoir des positions d'extrême gauche. Et c'est justement le militantisme soutenu des m-l qui, contrastant avec celui beaucoup plus passif de l'ensemble des membres syndiqués, leur a permis d'influencer les positions et les stratégies des centrales syndicales, du moins de s'y faire entendre et de susciter des débats, particulièrement entre 1975 et 1980. Notre recherche sur cet aspect du militantisme syndical des marxistes-léninistes québécois éclaire des zones d'ombre de l'histoire politique récente de la province. De plus, cette étude amène une connaissance plus profonde de la place du radicalisme dans la culture politique québécoise et une meilleure compréhension du militantisme et de ses rouages. Afin d'atteindre nos objectifs, nous analysons d'abord le discours des marxistes-léninistes au sujet du monde syndical. Il sera notamment question des critiques sévères lancées contre les chefs syndicaux, ainsi que de la lutte idéologique qui secoue les différents groupes marxistes. Nous étudions ensuite les stratégies et les actions des m-l face aux syndicats, comme la volonté de se présenter à des postes électifs. Finalement, ce mémoire tente de mettre en lumière le militantisme m-l dans les différentes instances de la Confédération des syndicats nationaux, tout particulièrement le Conseil central de Montréal.
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The sovietization of Ukraine, 1917-1923 : the communist doctrine and practice of national self-determination /Borys, Jurij, January 1980 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D.--Stockholm, 1960. Titre de soutenance : The Russian communist party and the sovietization of Ukraine.
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The cold war and the rift in the governments of national unity : Belgium, France and Italy in the spring of 1947 : a comparison /Boxhoorn, Abraham. January 1993 (has links)
Texte remanié de: Proefschrift--Universiteit van Amsterdam, 1992 ? / Bibliogr. p. 251-271. Index.
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Le Parti Communiste de Belgique, 1939-1944: stratégie nationale et pratique locale :la Fédération bruxelloiseGotovitch, José January 1988 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / Thèse présentée pour l'obtention du grade légal de docteur en philosophie et lettres, année académique 1987-88 / Bibliographie: v. 2, p. [606]-630 / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'engagement du parti communiste chilien en faveur des règles du système démocratique libéral. Le pari risqué d'un acteur contradictoire. / The commitment of Chilean communist party to rules of liberal democratic system. The risky bet of a self-contradictory doer.Rivadeneira, Carla 15 December 2009 (has links)
Le Parti communiste chilien était un parti pragmatique, manipulateur, qui a soutenu la voie pacifique jusqu’au bout, a rejeté la voie armée comme moyen de lutte politique et a maîtrisé à la perfection les règles du jeu politique. Mais, dans le même temps, il a été un parti discipliné, hiérarchisé, fidèle aux directives de l’URSS. Le PCCh n’était pas un parti « comme les autres », car il devait faire face aux tensions constantes existant au sein de la pratique et du discours entre les dimensions sociétale, qui se construisait à partir et dans la configuration politique et sociale chilienne, et téléologique, issue de l’appartenance au monde communiste. Notre travail a rendu compte d’un PCCh contradictoire, multiple qui n’a pas été un satellite de Moscou. Au contraire, son action politique a été déterminée par un habitus démocratique, où ensemble de modes et de comportements acquis qui résultent de l’internalisation de l’ensemble des règles du système politique liées au régime démocratique, et des structures sociales objectives à travers l’expérience du Parti. À partir de la construction et de la consolidation de cet habitus démocratique ainsi que de la confrontation des principes démocratiques à la pratique du PCCh lorsqu’il gagne la Présidence de la république au sein de l’alliance de l’Unité populaire, on a observé que cet habitus démocratique a été construit et consolidé par les choix des dirigeants du Parti en époques et configurations distinctes, ce qui a déterminé que la pratique du PCCh ait été en accord avec les principes démocratiques du régime. Ainsi, créditeur d’un savoir-faire politique particulier qui l’a différencié des autres partis communistes d’Amérique latine, le PCCh a contribué à maintenir en vigueur le système des pratiques et les représentations du régime démocratique chilien et a réussi à occuper une place privilégiée au sein de l’ordre politique chilien. / The Chilean Communist Party [PCCh] was a pragmatic, manipulating party that sustained the pacific way until the very last minute, which rejected the armed path as a politic option and perfectly mastered the rules of the political game. But at the same time, it has always a disciplined party, with a rigid hierarchy and loyal to the URSS. The PCCh “wasn’t a party like the others”, in the sense that he must face constant internal pressure among a social dimension and a theological dimension. This work relates to a contradictory actor in the political scene, which didn’t stand as a simple satellite of Moscow orders. In fact, their political action was determined by a democratic habitus which behavior results of a deep understanding of the rules played on the political arena, and the social structures learned through the party’s experience. The construction and further consolidation of this habitus, and the confrontation of the democratic principles when the party reached the Presidency of the Nation [as a member of the Popular Unity Alliance], showed us how these democratic habits grew inside the PCCh et how this democratic habitus was built by the successive PCCh leaders, at different times and scenarios, because the PCCh’s practices were closely aligned with the democratic principles. In that way, and holding this particular political know-how which differenced them from the rest of the Latin American communist parties, the PCCh contributed to sustain a practice-based system and the representations of the democratic Chilean regime, reaching a privileged place in the Chilean political order.
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Le communisme rural en France : le Limousin et la Dordogne de 1920 à 1939 /Boswell, Laird. Clermont, Guy, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Université de Berkeley, 1988. Titre de soutenance : Rural communism in France, 1920-1939 : the exemple of the Limousin and Dordogne. / Notes bibliogr. Index.
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