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ATTAC : de l'engagement à l'institution / ATTAC : from the political commitment to the institution

Cruzel, Elise 04 April 2014 (has links)
Cette thèse propose d’étudier l’engagement dans une institution militante : ATTAC. A partir d’un cadre d’analyse inspiré de la sociologie des institutions et de l’usage de la notion de carrière militante, ce travail propose d’envisager l’engagement à ATTAC d’un double point de vue. D’une part, il s’agit, en retraçant les conditions de constitution de l’association, de mettre en lumière la construction d’une offre d’engagement ; d’autre part, il s’agit de saisir, au niveau des carrières individuelles et des configurations locales comment cette offre est appropriée. L’enquête permet d’établir que le cadre d’action élaboré par les dirigeants de l’association ne s’impose pas de lui-même. Il fait l’objet d’un travail de redéfinition par des entrepreneurs locaux de mobilisations au croisement de logiques individuelles (les propriétés et les expériences des acteurs) et de configurations locales différemment accueillantes. Les membres de l’association contribuent également à redéfinir le profil des comités locaux d’ATTAC par l’intermédiaire des modalités de sélection existantes au sein des instances locales. Il est alors possible de considérer que les différents types d’engagements sont autant de façons de tenir un rôle d’adhérent et permettent à l’association de se pérenniser dans le temps. Ce travail repose sur une enquête par observation participante menée entre 2002 et 2004 dans deux comités locaux d’ATTAC, en Gironde, en Haute-Garonne et en Catalogne. Le dispositif est complété par la réalisation de quatre-vingt entretiens semi-directifs avec les adhérents de ces groupes et par l’exploitation d’une enquête par questionnaire (259 répondants) auprès des membres d’ATTAC 33 et d’ATTAC Toulouse. / The goal of this research is to study the question of political commitment within a militant institution: ATTAC. Through an analytical frame inspired from the sociology of institutions and from the use of the notion of militancy, this dissertation apprehends political commitment from a double-bind perspective. On the one hand, by retracing the association’s constitution conditions, this work highlights the construction of a commitment offer. On the other hand, through the analysis of the individual militancy and of the local configurations, this research analyses how the previously announced militant offer is then appropriated by the individuals. This survey establishes that the policy framework made by the associations’ leaders does not get self-established: it actually needs a redefinition process made by local mobilization entrepreneurs, at the crossroads between individual logics (social attributes and actors’ experiences) and differently welcoming social configurations. The association’s members also contribute to (re)define local ATTAC committees’ profile by the means of different modalities of selection. It is then possible to consider that the multiplicities of commitments are, indeed, different ways of keeping a role within the association, and to make it durable. This research is based on an ethnographic observation lead between 2002 and 2004 in different local ATTAC committees in Gironde, Haute-Garonne and Catalogne; eighty semi-directive interviews with the association’s members; and the analysis of a questionnaire (n=259) from ATTAC 33 and ATTAC Toulouse.
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Le rapport des adhérents à l'idéologie: un facteur discriminant entre partis? Contribution à l'analyse de l'idéologie et de l'adhésion au sein du CD&V et du VLD en Flandre

Van Haute, Emilie 18 January 2008 (has links)
Notre analyse se centre sur l’étude approfondie du rapport des adhérents à l’idéologie. Nous avons opté pour une approche qui envisage ces positionnements comme des facteurs explicatifs potentiels. En effet, nous partons du postulat selon lequel l’homogénéité idéologique qui peut être perçue entre partis au sein d’un système, ou même entre partis auxquels on attribue une place similaire sur l’échelle générique gauche-droite, reflète en réalité des sensibilités parfois très divergentes. Nous avançons, à l’instar de Sartori, que les différences en termes d’idéologie ont un potentiel explicatif fort . Ce postulat va à contre-courant de beaucoup d’études qui prennent comme point de départ l’homogénéisation des idéologies, la convergence au centre, la dissolution des différences. Le choix d’envisager le rapport des adhérents à l’idéologie comme facteur explicatif a été opéré au terme d’une revue de la littérature ayant mis en évidence les lacunes et axes de recherche originaux potentiels. Cette revue de la littérature a mené à l’élaboration d’un cadre synthétique des recherches sur la participation politique et l’adhésion (Chapitres I et II). Celui-ci distingue six grands types d’études, selon que l’adhésion soit envisagée en tant que variable dépendante ou indépendante, et en fonction du niveau d’analyse (macro, méso, micro). Au vu de ce grand nombre d’approches potentielles, il nous a fallu effectuer des choix pour élaborer notre problématique. Parmi l’ensemble des analyses possibles, nous avons opté pour une approche au niveau méso. La littérature sur les partis aborde la question de l’adhésion, mais de façon souvent périphérique, et sur base de postulats qui sont rarement appuyés. Ce rapport indirect à l’adhésion a suscité notre curiosité et notre volonté de l’approfondir. Parmi les études envisageant les rapports entre adhésion et organisation, plusieurs approches sont développées en parallèle dans la littérature (approche fonctionnaliste, de choix rationnel, institutionnelle et génétique). Au final, nous en avons retenu deux, complémentaires : les approches institutionnelle et génétique des partis. Toutes deux postulent un certain rapport à l’adhésion et à l’idéologie. Ces deux approches sont complémentaires plus qu’exclusives. Sur base de ces deux approches, nous avons formulé deux hypothèses centrales. La première vise à vérifier si les caractéristiques de l’adhésion en termes d’idéologie permettent ou non de différencier les types d’organisations partisanes entre elles (approche institutionnelle). La seconde vise à vérifier si les positionnements idéologiques des adhérents permettent de confirmer ou d’infirmer la structuration des clivages à l’œuvre au sein des partis (approche génétique). Afin de tester ces hypothèses et de mener à bien notre démonstration, la recherche est présentée sous forme de trois grandes parties correspondant aux étapes du raisonnement et de l’argumentaire. La première partie a pour objectif de définir le cadre d’analyse et la problématique de notre recherche. Elle s’attache dans un premier temps à définir les concepts centraux de notre étude et à proposer des cadres analytiques pour chacun d’eux (Partie I, Chapitres I et II). Ces deux concepts centraux sont les notions de participation politique et de participation partisane, ou d’adhésion. Ces deux premiers chapitres reviennent sur ces deux notions de participation politique et de participation partisane ou d’adhésion, en définissent les contours, les modalités, et proposent des cadres d’analyse pour leur étude. Ils permettent de mieux cerner notre objet d’étude par un triple travail de définition et de classification, d’état de la littérature, de présentation et de discussion critique d’un cadre d’analyse pour les approches retenues. Cette démarche facilite et autorise dans un deuxième temps l’élaboration de notre problématique (Partie I, Chapitre III). Le chapitre consacré à la précision de celle-ci revient dans un premier temps sur la notion de positionnement idéologique. Nous précisons la notion à l’aide des travaux de Sartori, qui distingue deux niveaux au concept : un aspect cognitif (rapport à la connaissance) et un aspect émotif (degré d’attachement) , et quatre formes de rapport à l’idéologie en fonction de la position sur chaque niveau (fixe, souple, ferme, flexible). Cette distinction originale est appliquée aux approches institutionnelle et génétique développées dans le Chapitre II. Cette démarche autorise à préciser les hypothèses qui guident la suite de l’analyse. Après avoir ainsi déterminé le cœur de la problématique, le Chapitre III revient sur la justification de la sélection des cas retenus pour l’analyse (CD&V et VLD). Il s’attarde également sur la méthode adoptée et les sources mobilisées pour mener à bien la démonstration et vérifier les hypothèses (méthode d’enquête par questionnaire principalement). Toutes les informations relatives à la sélection et au traitement des sources sont fournies. La deuxième partie de la recherche a pour objectif de présenter les informations nécessaires au test de nos hypothèses. Trois chapitres y sont consacrés. Le premier (Chapitre IV) a pour ambition de situer les deux partis retenus pour l’analyse dans le paysage politique belge en général, et flamand en particulier. Il adopte pour cela une perspective chronologique, mettant en évidence les évolutions en termes de structuration progressive des clivages en Belgique, et les impacts éventuels sur le système partisan belgo-flamand, et sur nos deux cas d’étude en particulier. Cette vision met en avant l’origine différente des deux partis. Elle attire également l’attention sur l’accroissement progressif des clivages actifs au sein du système de partis. Après cette mise en perspective générale, les deux chapitres suivants fournissent une série d’informations sur les partis retenus. Le Chapitre V présente quatre caractéristiques du parti en relation avec l’adhésion, retenues par l’approche institutionnelle : les effectifs d’adhésion, l’activité des adhérents, leur profil, et leur place dans l’organisation. Le Chapitre VI vise pour sa part à esquisser le projet idéologique et la structuration des clivages au sein du CD&V et du VLD. Après avoir recueilli ces informations, la troisième et dernière partie de la recherche se constitue du test de nos hypothèses (Chapitre VII). Elle s’attache au rapport à l’idéologie et aux positionnements idéologiques des adhérents des deux partis. Dans un premier temps, elle tente de les qualifier et d’en identifier le caractère fixe, souple, ferme ou flexible, soit de manière générale (test de la première hypothèse), soit sur des thématiques particulières liées aux clivages (test de la seconde hypothèse). Dans un deuxième temps, l’objectif est de vérifier si ce rapport des adhérents à l’idéologie permet de prédire le type de parti auquel l’adhérent est affilié, et de confirmer une certaine structuration des clivages au sein des deux partis. Dans un troisième temps, nous discutons les implications des résultats empiriques pour nos postulats théoriques. Enfin, la conclusion revient sur les hypothèses de départ. Elle s’attache à mettre en évidence les aspects originaux de notre travail, et revient sur les apports principaux. Elle effectue également un retour sur les hypothèses de départ, et met en évidence le rôle et l’impact du rapport des adhérents à l’idéologie, à la fois dans la capacité à identifier un type de parti, mais aussi à en identifier la configuration des clivages en interne.
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La Roumanie - du placard à la libération. Eléments pour une histoire socio-politique des revendications homosexuelles dans une société postcommuniste

Cârstocea, Andreea-Sînziana 27 April 2010 (has links)
Après la chute du régime communiste en 1989, la société roumaine connaît l’émergence d’un nouveau type de revendications, celles relatives aux droits et aux libertés des personnes lgbt. Les questions homosexuelles deviennent dans le contexte roumain une thématique qui sollicite des réponses appropriées, qui impose des exigences adaptatives, qui provoque des affrontements, qui réclame des transformations. Ces revendications se focalisent principalement sur la dépénalisation des relations homosexuelles. L’article 200 du Code pénal roumain hérité du régime communiste criminalisait les relations homosexuelles entre adultes consentants, en privé ; cet article a été abrogé en 2001, par Ordonnance d’urgence du Gouvernement. Ce changement législatif représente le point de départ pour cette analyse : nous nous sommes penchée sur les processus par lesquels l’ordre hétéronormatif imposé par le régime communiste commence à chanceler et cède petit à petit le terrain face à la légitimation d’un mode de vie alternatif, défini par l’option pour l’homosexualité. Le processus de déconstruction de ce dispositif répression / libération dans le cas roumain est analysé à la fois à travers les dynamiques politiques et les acteurs sociaux qui se sont investis dans l’action, à savoir les porteurs des revendications.Cette recherche revient donc à faire le point sur un univers social complexe et mobile, qui se déplace continuellement à la frontière de différentes espaces, tant au plan local ou national, qu’au plan global ou international. Echappant à une focalisation exclusive sur un seul axe d’analyse, notre approche se propose donc de suivre les interactions entre des acteurs pluriels à travers des structures multiples qui influencent leurs actions. Une attention particulière est accordée aux individus, ce qui permet d’affiner l’analyse. Privilégier les variations des niveaux d’observations et la confrontation des logiques sociales sur diverses échelles nous permet au bout du compte de saisir à la fois la singularité du cas roumain, mais surtout son inscription dans un contexte global, transnational. L’homosexualité constitue un phénomène qui s’inscrit dans une perspective politique et sociale et qui ne peut être compris que grâce à des facteurs d’ordre interne et externe à la communauté homosexuelle. Elle est, en même temps, un phénomène dont l’étude peut apporter un éclairage sur l’évolution de la société roumaine contemporaine, sur l’état de la démocratie, tout aussi bien que sur les dynamiques de l’européanisation. Les échanges autour de cette thématique révèlent la complexité des enjeux de la démocratisation : les décalages entre les normes et les mentalités, les déséquilibres entre les priorités de la politique interne et les priorités au niveau européen, les limites du domaine de la démocratie et les extensions de la morale dans la vie politique. Ces questions forment un ensemble complexe et hétéroclite dont cette recherche tente de donner les moyens de comprendre les logiques, les argumentaires, les transformations.
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Politischer Existentialismus : Subjektivität zwischen Entfremdung und Engagement /

Großheim, Michael, January 2002 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Philosophische Fakultät--Universität Rostock, 2000. Titre de soutenance : Die unheimliche Welt absoluter Selbstlosigkeit: entfremdete Subjektivität und politischer Existenzialismus. / Bibliogr. p. 474-520.
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SOS Racisme, un mouvement collectif et des parcours individuels / SOS Racisme, a collective movement ant individual pathways

Marmoz, Raoul 27 November 2017 (has links)
SOS Racisme est une association antiraciste née en 1984 dont le but, selon ses statuts, est de « faire entreprendre toute action humanitaire susceptible de résoudre les problèmes nés du racisme ». L’association a mobilisé un grand nombre de jeunes, à la fois sur des actions très médiatisées et au travers d’un militantisme de base. Ses responsables eux-mêmes étaient de jeunes militants, certains cependant ayant déjà une expérience politique ou syndicale.Cette association qui peut être qualifiée de mouvement de jeunesse a donc eu, par la pratique surtout, à mettre en action les jeunes qui y militaient ou qui l’animaient. D’où une fonction d’école parallèle qui leur a permis d’acquérir compétences, savoir-faire et aussi réseaux de connaissance. Toutes ré-investissables dans une vie professionnelle. Cette recherche vérifie que les anciens responsables de SOS Racisme, occupent maintenant des fonctions dans les domaines politique et social et qu’ils attribuent en grande partie leur évolution professionnelle aux compétences acquises et mises en œuvre lors de leur prise de responsabilités à SOS Racisme. Ils continuent à intervenir dans le champ social et font le lien entre leurs engagements passés et les actuels. L’étude empirique, appuyée sur la réalisation de quinze entretiens avec d’anciens responsables de SOS-racisme et deux grands témoins de ses activités, entretiens enregistrés, transcrits et analysés, est à la fois portée et enrichie par l’utilisation de notions très présentes dans l’analyse sociologique, en particulier, celles d’habitus, de capital -social, culturel ou militant, de réseau et de compétences. D’une façon générale donc, notre travail est conçu comme une contribution à la connaissance des effets formateurs du militantisme et de leur efficacité ultérieure. / SOS Racisme is an anti-racist association founded in 1984 whose purpose is to "undertake any humanitarian action likely to solve the problems arising from racism". The association has mobilized a large number of young people, both on high-profile actions and through grassroots activism. Its leaders themselves were young activists, some of them however having political or trade union experience.This association, which can be described as a youth movement, has had, by way of practice above all, put into action the young people who militated or animated it. Hence a parallel school function that enabled them to acquire skills, know-how and also networks of knowledge. All re-investable in a professional life.This research verifies that the former SOS Racisme officials now occupy political and social functions and that they largely attribute their professional development to the skills acquired and implemented when taking up their responsibilities at SOS Racisme. They continue to intervene in the social field and make the link between their past and present commitments.The empirical study, based on fifteen interviews with former officials and major witnesses of its activities.
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Politische Dimensionen einer Komponisten-Biographie im 20. Jahrhundert : Gottfried von Einem /

Eickhoff, Thomas. January 1998 (has links)
Diss.--Wuppertal, 1996. / Bibliogr. p. 325-349. Index.
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L’altermondialisme au Liban : un militantisme de passage : Logiques d’engagement et reconfiguration de l’espace militant (de gauche) au Liban / Alternative globalization in Lebanon : a space of passage : rationale of commitment and restructuring of (left-wing) activist space

AbiYaghi, Marie-Noëlle 06 June 2013 (has links)
Cette thèse examine comment en l'espace de quelques années, des collectifs sont créés au Liban, en tant qu'«espaces de passage» politiques pour des acteurs à la recherche de ressources permettant une reconversion d'un capital militant engrangé. Ce qui nous a amené à un double questionnement: que nous dit ce «moment» de l'altermondialisme au Liban de l'altermondialisme en général? Et de l'espace du militantisme au Liban? Comment le label altermondialiste est revendiqué dans un contexte particulièrement verrouillé d'une part par le système politique dont les acteurs dominants disposent de ressources importantes pour entraver les mobilisations protestataires, d'autre part par un système partisan et associatif dont les militants altermondialistes s'évertuent de se distinguer. Nous avons aussi examiné les «bricolages singuliers» de cadres de références altermondialistes, pour proposer une «analyse localisée» de l'altermondialisme : si la mouvance s'inscrit dans un horizon idéologique et langagier «international», elle s'organise, se comprend, s'énonce, se transforme avant tout dans un système de contraintes mais aussi un «dialecte» tout libanais. Plutôt que de proposer une analyse en termes d'importation de la cause, nous nous sommes penchés sur l'idée d'une greffe de la cause à saisir dans les interactions possibles entre son énonciation locale et ses avatars globaux, mais aussi entre les innovations militantes que l'altermondialisme libanais comprend et les formes de reproductions locales qui le travaillent. Basant la démonstration sur quatre collectifs, cette thèse vise à apporter un éclairage sur les politiques protestataires au Liban en combinant, aux différentes étapes de l'enquête et de la démonstration, une approche mésosociologique (au niveau des collectifs) et microsociologique (au niveau des acteurs). Nous tenterons ainsi de comprendre comment et pourquoi le militantisme altermondialiste a constitué un militantisme de «passage» au Liban. / This thesis explores how in the space of few years, we have witnessed the formation of collectives in Lebanon as "political pathways" for actors searching for resources to allow the reconversion of accumulated militant capital, which raises a two-folded question: What does this moment of "alternative-globalization" tell us about alternative globalization in general? And what does it tell us about the militant and activist space in Lebanon? How was the label of "alternative-globalization" reclaimed facing a context which from the one hand, important and significant resources are being employed by the Lebanese political system, and its dominant actors to haIt and hinder mobilizations and protests, while on the other, facing a partisan and associative system, which the alternative globalization militants and activists are striving to distinguish themselves from it. Throughout this thesis, we will be examining particular and specific "bricolages" of the alternative globalization's frame of reference to be able to propose a "localized analysis" of alternative globalization: Although the alternative globalization movement is of an international ideological and linguistic frame and context, yet it is organized, understood and transformed within a local system of constraints, and then voiced in a Lebanese "dialect". lnstead of proposing an analysis of importing the cause, we are examining the idea of adapting and reclaiming the cause between the existing and possible interactions between local limitations and manifestations and its global actors (avatars), but also, between the Lebanese activist innovations of alternative globalization and its reproduced local forms. Basing our analysis on four collectives, this thesis aims to shed the light on protest politics adopted in Lebanon, while combining, at different stages of our study, the meso-sociological (on the level of the collectives) and the micro-sociological (on the level of actors). By doing so, we are trying to understand how and why the alternative globalization constituted an activist/militant space of passage for the movement in Lebanon.
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Buitenstaanders binnenshuis : vrouwen en homo's in organisaties /

Schedler, Petra Ellen, January 1992 (has links)
Proefschrift--Leiden--Rijksuniversiteit, 1992. / Bibliogr. p. 187-202. Résumé en anglais.
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Les dynamiques de l'action militante : le cas des citoyens issus de l'immigration dans les partis politiques québécois

Sauvageau, Marie-Michèle January 2016 (has links)
Cette thèse vise à comprendre comment les citoyens issus de l’immigration s’engagent auprès d’un parti politique de leur société d’accueil. À partir de l’approche des parcours de vie, cette étude se penche sur les récits de 25 militants originaires d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient qui militent bénévolement au sein d’une formation politique québécoise. Ces incursions en profondeur dans les parcours individuels permettent de mieux comprendre cette pratique sociale qu’est le militantisme partisan, en parallèle avec les trajectoires migratoires de ces militants. Trois axes sont plus particulièrement analysés, soit un angle processuel, qui se penche sur les événements qui mènent à entamer une action militante auprès d’un parti ; un angle relationnel, qui s’intéresse aux relations qui s’établissent entre ces militants et les institutions que sont les partis politiques ; et un angle décisionnel et relationnel, qui évalue l’influence des relations sociales dans les différentes sphères de vie sur l’engagement militant. L’une des conclusions majeures de cette thèse est que le militantisme partisan apparaît, au Québec du moins, comme étant réservé à une certaine catégorie de personnes, tout particulièrement celles qui, par leur parcours, ont été en mesure d’acquérir de la « motilité », soit la capacité à mobiliser la mobilité (Kaufmann, 2002). En plus d’explorer cette notion de « motilité », cette thèse propose aussi deux autres notions qui émergent de l’analyse par théorisation ancrée des données, soit le concept de « projets migratoires », inhérent aux trajectoires de mobilité des participants et qui semble structurer leur incursion en politique militante active au Québec, et l’idée de se sentir « chez-soi » au Québec, différente des concepts d’intégration et d’identification que l’on retrouve habituellement en sociologie de l’immigration, mais dont la présence récurrente chez les participants témoigne de son importance dans leur cheminement migratoire.
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Le Comité de jurisconsultes des congrégations : la mobilisation du droit républicain au service de la cause religieuse (1880-1905) / Commitee of legal advisers of the congregations : the call to the law to work the religious cause (1880-1905)

Sutra, Romy 30 November 2018 (has links)
En 1864, le Syllabus opposait l’intransigeance romaine aux principes fondateurs de la société moderne. Le concile du Vatican de 1870, en exaltant la figure du pontife, souverain infaillible, seul rédempteur envisageable face à un monde en perdition, cristallise ces oppositions. En France, les catholiques se trouvent dans une position délicate. Si l’avènement de Léon XIII et sa politique de conciliation tendent à apaiser les tensions, du côté du gouvernement républicain désireux de s’inscrire dans la durée, on entend achever l’œuvre de la Révolution en faisant triompher les principes de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Mais, dans le pays, nombreux sont ceux qui espèrent encore une restauration monarchique, seul rempart contre l’anarchie et l’athéisme grandissants. L’affrontement entre ces deux entités, l’une indissociablement liée à l’ordre ancien, et l’autre aspirant au progrès et à l’émancipation, traduit en réalité l’émergence d’une nouvelle ère : celle de la séparation du politique et du religieux. Perçues comme des obstacles à l’enracinement de la nouvelle République, les congrégations, vestiges d’un autre temps et fer de lance de la conquête ultramontaine, seront alors désignées comme les « indésirables » de cette fin de siècle. Ces congrégations, « milice multicolore et sans patrie » selon les mots de Gambetta, ont su, tout au long du XIXe siècle, se reconstituer et recouvrer une influence croissante dans les secteurs clés que constituent l’enseignement et l’assistance. Inquiet de cette renaissance, le gouvernement aspire alors à faire taire les ambitions de l’Église catholique et de ses soldats congréganistes. C’est par la force de la loi, du moins le prétend-il, que le gouvernement espère parvenir à son objectif, l’idée étant de procéder pas à pas dans la laïcisation de la société afin d’éviter de froisser l’opinion, encore attachée, dans une majorité et surtout au début du régime, à cette image familière du religieux ou de la religieuse, incarnation de la charité. Dès 1879, le gouvernement va lancer son programme, et s'employer à affaiblir ce pouvoir concurrent par le biais d'une législation anticongréganiste ciblant des points stratégiques. Toutefois, cette idéologie « laïcisatrice », même savamment dissimulée par un voile de légalité, ne rassemble pas que des adeptes. Ainsi, des juristes catholiques vont méthodiquement s'organiser autour d’œuvres chargées d'assurer la défense des droits des catholiques. Les décrets d’expulsion de mars 1880 vont notamment conduire à la création du Comité de jurisconsultes des congrégations, instamment réclamé par les maisons religieuses. Réunissant avocats, magistrats et professeurs de droit, il sera dirigé durant toute son activité par le baron Armand de Mackau, figure emblématique de la droite conservatrice. Le conflit entre les congrégations et la République demeure bien souvent exclusivement examiné sous un prisme politico-religieux. Le fonds d’archives du Comité ouvrait dès lors une porte nouvelle sur les pratiques juridiques des défenseurs des congrégations, révélant ainsi comment une poignée de juristes catholiques s’organisa pour diriger la lutte sur le terrain du droit. À partir de là, s’imposait donc de repenser le problème sous l’angle d’un militantisme original, celui d'un militantisme juridique catholique. Cette étude tendra donc à examiner la manière dont ces juristes catholiques se sont paradoxalement emparés du droit républicain comme arme de revendication, comme outil de défense d'une cause et comme mode de protestation contre la politique anticongréganiste menée de 1880 à 1905. / Le résumé en anglais n'a pas été communiqué par l'auteur.

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