• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 5
  • Tagged with
  • 5
  • 5
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Sociabilités familiales, intellectuelles, artistiques et politiques autour d'une dessinatrice, illustratrice, graveuse et sculpteur : Chana Orloff (1888-1968), entre Paris, l'Amérique et Israël (1916-1968) / Family, intellectual, artistic and political sociabilities around a draftswoman, engraver and sculptor : Chana Orloff (1888-1968), between Paris, America and Israel (1916-1968)

Grobot, Anne 02 February 2018 (has links)
Depuis la thèse de Germaine Coutard-Salmon, soutenue en 1980 et consacrée à l'étude monographique de Chana Orloff (1888-1968), peu de travaux ont porté sur cette artiste. Cette thèse se propose donc de mettre en perspective l'œuvre sculpté et l'œuvre graphique (dessins, gravures et illustrations) de l'artiste, de 1910 à sa mort, exécutés entre Paris et Israël. L'étude privilégiera les sujets, les techniques, les supports, mais aussi les orientations esthétiques qui parcourent l'oeuvre et l'inscrivent dans l'histoire et dans l'histoire de l'art Commencée à Paris sous les auspices d'un héritage cubiste et d'une tentation Art déco, son œuvre – où abondent les portraits, les Maternités et les sujets animaliers - , développe une esthétique reposant sur la simplification des formes, leur apurement et leur étirement et sur des compositions frontales traversées par une ambition décorative, qu'on a rapproché tour à tour de Modigliani, d'Archipenko ou de Nadelman. Puis, à partir de la fin de la Deuxième Guerre mondiale et au moment de la création de l'Etat d'Israël, son art devient plus tourmenté et plus expressif. C'est aussi le moment où lui sont confiées, par l'Etat juif, d'importantes commandes monumentales. D'un point de vue méthodologique, la thèse s'appuiera notamment, mais non exclusivement, sur l'exploitation scientifique des fonds conservés à ce jour d'œuvres et de documents issus de l'atelier de l'artiste et interrogera la réception critique de l'œuvre de Chana Orloff à partir des années 1920, ainsi que les conditions de sa diffusion internationale (les galeristes, les marchands, les collectionneurs…) dans la perspective d'une histoire culturelle, sociale et politique de l'art. / Since Germaine Coutard-Salmon's thesis, presented in 1980 and devoted to the monographic study of Chana Orloff (1888-1968), there were not many other works published about this artist. The aim of this thesis is to put an emphasis on the sculpted and graphic works of art (drawings, engravings and illustrations) of the artist, since 1910 until her death, and achieved in both Paris and Israel. This study will deal with the subjects, the technics, the supports, but also the aesthetic orientations of her work which made her a part of history and art history. Started in Paris under the auspices of a cubist's heritage and Art deco's temptation, her work – characterized by many portraits, Maternities and animalist subjects -, developed an aesthetic based on the simplification of shapes, their balancing and their being stretched and on frontal compositions mixed with a decorative ambition, which has often been compared to Modigliani, Archipenko or Nadelman's work. Then, from the end of the Second World War and the time of the creation of Israel's State, her art became more tormented and more expressive. This was also the moment when the Jewish State commissioned her to produce a great number of works of art. From a methodological point of view, this thesis will be based in particular, but not exclusively, on the scientific exploitation of the funds preserved until now, made up of the works and documents of the artist's workshop and will question the critical reception of Chana Orloff's work from the 1920's until now, as well as the conditions of its international diffusion (gallerists, art dealers, collectors.....) from a cultural, social and political point of view of art.
2

La présence artistique française au lendemain de la seconde guerre en Italie : l’exemple de l’exposition Pittura francese d’oggi : Rome octobre 1946 / The French artistic presence after the second war in Italy : the example of the art exhibition “Pittura francese d’oggi” : Rome - October 1946

Martello, Rafaèle 07 March 2014 (has links)
Cette recherche propose d’analyser l’exposition Pittura francese d’oggi inaugurée à la galleria nazionale d’Arte moderna de Rome le 12 octobre 1946. Cette exposition, organisée par les services de l’A.F.A.A (association française d’action artistique) et de la D.G.R.C. (direction générale des relations culturelles) du ministère des Affaires étrangères présente au public italien pour la première fois depuis la fin de la seconde guerre mondiale, des œuvres de jeunes peintres français contemporains.Les documents d’archive ont permis de déterminer que l’exposition italienne est en fait une version corrigée et modifiée d’une précédente exposition qui s’est tenue à Berne en mars 1946 et intitulée « Ecole de Paris ». Après de nombreuses négociations avec l’ambassade d’Autriche, au lieu de se rendre à Vienne, l’exposition est finalement présentée à Prague l’été 1946.Son transfert en Italie a été possible grâce à un climat culturel favorable envers la France qui incitera les organisateurs à la transférer dans six villes italiennes : Venise, où elle est présentée en avant-première, Rome où elle est inaugurée officiellement, puis Naples, Florence, Milan et Turin où elle ferme définitivement en janvier 1947.La seconde partie de cette thèse propose la reconstruction du catalogue et la reproduction de la centaine d’ œuvres présente à cette exposition. / This thesis aims to analyze the exhibition " Pittura francese d’oggi " opened at the " Modern Art Gallery " in Rome October 12, 1946. This exhibition, organized by the services of the ' " AFAA " and " D.G.R.C. " the French Ministry of Public Affairs , submits to the Italian public, for the first time after the end of the World War, works of contemporary young French painters. Archival documents have identified that the Italian exhibition is actually a revised and corrected version of a previous exhibition held in Bern in March 1946, entitled " Ecole de Paris " . After numerous negotiations with the Embassy of Austria, instead of moving to Vienna , the exhibition was presented in Prague last summer 1946. Its transfer to Italy, due to a favorable cultural climate with France , urged the organizers to show it in six Italian cities. First of all, as a preview, in Venice ; in Rome where he officially opened , and then Naples Florence, Milan and Turin, where finally closed in January 1947.the second part of the thesis consists in the reconstruction of the catalog, with the reproduction of the works in this exhibition.
3

L’École de Paris, une histoire sans histoire ? : l’Art à Paris de 1945 à 1980 / The Ecole de Paris, a story without history ? : the Art in Paris from 1945 to 1980

Hyacinthe, Sandrine 08 July 2016 (has links)
La Nouvelle École de Paris est un objet à géométrie variable de l’histoire de l’art. Plus qu’une école nationale, elle est un concept résultant de la somme des discours qui n’ont de cesse de la définir de 1945 à 1980. L’École de Paris est une zone de transformation permanente au gré des projections et des interprétations des acteurs du monde de l’art (critiques, galeristes, artistes et historiens) ainsi que des intervenants extérieurs (politiques, milieux économiques). Chaque partie en a une lecture personnelle.Cette thèse, articulée en deux volets, revient sur les origines de ces interprétations contradictoires. Ainsi, la première partie concerne les lectures contemporaines de la Nouvelle École de Paris de 1945 à 1955. Cette période qui s’étend depuis la Libération de la France jusqu’au début de la guerre froide, revient sur les conditions d’émergence de la Nouvelle École de Paris et analyse les différentes acceptions qu’elle revêt. Le deuxième volet, intitulé l’École de Paris face à son histoire de 1955 à 1980, se concentre sur les réécritures de l’histoire de l’art. Au milieu des années 1950 la Nouvelle École de Paris atteint une stabilité qui relance la modernité et permet de réaffirmer la place de la France sur la scène internationale. Néanmoins, le modèle qui s’impose alors, va être fortement contesté tant au niveau national qu’international, alors que jusqu’ici l’École de Paris avait imposé un modèle historiographique basé sur la continuité des avant-gardes historiques françaises. À la fin des années 1960, l’école parisienne devenue trop embarrassante dans un monde de l’art internationalisé, devient un enjeu de relecture. L’histoire de l’art qui s’écrit dans les années 1970, frappée par la crise de l’avant-garde, réévalue les termes de son passé moderniste et ceux de la tradition nationale française. Il s’agit alors de déterminer la place et le rôle de l’École de Paris au sein du programme de refondation des politiques culturelles et de l’historiographie qui s’écrit de 1960 à 1980. Bien qu’officiellement condamnée, certains aspects de l’École de Paris entrent pourtant en résonnance avec la néo-avant-garde qui se développe entre 1970 et 1980, permettant de repenser et de dépasser les blocages engendrés par les définitions paradoxales de l’École de Paris. / The Nouvelle École de Paris is a “geometrical object” with multiple facets that have evolved throughout the History of art. More than a national school, the Nouvelle École de Paris arose from cumulative discourses that have been trying to define it from 1945 to 1980. The École de Paris is a permanent morphing zone, changing upon two main components. The first one includes the interpretations and projections stemming from various actors constituting the artistic community (i.e. critics, gallery owners, historians, artists, etc.) and the second one involves independent contributors (i.e. political and economic protagonists). Each one has a different reading. This thesis contains two parts, both exploring the multiple conflicting interpretations to understand the resulting artistic heritage of the École de Paris. Thus, the first part of the thesis named “The contemporary readings from 1945 to 1955” investigates the conditions and contexts allowing the rise of École de Paris and analyzes the multiple acceptations it faces through contemporary readings from the end of the Second World War in 1945, after the Liberation, to the beginning of the Cold War in 1955. The second part, named “L’ École de Paris facing its history, from 1955 to 1980” is focused on the way of rewriting the History of art. The Nouvelle École de Paris reaches enough stability to revive the modernity in the middle of the 50’s, allowing reinforcing the international position of France on the artistic scene. Nevertheless, the historiographical model based on the French historical avant-garde that has been so far imposed by the École de Paris will be strongly contested at both national and international levels. Becoming too embarrassing in such an internationalized artistic world, the École de Paris is again subjected to further reinterpretations at the end of the 60’s. Stricken by the artistic avant-garde crisis of the 70’s, the History of art is constrained to reappraise the terms defining its Modernist past and those of the artistic French national tradition. The new issues to determine the place and the role of the École de Paris within the rebuilding program of French cultural policies and through the historiography writing come up from1960 to 1980. Although officially condemned, the resonance of some aspects of the École de Paris within the neo-avant-garde arising between 1970 and 1980, allows rethinking and surpassing the blockages formerly engendered by all paradoxical definitions of the École de Paris.
4

L'identité artistique à l'épreuve : les artistes espagnols à Paris et l'engagement à partir de la Guerre civile (1936-1956) / Artistic identities put to the test : Spanish artists in Paris and political engagement from the Spanish Civil War to the normalization of Franco’s Spain (1936-1956)

Herold-Marme, Amanda 20 June 2017 (has links)
À l’aide de nouvelles informations, la présente étude vise à interroger l’impact de la guerre d’Espagne sur la communauté artistique espagnole à Paris, qui regroupe tant les artistes ayant tissé des liens forts avec la capitale française lorsque la guerre éclate, que ceux dont l’installation en France est précipitée par le conflit. Notre objectif est de restituer les singularités des dynamiques individuelles dans une histoire d’ensemble, en envisageant la prise de position de ces créateurs, jusqu’alors apolitiques, en faveur de chacun des deux camps sous le prisme de l’engagement de leur identité artistique espagnole et parisienne. Celle-ci, qui se définit selon le rapport revendiqué dans leur création plastique et leur mode de vie avec la modernité ou la tradition, s’imprègne de connotations idéologiques au début de la guerre. Nous chercherons notamment à mettre en perspective et à mieux comprendre la complexité, les paradoxes et les contradictions de l’activité artistique idéologisée des Espagnols à Paris au fil de ces années troubles, notamment sous l’Occupation, et jusqu’à la reprise de relations normalisées avec le régime franquiste dans les années 1950, qui marque la fin de notre cadre chronologique. L’engagement massif et manifeste d’un grand nombre d’artistes espagnols, installés ou fortement liés à la capitale française, dans ce conflit local, qui est le prélude à une conflagration mondiale, nous permettra de mettre en évidence à quel point ces Espagnols de Paris, en dépit de leurs motivations plastiques, se sont constamment trouvés au point de convergence de l’art, de l’engagement et de la politique dans ces années tourmentées du XXe siècle. / Nourished with new information, this study aims to examine the impact of the Spanish Civil War on the community of Spanish artists settled in Paris. We will consider artists with longstanding ties to the French capital when the war breaks out, as well as those whose arrival in France is precipitated by the conflict. Our objective is to situate the specificities of individual trajectories in a global history, by considering the political engagement of these previously apolitical creators for both sides of the Spanish conflict through the prism of their artistic identity which is both Spanish and Parisian. Defined by the ties to modernity or tradition that each artist claims in his work or his social practices, this artistic identity becomes permeated with ideological connotations at the beginning of the Spanish Civil War. Our aim is to shed light on and put into perspective the complexity, the paradoxes and the contradictions of this politicized activity undertaken by Spanish artists in Paris over the course of these tumultuous years, especially during the Nazi Occupation of Paris. The renewal of normalized relations with Francoist Spain in the 1950s marks the end of our study. The massive and ostentatious political engagement of a considerable number of Spanish artists residing in or with strong ties to the French capital will allow us to clarify the point to which these Spaniards in Paris, in spite of their artistic ambitions, find themselves at the point of convergence of art and politics throughout these troubled years of the XXth century.
5

École(s) de Paris : enquête sur les compositeurs étrangers à Paris dans l'entre-deux-guerres

Lazzaro, Federico 11 1900 (has links)
Thèse soutenue le 27 février 2015 devant un jury composé par Marie-Hélène Benoit-Otis (présidente, Université de Montréal), François de Médicis (Université de Montréal), Christopher Moore (Université d'Ottawa) et Michel Duchesneau (Université de Montréal). / « École de Paris » est une expression souvent utilisée pour désigner un groupe de compositeurs étrangers ayant résidé à Paris dans l’entre-deux-guerres. Toutefois, « École de Paris » dénomme des réalités différentes selon les sources. Dans un sens élargi, le terme comprend tous les compositeurs de toute époque ayant vécu au moins une partie de leur vie à Paris. Dans son sens le plus strict, il désigne le prétendu regroupement de quatre à six compositeurs arrivés à Paris dans les années 1920 et comprenant notamment Conrad Beck, Tibor Harsányi, Bohuslav Martinů, Marcel Mihalovici, Alexandre Tansman et Alexandre Tchérepnine. Dans le but de revisiter l’histoire de l’utilisation de cette expression, nous avons reconstitué le discours complexe et contradictoire à propos de la question « qu’est-ce que l’École de Paris? ». Notre « enquête », qui s’est déroulée à travers des documents historiques de l’entre-deux-guerres ainsi que des textes historiographiques et de vulgarisation parus jusqu’à nos jours, nous a mené à la conclusion que l’École de Paris est un phénomène discursif que chaque acteur a pu manipuler à sa guise, car aucun fait ne justifie une utilisation univoque de cette expression dans le milieu musical parisien des années 1920-1930. L’étude de la programmation musicale nous a permis notamment de démontrer qu’aucun évènement regroupant les compositeurs considérés comme des « membres » de l’École de Paris n’a jamais eu lieu entre 1920 et 1940. Par la suite, nous avons contextualisé ce discours pour comprendre quels faits et quelle rhétorique dominante l’ont rendu possible. L’expression utilisée en musique est une extension de celle introduite dans le milieu des arts visuels dans les années 1920, dictée par la tendance dominante dans le Paris cosmopolite à marquer une distinction nette entre les Français et les étrangers. Nous avons à ce propos approfondi les différentes formes de nationalisme musical, et leur rôle dans la création d’un discours faisant de l’École de Paris une question stylistique – une position qui affirme l’existence d’un « style École de Paris » distinct de la « musique française ». En plus des reconstitutions du discours des tiers et du contexte, nous avons interrogé les discours tenus par les compositeurs concernés. L’étude de plusieurs documents inédits nous apprend que ces compositeurs s’opposent fermement, dans l’entre-deux-guerres, aux tentatives de les considérer comme un groupe. Mais qu’après la Seconde Guerre mondiale, ils épousent le discours favorable à l’image homogène et cohérente d’une École de Paris, contribuant ainsi à sa fortune historiographique. / “School of Paris” (École de Paris) is a term often used to indicate a group of foreign composers who resided in Paris in the years between World War I and II. However, depending on the source, “School of Paris” can have various meanings. In a broader sense, it includes all composers in any era who lived at least part of their lives in Paris. In its strictest sense, it refers to the alleged group of four to six composers who arrived in Paris in the 1920s: Conrad Beck, Tibor Harsányi, Bohuslav Martinů, Marcel Mihalovici, Alexandre Tansman, and Alexander Tcherepnin. In order to revisit the history of the use of this term, we have reconstructed the complex and contradictory discourse concerning the question: “what is the School of Paris?”. Our “investigation”, which took place through historical documents of the interwar years, as well as historiographical and popularized texts published up to today, led us to the conclusion that the School of Paris is a discursive phenomenon that each performer could manipulate at will, since no factual evidence justifies an unequivocal use of this term in the Parisian musical milieu of the 1920s and 1930s. Most notably, the study of musical programming allowed us to demonstrate that no particular event or gathering of the so-called “members” of the School of Paris ever took place between 1920 and 1940. Subsequently, we have contextualized this discourse to understand which facts and which prominent rhetoric made it possible. The term used in music is an extension of that which was introduced in the milieu of visual arts in the 1920s, dictated by the dominant tendency in cosmopolitan Paris to make a clear distinction between the French and the non-French. In this light, we have thoroughly examined the different forms of musical nationalism and their role in creating a discourse on the School of Paris as a question of style — a position that asserts the existence of a “School of Paris style”, distinct from that of “French music”. In addition to the reconstructions of third party and contextualized discourse, we have examined the discourses held by the composers in question. The study of several unpublished documents shows us that these composers were strongly opposed, during the interwar years, to attempts to treat them as a group. Not until after the Second World War do they couple this discourse with the favourable image of a homogeneous and coherent School of Paris, thus contributing to its historiographical fortune.

Page generated in 0.084 seconds