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Contre la raison? : l'opposition au rationalisme dans le discours de l'écologisme fondamentaliste

Fontaine, Mathieu January 2006 (has links) (PDF)
Le but du présent mémoire se divise essentiellement en deux objectifs. Le premier de ceux-ci consiste à repérer, dans le discours de l'écologisme fondamentaliste, l'opposition au rationalisme moderne. Ce premier objectif est cependant secondaire puisque son utilité réside dans l'atteinte du second objectif. Ce dernier consiste effectivement, quant à lui, à établir une critique de cette opposition qui aura été rendue manifeste au lecteur avec l'atteinte du premier objectif. Nous nous limiterons, pour ce faire, à employer les grilles d'analyse du rationalisme fournies par des auteurs du courant écologiste fondamentaliste afin de les confronter à celles fournies par des auteurs qui se penchent plutôt directement sur la critique du rationalisme, c'est-à-dire qui n'ont pas l'écologisme comme point de départ. Le lecteur comprendra que le travail qui suit s'appuie sur une démarche analytique pour parvenir à son but. Quatre sujets généraux sont abordés par cette démarche : la critique du rationalisme, les impacts environnementaux du rationalisme selon le discours écologiste fondamentaliste, la légitimation rationnelle à l'intérieur du discours écologiste fondamentaliste et le recours à la pensée mythique dans le discours écologiste fondamentaliste. L'hypothèse principale de ce mémoire est que l'opposition au rationalisme dans l'écologisme fondamentaliste ne tient pas la route puisque ce discours s'appuie essentiellement sur une approche rationaliste de la réalité, même dans ses exemples les plus radicaux.
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L'écologie radicale au Québec : pratiques et représentations sociospatiales des groupes écologistes radicaux, de 2001 à 2007

Massé, Bruno January 2008 (has links) (PDF)
Depuis le Sommet des Amériques de Québec en 2001, un mouvement d'écologie radicale a émergé dans la province. Entre 2001 et 2007, quatorze groupes écologistes radicaux ont vu le jour. Dix des quatorze groupes ont participé à l'étude. Pour chacun de ces dix groupes, un répondant a été interviewé. Cette étude est la première au Québec à se pencher sur le sujet. Ces groupes, organisés de façon décentralisée, non hiérarchique et autonome, perçoivent le rapport entre la société et la nature comme étant problématique. Leur radicalisme se veut une tentative d'aller aux racines (causes) du problème et de se rapprocher d'un mode de vie égalitaire, tant écologique que social. Le mouvement est fortement influencé par la pensée libertaire. Ces groupes lient la lutte pour l'environnement à celles contre les inégalités sociales et la domination, s'opposant à l'État, au capitalisme et à l'anthropocentrisme. En pratiquant l'action directe, la réappropriation de lieux et l'éducation, les groupes visent à acquérir une plus grande autonomie, à devenir autosuffisants et à subvertir les bases du système dominant. Leurs enjeux sont multiples, mais les groupes se concentrent sur les thématiques de l'alimentation, la cruauté faite aux animaux et la coupe forestière. Chacune de leurs pratiques est considérée comme outil d'une lutte sociale plus large. En étudiant leurs discours, stratégies et pratiques il apparaît évident que les écologistes radicaux sont en quête de cohérence, ils en sont cependant conscients et démontrent une praxis complète ou en voie de complétion. Le mouvement écologiste radical du Québec tente de passer de la résistance symbolique à la transgression ouverte. Cependant, la répression (structurelle et policière) dont ils sont vIctimes les contraint à modifier leurs stratégies et pratiques. De plus, les écologistes radicaux accusent le mouvement vert, plus institutionnalisé, de ne pas remettre en question les causes réelles de la crise écologique et de marginaliser leur existence. Ils les accusent de légitimer l'État par le lobbying. Aussi, ils affirment que les organisations environnementales institutionnalisées sont généralement inefficaces et infantilisantes. Leurs pratiques et représentations sociospatiales laissent croire que les groupes écologistes radicaux priorisent deux échelles: le global et le local (avec un emphase sur le résidentiel). Ils n'ont peu ou pas d'identité territoriale, sont critiques des milieux urbains et ruraux et veulent repenser la façon d'habiter le territoire. Ils affichent une conscience géographique soutenue qui comporte l'avantage de l'expérience immédiate et sensible de l'espace construit socialement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Écologie, Écologie radicale, Mouvement vert, Anarchisme, Radicalisme, Environnementalisme, Géographie critique, Révolution, Représentation sociospatiale.

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