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Les pratiques de la recherche en archéologie à l'heure du numérique : l'évolution de la recherche d'information et de la publication de 1955 à nos jours / Archaeology research in the digital age : the history and evolution of information retrieval and publication (1955 to present)

Fromageot-Laniepce, Virginie 29 November 2018 (has links)
Avec les progrès des technologies numériques et des réseaux, les archéologues sont appelés à réfléchir à la grande diversité des supports pour la consultation des connaissances archéologiques. L’objectif de cette recherche est de comprendre les caractéristiques de la publication scientifique en ligne et les solutions qu’elle apporte au travail de l’archéologue.La première partie de cette étude, dédiée à l’histoire de la recherche d’information et de la publication en archéologie, dans la seconde moitié du XXe siècle en France, examine les expériences des précurseurs des bases de données, puis des pionniers du traitement des textes des publications, dans la mesure où ils furent des observateurs avisés des problèmes de lecture des publications archéologiques et de l’utilisation des informations contenues. Dans la seconde partie, l’étude aborde les questions de l’élaboration de la publication scientifique en ligne, de l’apparition de l’internet à aujourd’hui, dans le contexte d’une diffusion qui tend à mettre à la disposition de chacun une large partie de l'information (Libre accès). Elle définit le processus de l’édition scientifique en ligne pour l’archéologie, à partir d’une enquête sur les fréquents supports de diffusion en ligne des ouvrages et des revues scientifiques imprimés et sur la formation de publications numériques natives, suivie d’une analyse de conceptions au sein de l’UMR 7041 Archéologies et Sciences de l’Antiquité avec différents partenaires. Les résultats permettent de mieux comprendre les besoins fondamentaux de la communauté archéologique et de l’aider à organiser ces entreprises éditoriales. / The nature of publishing in archaeology is changing with the advancement of digital media, and archaeologists are deeply involved in the evolution of print and digital publication. This research aims to understanding the characteristics of digital publication and the solutions it offers to archaeological research.The first part of this study concerns the history of information retrieval and publication in the second half of the twentieth century in France. It examines the foundations of archaeological computing and the start of automatic documentation in the discipline (later becoming database applications and data processing), and how other past experiences have contributed to formalizing archaeological reflection and writing.The second part of the study surveys the development of digital publishing in archaeology through time and within the context of Open Access. Through an evaluation of websites that disseminate printed books and journals as well as those publishing only in digital form, the process of online dissemination is defined (and with reference to experiences from the Unit of “Archéologies et Sciences de l’Antiquité” with key publishing stakeholders). The results provide a key to better understand the needs of the archaeological community and assist in developing current approaches to archaeological publishing.
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Mise en place d'un prototype d'archive ouverte institutionnelle ARCHIVALG : cas de la production scientifique du CERIST d'ALGER

Ben Allal, Karima 30 May 2007 (has links) (PDF)
L'exploitation rationnelle des résultats de la recherche scientifique dépend en premier lieu de l'accès à ces résultats. C'est de ce principe qu'a émergé le mouvement des archives ouvertes dans les milieux de la recherche afin de prôner un accès libre et gratuit à la littérature scientifique mondiale. La maîtrise de ce mouvement quand à ses principes, ses techniques....justifie cette étude qui se propose de définir un prototype d'archive ouverte institutionnelle (CERIST d'Alger) et multidisciplinaire pour les communautés scientifiques algériennes. Pour atteindre cet objectif, nous avons, dans un premier lieu, fait un rappel sur les origines et les évolutions du mouvement des archives ouvertes (Open Archive) dans le paysage de la communication scientifique. Puis, nous avons étudié quelques dépôts d'archives afin de nous inspirer de leur modes d'organisation et de fonctionnement dans la réalisation de notre prototype d'archive ouverte que nous avons nommé ArchivAlg. La suite de cette recherche expose dans une démarche constructive les étapes de création et de mise en oeuvre de notre prototype et propose vers la fin quelques perspectives de promotion de l'archivage libre en Algérie.
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De la revue au collectif : la conversation comme dispositif d'éditorialisation des communautés savantes en lettres et sciences

Sauret, Nicolas 08 1900 (has links)
Cette thèse en cotutelle a été co-dirigée par Marcello Vitali-Rosati, professeur au département des littératures de langue française de l'Université de Montréal et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques et par Manuel Zacklad, professeur de Sciences de l'information et de la communication au CNAM et directeur du laboratoire Dicen-IDF. Louise Merzeau, anciennement professeure de Sciences de l'information et de la communication à l'Université Paris Nanterre et co-directrice du laboratoire Dicen-IDF, a initié la co-direction en 2015 avant de nous quitter en juillet 2017. La thèse a été réalisée dans le cadre du labex Les passés dans le présent et a donc bénéficié de l’aide de l’Etat gérée par l’ANR au titre du programme Investissements d’avenir portant la référence ANR-11-LABX-0026-01. Elle a également bénéficié du soutien de la Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques, du FRQSC (Programme international 2017) et du CRIHN. Elle a été déposée en août 2020 et est diffusée depuis en libre accès sur le site https://these.nicolassauret.net. / Si l'on s'accorde à dire que les outils numériques ont modifié en profondeur nos pratiques d'écriture et de lecture, l'influence que ces nouvelles pratiques exercent sur les contenus d'une part, et sur la structuration de notre pensée d'autre part, reste encore à déterminer. C'est dans ce champ d'investigation que s'inscrit cette thèse, qui questionne la production des connaissances à l'époque numérique : le savoir scientifique aurait-il changé en même temps que ses modalités de production et de diffusion ? Je traiterai ce sujet à travers le prisme de la revue savante en lettres et sciences humaines, dont le modèle épistémologique, encore attaché au support papier, se voit profondément questionné par le numérique dans sa dimension technique aussi bien que culturelle. Je fais l'hypothèse que les modalités d'écriture en environnement numérique sont une opportunité pour renouer avec les idéaux de conversation scientifique qui présidaient l'invention des revues au 17eme siècle. La thèse propose une réflexion en trois temps, articulée autour de trois conceptions de la revue : la revue comme format, comme espace et, tel que je le propose et le conceptualise, comme collectif. La revue comme format, d'abord, émerge directement de la forme épistolaire au 17eme, favorisant alors la conversation au sein d'une communauté savante dispersée. Mais les limites conceptuelles du format nous invite à considérer la revue davantage comme un media. Pour penser alors sa remédiation, je montrerai que cette conversation trouve son incarnation contemporaine dans le concept d'éditorialisation. La revue comme espace, ensuite, où s'incarnait jusque-là l'autorité scientifique, fait émerger de nouvelles possibilités conversationnelles, en raison des glissements de la fonction éditoriale des revues et de leurs éditeurs dans l'espace numérique. Enfin, la revue comme collectif émerge d'une écriture processuelle, en mouvement, propre à l'environnement numérique. Un des enjeux de cette thèse réside dans la mise en évidence des dynamiques collectives d'appropriation et de légitimation. En ce sens, la finalité de la revue est peut-être moins la production de documents que l'éditorialisation d'une conversation faisant advenir le collectif. Au plan méthodologique, cette thèse a la particularité de s'appuyer sur une recherche-action ancrée dans une série de cas d'étude et d'expérimentations éditoriales que j'ai pu mener en tant que chercheur d'une part, et éditeur-praticien d'autre part. La présentation des résultats de cette recherche-action, ainsi que leur analyse critique, fournissent la matière des concepts travaillés dans la thèse. / Digital tools have profoundly modified our writing and reading practices. Yet the influence that these new practices exert on content and on the structuring of our thinking has to be determined. This thesis falls within this field of investigation and questions the production of knowledge in the digital age: has scientific knowledge changed along the transformation of its production and distribution means? I will deal with this subject through the prism of the scholarly journal in the humanities, whose epistemological model, still attached to the paper medium, is profoundly questioned by the digital age in its technical as well as cultural dimension. I hypothesize that the modalities of writing in a digital environment are an opportunity to revive the ideals of scientific conversation that presided over the invention of journals in the 17th century. The thesis proposes a reflection in three stages, articulated around three conceptions of the journal : the journal as a format, as a space and, as I propose and conceptualize it, as a collective. The journal as a format, first of all, emerges directly from the epistolary form in the 17th century, thus favoring conversation within a dispersed scholarly community. But the conceptual limits of the format invite us to consider the journal more as a _media_. In order to grasp its remediation, I will show that this conversation finds its contemporary incarnation in the concept of editorialisation. Then the journal as a space, where scientific authority was previously embodied, brings out new conversational possibilities due to the shifts in the editorial function of journals and their publishers in the digital space. Finally, the journal as a collective emerges from a processual and writing, in movement, peculiar to the digital environment. One of the challenges of this thesis is to highlight the collective dynamics of appropriation and legitimation. In this sense, the purpose of the journal is perhaps less the production of documents than the editorialisation of a conversation that brings the collective to life. From a methodological point of view, this thesis is the result of a practice-based research anchored in a series of case studies and editorial experiments that I have been able to carry out as a researcher on the one hand, and as an editor-practitioner on the other.

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