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Le Livre augmenté : de la remédiatisation à l'éditorialisation. / Enhanced ebook : from remediation to editorialization

Laborderie, Arnaud 04 December 2017 (has links)
Cette thèse se propose d’examiner le concept de « livre augmenté » à partir d’une posture théorique articulée à une pratique de médiateur et d’éditeur multimédia exercée à la Bibliothèque nationale de France (BnF) pendant une vingtaine d’années. Notre recherche pose la question de la reconfiguration du livre dans l’espace numérique à travers les notions de remédiatisation et d’éditorialisation, c’est-à-dire du point de vue de l’évolution des formes médiatiques et des pratiques éditoriales. La conception de deux prototypes — le livre-application Candide réalisé à la BnF et le livre-web Odyssée réalisé à l’Université Paris-VIII — nous a permis d’interroger les frontières du livre et de formuler les concepts d’enrichissement et d’augmentation au regard de la clôture du livre. Nous défendons la thèse d’un objet-livre numérique nécessairement clos, enrichi par l’éditeur et le lecteur, augmenté par des extensions virtuelles sur le web ou en applications. L’expérience de lecture et la transmission des œuvres s’y trouvent renouvelées par des pratiques intermédiatiques et une nouvelle sensorialité des supports numériques. / This thesis proposes to examine the concept of "enhanced book" from a theoretical posture articulated to a practice of mediator and multimedia editor exercised at the French National Library (BnF) during twenty years. Our research raises the question of the reconfiguration of the book in the digital environment through the notions of remediation and editorialization, that is to say, from the point of view of the media forms and editorial practices evolution. The design of two prototypes — the Candide app-book carried out at the BnF and the Odyssey web-book conducted at the University of Paris VIII — enabled us to examine the boundaries of the book and formulate the concepts of enrichment and enhancement regarding to the enclosure of the book. We defend the thesis of a digital object-book necessarily closed, enriched by the editor and the reader, enhanced by virtual extensions on the web or in applications. The experience of reading and transmitting the works are renewed by intermediate practices and a new sensoriality of digital media.
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De briques et de blocs. La fonction éditoriale des interfaces de programmation (api) web : entre science combinatoire et industrie du texte / Of Bits and Blocks. The publishing function of web Application Programming Interfaces (APIs) : from a combinatorial science to an industry of text-processing

Goyet, Samuel 22 November 2017 (has links)
Boutons « J’aime », tweets ancrés… Toutes ces formes sont générées par des interfaces de programmation ou API, outils d’écriture informatique qui ont integré la chaîne de production des textes de réseau contemporains. Cette thèse interroge la fonction éditoriale des API, soit leur rôle dans la production, la standardisation et la circulation des « petites formes » des textes de réseau. Avec comme corpus les API de Facebook et de Twitter ainsi que les petites formes qu’elles permettent de produire, notre analyse techno-sémiotique s’articule en cinq chapitres. Le premier est une généalogie des API du point de vue de l’écriture combinatoire. Nous montrons que cette conception de l’écriture est un trait saillant de la programmation et de l’informatique. Le second chapitre interroge les imaginaires de l’écriture informatique, entre chiffre, combinatoire et méthode scientifique universelle. Le troisième chapitre est une analyse des conséquences sémiotiques de cet universalisme combinatoire, où nous montrons que les API proposent une conception du texte comme ensemble abstrait de blocs combinables. Abstraction du texte qui sert une « économie des passages », objet de notre quatrième chapitre, dans laquelle les API sont des lieux d’industrialisation d’une « pratique lettrée » : elles établissent des critères de lisibilité et de reproductibilité du texte. Parmi ces critères, nous notons une invisibilisation du rôle pourtant fondamental du calcul informatique. Nous proposons donc, dans un cinquième chapitre, des pistes pour développer une sémiotique qui prenne en compte le calcul comme mode d’expression propre aux médias numériques. / « Like » buttons, embedded tweets… All of these visual forms are produced by Application Programming Interfaces (APIs). APIs are digital writing tools which have become part of the publishing process of contemporary web pages. This thesis aims at understanding the « publishing function » of APIs : their role in the production, standardization and circulation of the « little forms » of online texts. Focused on Facebook’s and Twitter’s APIs, our work is divided into five chapters. The first one is a genealogy of the APIs, starting from their combinatorial aspect, a conception of writing which trace back to early programming and the invention of computer science. The second chapter is an inquiry about the imaginaries of calculus as a kind of writing, torn between the imaginary of numbers, of combinatorics and the search for a universal scientific method. The third chapter is a study of the semiotic consequences of this combinatorial universalism. We show how APIs are based on an idea of text as an abstract, modular object. This abstraction of the text is beneficial to an « economy of passages ». In this economy where circulation produce value, APIs are a place of « literate practices » (chapter four). They establish visual standards for the readability, production and circulation of online texts. Among these standards, there’s a systematic invizibilisation of the action of machines, although calculus is a necessary part of the production of digital texts. Therefore, in the fifth chapter, we give some epistemological elements towards non-anthropocentric semiotics, meaning : semiotics which would take into account computational machines as a part of the utterance of digital texts.
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Fabriquer des éditions, éditer des fabriques : reconfiguration des processus techniques éditoriaux et nouveaux modèles épistémologiques

Fauchié, Antoine 11 1900 (has links)
Version web de la thèse : https://these.quaternum.net/ / Les processus d’édition sont constitutifs de la production du sens et ils reflètent des visions du monde plurielles. Cette thèse propose de comprendre ces processus à travers le concept de fabrique. Une fabrique est l’imbrication de différentes dimensions techniques, telles que le travail sur le texte ou la construction de procédés de fabrication et de production de formes, d’objets et d’artefacts que sont les livres. Le phénomène de fabrique d’édition est ainsi un acte éditorial qui comprend autant la formalisation d’un contenu que la constitution des outils permettant ce travail. Ce concept de fabrique est développé tout au long de cette recherche en établissant des analyses théoriques des différents objets de l’édition, en réalisant des études de dispositifs techniques, et en menant des expérimentations éditoriales. Nous interrogeons les fabriques d’édition dans le domaine des lettres, et plus particulièrement des modèles alternatifs, en considérant que la pensée émerge des processus dispositifs. La place hégémonique de plusieurs logiciels, depuis l’avènement de l’informatique dans l’édition, limite tout questionnement sur la technique. C’est pourtant en étudiant des pratiques originales et marginales que nous pouvons décrire de nouvelles modélisations créatrices de sens. Notre corpus est composé d’objets éditoriaux, de structures d’édition et de dispositifs techniques qui questionnent les modèles établis et qui construisent de nouveaux modèles épistémologiques en interrogeant notre rapport à la technique. Le parcours général de cette thèse est progressif, expérimental et performatif. Il s’agit de définir le livre comme artefact et d’étudier l’édition comme acte et comme éditorialisation. Nous abordons le numérique comme environnement puis comme processus technique, en analysant l’édition numérique au prisme des humanités numériques. Nous établissons que les formats sont des dispositifs de modélisation du sens, et nous effectuons une critique du logiciel pour conceptualiser la fabrique et pour observer le phénomène de fabrique d’édition. La mise en place des éléments techniques nécessaires à une chaîne ou à une fabrique d’édition fait partie intégrante de l’acte éditorial et de la production du sens. / Publishing processes are part and parcel of the production of meaning, and reflect plural worldviews. This thesis proposes to understand these processes through the concept of factory (fabrique in french). A factory is the interweaving of different technical dimensions, such as work on the text or the construction of manufacturing and production processes for the forms, objects and artifacts that are books. The phenomenon of publishing factories is thus an editorial act that includes both the formalization of content and the creation of the tools that enable this work. This concept of fabrique is developed throughout this research by establishing theoretical analyses of the various objects of publishing, carrying out studies of technical devices, and conducting editorial experiments. We examine publishing factories in the field of literature, and in particular alternative models, considering that thought emerges from processes and devices. The hegemonic role of software in publishing since the advent of computer technology limits any questioning of technique. Yet it is by studying original, marginal practices that we can describe new, meaning-creating models. The general path of this thesis is progressive, experimental and performative. The aim is to define the book as an artifact, and to study publishing as an act and as editorialization. We approach the digital as an environment, then as a technical process, analyzing digital publishing through the prism of digital humanities. We establish that formats are systems for modeling meaning, and we undertake a critique of software to conceptualize the factory and to observe the phenomenon of the publishing factory. Setting up the technical elements required for a publishing chain or factory is an integral part of the editorial act and the production of meaning.
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De la revue au collectif : la conversation comme dispositif d'éditorialisation des communautés savantes en lettres et sciences

Sauret, Nicolas 08 1900 (has links)
Cette thèse en cotutelle a été co-dirigée par Marcello Vitali-Rosati, professeur au département des littératures de langue française de l'Université de Montréal et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques et par Manuel Zacklad, professeur de Sciences de l'information et de la communication au CNAM et directeur du laboratoire Dicen-IDF. Louise Merzeau, anciennement professeure de Sciences de l'information et de la communication à l'Université Paris Nanterre et co-directrice du laboratoire Dicen-IDF, a initié la co-direction en 2015 avant de nous quitter en juillet 2017. La thèse a été réalisée dans le cadre du labex Les passés dans le présent et a donc bénéficié de l’aide de l’Etat gérée par l’ANR au titre du programme Investissements d’avenir portant la référence ANR-11-LABX-0026-01. Elle a également bénéficié du soutien de la Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques, du FRQSC (Programme international 2017) et du CRIHN. Elle a été déposée en août 2020 et est diffusée depuis en libre accès sur le site https://these.nicolassauret.net. / Si l'on s'accorde à dire que les outils numériques ont modifié en profondeur nos pratiques d'écriture et de lecture, l'influence que ces nouvelles pratiques exercent sur les contenus d'une part, et sur la structuration de notre pensée d'autre part, reste encore à déterminer. C'est dans ce champ d'investigation que s'inscrit cette thèse, qui questionne la production des connaissances à l'époque numérique : le savoir scientifique aurait-il changé en même temps que ses modalités de production et de diffusion ? Je traiterai ce sujet à travers le prisme de la revue savante en lettres et sciences humaines, dont le modèle épistémologique, encore attaché au support papier, se voit profondément questionné par le numérique dans sa dimension technique aussi bien que culturelle. Je fais l'hypothèse que les modalités d'écriture en environnement numérique sont une opportunité pour renouer avec les idéaux de conversation scientifique qui présidaient l'invention des revues au 17eme siècle. La thèse propose une réflexion en trois temps, articulée autour de trois conceptions de la revue : la revue comme format, comme espace et, tel que je le propose et le conceptualise, comme collectif. La revue comme format, d'abord, émerge directement de la forme épistolaire au 17eme, favorisant alors la conversation au sein d'une communauté savante dispersée. Mais les limites conceptuelles du format nous invite à considérer la revue davantage comme un media. Pour penser alors sa remédiation, je montrerai que cette conversation trouve son incarnation contemporaine dans le concept d'éditorialisation. La revue comme espace, ensuite, où s'incarnait jusque-là l'autorité scientifique, fait émerger de nouvelles possibilités conversationnelles, en raison des glissements de la fonction éditoriale des revues et de leurs éditeurs dans l'espace numérique. Enfin, la revue comme collectif émerge d'une écriture processuelle, en mouvement, propre à l'environnement numérique. Un des enjeux de cette thèse réside dans la mise en évidence des dynamiques collectives d'appropriation et de légitimation. En ce sens, la finalité de la revue est peut-être moins la production de documents que l'éditorialisation d'une conversation faisant advenir le collectif. Au plan méthodologique, cette thèse a la particularité de s'appuyer sur une recherche-action ancrée dans une série de cas d'étude et d'expérimentations éditoriales que j'ai pu mener en tant que chercheur d'une part, et éditeur-praticien d'autre part. La présentation des résultats de cette recherche-action, ainsi que leur analyse critique, fournissent la matière des concepts travaillés dans la thèse. / Digital tools have profoundly modified our writing and reading practices. Yet the influence that these new practices exert on content and on the structuring of our thinking has to be determined. This thesis falls within this field of investigation and questions the production of knowledge in the digital age: has scientific knowledge changed along the transformation of its production and distribution means? I will deal with this subject through the prism of the scholarly journal in the humanities, whose epistemological model, still attached to the paper medium, is profoundly questioned by the digital age in its technical as well as cultural dimension. I hypothesize that the modalities of writing in a digital environment are an opportunity to revive the ideals of scientific conversation that presided over the invention of journals in the 17th century. The thesis proposes a reflection in three stages, articulated around three conceptions of the journal : the journal as a format, as a space and, as I propose and conceptualize it, as a collective. The journal as a format, first of all, emerges directly from the epistolary form in the 17th century, thus favoring conversation within a dispersed scholarly community. But the conceptual limits of the format invite us to consider the journal more as a _media_. In order to grasp its remediation, I will show that this conversation finds its contemporary incarnation in the concept of editorialisation. Then the journal as a space, where scientific authority was previously embodied, brings out new conversational possibilities due to the shifts in the editorial function of journals and their publishers in the digital space. Finally, the journal as a collective emerges from a processual and writing, in movement, peculiar to the digital environment. One of the challenges of this thesis is to highlight the collective dynamics of appropriation and legitimation. In this sense, the purpose of the journal is perhaps less the production of documents than the editorialisation of a conversation that brings the collective to life. From a methodological point of view, this thesis is the result of a practice-based research anchored in a series of case studies and editorial experiments that I have been able to carry out as a researcher on the one hand, and as an editor-practitioner on the other.

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