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Intervenir en périphérie pour la conservation des aires protégées : réexamen d’un postulat. La situation du Parc du W et des éleveurs mobiles / Intervening in the periphery of protected areas : a postulate examination. The situation of the W Park and the mobile pastoralists

Manceron, Stéphane 07 October 2011 (has links)
L’intervention en périphérie d’aire protégée visant l’amélioration de la conservation est une démarche largement partagée par les programmes de conservation depuis les années 1990. Il s’agit pourtant d’un postulat, que nous voulons réexaminer grâce à la situation du Parc du W (Bénin, Burkina Faso, Niger). Ce Parc est un complexe transfrontalier d’aires protégées, confronté à la pénétration illégale de troupeaux bovins transhumants conduits par des bergers peuls à la recherche de pâturage.Nous identifions d’abord les différents espaces où se jouent les relations entre le Parc et les pasteurs. Au-delà d’une périphérie proche, déjà prise en compte par le Parc, les espaces d’interaction dépassent, par des effets indirects, l’échelle de la mobilité des pasteurs. Ils englobent non seulement une aire d’attraction mais des espaces plus lointains, qui comprennent tous les pôles d’accueil pastoraux de la région. Nous analysons les facteurs de l’attractivité relative de ces espaces. Nous décrivons ensuite les formes de mobilité des éleveurs et leurs relations avec le Parc. A l’aide d’un modèle de décision, nous mettons en évidence les facteurs influençant les pratiques de mobilité dans leur diversité. Enfin, nous étudions les stratégies du Parc en périphérie pour examiner leur influence réelle ou potentielle sur les pasteurs. Elles souffrent du manque d’explicitation d’objectifs d’intervention basés sur l’analyse des relations entre Parc et périphérie. Au delà, nous montrons les limites de tout projet de conservation, cantonné à une ingénierie écologique, alors qu’est mise au jour la nécessité d’une ingénierie territoriale menée simultanément à de multiples échelles. / Protected area managers act on peripheral zones because they hope that it will improve conservation. This is a common behaviour of most development programs since 1990s. However, this relies on a postulate, which we try to examine thank to the case of the W Park (Bénin, Burkina Faso, Niger). This transborder park is a complex of protected area that faces with cattle herds, led by fulan herdsmen, that illegaly enters to find pasture. We identify spaces where the interactions between Parc and pastors take place. Beyond close periphery that was already took into into account by the Park, interaction spaces are even greater than the spaces where the pastors move because of indirect effects. They encompass an attraction area, and even further, all the surrounding main pastures area. We explore all factors that make the attractivity of spaces, including Park, compared to each other. Then, we describe pastors mobility types and how they affect their relationships to Park. A decision model helps us to show the factors influencing various mobility practices.Finally, we analyse Park strategies in the surrounding to evaluate its actual or potential influence on pastors. Its intervention lacks explicite goals and should be grounded on an analysis of relationships between Park and its surrounding. Deeper, we bring out that any conservation program is limited because it implements ecological engineering though a multiscale territorial engineering would be necessary.
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Système mixte agriculture irriguée et élevage transhumant : l'enjeu autour de l'accès aux ressources foncières dans la moyenne vallée du fleuve Sénégal / Mixed system irrigated agriculture and livestock farming : the issue around access to land resources in the middle valley of the Senegal river

Diouf, Ibrahima Faye 26 September 2013 (has links)
Dans un contexte d’aménagement de la vallée du fleuve Sénégal et de développement de l’agriculture irriguée, les populations d’éleveurs mettent en avant un ensemble de stratégies afin de renforcer leurs exploitations familiales. En effet, depuis les crises de sécheresse des années 1970-1980, la situation de l’élevage transhumant dans la vallée ne cesse de se détériorer et sa pérennisation remise en cause, en raison de la réduction des parcours pastoraux. L’objectif de ce travail est de faire comprendre les stratégies de survie mises en application par les éleveurs pour maintenir leurs exploitations viables. Un travail d’enquête chez 41 chefs d’exploitations a permis d’analyser les logiques de diversification agricole et de capitalisation foncière chez les Peul Walwalbé. Pour face faire à l’expansion des Périmètres Irrigués Villageois, les éleveurs ont choisi de renforcer leur pratique de l’agriculture irriguée afin de varier leurs sources de revenus et d’avoir un meilleur accès aux parcours post-culturaux. Dans les communautés rurales de Gamadji et de Guédé village situées dans la moyenne vallée, les éleveurs sont très présents dans les systèmes de production irriguée. Plusieurs modes de tenures foncières leur permettent, en plus des cultures céréalières de décrues ou pluviales, de développer les spéculations maraîchères (tomate et oignon) plus rentables. L’agriculture irriguée offre aussi aux agro-éleveurs un accès privilégié aux parcours post-culturaux. Leur présence dans les terroirs du Waalo est aussi un moyen de garantir leur droit foncier traditionnel sur ces terres. Ainsi la pratique de l’agriculture irriguée répond à des logiques financières et foncières. Alors que la pratique d’élevage ne permet pas aux éleveurs Peul d’avoir accès à la terre, l’agriculture irriguée apparaît comme une stratégie détournée de capitalisation foncière. La pratique conjointe de l’agriculture irriguée et de l’élevage transhumant a permis l’émergence d’un territoire agropastoral autour du département de Podor composé: de parcours de décrue, de parcours post-culturaux, de points d’abreuvement sur fleuve, de piste de transhumance…. Pour autant, les mouvements de transhumance restent la pratique centrale chez les éleveurs Peul de la moyenne vallée et les déplacements de longues durées encore de mises. / In the development of the Senegal River Valley and more precisely irrigated agriculture, pastoralist populations put forward a set of strategies to strengthen family farms. Since the 1970-1980 drought crises the situation of nomadic livestock as well as sustainability challenges in the valley continues to deteriorate, due to the reduction of rangeland. This work aims to understand the survival strategies adopted by farmers to keep their farms viable. Survey work in 41 farm managers was used to analyze the logic of agricultural diversification and land capitalization among Fulani Walwalbé. To face to the expansion of Irrigated Village Perimeters, ranchers have chosen to strengthen their practice of irrigated agriculture to vary their sources of income and have better access to postharvest lands. Farmers in rural communities of Gamadji and Guede towns located in the middle valley are very present in irrigated production systems. In addition to the rain fed cereal production, the several modes of land tenure permit them to speculate on profitable horticulture, such as vegetable crops (tomato and onion). Irrigated agriculture also provides breeders the privilege to access to post- harvest lands. Their presence in the Waalo land is also a means of ensuring their traditional land rights on these lands. Thus the practice of irrigated agriculture meets financial and property logic. While farming practice does not allow Fulani herders have access to land, irrigated agriculture appears as a strategy to move away from land capitalization. The joint practice of irrigated agriculture and livestock transhumance has encouraged the emergence of an agro-pastoral area around Podor made of: golf recession, post-crop lands, water points, transhumance pathways.... However, transhumance movements remain the central practice among Fulani herders of the middle valley and long displacement periods still possible.
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Système mixte agriculture irriguée et élevage transhumant : l'enjeu autour de l'accès aux ressources foncières dans la moyenne vallée du fleuve Sénégal

Diouf, Ibahima Faye 26 September 2013 (has links) (PDF)
Dans un contexte d'aménagement de la vallée du fleuve Sénégal et de développement de l'agriculture irriguée, les populations d'éleveurs mettent en avant un ensemble de stratégies afin de renforcer leurs exploitations familiales. En effet, depuis les crises de sécheresse des années 1970-1980, la situation de l'élevage transhumant dans la vallée ne cesse de se détériorer et sa pérennisation remise en cause, en raison de la réduction des parcours pastoraux. L'objectif de ce travail est de faire comprendre les stratégies de survie mises en application par les éleveurs pour maintenir leurs exploitations viables. Un travail d'enquête chez 41 chefs d'exploitations a permis d'analyser les logiques de diversification agricole et de capitalisation foncière chez les Peul Walwalbé. Pour face faire à l'expansion des Périmètres Irrigués Villageois, les éleveurs ont choisi de renforcer leur pratique de l'agriculture irriguée afin de varier leurs sources de revenus et d'avoir un meilleur accès aux parcours post-culturaux. Dans les communautés rurales de Gamadji et de Guédé village situées dans la moyenne vallée, les éleveurs sont très présents dans les systèmes de production irriguée. Plusieurs modes de tenures foncières leur permettent, en plus des cultures céréalières de décrues ou pluviales, de développer les spéculations maraîchères (tomate et oignon) plus rentables. L'agriculture irriguée offre aussi aux agro-éleveurs un accès privilégié aux parcours post-culturaux. Leur présence dans les terroirs du Waalo est aussi un moyen de garantir leur droit foncier traditionnel sur ces terres. Ainsi la pratique de l'agriculture irriguée répond à des logiques financières et foncières. Alors que la pratique d'élevage ne permet pas aux éleveurs Peul d'avoir accès à la terre, l'agriculture irriguée apparaît comme une stratégie détournée de capitalisation foncière. La pratique conjointe de l'agriculture irriguée et de l'élevage transhumant a permis l'émergence d'un territoire agropastoral autour du département de Podor composé: de parcours de décrue, de parcours post-culturaux, de points d'abreuvement sur fleuve, de piste de transhumance.... Pour autant, les mouvements de transhumance restent la pratique centrale chez les éleveurs Peul de la moyenne vallée et les déplacements de longues durées encore de mises.

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