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Éthique et interculturalisme dans la profession enseignante au Québec

Bradette, Steve January 2009 (has links) (PDF)
La présente recherche qualitative, porte sur l'interculturalisme dans la profession enseignante au Québec, et sera abordée du point de vue de l'éthique. Les enseignants et futurs enseignants au Québec sont de plus en plus confrontés au phénomène de la diversité culturelle. Les discours tenus par ceux qui balisent le système éducationnel vont tous dans le même sens: faire une place importante aux valeurs de l'interculturalisme. Cependant, il existe un écart entre les orientations théoriques et la pratique. Pourquoi cet écart entre la théorie et la pratique? Quelles sont les difficultés en lien avec les valeurs et les principes visés de l'interculturalisme dans la profession enseignante? L'exploration de rinterculturalisme, dans cette profession, auprès d'immigrants et d'enseignants vivant une réalité interculturelie dans leurs classes, va permettre d'atteindre deux objectifs: d'abord identifier, les difficultés liées à î'interculturalisme, et ensuite recommander, des pistes de solutions pour réduire l'écart entre l'idéal visé de rinterculturalisme et la pratique enseignante. Afin d'atteindre les objectifs de la présente recherche en théologie pratique, un cadre portant sur l'interculturalisme dans la profession enseignante a été défini, en s'inspirant de la méthode éthicologique de Pierre Fortin. Par la suite, nous avons interrogé des enseignants et des immigrants sur ce cadre pour découvrir les difficultés liées à l'interculturalisme. Un questionnaire a aussi été distribué à des futurs enseignants en formation des maîtres, pour connaître leur perception sur la formation qu'ils reçoivent au sujet de l'interculturalisme. Enfin, on procédera à une analyse herméneutique des discours des enseignants sous l'angle de l'éthique régulatoire.
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Le portrait artistique comme prétexte à la création d'un dialogue interculturel

Daydé, Yann January 2009 (has links) (PDF)
Le présent ouvrage traite de la création et du développement d'un processus créatif par les arts plastiques utilisant comme matière première le contact humain dans son sens le plus brut. La rencontre interculturelle m'a toujours intéressé en tant que génératrice d'une interaction pouvant occasionner des chocs de diverses natures, entre des personnes venant de milieux différents. Les rapports humains dans notre société occidentale peuvent être repensés pour se rapprocher d'une certaine idée d'universalisme. Pour aborder cette volonté d'explorer l'intersubjectivité par ma pratique graphique, j'ai cherché à me rapprocher des Innus, des membres des Premières Nations résidant au sein de communautés autochtones sur le territoire du Québec. Par la suite, j'ai décidé d'ouvrir mes champs d'expérimentation en allant à la rencontre d'une autre communauté : les immigrants de la région du Saguenay- Lac-St-Jean. Étant citoyen français, je joue avec la rencontre pour en faire une communication entre représentants de deux nations, qui ont peu de choses en commun, que ce soit d'un point de vue culturel, historique, social, etc. Le dessin et la pratique de l'encre de Chine sont des pratiques personnelles que j'ai utilisées pour réaliser un projet dans lequel le portrait est la pierre angulaire. En effet, le portrait artistique me permet de provoquer la rencontre avec l'autre et de la confirmer. La figuration du visage que je mets en oeuvre est la trace d'un moment cristallisé, un instant passé entre deux personnes n'ayant que peu en commun de prime abord. La bande dessinée, la peinture, l'animation ainsi que la photographie sont des médiums importants pour moi et ces domaines rejaillissent dans ma création et par rapport à mes choix plastiques. J'ai réalisé la mise en espace de communautés plastiques créées à partir de communautés réelles que je délimiterai durant mon exposé. Je me suis rendu compte à quel point l'éthique était importante au sein de mon processus de création au fil du développement de ma recherche, autant plastique que théorique. Pour expliciter cela, les tenants et les aboutissants de ma démarche prenant en compte la sociologie, l'éthique et les arts sont mis en avant.
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Les questionnaires de textes dans les manuels d'histoire du secondaire : un support pour comprendre et apprendre?

Harvey, Frédéric January 2010 (has links) (PDF)
L'histoire étant une discipline qui implique la lecture de nombreux textes, on peut se demander à quel point les élèves arrivent à comprendre ces textes, sachant qu'ils ont de grandes difficultés en lecture. Cette question nous a amené à nous pencher sur les questionnaires qui accompagnent les textes des manuels d'histoire afin de voir s'ils sont bien conçus pour aider les élèves à comprendre les textes et, ultimement, à atteindre les objectifs du programme. L'analyse a porté sur les questionnaires des trois manuels d'histoire de 4e secondaire d'avant réforme approuvés par le ministère de l'Éducation, de même que sur ceux des trois manuels d'après réforme de chacune des années du premier cycle des mêmes maisons d'édition que les précédents. Pour chacun des manuels, les questionnaires de deux chapitres obligatoires ont été sélectionnés de manière à couvrir les mêmes thèmes d'une collection à l'autre. Le corpus comprend 741 questions, analysées sous plusieurs angles. Nous voulions savoir si les questionnaires des manuels utilisés en histoire sont bien construits au regard des connaissances en didactique du français relativement à la lecture et à la compréhension des textes, et s'ils sont en lien avec les objectifs des programmes d'histoire. Pour le savoir, nous avons procédé en deux étapes. Chacune des questions a d'abord été évaluée à partir de cinq indicateurs : la relation entre la question et la réponse souhaitée, l'opération mentale impliquée pour l'élève qui répond à la question, l'importance de l'élément visé par la question par rapport au texte, le fait que la question mette ou non en lumière le processus de compréhension, le lien entre la question et les objectifs du programme d'histoire. Nous avons, ensuite, tracé le profil de questionnement pour chacun des questionnaires en mettant en relation les indicateurs précédents avec l'observation de l'ensemble du questionnaire des chapitres retenus de chaque manuel. Les résultats obtenus montrent que les questionnaires n'ont recours qu'à un seul niveau de relation entre la question et la réponse. Les opérations mentales de bas niveau sont davantage sollicitées que celles de haut niveau, bien que la situation ait tendance à s'améliorer avec les nouveaux manuels. De plus, la majorité des questions des manuels portent sur des éléments peu importants par rapport aux textes. Certaines questions des manuels amènent l'élève à utiliser des stratégies, mais nous notons l'absence de questions qui portent directement sur les opérations mentales effectuées par l'élève. Enfin, un grand nombre de questions dans les manuels d'histoire sont faiblement en lien avec les compétences ou les objectifs ciblés par le programme, que ce soit avant ou après la réforme. L'établissement du profil de questionnement de chaque manuel montre qu'aucun ne constitue un véritable cheminement intellectuel organisé comme cela est souhaité par des didacticiens spécialistes de la lecture. Au terme de ce travail, diversesIV suggestions sont faites afin que les questionnaires des manuels d'histoire deviennent de véritables dispositifs didactiques qui soutiennent l'élève dans sa compréhension des textes et dans ses apprentissages.
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Éthique et interculturalisme dans la profession enseignante au Québec

Bradette, Steve January 2009 (has links) (PDF)
La présente recherche qualitative, porte sur l'interculturalisme dans la profession enseignante au Québec, et sera abordée du point de vue de l'éthique. Les enseignants et futurs enseignants au Québec sont de plus en plus confrontés au phénomène de la diversité culturelle. Les discours tenus par ceux qui balisent le système éducationnel vont tous dans le même sens: faire une place importante aux valeurs de l'interculturalisme. Cependant, il existe un écart entre les orientations théoriques et la pratique. Pourquoi cet écart entre la théorie et la pratique? Quelles sont les difficultés en lien avec les valeurs et les principes visés de l'interculturalisme dans la profession enseignante? L'exploration de rinterculturalisme, dans cette profession, auprès d'immigrants et d'enseignants vivant une réalité interculturelie dans leurs classes, va permettre d'atteindre deux objectifs: d'abord identifier, les difficultés liées à î'interculturalisme, et ensuite recommander, des pistes de solutions pour réduire l'écart entre l'idéal visé de rinterculturalisme et la pratique enseignante. Afin d'atteindre les objectifs de la présente recherche en théologie pratique, un cadre portant sur l'interculturalisme dans la profession enseignante a été défini, en s'inspirant de la méthode éthicologique de Pierre Fortin. Par la suite, nous avons interrogé des enseignants et des immigrants sur ce cadre pour découvrir les difficultés liées à l'interculturalisme. Un questionnaire a aussi été distribué à des futurs enseignants en formation des maîtres, pour connaître leur perception sur la formation qu'ils reçoivent au sujet de l'interculturalisme. Enfin, on procédera à une analyse herméneutique des discours des enseignants sous l'angle de l'éthique régulatoire.
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Étude transversale de l'influence des adultes de confiance du réseau social sur la consommation de substances psychotropes chez les adolescents, selon la détresse psychologique, l'âge, la composition de la dyade adolescent-adulte et le sexe

Royer-Simoneau, Angèle 06 1900 (has links) (PDF)
À l’adolescence, le réseau social a une incidence majeure sur divers comportements, dont celui de la consommation de substances psychotropes (CSP). Ce réseau comprend plusieurs personnes significatives incluant l’adulte de confiance (AC). Bien que moins étudié que les parents et les pairs, cet adulte peut revêtir un rôle majeur dans la vie de l’adolescent et influencer le développement de ce dernier. Par ailleurs, le niveau de détresse psychologique (DP) de l’adolescent, son âge, son sexe ainsi que le sexe de l’AC à qui il accorde de l’importance représentent également des variables à considérer lorsqu’il est question de CSP à l’adolescence. La présente étude, qui s’inscrit à l’intérieur d’une recherche plus vaste portant sur la problématique de CSP à l’adolescence (Fortier, Dubé & Bouchard, 2012), a pour de mieux saisir l’influence de l’AC jumelée à celle de la DP vécue par l’adolescent, l’âge et le sexe de ce dernier ainsi que la composition de la dyade selon le sexe des protagonistes (adolescent-AC masculin ; adolescent-AC féminin ; adolescente-AC féminin ; adolescente-AC masculin) sur le comportement de CSP à l’adolescence. Les variables retenues sont 1) la catégorie de CSP, non-problématique et problématique ou à risque de l’être (déterminée à l’aide de la Grille de dépistage de consommation problématique d’alcool et de drogues chez les adolescents et les adolescentes, DEP-ADO), 2) l’importance accordée à l’AC de même sexe et 3) de sexe opposé (mesurée à l’aide du Questionnaire de Perception de l’Environnement des Personnes, PEP), 4) le niveau de DP (mesuré à l’aide du Symptom Checklist-90-R, SCL-90-R), 5) l’âge et 6) le sexe de l’adolescent. L’étude a été réalisée auprès de 854 adolescents (462 filles, 392 garçons) de 12 à 17 ans (âge moyen 14,02 ans, É.T. 1,49), fréquentant des écoles secondaires de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean au Québec. Les résultats mettent de l’avant une corrélation positive et significative entre la catégorie de CSP et l’importance accordée à l’AC de même sexe, mais chez les filles seulement. Il en est de même pour la catégorie de CSP et le niveau de DP, chez les garçons et les filles. Enfin, à travers une analyse de régression logistique, il est constaté que l’importance accordée à l’AC de même sexe en considérant le sexe de l’adolescent, le niveau de DP et un facteur d’interaction comprenant l’âge et le sexe de l’adolescent constituent de bons prédicteurs de la catégorie de CSP à l’adolescence. Ainsi, il apparait que 1) une fille accordant beaucoup d’importante à un AC de même sexe est plus à risque de consommer de façon problématique lorsque comparée à une fille accordant peu d’importance à cet AC, 2) un garçon ou une fille présentant un haut niveau de DP est plus à risque de consommer de façon problématique comparativement à celui ou celle présentant un bas niveau de DP et 3) un garçon, lorsque plus âgé, est plus à risque de consommer de façon problématique, lorsque comparé à un garçon plus jeune. La première constatation tirée des résultats va à l’encontre de ce qui a été relevé dans la recension des écrits scientifiques et souligne l’importance de mieux caractériser la dyade adolescent-AC pour ainsi mieux comprendre son influence sur la CSP à l’adolescence, principalement chez les filles. Les deux constatations suivantes concernant la DP et l’âge sont, quant à elles, concordantes avec ce qui est déjà relevé dans la documentation scientifique.
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Les représentations sociales de l'école des parents Bakoya du Gabon

Bikie Bi Nguema, Nadège 12 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objectif de dégager les représentations sociales de l’école des parents autochtones d’Afrique centrale, en l’occurrence les Pygmées bakoya du Gabon qui sont des Autochtones en situation de minorité et dont les enfants connaissent un cheminement scolaire difficile. De nombreuses associations de défense des droits des peuples autochtones comme le regroupement des Minorités Autochtones Indigènes et Pygmées du Gabon (MINAPYGA) ont vu le jour ces dernières décennies avec comme objectif, entre autres, d’éduquer et de sensibiliser les Pygmées au sujet de leurs droits. Malgré le foisonnement de ces associations, on observe que les Bakoya, comme la plupart des Pygmées d’Afrique centrale sont dans un état de sous-scolarisation (Abe, 2010; Mafoukila, 2006; Manga Ndjie Bindzi Mballa, 2009). Des auteurs comme Musilikare (2000), Paulin, Duke, Dondia et Kouarata (2009) avancent des éléments de réponse pour expliquer les causes de la sous-scolarisation des enfants issus des communautés pygmées. Pour ces auteurs, ces causes résident, entre autres, dans l’absence d’éléments communs entre l’école et la vie du jeune pygmée, dans l’éloignement des campements pygmées, dans le manque de moyens financiers, dans les moqueries des camarades et les mauvais traitements infligés par les enseignants. Ces analyses, bien que globalement éclairantes, restent toutefois très générales, ne tiennent pas compte de la spécificité des situations et des contextes et ignorent l’individualité des sujets. On s’intéresse ainsi à l’expérience scolaire des enfants bakoya du point de vue de leurs parents considérant leur rôle important dans la réussite et la persévérance scolaires des jeunes (Duru-Bellat & Janrousse, 1996; Manscill & Rollins, 1990). De plus, des études en contextes occidentaux montrent que lorsque les parents expriment un intérêt pour l’école il y a moins de risque d’échec, moins de problème de comportement et moins de risque de décrochage scolaire (Deslandes & Royer, 1997; Potvin et al., 1999). Vu l’importance du rôle du parent dans la vie scolaire de l’enfant, il importe de se demander quel sens le parent bakoya accorde-t-il au fait que son enfant aille ou non à l’école? Aussi, l’étude des représentations sociales semble intéressante afin d’appréhender non seulement le sens que les parents bakoya élaborent sur l’école de leurs enfants, mais aussi de relever des positions culturelles spécifiques. En effet, comme le souligne Abric (1994a), les représentations sociales guident l’action. Pour saisir les représentations sociales de l’école des parents bakoya, on a utilisé la technique de la carte mentale et mené un entretien semi-dirigé individuel auprès de onze parents bakoya scolarisés ou non, de sexe masculin et féminin, qui vivent en zone urbaine et en zone rurale. On a soumis les données à une analyse de contenu thématique en adoptant une double posture, restitutive et analytique (Demazière & Dubar, 2004). Les données recueillies montrent que les représentations sociales de l’école des parents bakoya s’articulent autour de quatre thèmes : l’école comme un espace pour former le « grand type », une image stéréotypée de la fille instruite, l’école assimilatrice et l’école payante comme un obstacle à l’égalité des chances. Ces représentations sociales s’enracinent dans des interactions avec les Bantous, dans des expériences antérieures des parents bakoya. La recherche montre également que, même s’il y a une convergence de points de vue au sujet de la représentation sociale de l’école, la façon dont chaque parent s’approprie et réélabore le discours social sur l’école est influencée par les rapports de genre et par les positions sociales. Cette thèse apporte des contributions au niveau pédagogique, politique et social en mettant de l’avant le rôle de l’école et de l’État dans l’intégration scolaire des Pygmées. Elle propose également des pistes de réflexion pour des recherches futures qui peuvent également contribuer à l’intégration scolaire de cette population.
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Adaptabilité du modèle d'enseignement coopératif au système de formation supérieure en Afrique subsaharienne : le cas du Cameroun

Wangni, Clémence January 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche a pour but d'étudier Padaptabilité du modèle d'enseignement coopératif tel que enseigné au Canada, au système de formation supérieure en Afrique subsaharienne, particulièrement au Cameroun. Aussi, d'en préciser la portée et les limites. En effet, vu l'inadéquation entre ia formation et le marché de l'emploi que l'on rencontre dans la plupart des pays africains au Sud du Sahara, inadéquation qui a pour corollaire un taux de chômage assez élevé dans la population surtout dans la tranche des jeunes diplômés, il est indispensable d'innover dans le domaine de l'éducation pour palier à ce problème. C'est ainsi que le modèle d'enseignement coopératif est apparu comme une solution aux lacunes de la formation supérieure en Afrique subsaharienne. Comme cadre exploratoire, nous avons traité de l'enseignement au Cameroun et de l'enseignement coopératif. Nous avons posé notre problématique de recherche qui est celle de l'inadéquation, le manque d'harmonie entre la formation et le marché de l'emploi au Cameroun. Et nous avons terminé par une étude théorique de Padaptabilité de l'enseignement coopératif dans le contexte camerounais, malgré les différences sur le plan de la formation qui existent entre les étudiants canadiens et ceux camerounais. Sur le plan de !a méthodologie, nous avons fait une collecte des données via une enquête auprès des entreprises et étudiants au Cameroun afin de confirmer ou infirmer les questions posées. Une analyse de ces données avec le logiciel SPSS 12. a permis en effet, de confirmer 3 questions sur 4. Résultats qui ont été très satisfaisants pour la concrétisation du projet. Par ailleurs, nous avons traité de la faisabilité de projet et des techniques de planification de projet. C'est ainsi que nous avons réalisé un plan d'affaires pour mieux expliquer les différentes ficelles de ce projet. En définitive, cette recherche pourrait permettre aux pays africains d'améliorer la formation supérieure des étudiants et de réduire le taux de chômage chez les jeunes diplômés. Un pays comme le Cameroun profiterait de la réalisation de ce projet. En effet, les étudiants formés selon le modèle d'enseignement coopératif vont acquérir suffisamment d'expériences pratiques en entreprise pour pouvoir s'insérer facilement sur le marché du travail, du fait de leur qualification. Par ailleurs, l'on pourra contrer l'exode des cerveaux avec des programmes d'enseignement coopératif au Cameroun; tenter d'assurer une certaine stabilité quant à la formation supérieure et à l'emploi.
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Adaptabilité du modèle d'enseignement coopératif au système de formation supérieure en Afrique subsaharienne : le cas du Cameroun

Wangni, Clémence January 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche a pour but d'étudier Padaptabilité du modèle d'enseignement coopératif tel que enseigné au Canada, au système de formation supérieure en Afrique subsaharienne, particulièrement au Cameroun. Aussi, d'en préciser la portée et les limites. En effet, vu l'inadéquation entre ia formation et le marché de l'emploi que l'on rencontre dans la plupart des pays africains au Sud du Sahara, inadéquation qui a pour corollaire un taux de chômage assez élevé dans la population surtout dans la tranche des jeunes diplômés, il est indispensable d'innover dans le domaine de l'éducation pour palier à ce problème. C'est ainsi que le modèle d'enseignement coopératif est apparu comme une solution aux lacunes de la formation supérieure en Afrique subsaharienne. Comme cadre exploratoire, nous avons traité de l'enseignement au Cameroun et de l'enseignement coopératif. Nous avons posé notre problématique de recherche qui est celle de l'inadéquation, le manque d'harmonie entre la formation et le marché de l'emploi au Cameroun. Et nous avons terminé par une étude théorique de Padaptabilité de l'enseignement coopératif dans le contexte camerounais, malgré les différences sur le plan de la formation qui existent entre les étudiants canadiens et ceux camerounais. Sur le plan de !a méthodologie, nous avons fait une collecte des données via une enquête auprès des entreprises et étudiants au Cameroun afin de confirmer ou infirmer les questions posées. Une analyse de ces données avec le logiciel SPSS 12. a permis en effet, de confirmer 3 questions sur 4. Résultats qui ont été très satisfaisants pour la concrétisation du projet. Par ailleurs, nous avons traité de la faisabilité de projet et des techniques de planification de projet. C'est ainsi que nous avons réalisé un plan d'affaires pour mieux expliquer les différentes ficelles de ce projet. En définitive, cette recherche pourrait permettre aux pays africains d'améliorer la formation supérieure des étudiants et de réduire le taux de chômage chez les jeunes diplômés. Un pays comme le Cameroun profiterait de la réalisation de ce projet. En effet, les étudiants formés selon le modèle d'enseignement coopératif vont acquérir suffisamment d'expériences pratiques en entreprise pour pouvoir s'insérer facilement sur le marché du travail, du fait de leur qualification. Par ailleurs, l'on pourra contrer l'exode des cerveaux avec des programmes d'enseignement coopératif au Cameroun; tenter d'assurer une certaine stabilité quant à la formation supérieure et à l'emploi.
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La démonstration de l'influence de l'épiscopat québécois en matière d'éducation de 1950 à 1970

Simard, Jean-Louis January 1997 (has links) (PDF)
«Est-il possible de démontrer l'influence de l'épiscopat québécois en matière d'éducation de 1950 à 1970 ?» En 1874, le premier ministre Boucher de Boucherville consulte l'archevêque de Québec, Mgr Joseph-Elzéar Taschereau et le prie de lui transmettre les vues de l'épiscopat sur tout projet de réforme jugé utile au plan de l'éducation. Cette prière du pouvoir civil se soldera par la loi de 1875, sans aucun doute l'une des législations les plus importantes, quant à l'orientation et l'évolution de notre système scolaire. i) La loi scolaire de 1875 établit des structures scolaires pratiquement inamovibles jusqu'en 1964 ; ii) Cette législation conférait à l'Église catholique une influence et une responsabilité considérables, en faisant de chaque évêque un membre de droit du Comité catholique pourvu que son diocèse fut situé en tout ou en partie dans la province. Cette législation constitue certes une singulière démonstration de puissance et d'influence de la part de l'Église. Les évêques ne ménagèrent pas leur satisfaction sur la façon de légiférer du gouvernement de Boucher de Boucherville. Si bien qu'après la loi de 1875, la plupart des chefs d'expression française et catholique s'inclinèrent prudemment devant la puissance de l'épiscopat. En 1960, le gouvernement libéral de Jean Lesage prend le pouvoir avec comme élément de son programme, la reprise du contrôle de l'éducation par l'État. Après avoir formé une commission royale d'enquête et reçu la première tranche du rapport, l'une des recommandations prônant la création d'un ministère de l'éducation, l'État s'apprête à déclencher le processus législatif par la présentation d'un projet de loi. Le premier ministre hésite, il temporise. Il décide de vérifier le niveau d'assentiment des évêques. Au début de juin 1963, il fait parvenir de façon confidentielle à Mgr Maurice Roy, archevêque de Québec et primat de l'Église canadienne, une copie de travail de l'avant projet de loi, en « sollicitant » ses réactions. Il s'agissait de la troisième prise de position depuis 1960 de l'épiscopat en matière d'éducation. Même si celle-ci est différente des deux premières parce qu'elle ne reflète pas la rigueur de style et la précision, l'Archevêque de Québec réitère avec force la primauté du droit de l'Église en matière d'éducation ainsi que le droit naturel des parents à ce chapitre. Le texte sous-tend même qu'à défaut d'entente, les évêques de la province civile de Québec sont disposés à lutter au nom de la protection de ces droits. Le premier ministre décide de retirer le projet de loi. Analysons ici une coïncidence pour le moins surprenante à presque cent ans d'intervalle : i) Les deux détiennent le plus haut poste de la province ; ii) Tous les deux procèdent avec beaucoup de respect et de condescendance envers l'Épiscopat : le premier prie, le second sollicite ; iii) L'un comme l'autre s'adresse à l'Archevêque du diocèse de Québec. Une distinction s'impose cependant : dans le premier cas, la demande est parfaitement dénuée de toute contingence, dans le second les recommandations de la Commission Parent s'imposent aux deux ordres de pouvoir. À compter de la reprise du processus législatif, le premier septembre, le débat prend une tournure plus sereine et mieux adaptée à la négociation qui s'enclenche. De fait, tant le pouvoir civil qu'ecclésiastique recherchent l'équilibre. Ils ont intérêt à éviter l'affrontement. Le jeu de la négociation se déroulera de façon serrée mais avec un objectif commun, celui d'éviter un affrontement qui se serait soldé par l'éclatement d'une réforme si profitable pour la société québécoise.
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La démonstration de l'influence de l'épiscopat québécois en matière d'éducation de 1950 à 1970

Simard, Jean-Louis January 1997 (has links) (PDF)
«Est-il possible de démontrer l'influence de l'épiscopat québécois en matière d'éducation de 1950 à 1970 ?» En 1874, le premier ministre Boucher de Boucherville consulte l'archevêque de Québec, Mgr Joseph-Elzéar Taschereau et le prie de lui transmettre les vues de l'épiscopat sur tout projet de réforme jugé utile au plan de l'éducation. Cette prière du pouvoir civil se soldera par la loi de 1875, sans aucun doute l'une des législations les plus importantes, quant à l'orientation et l'évolution de notre système scolaire. i) La loi scolaire de 1875 établit des structures scolaires pratiquement inamovibles jusqu'en 1964 ; ii) Cette législation conférait à l'Église catholique une influence et une responsabilité considérables, en faisant de chaque évêque un membre de droit du Comité catholique pourvu que son diocèse fut situé en tout ou en partie dans la province. Cette législation constitue certes une singulière démonstration de puissance et d'influence de la part de l'Église. Les évêques ne ménagèrent pas leur satisfaction sur la façon de légiférer du gouvernement de Boucher de Boucherville. Si bien qu'après la loi de 1875, la plupart des chefs d'expression française et catholique s'inclinèrent prudemment devant la puissance de l'épiscopat. En 1960, le gouvernement libéral de Jean Lesage prend le pouvoir avec comme élément de son programme, la reprise du contrôle de l'éducation par l'État. Après avoir formé une commission royale d'enquête et reçu la première tranche du rapport, l'une des recommandations prônant la création d'un ministère de l'éducation, l'État s'apprête à déclencher le processus législatif par la présentation d'un projet de loi. Le premier ministre hésite, il temporise. Il décide de vérifier le niveau d'assentiment des évêques. Au début de juin 1963, il fait parvenir de façon confidentielle à Mgr Maurice Roy, archevêque de Québec et primat de l'Église canadienne, une copie de travail de l'avant projet de loi, en « sollicitant » ses réactions. Il s'agissait de la troisième prise de position depuis 1960 de l'épiscopat en matière d'éducation. Même si celle-ci est différente des deux premières parce qu'elle ne reflète pas la rigueur de style et la précision, l'Archevêque de Québec réitère avec force la primauté du droit de l'Église en matière d'éducation ainsi que le droit naturel des parents à ce chapitre. Le texte sous-tend même qu'à défaut d'entente, les évêques de la province civile de Québec sont disposés à lutter au nom de la protection de ces droits. Le premier ministre décide de retirer le projet de loi. Analysons ici une coïncidence pour le moins surprenante à presque cent ans d'intervalle : i) Les deux détiennent le plus haut poste de la province ; ii) Tous les deux procèdent avec beaucoup de respect et de condescendance envers l'Épiscopat : le premier prie, le second sollicite ; iii) L'un comme l'autre s'adresse à l'Archevêque du diocèse de Québec. Une distinction s'impose cependant : dans le premier cas, la demande est parfaitement dénuée de toute contingence, dans le second les recommandations de la Commission Parent s'imposent aux deux ordres de pouvoir. À compter de la reprise du processus législatif, le premier septembre, le débat prend une tournure plus sereine et mieux adaptée à la négociation qui s'enclenche. De fait, tant le pouvoir civil qu'ecclésiastique recherchent l'équilibre. Ils ont intérêt à éviter l'affrontement. Le jeu de la négociation se déroulera de façon serrée mais avec un objectif commun, celui d'éviter un affrontement qui se serait soldé par l'éclatement d'une réforme si profitable pour la société québécoise.

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