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Neuroanatomie fonctionnelle sous-tendant la régulation consciente et volontaire de la tristesse chez l'enfant et l'adulte sainsLévesque, Johanne January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les composantes psychologiques et comportementales parentales associées à la psychopathie de jeunes contrevenants violentsLaroche, Irène January 1998 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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The development and validity of a functional assessment instrument for persons with major mental disordersLiebman, Sara January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Profession, science and State : psychology in Sweden, 1968-1990 /Rigné, E. M. January 2002 (has links)
Texte remanié de: Doct. diss.--Göteborg--Department of sociology. / Bibliogr. p. 323-342.
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Psycho movie : zur Konstruktion psychischer Störung im Spielfilm /Fellner, Markus. January 1900 (has links)
Dissertation--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 2005.
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Santé psychologique, qualité et interactions maritales des personnes souffrant de fibromyalgie : une étude controléeGagnon, Denise January 2006 (has links) (PDF)
La présente étude avait notamment pour objectif d'évaluer la qualité maritale et les interactions maritales (i.e., communication et habiletés de résolution de problèmes), comme facteurs possibles de stress au quotidien, chez des personnes souffrant de fibromyalgie. Pour ce faire, l'étude a examiné si les personnes fibromyalgiques diffèrent des personnes non fibromyalgiques sur la mesure de leur qualité maritale et de leurs interactions maritales et ce, en effectuant des contrôles statistiques sur l'anxiété et la dépression. Dans un deuxième temps, la présente étude visait à évaluer le lien entre les interactions maritales, la qualité maritale et les symptômes de la fibromyalgie (v.g., la sévérité de la douleur et la gêne fonctionnelle), en contrôlant également pour l'effet de l'anxiété et de la dépression.
Un total de 106 femmes sollicitées dans la population générale (50 femmes fibromyalgiques, dont l'âge moyen = 53,79 ans et 56 femmes non fibromyalgiques et ne souffrant pas d'une autre forme de douleur chronique, dont l'âge moyen = 51,13 ans) ont accepté de participer à cette étude. Toutes ces femmes vivaient en couple depuis au moins 2 ans. Ces personnes ont été contactées en personne ou rejointes par téléphone et les objectifs et la procédure de la recherche leur ont été expliqués. Par la suite, elles se sont vues remettre en main propre ou expédié par la poste une enveloppe contenant les formulaires de consentement et les questionnaires à compléter.
La présente étude a tout d'abord démontré que les personnes fibromyalgiques présentent significativement plus de symptômes de douleur et de gêne fonctionnelle que les personnes non fibromyalgiques. Les résultats ont également démontré que les personnes fibromyalgiques présentent significativement plus de symptômes d'anxiété et de dépression que les personnes non fibromyalgiques. Toutefois, des analyses de la variance univariée et de la variance multivariée ont permis d'observer que les personnes fibromyalgiques ne diffèrent pas significativement des personnes non fibromyalgiques quant à leur qualité et leur ajustement marital.
Par ailleurs, des analyses de la variance multivariée ont permis d'observer que les personnes fibromyalgiques diffèrent significativement des personnes non fibromyalgiques sur l'échelle d'orientation négative aux problèmes de l'inventaire de résolution de problèmes sociaux. Par contre, lorsque la mesure des symptômes d'anxiété et de dépression est insérée comme covariance, la différence devient non significative en fonction du groupe.
Les analyses corrélationnelles ont permis d'observer que la douleur est liée positivement à la dépression et à la satisfaction maritale. En ce sens, plus les personnes fibromyalgiques sont dépressives et plus elles sont satisfaites de leur relation maritale, plus elles sont souffrantes. Un autre lien significatif positif a également été observé entre les symptômes de gêne fonctionnelle et les symptômes d'anxiété, les symptômes de dépression et l'expression affective dans la relation maritale. Par conséquent, plus les personnes fibromyalgiques sont anxieuses, plus elles sont dépressives, plus elles démontrent un affect positif dans la relation maritale, et plus elles présentent de la gêne fonctionnelle. Lorsque la mesure des symptômes de dépression et d'anxiété est insérée comme covariance, la relation entre les symptômes de douleur et la sous-échelle de satisfaction maritale reste significative. La relation entre les symptômes de gêne fonctionnelle et la sous-échelle expression affective passe à la limite du seuil de signification.
Fait étonnant, en enlevant l'impact de la mesure des symptômes d'anxiété et de dépression, trois nouvelles corrélations apparaissent significatives en lien avec la gêne fonctionnelle. Les résultats montrent une relation positive significative entre les symptômes de gêne fonctionnelle et la perception de la communication dans le couple. Ainsi, plus la communication est harmonieuse dans le couple, plus les personnes fibromyalgiques présentent de gêne fonctionnelle. Ce résultat semble concordant avec le lien positif obtenu entre la satisfaction maritale et l'expression des symptômes de fïbromyalgie. Encore, une relation négative significative entre les symptômes de gêne fonctionnelle et la sous-échelle de l'orientation négative aux problèmes a été démontrée. Dit d'une autre façon, plus les personnes fibromyalgiques ont une orientation négative face aux problèmes, moins elles ont de symptômes de gêne fonctionnelle et, inversement, moins elles ont d'orientation négative aux problèmes et plus elles ont de symptômes de gêne fonctionnelle. Plus encore, une relation positive significative a été obtenue entre les symptômes de gêne fonctionnelle et l'échelle globale de l'inventaire de résolution de problèmes sociaux. Ainsi, plus les personnes fibromyalgiques ont des symptômes de gêne fonctionnelle, plus elles ont de facilité à trouver des solutions à leurs problèmes.
L'ensemble de ces résultats tendent à appuyer un modèle d'attitude négative face aux problèmes chez les personnes fibromyalgiques en lien avec l'anxiété et les symptômes de fibromyalgie. Les résultats sont discutés et des avenues de recherche sont proposées.
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Relations entre les comportements interpersonnels du psychothérapeute, la motivation des clients face à la thérapie et leur santé mentaleSimard, Virginie January 2005 (has links) (PDF)
Les problématiques reliées à la santé mentale représentent un enjeu important autant sur le plan collectif qu'individuel. La santé mentale a beaucoup été étudiée sur deux niveaux différents, celui de la détresse psychologique ainsi que du bien-être psychologique (Labelle et al., 2001; Veit & Ware, 1983). La théorie de l'autodétermination (Deci & Ryan, 1985; 2002) peut aider à comprendre certaines variables en jeu en ce qui a trait aux résultats de la thérapie lorsque les personnes prises avec un problème de santé mentale consultent pour améliorer leur situation. La présente étude a pour objectif d'examiner les relations entre les comportements interpersonnels provenant du thérapeute reliés au soutien à l'autonomie, à la compétence et à l'appartenance, la motivation du client face à la thérapie et sa santé mentale. Au total, 88 adultes engagés dans un processus thérapeutique âgés entre 18 et 64 ans ont répondu à un questionnaire écrit visant à mesurer la motivation face à la thérapie, la perception des comportements interpersonnels du thérapeute et la santé mentale incluant des mesures de détresse et de bien-être psychologique. Des analyses de régressions hiérarchiques ont été effectuées afin de vérifier un modèle de médiation incluant le soutien à l'autonomie, à la compétence et à l'appartenance, la motivation face à la thérapie et des indicateurs de santé mentale. Les résultats révèlent, que des trois comportements interpersonnels, seul le soutien à l'autonomie permet de soutenir le modèle de médiation de la motivation avec certains indices de santé mentale. En effet, il a été démontré qu'un fort soutien à l'autonomie perçu par les clients est lié à une plus faible motivation non-autodéterminée, à une plus faible amotivation ou à une plus faible motivation extrinsèque à régulation externe, lesquels types de motivation sont liés à des indicateurs de bien-être psychologique plus élevés. Ces résultats obtenus auprès d'une population clinique apportent un soutien empirique à la théorie de l'autodétermination et s'appliquent au contexte encore peu étudié qu'est la psychothérapie.
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Relation entre l'alliance thérapeutique, la santé mentale ainsi que la satisfaction envers la thérapie au cours d'un processus psychothérapeutique chez l'adulteBoutin, Mélanie January 2005 (has links) (PDF)
La description et l'évaluation de l'alliance thérapeutique représentent un champ d'études majeur en psychothérapie depuis les vingt dernières années. C'est ainsi que plusieurs études ont démontré que l'alliance thérapeutique est un facteur essentiel d'une psychothérapie efficace. Puisque le changement thérapeutique est généralement associé à l'atteinte d'une bonne santé mentale, il est raisonnable de croire que l'alliance thérapeutique puisse être associée à la santé mentale des clients. L'objectif de cette recherche est de vérifier, dans un premier temps, la relation entre l'alliance thérapeutique et la santé mentale, selon des indicateurs de détresse et de bien-être psychologiques, auprès de clients engagés dans un processus psychothérapeutique. Dans un deuxième temps, elle tente de vérifier le lien entre l'alliance thérapeutique et le niveau de satisfaction des clients envers la thérapie. L'échantillon comprend 90 personnes, âgées de 18 ans et plus, ayant complété un minimum de trois séances en thérapie. Ces personnes ont répondu à un questionnaire auto-administré comprenant : 1) une mesure de l'alliance thérapeutique au moyen de la version française du California Psychotherapy Alliance Scale; 2) des mesures de détresse psychologique au moyen de la Mesure du stress psychologique, de l'Inventaire de Symptôme-10 et de l'Inventaire de dépression de Beck; 3) des mesures de bien-être psychologique au moyen de la Mesure d'actualisation du potentiel, de l'Échelle de satisfaction de vie, de l'Échelle du sens à la vie et de l'Échelle d'estime de soi de Rosenberg; 4) une mesure de satisfaction envers la thérapie au moyen de l'Échelle de satisfaction; 5) des questions portant sur les caractéristiques socio-démographiques. Les résultats obtenus indiquent que l'alliance thérapeutique est reliée significativement à la santé mentale et à la satisfaction des clients envers la thérapie. Néanmoins, l'alliance thérapeutique est davantage reliée aux de bien-être psychologique ainsi qu'à la satisfaction des clients envers la thérapie. Seul un indicateur de détresse psychologique, la dépression, s'est montré faiblement relié à l'alliance thérapeutique. Par ailleurs, l'alliance thérapeutique est corrélée positivement à la santé mentale et ce, principalement chez les clients ayant complété entre 11 et 20 séances de thérapie et ceux âgés de 35 ans et plus. Cette étude permet de conclure qu'il y a effectivement une relation entre l'alliance thérapeutique, la santé mentale et la satisfaction des clients envers la thérapie, mais qu'il faudra, dans les recherches futures, prendre en considération certains facteurs, notamment l'âge, le nombre de séances complétées ainsi que, chose étonnante, le motif de consultation des clients.
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Étude de la dissociation, du stress physiologique et de la mémoire en fonction de la présence d'un état de stress post-traumatique chez des adolescents résidant en centre jeunesseGirard, Audrey January 2006 (has links) (PDF)
L'état de stress post-traumatique (ESPT) est une psychopathologie qui peut survenir à la suite d'une exposition à un événement traumatisant. Dans la population générale, de 8 à 10% des gens présenteront un ESPT au cours de leur vie. Les unités fermées constituent un excellent milieu pour l'étude de ce phénomène puisque 32% des jeunes y demeurant aux États-Unis sont en ESPT. Peu de recherches portent sur les effets de cette psychopathologie chez les adolescents. Parmi elles, aucune n'est réalisée auprès de jeunes québécois. Cette étude vise à comparer les adolescents présentant un ESPT aux autres adolescents, sur des facteurs reliés à l'ESPT tels la dissociation, le stress physiologique et la mémoire. L'échantillon comprend 29 adolescents âgés de 14 à 18 ans, recrutés dans un des centres jeunesse du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Ils ont tous été rencontrés à 5 reprises sur une période de 3 semaines. Lors de ces rencontres, les jeunes ont été informés du déroulement de la recherche et ont donné leur consentement éclairé. Par la suite, ils ont complété un questionnaire autoadministré évaluant des symptômes généralement associés à l'ESPT. Ils ont participé à deux entrevues permettant de dépister l'ESPT et les co-morbidités. Finalement, ils ont complété des tests portant sur la mémoire, le quotient intellectuel et l'attention. En plus de ces 5 rencontres, ils ont dû fournir 3 échantillons de salive (8, 10 et 12h00) sur une période de 4 jours afin d'évaluer le taux de cortisol, une mesure physiologique de stress. À la fin de chaque journée de prélèvement salivaire, les participants devaient compléter un inventaire sur le stress quotidien. Les résultats obtenus à l'aide d'une analyse de variance non paramétrique (Kruskal-Wallis) indiquent que les niveaux de dissociation rapportés par les adolescents en ESPT sont plus élevés que ceux des adolescents sans ESPT. En ce qui concerne le stress physiologique, aucune différence significative n'est observée entre chacun des groupes lorsqu'une analyse de variance paramétrique à plan factoriel est employée. La comparaison des groupes portant sur leur capacité de mémorisation, à l'aide du test de Kruskal-Wallis, ne permet pas de confirmer qu'il y a une différence significative entre eux. Finalement, les coefficients de corrélations partiels ayant pour but de contrôler le niveau d'attention et le quotient intellectuel estimé, ne permettent pas de faire sortir de lien significatif entre la faculté mnésique et la dissociation. La même conclusion ressort entre la mémoire et le stress physiologique. L'ensemble de ces résultats doit être interprété avec prudence étant donné le manque de puissance statistique lié au fait que peu d'adolescents de l'échantillon font partie du groupe en ESPT. De plus, les résultats non significatifs concernant la mémoire et le stress physiologique pourraient être attribuables à la possibilité qu'ils puissent faire partie des conséquences à long terme d'un ESPT.
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Les personnes qui ont été adoptées : une évaluation de leurs habiletés intellectuelles à l'âge adulteHamel, Chantale January 2005 (has links) (PDF)
La présente étude vise à évaluer, à l'âge adulte, les différentes facettes de l'habileté intellectuelle (i.e., habileté intellectuelle globale, habileté intellectuelle verbale, habileté intellectuelle non verbale, perception spatiale et habileté éductive) des personnes qui ont été adoptées et des personnes qui n'ont pas été adoptées et ce, en tenant compte de plusieurs variables (v.g., sexe, origine ethnique, nombre de placement, âge d'adoption). La présente étude a ainsi permis de combler les lacunes méthodologiques des études antérieures. L'étude a de même évalué les différentes facettes des habiletés intellectuelles d'adultes adoptés et non-adoptés tout en tenant compte du sexe des participants afin de clarifier leurs distinctions.
La présente étude s'inscrit dans le cadre de l'Étude sur le Développement et la Personnalité des Personnes qui ont été Adoptées à la Naissance (EDPPAN), réalisée à l'Université du Québec à Chicoutimi et au Centre de Toxicomanie et de Santé Mentale (CAMH), Université de Toronto, et subventionnée par le Conseil de Recherche en Sciences Humaines du Canada (CRSH).
La présente étude a inclus un total de 303 participants dont 186 personnes adoptées qui ont retrouvé leurs parents biologiques (116 femmes et 70 hommes) et 117 personnes qui n'ont pas été adoptées (60 femmes et 57 hommes). Des analyses de variances uni variées ont permis d'observer que les personnes qui ont été adoptées ne diffèrent pas significativement des personnes qui n'ont pas été adoptées au niveau de la majeure partie des habiletés intellectuelles générales. Seules les habiletés intellectuelles non verbales (évaluée à l'aide du EIHM) des adoptés se sont avérées significativement inférieures à celles des non-adoptés. Les résultats indiquent aussi que les hommes ont des habiletés intellectuelles globales, verbales et spatiales significativement supérieures à celles des femmes. De même, les hommes adoptés ont des habiletés intellectuelles non verbales plus élevées que celles des femmes adoptées, alors qu'il n'y a pas de différence importante entre les hommes et les femmes chez les non-adoptés.
Par ailleurs, des analyses corrélationnelles ont permis d'observer que l'âge d'adoption n'est pas lié significativement aux habiletés intellectuelles. Seule l'habileté éductive s'est avérée liée significativement à l'âge d'adoption et ce, par le biais de l'analyse corrélationnelle partielle. Ainsi et tel qu'attendu, plus l'âge d'adoption augmente, plus les habiletés éductives diminuent. Enfin, une analyse de variance multi variée a permis d'observer que les catégories d'âge d'adoption (adoptés entre 0 et 6 mois, adoptés entre 7 et 54 mois et non-adoptés) n'influencent pas les habiletés intellectuelles.
En somme, les résultats obtenus ont permis d'établir qu'en général, les habiletés intellectuelles des adultes qui ont été adoptés ne diffèrent pas significativement de celles des adultes qui n'ont pas été adoptés et ce, même en considérant l'âge au moment de l'adoption. Ces résultats peuvent suggérer que les différences d'habiletés intellectuelles qui sont observées auprès des enfants et des adolescents ne perdurent pas à l'âge adulte. Cette hypothèse est notamment appuyée par les résultats d'autres études qui démontrent que la différence entre les adoptés et les non-adoptés est significativement moins élevée chez les adultes qu'elle ne l'est chez les enfants et les adolescents et ce, au niveau de plusieurs caractéristiques développementales et comportementales. Des perspectives de recherches ultérieures sont suggérées.
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