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Atmosphère des planètes extrasolaires géantes : un modèle d'équilibre radiatif

Goukenleuque, Cédric 10 December 1999 (has links) (PDF)
Les observations directes, notamment spectroscopiques, permettront de déterminer la nature et la composition chimique de l'atmosphère des "Jupiter chauds", mais il est essentiel d'élaborer préliminairement un modèle atmosphérique théorique dans le but de contraindre les techniques d'observation. Dans cette optique, nous avons développé un modèle d'équilibre radiatif adapté aux planètes extrasolaires de type jovien, chauffées par leur étoile centrale. La modélisation fournit la détermination de la structure thermique moyenne, mais aussi le spectre réfléchi et le spectre d'émission thermique pour des planètes de distance orbitale 0.05 `a 1 unité astronomique. Dans ce modèle, l'atmosphère est limitée au bas par un nuage optiquement épais. Dans tous les cas, un résultat majeur du modèle est marqué par l'absence d'inversion de température dans la structure thermique de l'atmosphère, contrairement aux planètes géantes du Système Solaire. A l'exception de la planète la plus distante (1 UA) de l'échantillon des planètes modélisées, nous trouvons que l'atmosphère est subadiabatique sur toute la grille de pression, ce qui valide l'hypothèse d'équilibre radiatif. La distribution verticale des espèces chimiques les plus abondants de l'atmosphère, dans des conditions solaires, est discutée selon la distance de la planète à l'étoile. Le spectre d'émission thermique est dominé par les bandes de l'eau, vues en absorption, et révèle une fenêtre à 4 μm, accompagnée d'un flux de plus en plus fort `a 10 μm pour les plan`etes les plus froides. Nous avons enfin étudié la détectabilité des signatures spectrales de l'atmosphère des "Jupiters chauds", au foyer de grands télescopes (VLT, Keck, ...) en mode non-interférométrique. Les spectres synthétiques ont été calculés pour 51 Peg b (Teff=1200 K) en particulier, dans la bande nu3 de CH4 et (1-0) de CO.

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