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Conjoncture et transformation dans Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien, d'Alfred Jarry

Simard, Sébastien January 2002 (has links) (PDF)
Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien est une ?uvre méconnue d'Alfred Jarry qui, même chez les spécialistes de cet auteur, reste peu étudiée. Les études qui ont été faites de ce court roman, que l'on pourrait qualifier de «symboliste», sont en général rapides ou superficielles. Le présent mémoire vise donc à en faire une étude plus approfondie, du point de vue de la sémiotique. Dans ce texte, on tentera d'abord de voir les conséquences sur le déploiement textuel de l'?uvre du phénomène de conjoncture, entendu comme la rencontre de circonstances produisant une évolution, puis la transformation des éléments impliqués dans la rencontre. Le principe de transformation, que nous suivrons à travers l'interprétation du signe selon Charles Sanders Peirce, mais aussi à travers les thèmes déployés par l'auteur tout au long de son ?uvre, prendra diverses formes: la polysémie(l'auteur affirme que «le rapport de la phrase verbale à tout sens qu'on y puisse trouver est constant», instaurant la polysémie comme une sorte de programme de lecture) et l'intertextualité (transformation du texte par d'autres textes; Jarry fait reposer Faustroll sur une liste de livres qui l'inspireront tout au long du récit), la transsubstantiation(appréhendée en tant que transformation de nature sémiotique), la scatologie(transformation d'une matière à travers un processus organique de décomposition; la scatologie est par ailleurs liée au langage et à sa décomposition) et l'eschatologie (étude des fins dernières, que nous lierons ici à la scatologie, puisqu'elle est le niveau le plus bas du discours, elle se présente comme une mort du discours en forme d'apothéose). Cette étude nous permettra de constater la modernité de l'écriture de Jarry, qui a ouvert la porte, au début du XXième siècle, à de nombreux courants en théorie et création littéraire. Jarry, contemporain de Peirce et de Saussure, a entrevu, par son écriture, la sémiologie moderne. Par ailleurs, les surréalistes ont trouvé en lui un maître en poésie. Plusieurs de ces écrivains ont même contribué à perpétuer sa mémoire par la fondation d'un collège de 'Pataphysique. À ce propos, nous verrons également en quoi le texte de Jarry se place en regard de la 'Pataphysique, cette science qu'il a lui-même défini, et qui apparaît comme une façon de penser le symbolisme (le courant littéraire) et d'appréhender le monde (réel ou fictif). Cette science est définie dans le Faustroll et peut être tenue pour une sorte d'art poétique du texte de Jarry: «La pataphysique est la science des solutions imaginaires, qui accorde symboliquement aux linéaments les propriétés des objets décrits par leur virtualité.» Nous étudierons les liens qui unissent cette science et le symbolisme: la Pataphysique serait une relecture propre à Jarry du courant symboliste dont il est issu, et qu'il appréhendera à sa manière en le distordant de façon ironique et scientifique.
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La machine dodue, création littéraire suivie d'une analyse portant sur la littérature absurde

Tremblay, Frédéric January 2002 (has links) (PDF)
La Machine dodue, récit présenté en première partie, relate les aventures d'Antonin Antonyme, citoyen gris d'une métropole improbable et étouffante où le naturel et l'artificiel se confondent, où l'humain est déshumanisé et la machine humanisé. Devenu invisible d'inexplicable façon, Antonin en viendra peu à peu à se révolter contre la démesure du monde qui l'accueille, jusqu'à le mettre en péril. La seconde partie du mémoire s'attache à démontrer l'appartenance de La Machine dodue à une potentielle littérature absurde, l'absurde étant défini non pas comme une catégorie mais comme une coloration du texte dans lequel est exploité le non-sens, et ce, à divers degrés. Ce non-sens apparaîtrait soit dans l'énoncé ou renonciation du texte à des fins ludiques ou dans son code, pour illustrer un thème philosophique. L'étude de la coloration permet de mettre en lumière les mécanismes de l'absurde en littérature, présent dans un vaste corpus, et son rapport au langage. Par l'évaluation de mises en abyme incluses dans La Machine dodue et actives sur les trois mêmes niveaux du texte (énoncé, énonciation et code), des relations sont ensuite établies entre la théorie de l'absurde développée et le récit, qui devient alors illustration probante de cette théorie.
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Étude de la mise en abyme dans le roman le voyeur d'Alain Robbe-Grillet

Rioux, Caroline January 2002 (has links) (PDF)
Notre recherche est une étude de la mise en abyme dans le roman Le Voyeur d'Alain Robbe-Grillet. Ce processus qui représente de façon partielle ou complète un texte à l'intérieur d'un autre texte, est un élément déterminant pour élucider l'énoncé, renonciation et les structures qui caractérisent une ?uvre littéraire comme désire le démontrer notre étude. Après que l'introduction ait établi l'origine et l'évolution du concept de la mise en abyme à partir d'André Gide, le premier chapitre est consacré à la reconstruction de l'assassinat de la jeune Jacqueline Leduc. Nous nous inspirons, pour ce faire, de la théorie élaborée par Lucien Dâllenbach dans le Récit spéculaire : essai sur la mise en abyme, et plus particulièrement de la première couche de réflexions, celle de l'énoncé, qui se caractérise par une première forme de réflexion élémentaire appelée fictionnelle. Le deuxième chapitre aborde la seconde couche de réflexions, celle de renonciation, qui se caractérise par la présence d'une deuxième forme de réflexion élémentaire appelée énonciative. D'abord, nous observons que les réflexions énonciatives installent un climat de doute qui amène à remettre en question les perceptions du protagoniste-narrateur en ce qui concerne, par exemple, la vision qu'il a de sa première journée dans l'île qu'il répète à outrance. Ensuite, nous qu'il a de sa première journée dans l'Ile qu'il répète à outrance. Ensuite, nous constatons que les réflexions énonciatives installent un climat d'hésitation en remettant en cause cette fois la crédibilité du protagoniste-narrateur par l'entremise, notamment, du dédoublement de la voix narrative de Mathias et de la déconstruction qui s'opère au sein même du récit. Le troisième chapitre se concentre sur la troisième couche de réflexions, celle du code du récit, qui se caractérise par une troisième forme de réflexion élémentaire appelée textuelle. En premier lieu, nous notons que la déconstruction des éléments du récit se poursuit dans le troisième chapitre puisque le texte se présente désormais comme une illusion qui amène le lecteur à annuler sa lecture précédente et à en reconstruire une nouvelle et ce, à l'infini. En second lieu, en partant du fait que le récit se présente comme un trompe-l'oeil, il semble pertinent de supposer que le texte soit, au bout du compte, en processus d'écriture. Dans la conclusion, en plus de résumer le rôle fondamental joué par chacune des trois premières formes de mises en abyme élémentaires, nous ajoutons que la théorie de Dâllenbach permet non seulement d'étudier d'autres textes que Le Voyeur, mais que dans l'étude des textes, aussi bien de ceux de Robbe-Grillet que de ceux de Proust ou de Zola ou de tout autre écrivain, la théorie de Dâllenbach pourrait être complétée par celle élaborée par Gérard Genette dans Palimpsestes.
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Excès et éclatement dans l'oeuvre de Marie Laberge : une certaine hystérie textuelle

Dufour, Kathy January 2001 (has links) (PDF)
No description available.
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Un roman de formation

Duperré, Sonia January 2001 (has links) (PDF)
No description available.
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Fiction d'une théorie : d'où parle l'oeil dans l'oeuvre de Julia Kristeva

Girard, Jocelyn January 1999 (has links) (PDF)
La suite chronologique de la production écrite de Julia Kristeva donne à voir de façon manifeste une certaine évolution de l'articulation discursive. Ses premiers ouvrages s'avèrent lieux d'une écriture métalangagière, rigoureusement organisée, qui expose une théorisation complexe et détaillée. Les derniers ouvrages ? essais et romans ? laissent place à une poétisation du discours théorique, du métalangage, qui culmine dans l'écriture de fiction. L'évolution, dans son caractère superficiel, est très marquée. Un passage s'effectue de l'utilisation d'un métalangage affiché, consenti, à l'utilisation tout aussi intentionnelle d'un langage poétique ou si l'on veut d'une intentionnalité esthétique. D'un point de vue psychanalytique ? notre point de vue ? nous postulons qu'il s'agit là d'un discours obsessionnel en constant déplacement vers une possible hystérisation. Ce postulat formulé, notre hypothèse est la suivante : nous croyons qu'il s'agit plutôt d'une « sophistication » d'un même discours obsessionnel, qui demeure obsessionnel malgré les apparences. Le discours serait posé là pour voiler ce que nous nommerons: le doute épistémologique de renonciation kristévienne. L'évolution de ce doute, parallèle à celle du discours, serait d'ordre régressif. C'est-à-dire que la pseudohystérisation du discours ? qui logiquement laisserait se manifester un accroissement du doute ? correspond en fait à une régression du doute épistémologique. La sophistication du discours obsessionnel serait une fonction de simulation qui viserait à donner à voir l'accroissement du doute alors qu'au plan de l'inconscient de renonciation, si les textes ne montrent pas l'effacement de ce doute, du moins en montrent-ils sa parfaite maîtrise, ce qui revient à dire la même chose.
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L'invention de l'identité : lecture en miroir de Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable de Romain Gary et de La Vie devant soi d'Émile Ajar

Fortin, Alexandra January 2001 (has links) (PDF)
L'invention de l'identité propose une lecture en miroir de deux oeuvres signées respectivement Romain Gary et Emile Ajar, Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable (1975) et La Vie devant soi (1975). Rédigées en concomitance et publiées la même année, ces deux oeuvres ont suscité des réactions tout à fait opposées, la première étant perçue par la critique comme le lancement de la serviette d'un écrivain en fin de parcours, la deuxième comme le second roman d'un jeune écrivain au style génial et rafraîchissant. Jusqu'à la mort de Romain Gary, le public et la critique ont ignoré qu'ils distinguaient de cette façon deux écrits d'un même auteur, Emile Ajar étant resté dans l'ombre jusqu'à ce que Gary décide de donner corps et visage à son invention en la personne de son neveu Paul Pavlowitch. La supercherie a causé des remous sans précédent dans l'histoire littéraire et convoque directement la question de l'identité motivant notre recherche qui, elle, se demande si Gary a vraiment réussi à être un autre sous la plume d'Ajar. Cette question implique nécessairement de circonscrire ce qui fait la particularité d'une écriture. Pour en aborder le plan conscient, il est indiqué de convoquer les principales théories stylistiques afin de bien conceptualiser le fait de style. Considéré comme la signature d'une manière de faire d'un individu, c'est le fait de style qui sert de point de référence pour comparer les faits discursifs. En empruntant aussi à Charles Mauron la première étape de sa méthode d'analyse psychocritique, notre premier chapitre s'intéresse essentiellement à faire apparaître des réseaux d'associations ainsi que des groupements d'images particuliers et communs aux deux textes. L'écriture et le style d'un individu ne se bornant pas aux opérations conscientes, le second chapitre de notre recherche concentre son attention sur l'ordre de l'inconscient, en ayant pour objectif de se rapprocher davantage de l'identité de l'écriture de Gary/Ajar. Ce passage de l'ordre conscient à l'ordre inconscient s'amorce en adoptant la démarche d'analyse psycholinguistique de Luce Irigaray, qui propose une approche de grammaire de renonciation. Considérant que tout acte de parole s'effectue dans l'espace d'une dialectique sujet-objet adoptant une position penchant du côté de l'une ou l'autre des deux grandes névroses, l'hystérique et l'obsessionnelle, la méthode d'Irigaray nous permet de cerner quel type d'énonciation est privilégié dans les textes à l'étude. Cette étape s'avère essentielle puisqu'elle nous indique comment le sujet écrivant appréhende le monde et comment il se perçoit. Opposées en apparence, les énonciations des deux textes ont en fait une même structure psychique : obsessionnelle, mais parasitée d'un fantasme hystérique. Ainsi, ayant repéré la structure psychique de la parole du sujet écrivant, nous sommes en mesure de revenir en force et mieux armée à la méthode de Mauron : la superposition d'extraits qui posent problème met en évidence les structures révélées par la comparaison des oeuvres. En substance, nous y découvrons un scénario commun obsédant ayant toutes les chances d'être inconscient. Ce scénario souligne que la blessure narcissique du sujet est une entrave aux relations objectales. Apparemment habité d'un fort désir d'aller vers l'autre, le sujet semble obéir à un besoin compulsif de mettre fin à toute relation impliquant un attachement affectif réciproque, et ce pour des motifs qui s'affichent altruistes mais s'avèrent finalement plutôt masochistes. Tout bien considéré, la rupture se révèle être le moyen de mettre fin à l'angoisse que suscite la peur de l'abandon. Enfin, la synthèse de notre analyse nous amène à constater que, en ce qui concerne Romain Gary, la vraie question devrait peut-être davantage viser à interroger sa capacité à être lui-même que sa capacité à être autre.
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Du devenir-écrivain du narrateur modianien au devenir-archives du roman Dora Bruder

Boutin, Frédéric January 2000 (has links) (PDF)
No description available.
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Trame de l'hypertexte littéraire

Savard, Gilles January 1999 (has links) (PDF)
L'écriture et la lecture sur support informatique composent un nouvel espace à explorer pour la littérature. Corpus primordial à considérer parce que celui-ci s'inscrit dans le contexte d'un réseau interactif qui réinvente le monde virtuel que des écrivains avaient couché sur le papier pendant des siècles. La rhétorique de l'hypertexte cible l?elocutio appliquée à l'écrit et descelle les n?uds liés d'une trame filée faisant apparaître les motifs de la tapisserie hypertextuelle. C'est une elocutio fortement influencée par la culture du négoce qui règne en maître sur le réseau des réseaux que l'on nomme Internet. Mais pas davantage que sur celui des feuilletonistes publiant leurs ?uvres par fragments dans les journaux du dix-neuvième siècle. Dans les discours qui se veulent séducteurs, la présence de figures de langage s'est toujours imposée à tout discoureur, quel qu'il soit. Dans l'hypertexte, ces figures font office de repères sûrs pour qui cherche les allées de ce qui serait un labyrinthe sans leur présence remarquée. L'asyndète, la synecdoque et la métaphore n'y sont pas indices de littéralité mais éléments d'une structure discursive s'appliquant aussi aux hypertextes littéraires. L'acte de lecture sur l'écran d'un ordinateur diffère de celui des pages d'un livre. Chaque n?ud défile un à un, l'un en l'absence de l'autre, sans la suite rassurante des pages numérotées. La succession des morceaux à lire, c'est le lecteur qui doit l'inventer en recourant à son réseau sémantique. Il le fait en actionnant les hyperliens qu'il choisit les uns à la suite des autres, guidé par les signes qu'on lui met devant les yeux. Il fallait conceptualiser la manipulation des hyperliens à partir de sa plus simple action. Jim Rosenberg, un chercheur américain, l'a isolée et l'a nommée actème. Il sert de levier soulevant le voile sur les raisons qui poussent le lecteur à construire une lecture linéaire avec un début et une fin, à partir d'un système dont les fragments de discours seraient qualifiés de galimatias ou d'amphigouris si le lecteur refusait d'actionner des hyperliens. On ne parle plus de réécriture, mais d'une autre écriture. C'est une écriture pour soi qui chambarde la relation du lecteur avec l'auteur.
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Le dépouillement dans Moon Palace de Paul Auster

Bergeron, Gino January 2000 (has links) (PDF)
Ce mémoire étudie le thème du dépouillement dans Moon Palace de Paul Auster. La perte, la dépossession et la faim se présentent ainsi comme des quasi préalables à la création. Cette façon de faire qui a évidemment des résonances religieuses, chrétiennes et juives, mais aussi orientales, permet à Auster de s'amuser à démonter quelques-uns des symboles chers à l'Amérique. Américain, Auster inscrit aussi son Moon Palace dans le mythe de la frontière. Il y présente le dépouillement comme une manière de s'alléger afin de faciliter l'avancée vers un horizon qu'il essaie sans cesse de repousser. L'Ouest et l'espace ne deviennent dans Moon Palace que des métaphores de la nouvelle frontière qui serait à explorer, celle de l'imaginaire. Dans le premier chapitre, le mémoire met en parallèle Moon Palace (de même que d'autres écrits d'Auster) et Walden de Henry David Thoreau. Les deux ouvrages envisagent le dépouillement comme une nécessité à accepter et à utiliser. Ils discourent sur le besoin de se défaire de ce qui embarrasse le regard, pour mieux voir, de même que sur l'importance de se concentrer dans ce qui se présente à soi, sur les différences plutôt que sur les seules similitudes, en vue de mieux comprendre le monde et de progresser. Dans le deuxième chapitre, le mémoire étudie le roman sous l'éclairage de la judaïcité. Dans Moon Palace, cette longue tradition se fait sentir un peu partout même s'il s'agit d'un roman de la frontière. Moon Palace est donc dépeint comme puisant pour beaucoup dans cette très longue et très ancienne tradition. Mais ce n'est chaque fois que pour repartir vers de nouvelles contrées, toujours plus avant. La tradition juive prend elle-même ses sources dans ce qui est de l'ordre du dépouillement : elle est née de la perte du Temple, du Roi et du territoire, et elle a appris à construire le temps plutôt que l'espace, et le livre surtout, intertextualité première à laquelle Moon Palace puise sans cesse. Le troisième chapitre montre comment toutes les représentations de la création (sous forme embryonnaire, comme le cri de révolte, ou achevée, comme la peinture et l'écriture) que l'on retrouve dans Moon Palace, dépeignent un passage obligatoire par une phase de perte, de dépossession, ou de dépouillement, comme si cela constituait le préalable à toute création en général. Ces représentations de la création sont aussi évidemment une auto-représentation de la création de Moon Palace, ?uvre née de la faim.

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