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Development of a quality of life outcome measure for vestibular rehabilitationMorris, Anna January 2005 (has links)
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Influence de stimulations vibratoires appliquées au crâne et aux muscles cervicaux sur la fonction d’équilibration. Interprétations physiologiques et applications à la pathologie. Développement et validation d’un nouveau test d’exploration vestibulaire : le test de Dumas / Influence of vibratory stimulations applied to skull and cervical muscles on equilibrium function. Physiological interpretation and applications in pathology. Development and validation of a new vestibular test : the Skull Vibration Induced Nystagmus Test or Dumas testDumas, Georges 18 September 2014 (has links)
Le test de vibration osseux vestibulaire se pratique sur un sujet assis en stimulant par un vibreur chaque mastoïde puis le vertex à 100 Hz. Il s’agit d’un test rapide, non invasif, d'exploitation récente de premier niveau utile pour dépister une asymétrie vestibulaire au fauteuil de consultation chez un patient vertigineux qui oriente vers une latéralité lésionnelle. Nous avons pu établir en clinique dans des lésions vestibulaires totales (LUVT), partielles (LUVP), des lésions du tronc cérébral et des malformations labyrinthiques et avec l'aide des découvertes fondamentales chez l'animal (Curthoys) que des stimulations vibratoires osseuses appliquées au crâne ou sur les mastoïdes stimulaient l’ensemble des structures vestibulaires des 2 côtés ; le nystagmus induit (NIV) était la résultante d'une asymétrie des réponses (Weber vestibulaire). Dans les LUVT et les LUVP le NIV bat habituellement du côté sain. Inversement, dans les déhiscences du canal antérieur (DCA) il bat du côté lésé du fait d’une facilitation de la conduction osseuse secondaire à l’existence d’une 3ème fenêtre. Les stimulations des mastoïdes sont habituellement plus efficaces que celles du vertex sauf dans les DCA. Le NIV n'est pas influencé par la compensation vestibulaire et persiste telle une "cicatrice vestibulaire". Ainsi il présente un intérêt médicolégal par exemple en médecine du travail. Ce test utile en cas de test calorique (TC) impossible intéresse les hautes fréquences vestibulaires et complète le HST, le HIT, le TC qui n'intéressent que les moyennes et basses fréquences. Il est plus sensible pour dépister une lésion périphérique que centrale. / The skull vibration induced nystagmus test performed with a vibrator applied on vertex and mastoids at frequencies of 30, 60, 100 Hz is a fast, recent, robust bed side examination test which reveals instantaneously a vestibular asymmetry (vibration induced nystagmus or VIN) in dizzy patients and is useful to indicate a lesion side. In clinical practice, results in patients with total unilateral vestibular lesions (TUVL), partial unilateral vestibular lesions (PUVL), brain stem diseases, labyrinthine malformations and results in animal experiments (Curthoys), suggest that bone vibrations applied to vertex or mastoids stimulate all the labyrinthine structures (semi circular canals and otoliths) on both sides at 100 Hz. The vibration induced nystagmus (VIN) is the result of asymmetric responses and is equivalent to a Vestibular Weber Test. In TUVL and PUVL the VIN usually beats toward the intact side and conversely beats toward the lesion side in superior semi-circular canal dehiscences in relation to bone conduction facilitation toward the lesion (third window mechanism). VIN is not modified by vestibular compensation mechanisms and remains permanently as a “vestibular scar”. Since it has been used in occupational medicine as a first level examination test. It is not intrusive and is useful in case of unfeasible caloric test (CT). It addresses vestibular high frequencies and complements HST, HIT and CT which adress middle and low frequencies. It is more sensitive to reveal peripheral than central neurological diseases.
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Épidémiologie du vertige, de l'étourdissement et de l'instabilité, ainsi que leurs relations avec la migraine, le mal des transports, l'anxiété-dépression, le malaise vagal et l'agoraphobie / The epidemiology of vertigo, dizziness and unsteadiness and its links to migraine, motion sickness susceptibility, anxiety-depression, vaso-vagal episodes and agoraphobia.Bisdorff, Alexandre 20 September 2013 (has links)
Le vertige (V), l'étourdissement (E) et l'instabilité (I) sont des symptômes fréquents, traditionnellement considérés comme ayant des étiologies vestibulaires et extra-vestibulaires différentes. La prévalence de chaque symptôme et la manière dont ils sont liés entre eux ainsi qu'avec la migraine, l'agoraphobie, la susceptibilité au mal des transports (SMT), le malaise vagal (MV), l'anxiété/dépression (AD) et la prise de médicaments, ont été l'objet de cette étude. Un questionnaire auto-administré a été complété par 2897 adultes de la population lorraine, âgés de 18 à 86 ans, dont 1471 femmes. La prévalence sur un an du V était de 48,3%, celle de l'I de 39,1% et celle de l'E de 35,6%. Les VEI étaient corrélés entre eux et apparaissaient en général en diverses combinaisons (69,4%) ; 90% des épisodes de VEI avaient une durée inférieure ou égale à 2 mn et une fréquence < 1/mois. Les trois symptômes étaient similaires concernant leur prédominance féminine, le profil temporaire des épisodes et le lien avec les chutes et les nausées. Les VEI augmentaient avec le nombre de médicaments indépendamment de l'âge. Chaque VEI était corrélé avec chaque co-morbidité. Les facteurs de risque étaient pour l'agoraphobie : AD>sexe féminin>VEI, pour la SMT : sexe féminin > AD > migraine. En ajustant sur les trois VEI entre eux, le V reste un facteur de risque significatif pour chaque co-morbidité, suggérant que le V est un symptôme aussi peu spécifique que les deux autres et que les VEI représentent un spectre de symptômes résultant de diverses causes / Vertigo (V), dizziness (D) and unsteadiness (U) are common symptoms traditionally considered to result from different kinds of vestibular and non-vestibular dysfunctions. The prevalence of each symptom and how they relate to each other and to migraine, agoraphobia, motion sickness susceptibility (MSS), vaso-vagal episodes (VVE) and anxiety-depression (AD) was the object of this population-based study in north-eastern France. A self-administered questionnaire was returned by 2987 adults (age span 18-86 years, 1471 women). The 1-year prevalence for V was 48.3%, for U 39.1% and for D 35.6%. The VDU symptoms were correlated with each other, occurred mostly (69.4%) in various combinations rather than in isolation, less than once per month, and 90% of episodes lasted < or = 2 minutes and occurred < 1/month. The three symptoms were similar in terms of female predominance, temporary profile of the episodes and their link to falls and nausea. Symptom associations including I and symptom episodes of >1 hour increased the risk of falls. The number of drugs taken increased VDU even when controlling for age. Each VDU symptom was correlated with each co-morbidity. The risk factors were for agoraphobia: AD>female gender>VDU; for MSS: female gender>AD>migraine. Logistic regressions controlling for each vestibular symptom showed that V correlated with each co-morbidity, suggesting that V is a symptom as unspecific as the other two and that the three symptoms represent a spectrum resulting from a range of mechanisms or disorders
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